Sei Gakuen
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -14%
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 ...
Voir le deal
799 €

 
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]

Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeDim 12 Mai - 19:48
Il était cinq heures. Le soleil commençait à se lever, balayant le ciel étoilé au fil des minutes. J'étais déjà debout. Je revenais d'un petit cours d'eau - gelé - où je m'étais lavé en vitesse. Ce fut la première fois que je campais en pleine nature - enfin, si on peut dire ça. Quelque part, j'aurais aimé que mes parents soient là, autour du feu, à y faire griller des marshmallows ou à y écouter des histoires qui font peur. Oui, cela aurait été tellement plus simple si c'était le cas... À la place, je me les caillais et j'avais la dalle - sans parler des piqûres d'insectes sur tout mon corps. Bref, la journée démarrait bien mal. Je rassembla et je rangea le peu d'affaire que j'avais et me remit en route vers ma destination : Sei Gakuen. Cela faisait quatorze heures que j'étais parti de Kushiro et, malgré cette nuit de sommeil réparatrice, j'étais exténué. Heureusement, il ne me restait plus que quelques heures avant que j'arrive au pensionnat.

Quand je traversa la forêt, je me retrouva au pied d'une montagne escarpé. Décidément, j'avais le don pour me compliquer la vie. Il était hors de question de faire demi-tour après tant de chemin parcouru ! Je pris donc mon courage à deux mains et je grimpa, grâce à un chemin particulièrement étroit, jusqu'à ce que j'arrive sur des rizières. Je m'y reposais tout près, histoire de reprendre mon souffle. Me trouvant en hauteur, je pouvais apercevoir le chemin qu'il me restait, le bord de mer, ainsi que les villes que je pourrais traverser. Bien sûr, avant que je ne les atteigne, il s'écoula une bonne heure. Tant pis ! Lorsque j'arrivais dans cette petite ville, après avoir traversé les rizières, les champs et les forêts, je m'acheta à manger et à boire avec le peu de monnaie qu'il me restait dans ses poches. Puis, je repartis, évitant le plus possible de perdre du temps dans les rues, puisqu'il était bientôt quinze heures et que je ne voulais pas me retrouver devant les grilles - s'il y en avait - du pensionnat.

Dix-sept heures et vingt-huit minutes. J'étais arrivé au pensionnat, en sueur et épuisé. Je poussais la grille et je me dirigeais vers l'entrée du bâtiment. C'était grand et il y avait pas mal de monde - qui me regardait. D'un pas hésitant, je décida de traverser le jardin et m'arrêta net. Pris d'un malaise, je me retenais contre un lampadaire et m'y laissa glisser jusqu'à ce que je touche le sol. Je ne rêvais que d'une chose : un lit - et une bonne douche en passant. Pour l'heure, je devrais attendre encore un peu avant de m'emmitoufler dans une couverture. Avant cela, je devais, avant tout, présenter mon dossier d'inscription puis, en même temps, récupérer la clé de ma chambre. Espérons, d'ailleurs, que je ne sois pas avec des cas sociaux - ou des filles. Non, pas elles...

Je me releva tout en m'appuyant sur le lampadaire avant de continuer mon chemin. Je passa la porte et j’arriva dans le hall d'entrée. Là aussi, il y avait du monde. C'était comme une véritable fourmilière. Des fourmis. Oui, tout ce monde, c'étaient des fourmis, n'attendant qu'à se faire écraser par mes chaussures - boueuse. Je me fis bousculer, me manquant de tomber, mais je réussis, tant bien que mal, à parvenir à l'accueil pour mon inscription. Lorsque je pris le chemin vers l'extérieur, je tomba, une nouvelle fois bousculé par un pauvre type qui l'avait fait d'exprès. S'en était de trop ! Je me releva, furieux, puis je saluais ce demeuré avec mon poing. PAF ! Dans sa gueule ! Il l’avait bien cherché. La prochaine fois, il saura à qui il a affaire.

Bref, maintenant que je m'étais bien fait remarquer, j'étais sorti du hall, en enjambant ma victime. Une fois dehors, je me trouva un banc, non loin de l'endroit où j'avais eu mon malaise, pour m'y allongeais quelques minutes, profitant du soleil, avant que quelqu'un ne me fasse - littéralement - de l'ombre... 
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeMar 14 Mai - 19:34
Ce matin je me suis levée tôt. Je suis allée profiter de la fraicheur matinale comme ca m’arrive rarement de le faire. Je me suis donc dirigée vers le lac, que je connais que trop bien, car je m’y suis rendu de nombreuse fois. Mais aujourd’hui c’est différent. C’est le matin, et l’endroit ou je me trouve ressemble vraiment à un bout de paradis, une frontière entre ce monde détruit par la nature humaine et le paradis parfait, sans atrocité, ni jalousie. Je prends alors mon appareil photos que j’ai pensé à amener pour immortaliser ce moment. Le ciel est rose avec une pointe de bleuter qui tenter de percer ce rose chatoyant, une brume légère rase l’herbe fraichement humidifier par la rosé habituel. Et la brise tout aussi légère qui me caresse le visage.

