Sei Gakuen
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Three years ago. Remember ?

Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeDim 7 Oct - 8:21
« C'est quoi ton nom ...?» avait-elle demandé, dès le premier instant. Pourquoi cette fille était-elle venu vers lui ? Cette relation ne l'avait affaibli qu'encore plus. Toute cette magie, elle s'était effacé. Cette grande troisième venue lui demander la cause de son tourment, alors que lui n'était qu'en sixième, à cette époque... Y'avait comme un bug, ça avait stagné. Les regards ont disparu. Il savait qu'il ne la reverrait plus. Pourtant comme un petit frère, il s'y était accroché. C'était con la vie. Les années passaient, il grandissait, plus rien n'était pareil. Trop de choses à évacuer. Et personne à qui le dire, maintenant. L'entrée au lycée de la jeune fille, et son reste dans cet établissement de merde, pour finalement changer et  changer. La vie était tellement injuste... Cette injustice devait être punie. Par qui ? Où ? On ne le saura pas. 11 ans. Déjà en cinquième. Une jolie merde en plus. Faire comprendre aux autres du haut de ses 1m45 qu'il était le meilleur n'a jamais été très simple, surtout au collège. Pourtant Kazuma savait que c'était lui le plus robuste. Par ce qu'il était encore vivant. Par ce qu'il était encore là. 13 ans. Le petit était en troisième. Ça avait changé. Cette fois ci. Même qu'il a dût redoubler pour son âge trop faible, sa petite taille et sa violence. Marre de la vie. Déjà plusieurs tentatives de suicides sans succès. 15 ans. Déjà à Sei. Déjà parti. À l'abris ? Non. Ici, on était jamais à l'abris. Alors pourquoi il sentait encore une chaleur brûlait au plus profond de son âme, qui l'invitait à évacuer ? Les murs en sang, des mecs au sol, une fille apeurée. Ça avait changé. Par ce que ses heures sur les JV l'avait transformé. Comme un Mildcreaft Level 78. Quoi ? Vous savez pas c'que c'est ? Tant pis. 

En tout cas, aujourd'hui ce cher ami dût aller prendre l'air avec sa DS, ayant rangé dans le dortoir sous son lit, dans une boite cadenassée et codée, ses affaires électroniques. Par ce que ça puait. Des gens avaient dût mettre trop de déodorant, de parfum, à un tel point que ça donnait envie de vomir. Et jouer à Super Mario Bross 2 3D avec une envie constante de vomir, c'était pas le top. Surtout quand on a cauchemardé toute la nuit pour une fille aux cheveux verts. C'est ainsi que lentement, il marchait dans les couloirs, jouant avec des clefs, en ne regardant personne. Son visage restait de marbre, et chaque pas résonnait comme un roulement de tambour discret parmi la fanfare d'élèves qui marchaient à contre sens. Ses doux yeux noirs comme l'espace ne relevait aucun sentiment visible. Comme une statue ou un robot, qui marchait sans but tel un fantôme. Aucun rire n'avait résonné depuis longtemps. À peine si une fois dans sa vie il avait ris. Ce petit bruit étrange qu'il émettait en écho là où il passait ne se faisait même plus entendre. Et tant mieux. Cette petite escapade matinale lui permis de s'asseoir dans les jardins, sur un grand banc, en plein milieu... Seul avec sa DS. Comme toujours. Ces tendances sélectives à se mettre aux heures où personne n'est là est une manie dont jamais le Geek ne se détachera. 

Déjà quelqu'un se pointait. Une fille très certainement, vu la délicatesse de ses pas. Trébucher ?   Peut être. En attendant, personne n'y ferait attention... À part lui sûrement. En tout cas, les pas de cette personne approchait, si bien qu'il se concentra d'avantages sur son jeu, laissant ses cheveux tomber en avant, pour dissimuler un maximum son visage. Pas question de faire ami ami avec des inconnus. Dernier niveau de son jeu. Perdre arrivé à ce stade lui ferait tout refaire. Et pourtant... Pourquoi pas ? On s'approcha de lui. Une odeur familière. Comme quoi sa mémoire était bonne, après trois ans. Le toucher ? Mais elle se prenait pour qui ? Enfin il se décida à relever la tête, pour regarder son attaquant... Cheveux verts... Non... Impossible... Le jeune homme ferma sa console, l'observant d'un visage le plus insensible possible.
Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeLun 8 Oct - 5:17
Three years ago...
« What are you doing here? »
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« Ca faisait déjà trois ans. Trois longues années sans avoir de ses nouvelles, trois années sans se confier à cette petite bouille aussi mignonne que jeune. Et ouais ça faisait déjà trois ans que je m’étais confier à ce petit garçon qui m’étais à cet instant inconnu mais c’était aussi un petit bonhomme avec qui j’avais lié une amitié grande, une amitié pleines de confidences. L’instinct ? Que sais-je je l’avais vu et d’un simple sourire je m’étais mise à tout lui avouer ligne par ligne en n’oubliant aucuns points. Bizarre me direz-vous ? Bah a un certains moment il fallait bien que tout explose.

•Je me rappelais à peine de son nom mais son prénom me trottait dans la tête depuis quelques temps, prénom accompagné de son petit visage, mignon mais tout aussi sérieux. Ce jeune garçon accroché à ses jeux vidéo, il m’avait en quelque sorte permis de me libérer de nombreux fardeaux et moi j’avais fait pareil pour lui. Sauf qu’il a bien fallut que l’on arrête de se croiser, mon entrer au lycée et tout le reste avais fait que l’on à fini à se parler moins souvent et finalement il était venu le temps de la séparation. Bref, je m’étais remise à penser à un petit garçon, et du coup aujourd’hui j’étais bien matinale, levée presque aux aurores je pris mon p’tit déj’ etc, les trucs habituel quoi. C’est en baillant que je sortis du dortoir, une veste sous le bras. Comme je m’étais lever tôt aujourd’hui j’avais en tête de faire un petit tour dans les endroits de Sei que je n’ai jamais le temps de contempler. C’est donc avec mon baladeur allumé, oreillette dans les oreilles, que je marchais dans les nombreux couloirs de cette grande pension qu’était Sei. Nombreux était mes bâillements durant ma longues escapades, j’avais fait le tour je crois, mais il était encore trop tôt pour faire autre chose que glander en faisant une petit visite d’une pension que je parcourais tout les jours.

•Pour finir une fois pour toute de marcher sans arrêts j’avais décidé d’aller faire un petit tour un jardin, de cette façon je m’asseye sur un banc tout en regardant les plantes avec de la musique, genre comme une fille en pleine dépression en fait. En faisant mon entrer dans les jardins je ne remarquai pas tout de suite le jeune garçon assis sur un banc non loin de l’entrée, regardant les plantes sans vraiment les examiner, car autant ne pas se mentir, je m’en fichais un peu des plantes mon premier objectif étant plutôt d’être loin des bruits du quotidiens. En tournant la tête, mon attention ce porta donc enfin sur le jeune assis non loin. Mais il y avait comme un petit truc, il me rappelait assez ce confident dont je ne cessais de penser depuis quelques jours, et ci c’était lui ? Étrange quand même, ça serais vraiment un coup de bol qu’il vienne comme par hasard dans la même pension que moi, non ? Marchant avec délicatesse j’avais remarqué qu’il cherchait à cacher son visage avec ses cheveux, il était vraiment captiver par son jeu vidéo. Arrivé devant lui, je penchai un peu mon visage le regardant, c’était vraiment lui ? Je me posais la question. Et ci ce n’était pas lui et que je me faisais rejeter méchamment ? Cette idée me fit rire, après tout je m’en fichais soit j’avais raison soit j’avais tord, au pire je me trompe et je rebrousse chemin, c’est tout, pourquoi ce casser la tête ? Touchant ses cheveux ave délicatesse pour l’interpeller, je remis ma main dans la poche cousue dans ma veste attendant qu’il daigne réagir. Quand enfin il se décida à lever son visage il fut comme troublé de me voir, donc j’avais bien raison ? Fermant sa console il ne cessais de m’observais sans prononcer un seul mot.


