Sei Gakuen
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Lilith Natsume https://sei-gakuen.forumsrpg.com/
Lilithcofonda
Lilith Natsume
INSCRIPTION : 25/07/2012
MESSAGES : 2022
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CHAMBRE : Appartement 204.
• jeux d'enfants  Icon_minitimeMer 15 Juin - 2:22
jeux d'enfants
xxx
Tu vas voir, boire, ça fait oublier les chagrins d’amour, qu’on lui avait dit. Si jamais elle retrouvait la personne abrutie qui lui avait dit ça, elle lui ferait changer d’avis à coup de pierres dans la tête. Boire, ça ne faisait pas oublier, bien au contraire, ça faisait faire des conneries et ça ravivait les vieilles blessures qu'on pensait oublié depuis des années. Et dans le cas de Lith, ça lui faisait confondre les gens. Elle avait l’air bien conne, assise au bar, le verre en main, maquillage charbonneux autour des yeux et lippes sanguines, à lorgner sur son voisin de comptoir. Cet air béat sur le visage, elle prit son courage à deux mains et changea de place, afin de se rapprocher du jeune homme. L’alcool sillonnait ses veines, remontait jusqu’à son cerveau et lui donnait cette sensation d’être libre de tout. De pouvoir faire n’importe quoi, même sauter d’un immeuble à un autre. Quel vice, d’être alcoolique. Faisant tournoyer le verre entre ses doigts longilignes, elle pencha légèrement la tête sur le côté, pupilles dilatées et sourcils froncés vers celui qui lui avait brisé le cœur en mille morceaux. Enfoiré, comment osait-il montrer sa face après l’avoir abandonnée de la sorte ?

« T’es qu’un sale con, Reiji. » marmonnait-t-elle à l’encontre du bellâtre. Sans forcément crier, mais pas non-plus trop bas pour qu’il ne l’entende pas. Il l’avait clairement entendu, parce qu’elle était assez proche de lui. Il devait être relativement tard, car les lumières de la ville s’éteignaient les unes après les autres et les gens rentraient chez eux, après une bonne soirée à danser et flirter. Il ne restait que les gens comme Lilith, qui n’avait nulle part où aller, parce que son appartement était bien vide depuis que Hikari était en convalescence ailleurs. Et c’était bien mieux de passer ses nuits à vagabonder ici et là plutôt que s’endormir sur une chanson déprimante en pleurant tout son soûl. Peine de cœur, quand tu nous tiens. Finissant son verre d’une traite, elle fixait longuement le brun, la colère lui montant aux joues et prenant un teint pourpre.

« Je te déteste, t’es qu’une merde et j’espère que pour le reste de ta vie tu resteras célibataire ! Comment t’as pu te barrer sans rien me dire, me laissant livrée à moi-même ?! Enfoiré de mes deux ! »

Elle s’était mise à crier de plus en fort, serrant les poings et cognant le comptoir avec son pied. Son cœur battait à tout rompre, elle était essoufflée à en perdre haleine et avait un mal de tête si carabinée qu’elle pensait que son cerveau allait lui sortir par les oreilles. Et elle avait terriblement chaud, franchement il faisait au moins 40° dans ce foutu bar. Tout ça la stressait, la rendant plutôt fébrile et elle vacilla et termina son speech arrogant et vulgaire dans les vapes. Elle sentit juste quelqu’un la soulever, l’emmenant quelque part. allez savoir où, parce qu’en se réveillant, en ouvrant ses paupières lourdes, elle ne reconnut pas son appartement. Bonjour les maux de tête et la gueule de bois.

« J’suis où, là ? » balbutia la jeune femme dans le vide. Encore une fois, elle s’était embarquée dans une sale affaire. Et en plus de ça, elle était nue comme un ver. Génial.
Roman A. Petrov
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Roman A. Petrov
INSCRIPTION : 05/05/2016
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• jeux d'enfants  Icon_minitimeMer 15 Juin - 22:58

Let us play as children


Ne laisse pas la tristesse du passé ou la crainte de l'avenir te voler ton présent



Débarqué depuis quelques mois maintenant sur le sol japonais, j'avais longuement eu le temps de m'habituer au décalage horaire. La différence de climat me laissait perplexe, mais peu surpris. Je m'étais renseigné des mois avant mon départ, afin de savoir tous les détails qui pourrait m'être un tant soit peu utile. Et j'avais eu raison de chercher toute sorte d'information, je n'aime pas les surprises en général. Mes premiers cours avaient commencé depuis quelques semaines et, je commençais seulement à m'habituer vraiment à la langue japonaise. Bien que je la parles couramment depuis bon nombre d'année, je sentais que mon accent laissait à désirer. Je commençais à m'habituer et à me plaire ici, je remarquais au fil des jours que je ne m'étais pas tellement trompé sur l'image et l'idée que je me faisais des Japonais en général.