*Clic*

Je m’assois sous un arbre qui m’offre la possibilité d’être au sec tout en profitant de ce cadre magnifique. Les premier rayons du soleil perce enfin la douce croute nuageuse des cieux et viennent allègrement me lécher le visage. Sa chaleur sans égal est agréable.

*Clic*

Je prends une nouvelle photo. Avec, ça en poche, je me lève et rentre au lycée. Le petit déjeuner doit bientôt être servi et je ne tiens pas à le louper. L’appareil photos à la main, je le tiens fermement jusqu'au réfectoire. Je ne souhaite pas qu’un de ces abruties de lycéen me le casse. J’arrive devant le-dis réfectoire, prends le nécessaire et m’installe à une table. Je pose soigneusement l’appareil et mange tranquillement. Une fois terminer. Je débarrasse tout et remonte dans ma chambre pour être sur qu’il soit en sécurité. Une fois devant ma chambre je me rends compte qu’elle est fermée à clé. Je ne rappel plus que les dortoirs son fermer à partir du petit déjeuner.
Ainsi, je descends voir à l’accueil pour qu’elle me fournisse une clé.

« Bonjour, excuser moi, mais j’ai besoin de déposer mon appareil photos dans ma chambre, serait-il possible de me fournir une clé que je vous ramène dans les cinq minutes ? » demandais-je poliment.

La dame acquiesça gentiment en me tendant le trousseau de clé. Je me précipite alors jusqu’au dortoir, pose mon appareil et redescend pour rendre la clé. Malheureusement tout ne se passe pas comme prévus. Car je me fais bousculer, et sans même se retrouver ou même balancer un simple « pardon » il continue son chemin. Mais je dois d’abord rendre la clé, donc je ne peux pas le rattraper pour le savater, je vais devoir attendre un peu. Je rends la clé, et m’engouffre dans le couloir qu’il a emprunté précédemment. Je le cherche partout sans succès. J’arrive ensuite dans la cour, le repère puis m’avance vers lui d’un pas décidé. En arrivant à sa hauteur je me plante devant lui, les mains sur les hanches en colère, en fronçant les sourcils. Je ne l’ai jamais vu, ce qui me mit la puce à l’oreille. Un nouveau ? Peut-être bien, alors autant lui apprendre les règles de Sei.

« Et, toi le crainios ! Tu connais la politesse ? Ne crois pas que c’est parce que tu es nouveau ici que tout le monde va de mettre à tes pieds. Alors fais pas le con, c’clair » Dis-je amèrement, en attendant une possible réponse.

Visiblement aujourd’hui n’est pas mon jour. Je suis de mauvaise humeur et j’ai l’impression que mon calvaire ne va pas s’arrêter là. J’ai bien envie de lui faire payer un peu le fait qu’il m’est bousculé de la sorte.
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeVen 17 Mai - 8:04
J’étais bien installé sur ce banc, profitant du soleil, lorsque cette personne était venue me cacher les rayons du soleil. Les bonnes manières, elle ne semblait pas connaître. Sans se présenter à lui, celle-ci se plaignait de mon comportement et de l’avoir sûrement bousculé dans le hall d’entrée. Et ensuite ? Elle voulait avoir des excuses de ma part ? Elle s’était trompé de personne et elle allait le comprendre bien assez tôt que je n’étais pas le genre de mec qui allait se plier à ses menaces. J’ouvris les yeux et je la regarda avec mon habituel regard empli de haine. Elle n’avait pas mieux à faire que de dépenser son temps et sa salive en vain ?

« Excuses-toi plutôt de t’être retrouvée sur mon chemin ! »

Non, mais oh ! Pour qui elle se prenait celle-là ? Pour l’autorité de Sei Gakuen ? Allez, va jouer avec tes poupées ou va t’exciter ailleurs parce que tu commences à me les casser, continuais-je à lui dire. Qu’elle me laisse me reposer, je suis épuisé. En plus, je schlingue, j’ai l’impression de sentir le chacal après avoir marché depuis deux jours jusqu’ici. Je me leva, prêt à lui montrer de quoi j’étais capable, tendant mon bras jusqu’à saisir de ma main son petit et doux cou. Je la regarda sous toutes les coutures, de haut en bas et, sans criait gare, je posa mon autre main sur sa poitrine et je soupira. Une gamine, en plus, pff… J’approchais alors mes lèvres près de son oreille et je lui chuchotais :