▬Kazuma ? Dis-je pour quand même vérifier si il était troublé parce qu’il ne m’avais pas aperçu depuis longtemps ou si il n’était pas troublé par autre chose.



Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeMar 9 Oct - 7:08


Ces cheveux verts... Ces cheveux mi-longs, lisses, d'un vert ressemblant aux feuilles des arbres au printemps... Des cheveux verts qui accompagnaient ses yeux partout où elle passait. C'est vrai qu'elle était jolie, avait-il dit un jour, au cour de son année de sixième, à son copain. Son seul copain de classe, si on pouvait l'appeler comme ça. C'était plutôt un de ses admirateurs du net, qui effectivement, avait été un jour dans sa classe. Ce mec, il ne s'était jamais étonné des cicatrices de Kazuma, encore moins de sa Irl. C'était juste un petit con qui faisait que de poser des questions sur Call Of Duty, par exemple. Et ce mec s'intéressait aussi à ce qu'il foutait deux fois par semaines assis quelque part à l'abris des regards avec cette demoiselle aux cheveux verts. Cette fille l'avait libéré d'un poids, celui des mots. Cette fille était une amie, une vrai. C'était un peu son modèle, sa "grande sœur". Je n'irais pas jusque là, mais bon. Un temps de réaction, il revenait dans le passé, dans ce passé lointain où sa voix se répercutait. Ah oui, il lui avait déjà dit merci. Mais pas de gestes affectifs... Ni de pleurs. Juste pour sa réputation. À droite, à gauche, personne en vue. Juste cette demoiselle du printemps. Ad-di-son. Ou pas. En tout cas, elle avait changé ! Elle avait grandi, elle avait pris des formes plus féminines, plus adultes. D'un coup le jeune homme doutait : était-ce vraiment elle ? Ça aurait pût être n'importe qui. Une simple étudiante comme les autres, qui voulait taper la discute par ce que ses potes étaient pas encore levées. Son temps de réaction, dura seulement quelques minutes, une ou deux, mais il serait bientôt fixé. 

Un petit mot le fit sortir de ses pensées. Un simple petit mot qui affirmait toutes ses craintes, ses espérances. Articulé en trois syllabes, vibrant sur les lèvres de la demoiselles aux cheveux verts. Son timbre de voix était le même, il n'avait pas changé. Le sien non plus. Sa voix était toujours aussi mélodieuse, aussi douce. Cette demoiselle avait donc aussi une mémoire. Il fronça les sourcils, position habituelle pour sa manière de réfléchir, jusqu'à ce qu'enfin le jeune garçon sorte de son petit monde de moutons et de sucreries. Le Geek tendit alors une main vers elle, en baissant les yeux. Non pas qu'il était timide, mais les contacts physiques se terminent souvent très mal... Et un câlin était sûrement trop lui demander, à en juger son histoire. Aucun sourire, juste un air rassuré. Un air sérieux, mais rassuré. 

« Addi'... Je ne pensais pas te croiser ici...hu-Uh...»

Pour toute réponse, il hocha légèrement la tête. Kazuma pensait, à ses souvenirs, à tout le reste, et sourit légèrement quand, sur son écran mental, apparaissait l'ancienne et la nouvelle Addison Stark. Quand à lui, en trois ans, il avait pas grandi beaucoup. Enfin si, de 10  centimètres, pour passer d'un mètre quarante-cinq à un mètre cinquante cinq. Une magnifique différence, attention... Toujours personne dans la cour, aucun élève en vue. Donc un ... Burk... Un... Ouille... Ça faisait combien de temps que... Oh depuis... Ah ouais quand même.... Huit ans... Ah ouais... Entre sept et huit ans que... Qu'il n'a pas fait de câlin à quelqu'un... Enfin... Sans compter Xi Wang, mais lui il compte pas... C'est ainsi que Monsieur replia ses jambes, pour mettre une de ses mains sur ses genoux. Sans tenir plus, fallait évacuer. Il se colla à elle, posant sa tête sur son épaule. 

« Tu... M'as manqué. »
Affirmation presque improbable de sa part. Mais oui oui, ça arrive. Non, il n'est pas saoul !
Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeVen 12 Oct - 8:56
Three years ago...
« Je te revois enfin, mon cher geek »
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« Alors c’était bien toi, hein. Le jeune garçon qui « hantais » en quelques sorte mes penser pendant ses trois dernières années ? Je pourrais enfin parler de toute ma colère ou même de mes joies avec quelqu’un sans pour autant avoir peur d’être trahis… Pourquoi as-tu mis tant de temps a venir Kazuma, hein. Pourquoi ! En plus, ton image me tourmentait d’avantage car une fois le moral à zéro c’est toi que je voyais dès que je couchais sur ce lit, essayant vainement de dormir. Je suis contente, vraiment contente de te revoir, mais… Une question me trotte dans la tête, pourquoi es-tu venu à Sei ? C’est vrai quoi ce n’est pas vraiment l’école rêver pour un petit geek comme toi, hein. Quoi qu’en regardant les choses sous un autre angle peut-être que ça serais une sorte de refuge, car ici il y a beaucoup d’endroit désert, les autres cherchant tous plus ou moins à tirer dans les pattes des autres pour leur soutirer des informations et ainsi faire tomber leur groupe. Oui je sais je fait la même chose, et alors, je peux critiquer.

•Soupirant à toutes ses idées qui se bousculaient dans ma tête à un tel point que mes pensées se battent entre elle, je le regardais un grand sourire dessiner sur le visage. Ce n’est pas un ex, ce n’est pas un informateur, c’était juste la personne que j’attendais avec impatience depuis de très longue années. Je me rappelle un jour, cette conversation que j’avais vaguement entendu, conversations entre deux filles, des commères sans doute. Il y avait des « que font-il ensembles ces deux-la ? » des « Il l’a obligé à rester avec lui » ou encore des « Elle doit être attiré par les p’tits ». Les gens sont vraiment idiots parfois, il ne comprenne pas plus l’essence même de la relations humaine qui repose sur de bonnes relations, une bonnes impression dès les premières paroles, non pour eux c’est chacun son âge et en fonction de ceci chacun ses amis. Normes et valeur imposé par la société ? Non plutôt norme imposer par des tarrés ne comprenant plus rien à la vie. Ce petit bonhomme tout à fait adorable était comme le reflet du petit frère que j’aurais aimé avoir. Il était devenu un vrai ami à mes yeux et peux importe ce que disais les autres, de toute façon idiots comme ils étaient leur avis m’importait peux.

•Tournant la tête pendant une fraction de seconde, après avoir prononcer les trois syllabes qui composais son prénom aussi adorable que la personne qui le portait, je reportais mon attention sur lui, et la, je m’imaginais un sourire, un petit sourire qui aurait sans nul doute été difficile à afficher pour le jeune homme que je regardais. Sortant de mes pensés, je lui souriais un peu plus à chaque minutes étant vraiment heureuse de pouvoir de nouveau lui parler. Fronçant les sourcils, comme d’habitude lorsqu’il réfléchissait, il me tendit la main. C’était ça manière à lui de m’exprimer son affection, je savais bien qu’il n’aimait pas trop le contact physique donc il ne fallait même pas compter sur un câlins, mais une chose était sur son visage parlais pour lui et me disais qu’il était comme rassuré à l’idée de me revoir. Je pris donc sa main, le regardant tout en l’écoutant.