Mon entretien avec le directeur de l'école s'était plutôt bien passé, j'avais essayé de faire bonne figure malgré mon style « punk » assez prononcé. Cela, à ma grande surprise ne le gênait pas. En sortant de son bureau, il me fallut quelques minutes pour réaliser que, je venais d'être bel et bien embauché comme professeur dans une école. Ce soir, je n'avais rien à faire, n'ayant pas encore beaucoup d'élèves, les travaux de mes élèves pour le moment ne me prenait pas trop de temps. J'avais donc décidé de sortir pour visiter un peu les alentours. Je sortais de mon hôtel et marchais jusqu'au centre, cherchant du regard la rue des bars. Je finis par en trouver un, avec une façade attirante. Ne me posant pas plus de questions, je rentrais à l'intérieur de celui-ci. La musique en fond sonore n'était pas trop forte, c'était pour moi déjà, un bon point qui me donnait l'envie de m'aventurer d'avantages en ces lieux. Mon regard balayait la pièce, cherchant un endroit calme où me poser, malheureusement, toutes les tables étaient déjà prises. Dieu que je n'aimais pas cela, mais j'allais devoir m'asseoir sur un tabouret face au comptoir.

J'ai horreur de faire cela, la plupart du temps, ce sont les mecs bourrés qui squatte ces places. Mais, curieux de voir, si ce bar serait intéressant à fréquenter, je prie mon mal en patience et attendais. Je décidais un peu de force, de venir m'asseoir contre le dit comptoir. Après un certain moment à déguster mon deuxième verre de rhum, je décelais le regard d'une jeune femme qui semblait me reluquer. Je préférais, ne pas lui prêter attention, ne souhaitant pas être dérangé à cet instant. Sans comprendre pourquoi, je ressenti la sensation qu'elle cherchait à s'adresser à moi. Celle-ci se mit à me traiter de sale con et m'appela par un autre prénom. Je comprenais dès lors que j'avais affaire à une âme en peine, déboussolé et malheureusement bourré. Qui plus est, celle-ci me confondait avec une personne qui l'avait intérieurement blessé. La jeune femme dans la foulée, se mit à piquer une crise de colère et, commençait à déverser sa haine sur ma personne qui ne lui avait pourtant rien fait. Mais seulement me prenant pour un autre et vu son état d'ébriété. Je ne pus que me retenir d'essayer de la raisonner. L'écoutant contre ma volonté, je comprenais le mal que la personne pour qui elle me prenait, lui avait fait. La pauvre avait dû affronter une épreuve bien difficile. Hélas, je ne pouvais rien fait pour elle, si ce n'était que de veiller à ce qu'elle rentre indemne chez elle. D'ici le lendemain elle aurait probablement oublié cette soirée d'ivresse à laquelle, elle avait choisi de s'abandonner.

L’observant du coin de l’œil, je la laissais débiter sa haine contre moi jusqu’à la voir tomber à la renverse. Je l’attrapais alors pour la retenir afin qu’elle ne se blesse pas. La prenant avec moi après avoir réglé la note de mes deux verres. Je sortis du bar en la portant tel une princesse dans mes deux bras. Je ne pouvais pas la laisser dans cet état, même si rien ne m’obligeait à m’occuper d’elle. Ne sachant pas où la jeune femme habitait, je n’eux d’autres choix que de l’emmener à mon hôtel. Durant le trajet, je la regardais dormir et vérifier qu’elle respirait toujours. Elle était plutôt belle dans son genre, dommage que l’alcool avait prie possession de son esprit. Une si belle femme, elle était condamnée, à moins qu’elle ne décide un jour à temps de s’arrêter, à voir son visage vieillir en avance par rapport à son âge. J’avais de la peine pour elle, malgré le speech qu’elle m’avait précédemment tenue. Arrivant dans le hall d’entrée, j’essayais de me faire discret et tâchait de faire passer la jeune femme toujours dans mes bras pour une ancienne amie retrouvé. Je n’aimais pas tellement la situation dans laquelle je me trouvais par sa faute. J’avais légèrement peur de me faire arrêter par des forces de l’ordre ou autre. Heureusement, je n’avais croisé rien de cela durant le voyage. Je rentrais donc dans ma chambre d’hôtel et déposais la belle sur mon lit. J’allais devoir dormir sur le canapé, pour une nuit, cela n’était pas non plus énorme sacrifice. Je me rapprochais de la jeune femme sur le lit et venais toucher son front. Elle était plutôt brulante, sans trop de gêne je la déshabillais lui laissant tout de même sa culotte en bas. Une fois ses belles jambes nues que je distinguais, je plongeais la belle dans mon lit sous la couette et lui enlever son haut. Avant de lui dégrafer son soutien-gorge, je ramenais la couette de manière à voir le moins possible sa poitrine qui semblait généreuse. Je réussis à lui enlever son sous-vêtement et la plaçais tel une poupée dans mon lit afin que celle-ci dorme au mieux.