« Je pourrais te tuer de vingt façons différentes avec cette main. Imagine un peu ce que je pourrais te faire avec les deux, chérie…»

D’un vif coup d’œil, je vis qu’un adulte nous regardait au loin, s’apprêtant à débarquer au moindre signal de détresse venant de la jeune fille. Il avait raison de me surveiller, j’aurais pu lui briser la nuque, d’une simple pression de la main, j’aurais pu tout aussi l’asphyxier, mais j’avais d’autres chats à fouetter dans ce pensionnat et cette jeune fille n’en faisait pas partie – du moins, pas encore. C’est pourquoi, je la relâcha de mon étreinte, laissant la marque de mon emprise sur son cou. Je regardais aux alentours, les gens commençaient à se poser des questions sur la situation entre elle et moi. J’inspira, puis soupira à nouveau. Je puais. Vraiment, j’avais besoin d’une douche.

Je posais une dernière fois mon regard sur cette brunette et je m’en allais sans dire un mot. Je devais trouver un endroit où je pourrais me doucher, mais je ne savais vers quel endroit aller. Je me dirigeais vers le hall d’entrée, poussant les gens qui bloquaient le passage jusqu’à ce qu’il y en ait un qui bronche dans un couloir. Il l’avait insulté de fils de pute. Pute ? Ma mère était une pute ?! Je rebroussa chemin, riant jaune, et le plaqua contre le mur. Qu’est-ce qu’ils avaient tous dans ce pensionnat ? J’aurais pu lui faire la peau pour avoir insulté ma mère, mais j’étais clément et lui demanda gentiment le chemin pour les douches.

« Ta réponse ou mon poing ? »

Il répondit. Bien, les pensionnaires n’étaient pas aussi fous qu’ils n’y paraissaient. Je le relâcha avant de lui coller un bon poing dans la gueule. Désolé, j’ai menti, lui avais-je dit. Quand je releva mes yeux, je vis encore cette fille, traversant la foule vers ma direction. Je me hâta. Je continuais de marcher selon les indications du gars que j’avais frappé avant de trouver ce que je recherchais. J’entrais alors, tout en vérifiant qu’elle ne me suivait pas, en me dessapant. Le carrelage était froid sous mes pieds, me donnant la chair de poule. Je m’approchais du point d’eau chaude et la fit couler. Les gouttes d’eau ruisselèrent sur ma peau. Cela me faisait du bien. Je pouvais rester sous cette douche toute la journée, mais fallait croire qu’à chaque fois que je savourais quoi que ce soit il y avait toujours quelqu’un pour gâcher ce petit moment de plaisir.

« Sors de ta cachette »




Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeDim 19 Mai - 4:33
Ce gars n’a vraiment aucun respect. Je ne sais pas, quand tu viens à peine d’arriver tu te la ferme et tu attends un peu. A la place il me rentre directe dans le lard. Il emploie carrément la manière forte, en me prenant la gorge avec sa grosse paluche qui lui sert la main. Il aurait pu me briser la nuque s’il le souhaite. Mais à la place il me menace pour qu’à l’avenir je ne l’emmerde plus. Mais il se met le doigt dans l’œil et jusqu’au coude. Son autre main est sur mon sein. Je connais bien la les coutumes de ces abrutis de mecs qui tâte la marchandise. Nous ne somme ni des fruits ni un morceau de viande !

« Je pourrais te tuer de vingt façons différentes avec cette main. Imagine un peu ce que je pourrais te faire avec les deux, chérie…» M’a-t-il prévenue de son air menaçant.

Bon d’accord, je l’avoue j’ai peur, mais ce n’est pas une raison pour le laisser faire par cet abrutie. Après avoir passé un bref coup d’œil derrière moi, il me lâche et s’en va. La pression qu’il avait exercée sur mon cou avait été suffisamment puissante pour me laisser une marque qui me brule. Je reprends mon souffle et me remet de cet évènement terrifiant. Mais, je n’en ai pas finis avec lui. Ma vengeance va sonner. Pour cela, ni une, ni deux je vais le poursuivre de couloirs en couloir pour savoir où il va et il mijoter une vengeance qu’il ne sera pas prêt d’oublier de si tôt.

Je me faufile entre les élèves et le surveille du coin de l’œil. Soudain, je ne le vois plus. Il a du tourner quelque part. Je me rappelle de suite que les seuls endroits se trouvant dans le coin son des dortoirs et les douches. Il me semble peut plausible qu’il soit allé dormir car les dortoirs son fermer à cette heure la et nous n’avons pas l’autorisation d’y aller.