« Je ne pensais pas te croiser ici », ses mots résonnais comme un aveu, c’est mot disais explicitement que mon absence lui avait en quelque sorte été difficile. Mais, on ne pouvait rien faire d’autre, il était beaucoup plus jeune et cette séparation était inévitable. Je ne faisais que lui poser des questions, encore et encore. J’étais curieuse de savoir ce qui l’avait amené ici, mais je n’irais pas plus. Je ne voulais point creuser d’avantage, quand le moment sera venu nous reprendrons nos petites confidences car moi aussi, j’en ai des choses à dires. J’avais remarqué son petit sourire durant mon interrogatoire ce qui m’avait également fait sourire, j’étais contente d’enfin revoir se sourire qui, avant notre rencontre était enseveli à cause d’un lourd passé. Il avait vraiment changé, il avait pris quelque centimètre et il me donnait l’impression de faire plus ou moins la même taille que moi.

•Mais… MAIS !! What is the FUCK… Il venait de se coller à moi là, me faisant une sorte de câlin, c’était comme dire… Assez inattendu mais plutôt assez mignon, souriant je le serrais dans mes bras bercer par les quelques mots qu’il venait de prononcer,
« Tu m’as manqué » . Il avait vraiment changé alors. Un câlin… Je me rappelle encore le jour ou tu me racontais que cette personne à qui tu avais fait un câlin dans le passer serais bel et bien la dernière que tu prendrais dans tes bras, et pourtant…


▬Tu as vraiment changer, Kazu’… Je suis fier de toi.

•Remettant un peu de distance entre nos corps, je le regardais un énorme sourire dessiner sur mon visage, sourire qui semblait déchirer ma mâchoire, bon j’exagère. Bref je souriais puis lui fit un léger clin d’œil. Lui tirant légèrement la joue.

▬Toi aussi tu m’a énormément manquée, Kazu’. Je crois que… On aura beaucoup de choses à se raconter tout les deux.




Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeSam 20 Oct - 8:52

Elle me prenait dans ses bras,  comme ça. Pourtant, le niveau de pensées de Kazuma s'était arrêté bien avant ! Il fallait faire attention à tout prix que son caractère agressif ne fasse pas surface, pas maintenant. Même si ce câlin forcé lui rabâchait sans cesse qu'il ne devrait pas, par rapport à sa conscience et tout le reste, il restait là, en sécurité. En effet, le jeune homme se sentait en sécurité dans ses bras, une chaleur inattendue, quelque chose de familier, d'envolé. La séparation d'Addison avait été dure, c'est vrai, mais ses pseudos "potes" en riaient mieux. Les années de collège qui suivirent lui apprirent à ignorer, à fermer ses portes d'accès à lui-même. Pourquoi parler d'un exploit solitaire ? Pourquoi crier haut et fort qu'aujourd'hui, cela avait été moins dur qu'hier ? Toutes ces rentrées, essayant d'apercevoir en vain la frimousse d'Addison, les avait-t-elle passé comme lui ? Il en doutait. En tout cas, le sourire sur le visage de la demoiselle était resté le même. Un sourire qu'il n'avait jamais compris. Rire ? Pourquoi faire. Ça sert à rien. Le rire n'est qu'un sentiment de plus. Et voilà où mènent les sentiments. Dans sa vie d'avant, celle de sa tendre enfance, ce n'était pas comme ça. Les gens n'étaient pas là. Pas tous. 
Souvenirs 

▬Tu as vraiment changer, Kazu’… Je suis fier de toi. 

Fière de lui ? Oh super, elle va lui donner un point vert. Remarque, un sentiment de satisfaction lui envahit l'esprit. C'était chouette, qu'au moins, une fois, il ait fait quelque chose de bien. Ça lui arrivait pas souvent, faut dire. Changer ? Depuis sa tendre enfance, il n'avait pas changé. Juste fermé des portes. Avancer sans reculer. Plus jeune, aux alentours de sept ans, le jeune homme se rappelait d'une petite fille, une petite fille qu'il avait serré dans ses bras. Une petite fille qui souriait, qui le faisait rire. Une petite fille qui lui apprenait à prendre la vie d'un bon pain. Dans les deux sens du termes. Avec elle, c'était toujours la joie, même si il savait qu'après il aurait la fessé. Juste des bêtises de gosses, quoi. Cette fille ça avait été une sœur. Sauf que M. Iresawa aime déménager. En tout cas, dans sa tête il n'avait pas changé. La demoiselle le fit sortir de ses souvenirs lointains, en le rasseyant. Dommage, elle faisait un bon oreiller, Addi ! Un clin d'oeil, un sourire et ... Mais Ayeuh ! Kazuma se frotta la joue en grimaçant. Ça faisait mal quand même ! 

▬Toi aussi tu m’a énormément manquée, Kazu’. Je crois que… On aura beaucoup de choses à se raconter tout les deux.  

Tant mieux. Un sourire aurait sûrement dût se dessiner sur son visage, sauf que non. Oui je suis sadique. Passons. Kazuma pensa d'un coup à toutes les choses à raconter, sauf qu'en fait Y'en avait pas des masses. Tentative de suicide, un père qui veut se débarrasser de lui... Oh non pas des masses. Pourtant parler était la meilleure chose à faire pour ça. Pleins de questions lui traversaient l'esprit. Qu'es ce qu'elle a fait en trois ans ? S'est-elle roulée les pousses ? A-t-elle eut sa première fois ? Combien de fois elle s'est teinté les cheveux ? Elle a changé de potes ? Comment ils ont pût décider de l'envoyer dans un endroit pareil ? Depuis combien de temps elle est là ? Pleins de questions dévoraient son esprit curieux comme un journaliste enragé.  Vous savez, ces fous de journalistes qui vous suivent jusqu'à ce que vous crachiez une Info ? Kazu en avait connu une, au collège, tiens ça aussi c'était à raconter. Les moments drôles et chiants de la vie de Kazuma Iresawa. Et les Fucks sur le Pc ! Ah ça aussi ! Et sa planque de jeux sous son lit! Et le jeu du soir "a quoi ressemble mes colocataires" ? Non sérieusement, ils les avaient jamais croisé. C'était marrant, quatre mois dans cet établissement et il savait toujours pas leurs têtes. Ça le faisait rire, au fond. 

« Tu auras sûrement des confidences plus intéressantes que les miennes... » c'est avec un petit sourire en coin qu'il se tourna vers elle, mains sur les genoux, dans le silence presque parfait du jardin désert.
Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeVen 2 Nov - 7:45
Three years ago...
« Les confessions commence »
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« On aura beaucoup de choses à se dire ». Mais bien sur, ma fille qu’elle gourde fait-tu, n’étais-tu pas juré de ne rien raconter à personne sur les derniers événements passer. N’avais-tu pas juré ne rien dire, garder tout dans ta petite cervelle même-ci cela faisait mal, même-ci cela te détruit petit à petit ? Mais… Il faut avouer qu’avec lui ce n’étais pas pareil, le même sentiment de sécurité refaisait surface à chaque fois que tu ouvrais la bouche pour prononcer quelques petits mots, innocente que tu fais, vas-tu tout lui avouer ? Qu’il en soit ainsi de toute les façons tu n’arriveras à lui mentir car pour toi il est un confident, pour toi il est comme les archives de ton cœur, oui ce jeune homme est représente comme un disque dur par ton cœur en fait. Ah le langage de geek est contagieux.