La nuit passa, je ne mis pas beaucoup de temps avant de trouver le sommeil, je finis par m'endormir dans le canapé après quelques minutes, le voyage depuis le bar à porter la jeune femme m'avait épuisé. Les heures passèrent, à mon réveil, je me levais pour aller voir la jeune femme, elle semblait dormir encore. Ne voulant pas dormir plus, j'appelais le room service pour me faire livrer, leur demandant de patienter un certain moment avant de venir me livrer. Le temps pour moi de prendre une douche et de me débarbouiller de la veille. Je saisis donc mes affaires de rechanges et parti me doucher. À mon retour de la salle de bain, j'entendais la jeune femme parlais. Elle venait tout juste de se réveiller. Le room service arrivait au même moment, réceptionnant les plateaux du petit déjeuner commandé, je déposais le tout sur la table de la salle à manger. Non préoccupé par l'ambiguïté que cela pourrait causer, je me rendis dans ma chambre afin d'aller saluer la jeune femme, sceptique à l'idée de voir sa réaction.

-« Bonjour, avez-vous bien dormie ? Je me suis permis de commander un plateau pour le petit déjeuner.. Je me suis dit que vous auriez surement faim à votre réveil. Je vous prie de m'excuser pour votre tenue, mais lorsque j'ai touché votre front hier soir, vous étiez brulante. Je me suis donc dit que dormir sans vêtement, vous permettrez de ne pas aggraver votre état de santé.. Je vous ai laissé votre culotte, vous pouvez vérifier, je ne vous ai rien fait à part vous déshabiller et vous mettre dans mon lit. Je ne me serais pas permis de geste déplacer à votre égard.. »



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• jeux d'enfants  Icon_minitimeMer 22 Juin - 0:45
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-« Bonjour, avez-vous bien dormie ? Je me suis permis de commander un plateau pour le petit déjeuner.. Je me suis dit que vous auriez surement faim à votre réveil. Je vous prie de m'excuser pour votre tenue, mais lorsque j'ai touché votre front hier soir, vous étiez brulante. Je me suis donc dit que dormir sans vêtement, vous permettrez de ne pas aggraver votre état de santé.. Je vous ai laissé votre culotte, vous pouvez vérifier, je ne vous ai rien fait à part vous déshabiller et vous mettre dans mon lit. Je ne me serais pas permis de geste déplacer à votre égard.. »

Arrêt cérébral. Choc émotionnel. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau, mais ce n’est pas lui. Reiji n’est pas en face d’elle. Elle aurait dû s’en douter, après tout, voilà des mois que son ex-copain a quitté la ville et a mis les voiles loin d’ici. Mais l’alcool dans les veines trouble la perception des gens, c’est bien connu. Cela dit, dommage que l’illusion n’ait duré qu’une seule soirée…

Il a raison, il lui reste tout de même un morceau de tissu couvrant son entrejambe, mais il n’empêche qu’il en a bien profité, le salaud. Fièvre ou pas, on ne déshabille pas quelqu’un qu’on ne connait pas ! Cette pensée lui traverse l’esprit et elle mordille sa lèvre inférieure avec insistance. Elle remonte les draps jusqu’à son menton et fixe le plateau, puis les yeux du bellâtre. La ressemblance est frappante. Mais ce n’est pas lui, alors pas question de relâcher la pression.

« Déshabiller quelqu’un que vous ne connaissez pas, ça me paraît déjà assez déplacé, comme geste. » lâche Lith en zieutant l’inconnu avec ténacité. La colère ne fait que monter de plus en plus, même si au final, elle sait pertinemment qu’il n’a rien fait d’osé. D’une manière ou d’une autre, elle le saurait, car voilà des mois qu’elle n’a pas partager le lit de quelqu’un. Mais bref. Sa pensée a finit par se transformer en mots. Langue de vipère et poings serrés, elle soupire longuement, étends ses jambes engourdies et se lève lentement, le drap couvrant les formes généreuses de son corps encore endormi. Mal partout. Corps en guimauve.