Donc il est forcement partis dans les douches. J’entre très discrètement et entends de l’eau couler. Il est bien la. Je repère ses affaires et m’y dirige sur la pointe des pieds. Je saisis tous ce qui semble lui appartenir. Mon souffle est court, et mon cœur bat à la chamade. Car une seul fausse manip’ et je pourrais me faire repérer et tuer. Donc je prends les fringues et reviens vers la porte. Malheureusement j’ai du faire ne serai-ce qu’un chouilla de bruit car celui-ci, me demande de me montrer.

« Sors de ta cachette »

Je prends me jambe à mon coup et sort des douches à toute allure. Là c’est sur, il va me tuer. Mais il ne sortira pas de là-bas nu je pense. Donc, je planque les affaires dans mon casier et fuis dans un coin reculer de la cour.

EDITH : desolé pour cette courte réponse, mais disons que je suis pas mal fatiguer avec une baisse de tension terrible, mais je vais m'en remettre rapidement :)
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeLun 20 Mai - 2:01
Je l'observais. Je regardais cette fille qui prenait la poudre d'escampette avec mes affaires. Elle courrait tellement vite que sa jupe se relevait - y dévoilant sa petite culotte - et ce qu'elle tenait dans ses mains. J'étais resté sur le cul, ne m'imaginant pas qu'elle agirait de la sorte. Qu'est-ce qu'elle pouvait être emmerdante celle-là. Je lui avais laissé une porte de sortie pour qu'elle puisse se faire oublier pour le moment, mais non... mademoiselle avait décidé d'être chiante avec moi. Malgré cela, je devais avouer qu'elle avait du cran. Très peu de personnes avaient les couilles pour se mesurer à moi et, lorsqu'ils en avaient dans le pantalon, ils finissaient tous par le regretter, tôt ou tard. Elle pouvait se cacher quelque part ou s'éloigner du pensionnat, je la retrouverai quand même. Ce fut pourquoi que je lui laissa me distancer un peu, le temps de quelques minutes sous la douche avant de la poursuivre. Il fallait simplement que je me trouve des vêtements pour sortir de là, bien que cela ne me dérangeais pas de me montrer en tenue d'Adam. J'étais loin d'être quelqu'un de pudique.

Je n'étais pas seul dans les douches, il se trouvait qu'il n'y avait que quelques personnes au fond. L'une d'entre elle, avait posé une serviette sur un banc, le temps qu'il se lave. J'en profita alors pour la lui emprunter afin de me la mettre autour de la taille. J'aurais pu lui prendre ses vêtements, qui étaient à côté, mais je ne le fis pas - ses goûts vestimentaires ne me correspondaient pas. Une fois que je fus sorti des douches, je m'étais mis à marcher dans la direction qu'elle avait prise plus tôt. Après un coup de pute comme elle m'avait fait, j'étais certain de ne pas la trouver dans les pièces voisines, ni dans le bâtiment. Elle avait besoin de témoins pour se protéger de ma terrible vengeance. Cette fille s'était sûrement retrouvée dehors, cachée, attendant que je laisse tomber l'affaire. Vêtu d'une simple serviette autour de la taille, je traversa le hall d'entrée, toujours rempli d'autant de monde que tout à l'heure. Tous les regards étaient rivés sur moi, ainsi que tout appareil faisant office d'appareil photo.

Cette voleuse ne se doutait surement pas que j'étais prêt à la poursuivre comme ça. Après avoir passé la porte menant à l'extérieur, je passa un rapide coup d’œil, je balaya la zone et la trouva sans trop de mal. Après tout, la couleur de ses cheveux ne passaient pas inaperçu. Elle se dirigeait au fond de la cour, dos tourné. Elle ne m'avait pas encore vu et j'en profita pour la prendre en filature, bien que je ne passais pas inaperçu pour les autres pensionnaires. Je me rapprochais de plus en plus d'elle, imaginant ce que je pourrais lui faire, une fois qu'elle se serait éloignée assez des regards indiscrets. Il fallait avouer qu'elle me mâchait le travail, car elle se dirigeait de son plein gré vers les recoins sombres et inoccupés de l'extérieur du pensionnat.

« Je te tiens, trésor ! »

Je l'avais attrapé par les cheveux et je mis, en même temps, ma main sur sa bouche pour étouffer ses cris. Je plongea mon regard dans le sien et je lui souris de mon sourire des plus sadiques. Personne ne pouvait nous voir, ni nous entendre ; elle était à ma merci. Je lâcha doucement l'emprise que j'avais sur ses cheveux. Elle avait dû se douter que la situation se retournerait contre elle. Elle était sans doute apeurée, imaginant le pire, lorsque que ma main se posa une nouvelle fois sur sa poitrine pour descendre jusqu'aux cuisses et que mes lèvres se posèrent sur les siens - qui avaient pris le goût de ses larmes - après avoir enlevé l'autre main. J'aurais pu être sans scrupules, aller jusqu'au bout en lui arrachant ses vêtements - que j'avais commencé à faire - et la soumettant complètement à moi, mais quelque chose me fit abandonner. Je ne savais pas comment me l'expliquer, mais, dans son regard, je retrouvais celui de ma mère, la nuit où fut assassinée est morte.