•Revenons à nos moutons… On était tout les deux là, dans le jardin profitant de ses douces retrouvailles juste entre nous. Et dire que pendant un moment j’avais cherché à garder le contact avec lui, mais aucun résultat. J’ai besoin de vider mon sac, j’ai besoin d’avouer mes pêché. Car la mauvaise fille que je suis à fait beaucoup de bêtises et à assisté a beaucoup de scène horrible sans bouger un seul doigt. Oui j’ai fait des erreurs, je devrais peut-être être puni pour tout cela. Est-ce donc pour cela que tout ce qui c’est abattu sur moi durant ses ans longues années à du se produire. Normalement, aucuns être vivants au monde ne devraient subir cela, c’est… Inhumains. Sortant de mes pensés je reportai mon regard sur le jeune Kazuma qui ne semblait plus vouloir parler en fait, il avait l’air de réfléchir. Cherchait-il de quoi pouvoir lancer une discutions ou cherchait-il simplement une façon de rendre ce qui c’était passer pour lui durant ses dernière années plus « beau » ?

« Tu auras sûrement des confidences plus intéressantes que les miennes... » Dit-il un sourire en coin dessiner sur son petit visage innocent. Moi ? Oui j’en ai à raconter même des choses horrible, trop horrible même, comme des choses futiles aussi. Je ne lui raconterai quand même pas le nombre de relations que j’ai eu ou combien de fois j’ai tenté de manipuler une personne, non. Tout cela sera trop ennuyeux pour lui, je pense. En geek qu’il est je ne sais même pas si ce que je lui raconterai attirerai son attention m’enfin bref.

•Dans un silence apaisant, je réfléchis à ce que je pourrais bien dire à Kazuma, toutes ses choses qui me pèsent sur le cœur ses choses que j’aimerais à jamais chasser de mon esprit. Tout d’abord il y avait la perte d’Hoshi ma sœur jumelle, ma moitié. A son retour dans la maison familiale une personne inconnu lui avait foncé dessus et c’est en rentrant que j’appris la nouvelle, se jour ou j’avais fuit Isei pour finalement y revenir. A cette instant précis l’idée du suicide venu tout de suite parler à mon cerveau et je m’exécutai donc sauf que je suicider avec des medoc’ c’est un truc à ne pas faire car quand on vous trouve on vous lave le ventre et c’est ok. Tiens en parlant de ventre, après l’avoir nettoyé on avait découvert un fœtus à l’intérieur, fœtus qui n’avait que quelque semaines à peine et mes parents, eux, n’étant pas près à être « Grands-parents » ne me demandant pas si je volais avorté ils m’envoyèrent sur un table d’opération. Tu parle, la seule chose qui comptait à leurs yeux était leur image. De la haine, oui c’est ce que l’on pouvait lire dans mes yeux puis vin la deuxième tentative de suicide. Un autre conseil quand vous voulez vous mutilez avant de vous pendre évitez de laissez la corde pendre au plafond avant de passer à l’acte. Ils employèrent un psychologue. Mais en fait j’allais bien, c’est juste que je déprimais légèrement. Légèrement, psychologue de merde, tu ne comprends rien, je souffre. J’ai volontairement « fugué » de se pensionnat qui m’avait permis de vivre « mieux », et finalement j’aurais du y rester. Et puis si j’y retourne que dirais-je au père… De toute manière je ne parle jamais de moi à qui conque. Sauf que je ne pensais pas qu’en revenant ici je le croiserai, je ne pensais pas le revoir un jour. Le contact avait été rétablit Kazuma. Sortant de mes pensés, je regardai brièvement Kazuma, m’asseyant sur le banc se trouvant en face de moi, prenant mon souffle, je décidai de passer au temps des confessions.


▬Bon et bien… J’ai tenté de me suicidé, eux fois, chose que personne ne sais, d’ailleurs je ne l’ai même pas mis dans mon dossier. La première cause de mon suicide étant la mort de ma sœur, quand j’avais vu son corps sur le sol à moitié écrasé… Toussant quelque peu en lâchant de petits larmes je continuai de lui raconter tout ce que je voulais évacuer. La deuxième cause de suicide se fut le fait que je me rende compte que j’étais en cloque et que mes parents, sans me demander mon avis, m’avais fait avorté. Après y’a des trucs joyeux aussi, mais désolée de t'infligé le plus grave Kazuma, ça devais sortir…

•Levant mon bras, je le passai brutalement sur mon visage pour faire disparaitre ses larmes insignifiante qui ne cessai de se manifestées.




Invité
Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeVen 2 Nov - 9:17

« Bon et bien… J’ai tenté de me suicidé, deux fois, chose que personne ne sais, d’ailleurs je ne l’ai même pas mis dans mon dossier. » 

L'envergure de la chose tournait déjà à quelque chose de plus intéressant. Kazuma l'observait avec compassion, comme si ces deux tentatives n'étaient que de simples tentatives. Mourir. Dans cette guerre de la vie, il y avait renoncer et mourir, et s'accrocher et survivre. Dans les corridors de la grande bâtisse noire, ce n'était que du liquide rougeâtre qui ornait la porte en bois du petit garçon. Ces moments là, ces moments suicidaires, comme essayer de s'électrocuter,  s'étrangler avec une prise électrique, se jeter du toit... Ça ne faisait qu'empirer les barricades, les inquiétudes. Mais dans son cas, qui s'occupait réellement de ça ? Qui avait porté attention à ce petit asiatique ? Mais personne, non personne. Pourtant il avait fini par se dire que la mort ne voulait pas de lui. Et donc la mort ne veut pas de lui. Et elle n'en voudra pas. Il porta son attention sur l'explication de sa première tentative ... Chouette. 

 « La première cause de mon suicide étant la mort de ma sœur, quand j’avais vu son corps sur le sol à moitié écrasé… » 

Ah. En une seconde, premier record, le Geek s'imagina à 7 ans, en se demandant comment il réagirait si il avait trouvé son faux membre de sa famille morte écrasée. Rien que cette vision flou l'avait fait prendre un regard sérieux. Encore là, deux possibilités : s'accrocher ou abandonner. Addison avait dût choisir d'abandonner. Quelques larmes roulèrent sur sa joue, et Kazuma lui tendit simplement la main. Juste pour dire que pour elle, il était là. Juste pour dire qu'elle, c'était sa confidente. Juste pour lui faire savoir qu'il l'écoutait, et qu'il était pas en train de regarder les mouches voler -si si, il en aurait été capable, je vous assure-. 

« . La deuxième cause de suicide se fut le fait que je me rende compte que j’étais en cloque et que mes parents, sans me demander mon avis, m’avais fait avorté. » 

Là ça avait stagné. Sérieusement, l'expression de Kazuma était devenue un grand vide, ses yeux fixés dans rien. Elle... Mais comment.... Soudain des images défilèrent dans sa tête, retranscrivant son passé, ses souvenirs, son martyre. Elle avait fait l'amour. Elle avait été enceinte. Soudain des idées pas nets se formèrent dans son esprit embué. “ Addi... Tu n'avais pas pensé à moi quand tu as fait ça... ” Involontairement, il se persuadait qu'elle ne l'avait pas voulu. Sauf que la suite le fit définitivement dérailler. Elle avait avorté. Ses parents l'avaient fait avorter... Mais... Sans son avis ? Ça voulait dire qu'elle voulait le bébé ? Dans d'autres circonstances, Kazuma aurait dit «Pauvre bébé... Tout le monde a le droit de vivre. » Sauf que c'était Addi. Il pouvait comprendre, qu'elle aime quelqu'un et que de lui elle fasse un enfant... Mais non. Kazuma en avait trop vu pour croire aux sentiments. Kazuma réglait les problèmes en tapant dessus, que ce soit sur les jeux vidéos qu'en Irl. Sur les jeux vidéos, suffit d'appuyer sur "A" pour défoncer ses adversaires. Dans la vrai vie... Faut Se salir les mains. Un point et on passe à la ligne. Donc ses idées devenaient de plus en plus noires et sordides, se rapprochant sans le vouloir de la vérité... Une vérité pire que ce qu'il pouvait imaginer. 