« J’ai besoin de beaucoup de café et d’aspirine. Et de retrouver mes vêtements, je ne vais pas rester dans cette tenue pour prendre le petit-déjeuner. »

Elle cherche du regard son soutif et la robe hors de prix de la veille à travers la pièce. C’est un hôtel ? Une carte de visite trainant sur la table de chevet ne fait que confirmer ses dires. Mais elle a beau chercher et encore chercher dans tous les recoins, pas moyen de mettre la main dessus. Est-ce que c’est un genre de détraqué fétichiste des vêtements de femmes ? Pitié, elle a assez regardé d’épisodes de Criminal Minds pour être traumatisée à vie de ce genre de situations. Allez, souviens-toi, réactive ton cerveau, Lith. Il faut jouer le jeu pour mieux t'enfuir.

« Lilith. Natsume Lilith. Est-ce que vous pouvez me rendre mes vêtements, Monsieur… ? »


La phrase reste en suspens, tandis qu’elle commence à paniquer un peu. Même son sac à main a disparu. Allons bon, un tortionnaire qui commande un petit-déjeuner ? Le pire dans tout ça, c’est qu’elle ne peut même pas dire qu’il est laid, parce que ce n’est pas le cas. S’enfuir à toutes jambes ou rester ? Cruel dilemme que voilà..
Roman A. Petrov
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Roman A. Petrov
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• jeux d'enfants  Icon_minitimeMer 22 Juin - 21:12

Am i a Psychopath or a kind person?


Ne laisse pas la tristesse du passé ou la crainte de l'avenir te voler ton présent



Une soirée assez étrange et mouvementé, je pense à tous ce qui s’est passé. Cette jeune femme qui m’insultait, qui semblait me mépriser. Cette femme qui me prenait pour un de ses ex qui d’elle aurait bien profité. Il y a vraiment des connards partout, mais je ne fais pas partie de cette catégorie, même si je n’en suis pas tellement éloigné. Tandis que je prends ma douche ce matin, je repense à chaque instant passé hier du bar jusqu’à ma chambre d’hôtel. Oui cette femme est désirable, oui elle donne rudement envie de part ses courbes et ses formes à la fois sculpté et délicate. Mais ce genre de personne n’est pas si peu commun. On en croise dans tous les milieux ou presque, le genre de femme certes à la beauté écrasante. Le tout avec un caractère très difficile à supporter et bien souvent une sale manie dépendance à beaucoup de chose parfaite pour vous détruire à petit feu la santé. Heureusement, il est encore temps pour elle de se sentir de cette mauvaise habitude, si elle est poussé, elle peut surement y arrivé. Encore faut il que la personne qui l’aidera ai une patience assez longue et une ténacité à tout épreuves.

Je viens de terminer ma douche, j’ai réceptionné le plateau déjeuner que j’ai commandé. Je l’ai entendu se réveillé. J’espère qu’elle ne prendra pas peur et ne me prendra pas pour un psychopathe, pervers complètement taré. Je viens donc lui parler, afin de la rassurer. Sa réponse me fait alors prendre conscience qu’au Japon, la mentalité encore une fois est très différente de là où je viens. Je n’avais pas vraiment pensé à cela en la déshabillant, mais je n’avais pas regardé les choses sous cet angle. Je remarque dans son regard une énorme méfiance et un peu de colère aussi. Je ne lui ai pourtant rien fait qui pourrait me porter préjudice. J’ai tout de même du respect, malgré le fait de m’être permis de dénuder partiellement ou presque totalement le corps de cette jeune femme. Je surprends par la suite qu’elle serre ses poings, cela ne pressage rien de bon, il me faut la rassurer. Du moins je me dois de m’excuser au minimum. Mais qu’est-ce que je suis en train de penser, de la merde, après tout, j’ai eu la gentillesse de ne pas la laisser dans son état au bar hier soir. J’aurais très bien pu l’abandonner à son sort, celle-ci serait peut bien fait violer. Sérieusement il ne faut pas pousser le bouchon bordel. Y’en a vraiment pas beaucoup qui aurait eu la patience, la délicatesse et l’amabilité de la rembarquer chez soit pour éviter toutes sortes de problèmes.