« Je ne te ferais aucun mal, alors ne crie pas », lui avait-je dit, au creux de son oreille, avant de retirer ma main de sa bouche.
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeJeu 23 Mai - 16:23
Je pars, loin dans la cour. Mais je suis loin de me douter une seconde qu’il viendrait vêtu juste d’une serviette lui entourant la taille.

« Je te tiens, trésor ! »

De sa voix rauque, il prononce ce que je voulais le moins entendre. Il m’a attrapée par ma chevelure flamboyante que je chérie tant en me mettant aussi la main devant la bouche de sorte qu’aucun son ne sorte de ma bouche. Son sourire ne me dit rien qui vaille. Et je me prépare mentalement au pire. Je sais que je dois faire face à un acte de sadisme pur. Mais je ne sais pas comment me sortir de la. Puis les « cours » de mon professeur particulier me reviennent en mémoire. Je suis habituer au sadisme, a la douleur et autre.

Soudain, la pression sur mes cheveux se relâche. Je pensais qu’il avait renoncé mais non, c’est tout l’inverse. Son visage s’approche dangereusement du mien jusqu'à ce que nos lèvre soit jointent. La main qui avait relâché mes cheveux est une nouvelle fois sur ma poitrine et descend encore jusqu'à mes cuisses. Je ne veux vraiment pas aujourd’hui. Rien à faire les larmes viennent toutes seules aussi, je ne peux m’en empêcher. Mais peut être cela jouera-t-il en ma faveur ? Je suis a moitié dévêtis, avec que très peu de tissus, car mon agresseur à préférer tout arracher que de me déshabiller correctement.

Mais je suis d’autant plus surprise quand celui-ci s’arrête brusquement. Je ne pense pas qu’il est pitié de moi. Mais autant ne pas savoir.

« Je ne te ferais aucun mal, alors ne crie pas » me chuchote-t-il au creux de l’oreille avant de retirer toute emprise sur moi.

Je suis sur le cul, comme on dit. Mais moi ma vengeance va sonner. Et il ne doit pas savoir qu’une mermaid en colère n’est pas très douce avec ceux qui ont osé se moquer d’elles. Je n’ai pas de plan ni d’idée lumineuse en tête, rien pour me défendre non plus. Comment le croire aussi ? Il voulait me violer il y a à peine 30 secondes et là, plus rien ! Je préfère garder mes distances.

« Comment veux-tu que je te crois, tu désirais me violer et la plus rien … »

J’ai sortis cette phrase avec une pointe d’acidité mais je n’en ai pas finis avec lui.

« … vous avez vraiment rien dans le pantalon les gars »

Déclarais-je moqueuse avant de chopper le seul habit qu’il possède autour de la taille, et fuir a toute allure a travers la cour. Les élèves qui sont encore la me regarde étrangement avec mes vêtements arrachés laissant voir une partie de mes sous-vêtements. Mais ils visent aussi la serviette que j’ai dans la main. Je ne regarde pas derrière moi s’il me suit ou non. Mais là ! C’est clair, s’il me choppe je suis foutu !

Je cherche le plus rapidement possible un endroit sur ou me cacher sans freiner ma course. Mais il me faut aussi un endroit sur, où je puisse fuir si jamais je suis découverte. Un endroit où il y a beaucoup d’élèves de sorte que je puisse éviter un viol. Le vais tout de même exclure les bâtiments étant donné le peu d’habit qu’il me reste, je risquerais des problèmes inutiles sinon. Aller se plaindre à la direction n’est pas génial non plus comme je l’ai provoquée.