« Après y’a des trucs joyeux aussi, mais désolée de t'infligé le plus grave Kazuma, ça devais sortir… » 

Il aurait dût la prendre dans ses bras, la réconforter, lui dire qu'il était là pour la protéger, pour qu'elle se confit, pour qu'elle évacue. Mais en face de lui, ce n'était plus l'innocente Addison Hinamorie Stark. C'était quelqu'un d'autre, sûrement. Ça ne pouvait PAS être Addi', sa Addi. 

«... Tu... Tu savais Addi... Alors pourquoi... Pourquoi... Es-tu devenue ... Comme elles...? Comme celles qui ... Addison, dis moi que tu n'es pas devenue comme elles ! » De la peur, de la colère, de l'affolement. Elles... Elles c'était toutes ces femmes, qui s'amusaient à détruire le cœur de Père, et inversement. C'était celles qui trouvaient le plaisir de la chair, succombant aux désirs du corps. C'était les centaines de personnes inconnues qui léchaient le corps de Père. C'était toutes ces femmes, belles ou moches, qui usaient leurs charmes pour une bataille gagnée d'avances pour elles. Elles c'était ... Trop. C'était toutes ces scènes pornographiques, perverses, ce que vous voulez, que Kazuma entendait et voyait jusqu'à ce qu'il se barre. Ce monde d'ermite l'avait affecté toute son enfance, plus que les excès d'alcool de son père, plus que les coups qu'il recevait. Et il y a trois ans, un vendredi vers 13 heures, il lui avait dit, à Hina'. Le Geek la regardait, son regard d'un noir pur, ne laissant échapper aucun sentiments en débordement, le NEET la harcelait presque du regard de lui dire la vérité, pourtant si blessante et vrai... 

« Dis moi que tu n'abuse pas des autres... Que... Tu... Ne fais pas quotidiennement des gens, tes marionnettes pour les jeter ensuite... Hu-Uh... »  

Et on crève le peu d'espoir qui reste, juste pour oublier de s'échapper. Il se leva, regardant enfin la demoiselle de haut, pourtant d'un air si suppliant... comme pour se rassurer de ce qui n'est plus...  
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Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeVen 2 Nov - 15:06
Three years ago...
« I'snt so hard to be happy just loose your worst things. »
Three years ago. Remember ?  Tumblr_mctyfqp4vD1rik6euo1_500


« Non pas se regard, pas encore Kazuma. Ne te remémore pas cela ça te fera souffrir… Qu’ai-je fait, mais qu’ai-je fait j’aurais du éviter d’abordé un tel sujet avec lui. Par don Kazuma, je ne voulais pas te faire te rappeler de tels choses, je ne voulais pas cela. Mon esprit fut comme torturer, je me rappelais de ce jour, c’était la deuxième fois qu’on se parlait je crois bien, et il m’avait raconté cela, cette histoire l’avais mit hors de lui, il était comme fou tout en me racontant son passé, il avait se regard noir, se regard à glacer le sang de toutes personnes.

«... Tu... Tu savais Addi... Alors pourquoi... Pourquoi... Es-tu devenue ... Comme elles...? Comme celles qui ... Addison, dis moi que tu n'es pas devenue comme elles ! » . Joignant mes deux mains sur ma poitrine les serrant, lèvre légèrement mordillé, je ne savais pas quoi lui répondre, je savais bien que je n’étais pas comme ses femmes qui tournaient autours de son père mais je ne savais comment aborder le sujet. J’étais maintenant dans une situation assez déplaisante mais il fallait bien que j’y sorte. Relevant la tête, je le regardais. Il semblait si troublé, doutais-t-il maintenant de moi ? Allais-je perdre la seule personne en qui j’avais une confiance indéniable dans ce bas monde. Je ne peux pas… Je ne veux pas le perdre. « Non je ne suis pas comme « Elles » Kazu… Vraiment. » Je le pensais très fort, si fort que j’en venais à me griffer toute seule, j’avais perdu un peu les pédales en fait en voyant sa réaction.

« Dis-moi que tu n'abuse pas des autres... Que... Tu... Ne fais pas quotidiennement des gens, tes marionnettes pour les jeter ensuite... Hu-Uh... » . Il se leva, me regarde de haut avec un air dans le regard qui laissait à croire qu'il me suppliait. Mon regard, gêné ne le lâchais pas pour autant bien déterminé à lui faire comprendre qu’il se méprenait. Aussi bizarre que ça puisse paraitre Kazu, l’amour existe toujours chez certaines personnes et j’en fais bien sur partis, je ne pourrais chercher un quelconque plaisir charnel chez quelqu’un que je n’aime gère. Je ne suis pas ainsi, je ne me « donne qu’en écoutant mon cœur ». Problème, il ne peut pas lire dans mes pensé et je ne pense pas pouvoir exprimer mes sentiments à cette instant aussi lointain soit-il. Le père… Hmpf, l’ancien roi des Aristocrats, enfin à cette époque il n’était encore qu’un membre normal, tout comme il l’est aujourd’hui. Je me rappel encore de cette nuit ou j’avais complètement perdu mes moyens. Je me rappelle de tout, j’en frissonnerais presque. Néanmoins je me rappelle aussi ce moment ou je du partir… Moment qui ne fut pas si facile que cela en fin de compte. J’aimerais tant que tu sois là pour me soutenir Hosh’… Je ne peux expliquer cette nuit dans les détails à Kazuma alors… comment lui prouver que je n’ai aucuns rapport avec « elles ». Lui répondre avec sincérité ? Ne pas éviter le sujet y aller franchement. Lui révélé le nom du père et mes sentiments à mon égard ? Euh non, ça on peut le rayé j’attendrais le moment opportuns. Tout compte fait, je ne sais même plus m’exprimer. Pff suis-je si pitoyable que cela. Je…

•Me levant, je regardais Kazuma, dans les yeux, essayant de prendre un peu de courage. J’avais une grande envie de le tenir dans mes bras, de lui dire d’oublier son passer et de lui dire « Tiens regarde moi je te fais rien, tout va bien » mais non. Je ne pouvais que lever ma main, la laissant de façon parallèle à sa joue, bloquer, n’osant pas lui faire parcourir un centimètre de plus. Et après avoir remarqué que je semblais plus que ridicule, je baissai ma main, joignais mes mains, collant celles-ci sur ma poitrine et lui répondit sereinement.


▬La Addison que tu à connu est toujours là, Kazuma. Ne t’inquiète pas je ne suis en aucuns cas devenue l’une de ses femmes que tu haïs, je peux te l’assurer car devenir ainsi est une chose qui m’effraie. Je ne fais pas des gens mes marionnettes, je ne cherche pas de contacts charnels avec la première personne venu. Cette nuit là, ou je suis tombé enceinte je cherchais juste à concrétiser mes sentiments envers une personne qui occupe une place importante dans mon cœur.

•Je n’en revenais pas moi-même de ce que je venais de dire, c’en étais hallucinant. Moi entrain de parler d’amour à quelqu’un d’autre, les rôles c’était inversé. Secouant doucement la tête, je l’étreignis de façon amicale venant lui murmurer « Efface ses idées noir de ta tête… » Puis après être resté un petit laps de temps dans cette position, je reculai, l’écoutant à mon tour.