*Aller, calme toi Roman, essaie de te contenir pour ne pas l’effrayer, ce serait tout de même dommage qu’elle se barre d’ici avec l’unique envie de ne plus jamais te revoir. Oui tu peux être un connard, mais tu sais aussi montrer une bonne partie de ta personnalité. Voilà maintenant qu’elle réclame de l’aspirine et du café. Elle a de la chance quand même que j’ai pensé à commandé une cafetière entière. Pour ce qui est de l’aspirine, je ne sais plus s’il me reste quelque médicament, mieux vaudrait pour elle, qu’elle n’ai rien contre les produits russes.*

- "Je.. Je.. Eh merde ! Désolé, je me suis pas souvenue qu’ici tout les gens sont prudes et réservé. La d’où je viens, les gens ne sont pas pudique et s’ils ont envie de te violer, tu finis au bout d’une semaine sur un trottoir, drogué et dans une situation dont jamais tu ne pourras te sortir. Bref, tu pourrais demander avec la politesse. J’ai quand même eu la gentillesse de ramener ton cul ici pour t’éviter des emmerdes."

Voilà que ça recommence, je me laisse emporter par mes émotions, c’est difficile d’être agréable pour quelqu’un de bipolaire. Heureusement pour elle, j’arrive parfois à me contrôler, dans le cas actuel, je sens de l’irritation chez cette jeune femme et celle-ci est partagée. Je me retourne un moment puis m’éloigne chercher ses affaires. Ah mais oui c’est vrai, sa robe était tâché hier soir, dans ma connerie, j’ai cru bon de la donner au service de l’hôtel pour qu’ils la lave. Je sens qu’elle ne va pas apprécier ce que je vais lui annoncer. Au pire des cas, ça l’obligera à ne pas s’enfuir comme une voleuse suite à mon hospitalité. Je me rends donc dans le salon, ignorant un instant sa présence et me rend jusqu’au téléphone pour appeler le service de l’hôtel.

- «  Bonjour, oui excusez-moi, mr Petrov à l’appareil, je vous ai donné une robe de femmes tout à l’heure. Dans combien de temps serait-il possible de la récupérer ? Ah oui j’aurais également besoin d’aspirine pour mon invitée. Ce sera prêt dans deux heures ? Bon eh bien, très bien je vais patienter jusque là. »

Je soupir brièvement, je sens que ça va râler, je dois trouver une solution en attendant pour ses vêtement. Je finis par revenir dans ma chambre et ouvre l’armoire, cherchant quelques vieilles affaires. Je trouve un t-shirt simple unis noir en col v et un jean mixte, je me retourne pour lui donner mes  vêtements. Me rapprochant alors de très prêt, je lui tends mes affaires et en profite pour tirer sous son oreiller son soutien-gorge que j’avais laissé. Elle semble encore sur ses gardes, j’espère néanmoins qu’elle baissera un peu sa garde. Même si je me doute très bien de ses intentions, elle doit certainement se demander quand est-ce qu’elle réussira à partir. J’ai bien fait de porter sa robe au service de l’hôtel. La jeune femme décide soudain de se présenter, Lilith Natsume. Elle porte toute fois un jolie nom et prénom. Elle insiste sur le fait de récupérer ses affaires malheureusement je ne vais pas pouvoir lui rendre sa robe pour le moment.

-«  Roman, enchanté Lilith. Excuse moi pour tout à l'heure, il m'arrive d'avoir des sauts d'humeur, tu ne va s’en doute pas apprécier mais ta robe hier soir était tâchait à cause de l’alcool, je l’ai donc donné à laver au service de l’hôtel.  Une très belle robe d’ailleurs, j’ai pensé que tu serais contente de la récupérer propre.. Je peux toujours te donner des affaires que je possède. Pour le reste de tes affaires, tout se trouve dans le salon, je vais te laisser t’habiller et me rejoindre dans le salon pour déjeuner. Il y a une cafetière entière qui t’attends, de quoi manger, ne crois pas que je veuille te retenir de force ici, je souhaites juste te rendre service.. Ne traîne pas trop ou ton café va refroidir.»

Je m’éloigner d’elle et la laissait enfiler mes vêtement, restant dos à elle, tout en préparant sur la table de salle à manger tout ce que contenait les plateaux. J’entendis alors toquer à la porte, cela devait être le room service qui m’apporter de l’aspirine. Me déplaçant jusqu’à la porte, je saisis la boite d’aspirine et remercier le personnel puis referma la porte et marcha jusqu’à la kitchenette saisir un verre et le remplir d’eau. J’en profitais pour demander à Lilith si elle était habillée afin que je puisse lui apporter un verre d’eau et son aspirine. Une fois son aspirine donnée, je retournerais jusqu’à la table de la salle à manger, m’asseoir pour commencer à manger et m’abreuver du petit déjeuner. Attendant patiemment qu’elle ne daigne enfin pointer le bout de son nez.

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