Soudain le réfectoire me semble approprier. Il y a plus personne et je devrais pouvoir entrer. Avec une large vue je pourrais le repérer facilement. C’est ainsi que je me retrouve cacher derrière le comptoir où les cantinières nous tendent leurs assiette en guettant l’arrivée du propriétaire de la serviette.
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeSam 25 Mai - 0:50
Il m’aura fallu quelques secondes et un courant d’air entre les jambes pour comprendre qu’elle m’avait baisé en beauté. Cette fille m’avait quand même subtilisé la serviette autour de ma taille et, pourtant, je restais d’un calme à toute épreuve. En fait, je bouillonnais et je criais « vengeance » de l’intérieur, tandis qu’elle s’enfuyait, fière de sa connerie, à travers les jardins, pour entrer dans l’un des bâtiments du pensionnat. Cela m’apprendra à avoir une petite once de pitié envers quelqu’un de son espèce. J’aurais dû continuer ce que j’avais en tête et la violer afin de la briser complètement. Elle aurait amplement mérité la punition, mais, comme on le dit souvent, la vengeance est un plat qui se mange froid et je n’allais pas oublier son geste ; et encore moins me faire attendrir par ses larmes ou son regard de chienne battue. Certes, elle m’avait prise par surprise, jouant sur les sentiments pour m’atteindre, avant de me mettre littéralement à nuit, cependant, c’était quoi son problème à elle ? Je la laissais filer et là voilà qu’elle réplique ?! Bordel de merde ! Si elle voulait la guerre alors je lui offrirai bien plus que ça : l’Apocalypse !

« Morue…. »

Personne ne pouvait me voir derrière ces feuillages et, heureusement, pour moi, la nuit commençait à montrer le bout de son nez. Après tout, cela faisait un peu plus de deux heures que j’étais arrivé au pensionnat, il devait être vingt heures à peu près. La majorité de ceux qui se trouvaient dehors finissaient par rentrer. Alors, j’attendis le meilleur moment pour sortir afin de ne pas être vu ou reconnu. Je regarda à plusieurs reprises et, lorsque je fus décidé, je courra, à toute allure, vers les bâtiments, tout en évitant les chemins éclairés par les lampadaires. J’avais quand même une réputation à construire et à entretenir. Cela aurait fait vraiment tâche si tout le monde apprenait qu’un dur à cuire s’était fait ridiculiser par une gamine. Vous m’comprenez ? Bref, une fois au pied des dortoirs, je fis le tour avant de me hisser, grâce aux rebords et aux seules forces qui me restaient, jusqu’à une fenêtre que j’avais remarquée entre-ouverte. Je grimpa au moins trois étages, sans poser un seul regard en contre-bas, puis je jeta un vif coup d’œil dans cette chambre. Il faisait sombre et il ne semblait y avoir personne à l’intérieur.

« Il faut croire que j’ai de la chance cette fois-ci… »

Je poussa la fenêtre. Grelottant, je posa une jambe, puis l’autre sans faire aucun bruit. Je soupirais, m’asseyant sur le lit tout proche de la fenêtre. J’aurais pu m’y allonger et me reposer, mais l’occupant n’allait surement pas tarder à venir. A vrai dire, je n’étais plus sûr que ce soit un mec. Déco rose, sèche-cheveux, maquillage, peigne… Oui, vous l’aurez compris, j’étais loin d’être dans la piaule d’un mec. Il fallait que je me dépêche avant qu’elle ne revienne. Je fouilla tous les recoins, armoires et penderies. Je balança à travers de la chambre ses soutien-gorge, ses culottes et les vêtements qui ne m’intéressait pas. Je finis par trouver de quoi me vêtir, bien que je fusse assez serré dedans. Tant pis, de toute façon, je comptais les garder jusqu’à ce que je récupère mes affaires. Je me posa quelques secondes sur le lit en m’y allongeant. Quelque chose m’avait percuté l’esprit à l’instant : cette emmerdeuse n’avait pas en sa possession mes affaires, ce qui voulait dire qu’elle les avait déposées à l’intérieur du bâtiment. A vrai dire, il n’y avait pas trente-six solutions à étudier, mais je voulais quand même tout vérifier en imaginant par où elle serait passée.
[size = 14]J[/size]e me redressa et me dirigea vers la porte d’entrée. Je leva le loquet qui verrouilla la porte et je m’extirpa de la pièce en faisant attention de ne pas être vu. Je longeais les murs, sans faire de bruit, en me dirigeant vers lieu où elle m’avait piqué mes vêtements : les douches. Ce n’était pas très loin d’où j’étais et puis, pas besoin d’avoir un plan dans la tête, c’était indiqué noir sur blanc. Une fois arrivé devant les douches, j’observais le chemin qu’elle avait emprunté. Elle aurait pu le mettre dans une poubelle, mais elle cela aurait écourté sa petite vengeance. Dans un casier ? Surement. Comme je ne sais pas qui elle est et que je n’ai pas de clé, elle aura tout le temps de garder mes affaires… Il fallait que je trouve où et comment reprendre mes affaires. J’avança devant la rangée de casier. À première vue, rien d’inhabituel, sauf ce tissu dépassant d’un des casiers qui m’était particulièrement familier. Après m’être accroupi devant ce tissu suspect, je compris que j’avais trouvé ce que je recherchais. Lorsque je me releva avant de forcer sur le casier, je remarqua qu’il appartenait à… moi.