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Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeMar 6 Nov - 10:43


Elle se levait, en regardant jusqu'au fond des iris noires du jeune homme. Qu'espérait-elle, ainsi, en faisant ça ? On dit que les yeux sont le miroir de l'âme ? Mais si on regarde jusqu'au fond, on y voit chez l'asiatique un grande vide plongeant, une galaxie sans étoiles, une marre de pétrole sans fond. Dans ces yeux là, on n'y voit que son morne reflet qui en revient à se regarder soi-même dans les yeux. Effectivement, cela reflétait la vie en noir et blanc, retraçant avec sincérité le regard de l'autre. C'était si troublant pour les gens qui n'avaient pas l'habitude. Parfois certains partaient en courant. Sûrement avaient-ils peur de leur propre reflet. N'est-ce pas le cas de la plupart des monstres de Sei Gakuen ? N'est-ce pas le cas des gens des quartiers mal-famés ? Ridicule. Pourtant si vrai. Elle semblait se donner du courage, comme si elle se trouvait Devant la situation la plus difficile sur Terre. Mais ça ne l'était pas, ça ne faisait qu'empirer l'amertume de Kazuma, l'envie de foutre un poing dans la gueule -excusez du langage- à ce mec, qui avait eut la brillante idée de coucher avec elle. Ce pseudo-père qui serait passé dans les mailles métalliques de l'asiatique. Si il avait pût, là, tout de suite, Kazu' aurait détruit la première personne qui passait. Laquelle ? Peu importe. Fermant le poing jusqu'à ce que ses ongles percent sa chaire, il feignait le vide présent. La réponse de la demoiselle, serait-elle ce qu'il voulait entendre ? 

▬La Addison que tu as connu est toujours là, Kazuma. Ne t’inquiète pas je ne suis en aucun cas devenue l’une de ces femmes que tu haïs, je peux te l’assurer car devenir ainsi est une chose qui m’effraie. Je ne fais pas des gens mes marionnettes, je ne cherche pas de contacts charnels avec la première personne venu. Cette nuit là, ou je suis tombé enceinte je cherchais juste à concrétiser mes sentiments envers une personne qui occupe une place importante dans mon cœur. 

La première phrase pouvait paraître rassurante. Et la paranoïa du Geek n'allait que dans le mauvais sens. Qui était cette personne si importante pour Addi ? La curiosité venait s'y ajouter. Mais le passé... Est le passé. Kazuma ne fermera plus que des portes, et la porte "Vive le collège" est fermée. La nouvelle porte vient de s'ouvrir : "Retrouvailles puis crac."Super. Le "Ne t'inquiète pas" produisait exactement l'effet inverse. S'inquiéter. Ces femmes qu'il haïssait... Non, en faite, les haïr était un bien piètre mot. Pourquoi haïr des gens qu'il ne connaît pas ? C'est femme étaient écœurantes, aussi écœurantes et dégoûtantes que son père, que toutes ces filles qui ne pensent qu'à briser des cœurs. La suite, au Moins c'est dit. Fallait en rire alors... 

« Concrétiser ses sentiments par le sexe... Oh ma chère Addi, que tu es tombée bien bas... » Ça devenait amusant, tiens. Kazuma bouillait, du genre une bombe à retardement qui allait exploser, un truc instable, qui pouvait à tout moment faire crac. Juste écœurant, dégoûtant, macabre. Dégueulasse. Une aversion pas possible s'offrait à perte de vue devant lui. Il y avait d'autres moyens pour concrétiser l'Amour pour quelqu'un. Mais peut-être fallait-il en souffrir pour être satisfait ? Cet Amour propre, cet Amour pur, cet Amour qui unissait deux choses opposées, ça s'effritait, ça mourrait, et c'était déjà enterré. En fait, Kazuma avait des pensées sordides sur ce sentiments mesquin. Des choses sorties tout droit des films d'horreur, des rires de sorcières, des rues sombres de New York. Une place importante dans le cœur des gens, ça existe pour tout le monde... Une pensée vint alors jaillir du labyrinthe psychique du dadet : « Si je n'avais pas ce passé, si je n'étais pas comme eux, elle l'aurait fait avec lui ...? Est-ce que l'amour ne peut marcher que dans un sens ? » Trop bête, rien que la seule pensée de savoir dans son lit une autre personne que sa gameboy le tiraillait. Beurk... 

« Hu-Uh... Le désir simple de prouver ça en faisant ça     , montre bien la fin de tes sentiments. D'ailleurs je suis sur que l'oiseau est reparti aussi vite qu'il est venu. L'amour entre deux êtres, dans ce monde, n'existe plus que par ces pulsions sans égard vers autrui. En fait, pour moi l'Amour n'existe pas. Et le véritable n'existera jamais. Les mariages jusqu'à la mort terminent en divorce, ou en tromperie. Surtout que les gens, vite-fait devenus veufs se concentrent sur quelqu'un d'autre. Les faux-espoirs ont fait plus d'un milliard de cœurs brisés, quelques millions de pendus, et le reste des déprimés. Alors essaie pas de te souvenir de ce que tu m'as dit, hu-Uh... » 

Ce qu'il venait de dire, d'un ton sec et glacial, rompait instantanément les étourderies matinales. Ça ressemblait à une encyclopédie, un prof de philo', un reste de thèse. Une sorte de Wikipédia, ou même d'encyclopédie. Décidément, Kazuma ne penserait jamais qu'aux choses sombres et disgracieuses. Même sur les joies de vivre, il met un terme à tout grâce aux vérités. Trop franc, en fait. Pratiquement égoïste. Mais il n'y pense pas. C'est trop... Trop ça. Perdu dans un monde étrange sans queue ni tête, un monde obscur où la lumière n'est plus, somnole des portes rougeâtres qui s'ouvrent et se ferment au son de la pendule du temps. Ça devait la blesser. Fallait s'excuser. De quoi ? D'avoir parler ? À quoi bon ? Ses cheveux bruns revenaient en arrière avec le vent, laissant sa cicatrice planait lentement sur sa tempe droite. Le jeune homme regarda le sol, avant de parler un peu plus... Amicalement. 

« Hu... Désolée Addi'... Je veux pas te blesser, même si je l'ai déjà fait, en fait... Hu-Uh... »  

Il secoua la tête, avant de reprendre son air froid habituel. La demoiselle l'enlaça. Sa chaleur essayait de réchauffer l'iceberg qu'était l'asiatique Sans nom, pour finalement murmurer des paroles douces... Comme si... Comme au bon vieux temps. Comme la porte close. C'était une amie. Et même si cette personne avait une place importante dans son cœur, jamais oh non jamais il ne pourrait essayer de la toucher comme un objet pervers. Cette demoiselle était son livre à malheurs, à franche tirs, à vérités. Comme un rituel qui reprenait. « Effaces ces idées noires de ta tête... » Pourquoi ? Pourquoi l'avoir dit ? Le processus d'analyse était en marche... Quelles idées noires ? Les jouets ? Et merde, voilà que sa transe reprenait, et pouf il y pensait. Sauf qu'elle s'enleva, sûrement à temps, pour assister à un jet de sang coulant lentement du poing de Kazuma. Ses ongles étaient restés trop longtemps enfoncés. Le supplice n'était pas là. L'asiatique mît seulement sa main dans la poche, pouf rien passé. Non non, rien du tout... Relevant la tête vers la demoiselle, il se remémorait tout ce qui s'était passé ces dernières années... Après un long soupir, il prit la parole. 