« Satsuki »

Soit c’était une mauvaise blague venant de la part de cette emmerdeuse, soit c’était son véritable nom et je pourrais m’en servir pour me venger d’elle. Oui, parce qu’ayant le même nom, je pouvais demander à l’administration la clé. D’ailleurs, ce fut ce que j’ai fait aussitôt. J’étais allé voir à l’accueil, prétextant qu’on m’avait volé mon trousseau de clé pendant que je me lavais. J’avais espéré qu’elle ne me demanderai pas de justificatifs, mais, en fait, elle ne m’avait rien demandé du tout. À croire que tout le monde pouvait se faire passer pour quelqu’un d’autre pour en récupérer ses clés. Cela faisait froid dans le dos. M’enfin, j’ai les clés et je peux maintenant récupérer mes affaires qui se trouvent dans le casier. Lorsque je récupéra mes affaires dans le casier et que je le ferma à clé. Je regarda celles-ci et je remarqua qu’il y avait la clé de la chambre de cette fille. Vous me suivez ?

Je regarda la clé et vit le numéro de chambre. Ce n’était pas loin et il me semblait être passé devant lorsque je suis sorti l’autre chambre. Je revins sur mes pas et je chercha la bonne porte qui allait me conduire à la vengeance. Je ne fis pas moins de deux fois le couloir pour tomber dessus. J’inséra la clé dans la serrure, tandis que dans l’autre main je tenais mes vêtements. CLIC ! La porte s’ouvrit. Il n’y avait personne dans la pièce et j’en profita pour me déshabiller et me rhabiller avec mes propres vêtements. Enfin ! Mes vêtements ! J’étais content, mais cela ne voulait pas dire que je jette l’éponge pour ma vengeance. Non, du tout ! Je cacha les habits qui se trouvaient par terre sous son lit et je me cacha, attendant qu’elle revienne dans sa chambre, pour la surprendre.

J’attendis une bonne heure dans une armoire avant qu’elle ne revienne. Ayant entrouvert légèrement la porte du meuble, je pouvais voir ce qui se passait. C’était bien elle, cette petite peste qui méritait une bonne punition. Evidemment, j’aurai pu sortir n’importe quand d’où je me trouvais, vu qu’elle avait refermé la porte derrière elle, mais je préférai attendre encore un peu. J’épiais, je m’informais, je matais et j’attendais encore. Cependant, lorsqu’elle s’approcha de l’armoire, je ne pus que la surprendre en la plaquant contre le mur et en lui collant à nouveau ma main sur sa bouche. Cette fois-ci, je n’allais pas la laisser filer et j’allais continuer ce que j’avais commencé. Je lui chuchota au creux de son oreille qu’elle ne pouvait plus fuir avant de lui mordiller le lobe de son oreille. De ma main libre, je lui arracha ses vêtements, tant bien que mal, pour les balancer à l’autre bout de la pièce. Je posa mon regard sur elle avec un sourire en coin.

Elle était finie !
Invité
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitimeSam 25 Mai - 23:18
Je reprends mon souffle dans la salle du réfectoire. J’attends cinq minutes et toujours rien. Je crois que j’ai eu de la chance sur ce coup la. Je regarde ma montre et découvre avec horreur que mes cours commencent dans à peine dix minutes. Je me lève et m’empresse d’aller chercher mon sac dans mon casier. Quand je l’ouvre je me rappelle alors que j’y ai déposée les affaires du petit nouveau qui se croit tout permis. Je prends mon sac au fond et ferme le casier sans vraiment faire attention. En montant dans la salle où je suis censée avoir cour, je jette un rapide coup d’œil à travers la fenêtre pour tenter de le voir. Mais rien, il est juste beaucoup trop loin.

Pendant toute l’heure, je ne suis pas attentive et m’imagine mille et une scènes dont il serait capable. Et personnellement je m’attends au pire. La fin du cours sonne et je me dirige vers le suivant. Je ne sais pas s’il est resté là-bas mais je ne préfère pas aller risquer de me faire tuer. Le cours suivant se passe lui aussi sans encombre et je commence de plus en plus à avoir peur pour la suite. Pour l’heure du repas, je m’empresse de retrouver une amie que je me suis faite récemment. Installé à la table, je mange sans faim. L’estomac noué et la gorge serré m’empêche d’avaler quoi que ce soi. Mon amie inquiète me demande ce qu’il ne va pas. J’hésite vraiment à lui en parler, mais rester toute seule dans son coin en pleurnichant ne servirait vraiment à rien.

Ainsi, je lui raconte tout de A à Z. Le nouveaux qui me bouscule, je vais le voir pour qu’il s’excuse, il m’étrangle, puis de casse, je le suis, lui pique ses fringues quand il est dans la douche, les mets dans mon casier, va me cacher au fond de la cour, il manque de me violer et je m’enfuis avec sa serviette. Une fois tout dit, elle ne manque pas de tenter de me rassurer. Mais il va vouloir se venger, et je suis sur que derrière son arbre à poil il doit bien réfléchir à la pire des choses à me faire.

Malgré cela, elle a quand même réussit à me faire sourire et à me faire retrouver un peu d’appétit. Les cours de l’après midi passe assez rapidement et je ne manque pas de remarquer la beauté du ciel lorsque le soleil commence à se coucher. Je suis surprise d’ailleurs que le nouveaux ne s’est pas venger, mais vous aller me dire, dans la tenue d’Adam, il ne va pas faire grand-chose, à part s’il souhaite se faire viré pour attentat à la pudeur. Les cours enfin finis, je vais à mon casier y déposer mon sac. J’y découvre à nouveaux ses vêtements. Je jette mon sac au fond du casier et vais manger un morceau. Cette fois ci, je ne me sens vraiment pas en sécurité. Mais d’un autre coté il est plus ou moins bloque. Je ferais mieux d’avoir quelque chose sur moi pour me protéger à l’avenir. Mais je sais ou me procurer ce genre d’objet. C’est un vieil ami à moi. Il m’avait trouvé un peu courageuse de rentré dans une école comme celle la, il m’avait ainsi proposé son aide n’importe quand si j’en avais besoin. Aujourd’hui c’est le moment, d’utiliser sa botte secrète.

Je sais très bien ou il se trouve en ce moment, et je dirige vers lui. En arrivant, il voit d’office que j’ai un souci, sans attendre il me balance quelques choses. Aucun mot n’est prononcé. Je lui souris en signe de remerciement. Arrivé dans un couloir tranquille je regarde ce qu’il m’avait donné. Un taser. Je prends un des rubans de mes cheveux et attache le taser au niveau de ma cuisse sous ma jupe. Je remonte dans ma chambre et découvre qu’elle est déjà ouverte. Je me rassure en me disant que Keel, Takeo ou la mermaid est déjà rentré. Mais en ouvrant la porte, il fait noir total. Certainement que l’un d’eux est partis cinq minutes et va revenir bientôt. En attendant, je vais me préparer à aller me coucher.

Je me brosse les dents, et va me mettre en pyjama. Je planque discrètement mon taser sous mon oreiller et va dans mon armoire pour y préparer mes affaires pour le lendemain. Soudain, l’armoire qui n’est censé contenir que mes vêtements, s’ouvre sur celui que je ne voulais le moins voir de la journée. En moins de trois seconde je suis contre le mur, dans l’incapacité de crier ou quoi que ce soit. Je me doute bien qu’il a préparé quelque chose. Et je suis surprise quand je vois qu’il porte les habits que je lui avais volés ce matin. Je comprends instantanément comment il est rentré ici, ma clé, dans mon casier. Mais ce n’est pas le moment de flancher. Je tourne l’œil vers mon taser dissimulé sous mon oreiller, qu’il n’a pas pu voir de l’armoire où il se trouvait quand je me changeai.

De sa main libre, il m’arrache mon pyjama, et commence à me murmurer des choses, comme : « tu es finis » ou « je vais me venger ». Disons que je ne l’écoute qu’à moitié. Maintenant, réfléchir ! Je ne peux pas crier, je ne peux juste rien faire. Je ne montre aucune marque de peu sur mon visage, au lieu de ça je le regarde avec cette pointe de malice qui dit « tu es tombé dans mon piège ». Mais je ne sais pas s’il a comprit. De toute façon, l’un de mes trois partenaires de chambres doit bientôt arriver, donc je dois juste tenir pendant ce laps de temps. Le coup de langue qu’il me passe sur le lobe d’oreille est à la fois dégoutant car ce n’est pas le genre de choses que je veux faire dans l’immédiat mais très … démonstratif. Soudain, l’un des conseils que m’avait donné Eiki me revient en tête : laisse toi faire et rentre dans le jeu. J’ai décidé de l’écouter. Il ne m’a pas appris toutes ces choses pour rien. C’est le moment de les appliquer. En espérant juste que les autres ne vont pas tarder à me venir en aide tout de même.

Les bras le long du corps, j’attends. J’attends mon supplice. Mais qu’il ne s’inquiète pas, je vais me venger à mon tour une fois cela terminé. Je n’ai pas l’intention de laisser ça passer. Les hommes sont tous des abrutis de toutes façon. Je vous hais …
Contenu sponsorisé
Une arrivée discrète [SHIORI & KŌGA]  Icon_minitime
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sei Gakuen :: Archives RP-