« Ces trois années se sont plutôt bien passées pour moi... Enfin... Habituellement. Jusqu'à ce que Grand-père ait eu la bonne idée de m'envoyer ici... Il croyait bien faire, en m'éloignant de Père. Ça fait quelques mois que je suis là... Hu-Uh...  C'est pas trop intéressant ce que j'étais raconter  en fait... Hu-Uh... Un jour y'a un gars qui m'a téléphoné... Il m'a bousillé une partie de jeu vidéo... Et après ça, un Aristotruc est venu faire son petit numéro pour essayer de me recruter, en précisant bien que les gens dans leur groupe se faisaient manipulés par un roi où j'ai pas eu de noms... En tout cas, ce salop croyait pouvoir me mettre dans son camps. Finalement avec ses paroles chiantes, il s'est retrouvé à embrasser le sol. En fait il essayait de mettre un suspens épouvantable en me faisant du chantage pour venir chez eux... Et il croyait pouvoir... Faire comme mon père... Me menaçais, me donnais des ordres, juste pour ses intérêts personnels...  Enfin bon... Je t'avais dis que j'avais rien à raconter... »

Kazuma haussa les épaules, en regardant la demoiselle aux cheveux verts. C'était un miracle ... Il avait parlé. Et c'est qu'avec elle que ça marchait.
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Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeJeu 8 Nov - 8:06
Three years ago...
« La vérité sort de la bouche des gosses? »
Three years ago. Remember ?  CeXq8


« Bon alors nous entions là. Après que j’ai tout avoué à Kazuma, il était devenu comme fou, le pauvre je venais de réveiller ses « anciens démons ». J’avais essayé de le réconforter avec une phrase toute fait, une phrase idiote, une phrase qui ne faisant qu’empiré son état en fait. Peut-être que j’aurais du une deuxième fois m’arrêter à la première partie. J’étais donc devant lui, à le regarder. On pouvait sentir de part son expression qu’il ne faisait que bouillir de l’intérieur. Mais je ne m’attendais pas à ce que quand il ouvre sa bouche pour répondre, il en sorte de tell mots. Ses mots si froid, emplit de haine. Ca avait laissé comme un gros vent, car je n’osais plus parler, pétrifié par ce qu’il venait de dire. Des paroles dur à entendre certes, mais n’est-ce pas l’effet que ça fait quand quelqu’un vous mets la vérité en pleine poire ? Non… Car il était toujours là, à mes coter, il n’était pas partit… Pas encore. Je refuse de me retrouvé encore seule… Je ne veux pas, je refuse. Trop de franchise d’un coup, brr ca faisait un choc. Enfin franchise… Il pourrait bien il y avoir des exceptions. Mais suite à ses phrases, j’avais compris comment Kazuma percevait « l’amour ». Il s’excusa, je le pris dans mes bras, une façon de le réconforté, à ma façon.

•Adressant un sourire au jeune asiatique, je reculais donc, le regardant. Quand j’avais vu du sang couler des poings de l’asiatique, me rapprochant une nouvelle fois de lui, lui tenant le poignet essayant vainement de lui faire desserrer ses poings, je le regardais. Je ne lui en voulais pas du tout, après tout on à chacun une façon de voir les choses très différente. Dans mon regard on pouvait lire de l’inquiétude, suite à la blessure du jeune causé par ses ongles. On pouvait aussi y voir de la joie car je lui avais permis de « vidé son sac ». Mais ce que l’on pouvait le mieux remarqué dans ses yeux était de la tristesse, de l’incertitude. Bien que je comprenne les sentiments de Kazuma, ses paroles m’avait fait un effet, étrange. J’étais une fois encore perdu dans mes pensés. Me perdant dans les « Qui ? » « Pourquoi ? », je me demandais pourquoi le monde mentais ainsi à tout le monde, pourquoi les gens ressentait de tel sentiment si c’est pour au fond, nous mené à notre perte ? Si chaque sentiments n’aboutie au fond à rien, alors pourquoi ressentons nous ses choses qui nous font nous sentir mieux, alors qu’au fond elle nous font plané pour ensuite nous laisser nous écraser violemment sur le sol. Lâchant son poignet, me levant je le regardais, le fixais, je n’arrivais pas à enlever mon regard du sien. Mordillant ma lèvre inférieur je cherchais à canaliser une sorte de colère non justifié. Il mit ses mains dans sa poche puis releva la tête me regardant, il allait enfin me raconter ce qu’il avait fait, et moi je restais là à l’écouter, comme-ci il me racontait un jolie compte.


« Ces trois années se sont plutôt bien passées pour moi... Enfin... Habituellement. Jusqu'à ce que Grand-père ait eu la bonne idée de m'envoyer ici... Il croyait bien faire, en m'éloignant de Père. Ça fait quelques mois que je suis là... Hu-Uh... C'est pas trop intéressant ce que j'étais raconter en fait... Hu-Uh... Un jour y'a un gars qui m'a téléphoné... Il m'a bousillé une partie de jeu vidéo... Et après ça, un Aristotruc est venu faire son petit numéro pour essayer de me recruter, en précisant bien que les gens dans leur groupe se faisaient manipulés par un roi où j'ai pas eu de noms... En tout cas, ce salop croyait pouvoir me mettre dans son camps. Finalement avec ses paroles chiantes, il s'est retrouvé à embrasser le sol. En fait il essayait de mettre un suspens épouvantable en me faisant du chantage pour venir chez eux... Et il croyait pouvoir... Faire comme mon père... Me menaçais, me donnais des ordres, juste pour ses intérêts personnels... Enfin bon... Je t'avais dis que j'avais rien à raconter... »

•Puis il haussa ses épaules, me regardant. Bon au moins il avait parlé c’était une chose bien. Soupirant je lui dis amusé.« Ce que tu a fait durant ses trois ans n’est pas si ennuyeux que ça » . Alors si je résumais bien ce qu’il m’avait dit, son grand-père avait décidé de l’amener ici pour qu’il puisse être en « paix » loin de son père ? Nh… Bien que se soit une grossière erreur de la part de son Grand-père, car ici je ne pense pas que se chère Kazu’ soit plus en paix que chez lui, quoi que. Il était donc ici depuis plusieurs mois maintenant, c’est bizarre je ne l’avais jamais remarqué avant, hmpff, en même temps c’est temps-ci je suis la plus part du temps dans mon dortoir à lire ou à faire autre chose. M’enfin bref. Mais, par contre, il y avait un truc qui me trottait dans la tête, c’était qui ce mec dont Kazuma parlais. Un Aristocrate ? Certes, en même temps savoir qui c’est sera facile vu qu’ils ne sont pas si nombreux que ça en fin de compte. Recruter en faisant du chantage ? Eh bien, c’est Aristocrate était tombé bien bas dit donc. Ricanant, je passais ma main sur mon visage me frottant les yeux.

▬Mais... Cet Aristocrate... Il ne t’a pas dit qui il était ?

Hrp:



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Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeSam 10 Nov - 11:34
« Ce que tu a fait durant ses trois ans n’est pas si ennuyeux que ça » .

Sauf que si, par rapport à ce que j'ai vécu, ça l'est. C'était une vie monotone de Geek déprimé. Je soupirai, en plongeant mon regard dans le sien. Ses yeux verts émeraudes reflétaient les champs de fleurs au printemps, comme un paradis d'été. La demoiselle semblait concentrée sur ce que je venais de lui sortir. C'est vrai, je parle pas beaucoup d'habitude, mais là ... Avec elle c'était différent. J'avais sa confiance totale, et elle avait la mienne. Son sourire me rendait toujours anxieux, perplexe de savoir pourquoi elle souriait. La vie n'était pas un Smile and Peace, sérieux. Mais j'étais satisfait pour elle. La demoiselle était heureuse, donc inconsciemment, je l'étais aussi. Addison était la seule à me faire sortir de cette bulle, ce bouclier que je m'étais forgé, la seule à savoir mes problèmes, ma vie, mes peurs... Je savais les siennes. C'était amplement suffisant. Cette fille était la seule à pouvoir m'approcher sans que je la frappe. Au contraire, on s'échangeait des câlins pour se réconforter. En fait, seul le pensionnat pouvait révéler des choses... Intéressantes. C'est ainsi que je lui répondis, sans grande conviction :

« Hu-uh... Seul ce pensionnat révèle des choses intéressantes... »

Et c'était vrai. Vu que je sais vraiment pas quoi écrire là, Ben... Je vais faire un truc totalement différent. Je vais raconter une comparaison avec leur cas. (Ou pas, la c'est du grand n'importe quoi huhuhu).
[i]Comme l'herbe fraîche sur le sol, dansant au rythme enflammé du vent de mai, où là bas, autrefois, les chevaux broutaient et galopaient en liberté, des mustangs, esprits de l'Ouest de l'Amerique, comme ils aimaient les appelaient, ces chevaux de toutes les couleurs. Comme eux, sur la plaine déserte, j'aurais aimé galoper, courir vers l'horizon, cette belle chose qu'on ne peut pas toucher, là où la Terre et le Ciel se rencontrent, là où les rêves se réalisent. La Souffrance de mes muscles étouffée, je les suivais, heureux de pouvoir enfin être libre. Saviez vous que la curiosité est un vilain défaut ? Et bien, l'un de ces chevaux eut le malheur de venir fouiller les Hommes, ces êtres maléfiques et ignobles que nous sommes. Ils l'enchaînèrent, le faisant traverser les montagnes à la fuite de l'horizon, jusqu'à ce qu'un camps essaie de le dresser. Oh ils y sont tous passés, les salops. Et aucun d'eux n'a réussi à monter ce cheval de feu. Dans un bel élan, l'animal s'enfuit, et il traversa les plaines... Jusqu'à se faire de nouveau attraper, par des Indiens. Craintifs, il s'exaspérait. Décidément, la liberté coutait chère. Ces Indiens étaient nettement plus aimables que les autres humanoïdes, mais l'enfermait tout de même. Des coups de feux. Les anglais. Et c'était reparti pour une fuite. Finalement, il sauva une petite fille... &, pour toute surprise, se fit libérer. : « Tu es un cheval que jamais personne ne pourra monter... Spirit, l'esprit libre des montagnes. »

Chouette, je continue !
Elle ricanait, sûrement ça avait dût être drôle. Fin bon.

▬Mais... Cet Aristocrate... Il ne t’a pas dit qui il était ?

Et bien... Déjà le chantage n'était pas le mot juste, mais pour moi, ça l'était. Tout simplement par ce que ce mec avait voulu que j'obéisse. Il avait interrompu mes parties, et si je répondais pas à ses dires, il s'énervait. Le pauvre, j'aurais dû le laisser. Ce jour là, tout allait bien jusqu'à ce que cet appel mette fin à mes 98 niveau sur mon cher Nokia. Rien que d'y penser, je le détestais. Un gros soupir, et je réfléchissais à sa question. En attendant, mon regard s'était porté sur un oiseau qui volait, librement. La chance, il n'imaginait pas a quel point. Mon regard vide, omniprésent ici, retourna sur les prunelles émeraude de la demoiselle. Je sortis la main de ma poche, essuyant le sang qui restait avec mon autre main. Ça faisait une entaille légère sur ma ligne de vie. Tant pis.

« Le gars au téléphone, non... Hu-uh... L'autre... Oui... Mais je les soupçonne d'être la même personne ! Sauf que je n'en suis pas sûre ... »
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Three years ago. Remember ?  Icon_minitimeLun 19 Nov - 9:59
Three years ago ...
« On fait le plein d'informations ? »
Three years ago. Remember ?  Tumblr_m17memp6pK1qg54vto1_500


» L’instant présent était plus qu’étrange, Kazuma et moi parlions de tout et de rien, des choses importante comme des choses que tout le monde fait au quotidiens. Oui c’était ça le genre de relation que j’entretenais avec ce petit bout d’homme. Des conversations normale à priori. Aujourd’hui ce n’était pas un jour trop important ou on se dosait des choses qui pourrais choquer, enfin … Kazuma c’était calmer, il était redevenu normal et m’avait raconté ce qu’il avait fait pendant ses trois dernières années en me disant aussi ce qu’il avait vécu à son arriver à Sei. On l’avait abordé, et apparemment il n’aimait pas beaucoup cette personne qui avait essayé de le recruter dans le groupe des aristocrates.

• Je le regardais, ne détournant pas le regard du sien. On se fixait dans un silence plus que bizarre sans pour autant être pesant ou autre chose. La question qui me trottait le plus dans la tête à ce moment c’était qui pouvaient être l’aristocrate qui avait essayé de le recruter. Puis un sourire s’afficha sur mes lèvre, en y pensant j’imaginais la scène, Kazuma n’a pas vraiment du être content qu’on l’interrompe en pleins dans son jeu vidéo. Mes pensées se répètent. Je ne pense pas vraiment à des choses spéciale je me contente juste de plonger mon regard dans le sien, les mains liée, celle-ci se trouvant contre mon ventre. Lâchant un grand soupire je ferme les yeux, écoutant donc ce cher Kazuma marmonner quelques mots, assez bref.


« Hu-uh... Seul ce pensionnat révèle des choses intéressantes... »

•Euh… Ouais. Je n’avais pas trop compris cette phrase en fait. Peut-être qu’elle cachait quelque chose ou peut-être qu’il parlait de la guerre. Je ne savais pas trop, car ici il y a un tas de chose à dire, de tas de choses intéressantes. A Sei on peut souvent se retrouver dans des situations plus qu’embarrassantes, des situations qui nous laisse douter de nous même ou des situations qui nous offre une grande satisfaction. Et là, paf on retombe sur ma question qui était bien sur en rapport avec la rencontre du petit gris « agressif ». Il sortit sa main de sa poche y essuyant le sang qui y était à cause de sa blessure faite précédemment avec son autre main.

« Le gars au téléphone, non... Hu-uh... L'autre... Oui... Mais je les soupçonne d'être la même personne ! Sauf que je n'en suis pas sûre ... »

•Résumons un peu la situation, il m’explique que un mec l’a abordé pour le recruter à la demande d’un autre qui lui avait sois disant téléphoner. Euh … Je me demande si un Aristocrate ferais vraiment ça hein, c’est carrément absurde. M’enfin bref. Posant ma main mon front, frottant celui-ci de droite à gauche, soulevant ma frange. Je repensais encore à cette aristocrate me demandant vraiment qui il était, je ne sais même pas pourquoi d’ailleurs, après tout ça ne me regardais pas en fin de compte. Mais une idée me venait en tête en fait, cette façon de jouer avec les autres me rappelais un peu la façon de faire du Natsume en fait. Soupirant, j’arrête de frotter mon front, je m’étire puis je regarde Kazuma, souriant.

▬Ce mec là, il n’aurait pas des cheveux noir et des yeux bleu par tout hasard ?

•Prenant un air pensif, je regardais Kazuma, attendant ça réponse tout en me disant que çi c’était Taito bah je me serais un peu mise à rigoler comme une grosse bouffonne. Car bon il faut avouer que c’est débile comme méthode, avouons-le.



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