L’ombre qui se dessine dans cette petite ruelle sombre n’est autre que notre chère Lilith. La jeune fille aux cheveux roses vient de finir sa petite affaire tranquillement et se remet en route pour le pensionnat. Le corps ensanglanté gisant derrière elle est certes inerte mais pas encore mort, rassurez-vous. Elle l’a laissé avec quelques os brisés, mais sans plus. Pour reprendres cette petite histoire depuis le début, ce mec l’avait abordée alors qu’elle se baladait comme à son habitude dans les ruelles les plus sombres et malfamées de la ville. Mal-éclairées et désertes, les rues avaient permis à la Queen de le tabasser sans que personne ne les voient. Parce qu’elle détestait par-dessus tous les hommes, et encore plus ceux qui l’approchaient avec une seule idée en tête, l’avoir dans leur lit, elle l’avait roué de coups alors qu’il marchait devant elle. Il l’avait supplié, s’était mis à pleurer et avait fini par arrêter et l’insulter de tous les noms possibles et inimaginables. Donc elle lui avait mis ce coup sur la tête, de quoi l’assommer un bon moment. Quelqu’un finirait bien par le retrouver, de toute façon. Il puait l’alcool et la cigarette, ainsi que l’after-shave. Odeur désagréable que Lith haïssait aussi.
Débarrassée de ce poids, la jeune demoiselle se mis en tête de traîner dans un bar avant de terminer sa nuit dans son lit, bien au chaud. Le froid s’infiltrait à travers les tissus de son uniforme et elle rêvait d’un bon verre d’absinthe pour la remettre d’aplomb et évidemment, la réchauffer. Entrant dans un bar au nom imprononçable, elle s’installa sur un tabouret vide et commanda un verre avant de se tourner et de faire une panoramique du lieu. Quelques bourrés somnolant sur leurs tables, des filles prêtes à vendre leurs corps contre quelques misérables billets et des hommes blindés recherchant de la compagnie féminine. Reportant ses prunelles roses sur le comptoir, elle soupire un instant avant de récupérer son verre et le boire d’une traite, réchauffant son corps et redonnant quelques couleurs sur son visage diaphane.
Après d’autres verres, la demoiselle sent que sa limite est arrivée, alors elle quitte d’un bond son siège, se retrouvant à l’extérieur. Il doit être environ deux heures du mat’, personne ne traîne dehors. Il est temps de rentrer au pensionnat, surtout si elle doit escalader la grille d’entrée, il faut qu’elle soit en forme. S’étirant de tout son long, elle calque ses pas au rythme de la musique de son iPod et rejoint le plus vite possible l’établissement. Sautant avec difficulté le portail noir, elle manque de déraper sur le sol à l’atterrissage. Elle rejoint enfin l’entrée du bâtiment et avance les mains en avant, histoire de ne pas se prendre un mur dans la tête. Les élèves sont tous couchés à cette heure de la nuit ou bien erre comme elle en ville, à la recherche de sensations fortes. Esquintée d’avoir dû sauter le portail, elle s’arrête devant le distributeur de boissons et s’affale contre ce dernier. Les lumières sont éteintes, aucuns bruits ne daignent venir perturber le sommeil des élèves. Lith, imbibée d’alcool dans les veines et assez éreintée, reste quelques instants sans bouger près du distributeur quand un bruit la fait sursauter soudainement. Elle ouvre les yeux, baille la bouche grande ouverte et se relève d’un bond. Une silhouette se découpe dans le couloir qui mène au dortoir et la jeune femme reste sur ses gardes. Si c’est un membre du personnel, quelques menaces suffiront. Au pire, un bon passage à tabac les fera taire définitivement. Avec pour unique source de lumière son téléphone portable, elle tend l’oreille et finit par hausser la voix.
« Qui que tu sois, je te conseille de pas rester dans mon chemin. »
Fronçant les sourcils, elle s’attend à ce que la personne fuit en courant. Pour lui donner encore plus envie, elle continue de parler, chuchotant pour ne pas réveiller les autres et rameuter tout l’établissement. Il s’avère que ladite personne est une fille qui lui est inconnue. Mais qu’importe, elle n’a pas envie de se casser la tête avec une étrangère. Si elle est un minimum intelligente, elle saura quoi faire. Sinon, tant pis pour elle.
« Je suis particulièrement en rogne, alors traîne pas près de moi ou je t’arrache les ongles un à un. »
Lith s’adosse de nouveau contre le distributeur et la fixe intensément, comme si de son regard elle pouvait la foudroyer instantanément. Elle déteste les rencontres nocturnes. Et encore plus les filles qui viennent la perturber durant ses moments de solitude intense. Quoiqu’elle soit venue faire ici, elle a intérêt à déguerpir le plus vite possible.
HRP
Comme promis, voilà notre rp ! Si quelque chose te dérange, dis le moi par sms ou mp. ♥
S’il y a une chose que la vie m'a bien apprise c'est qu'il faut toujours se méfier des apparences ou sinon tu n'auras même pus le courage de t'en mordre les doigts que quelqu’un devra le faire pour toi …
La jeune fille cache une partie de son passer, refouler au plus profond de sa tête et de son cœur que personne ne connaît. A vrai dire ses parents ne l'avaient pas jeté que pour son caractère d'ange même si tout cela était lointain pour elle.
À croire qu'il suffit de remplacer les mœurs d'une vie antérieure par des simples pâtisseries, gâteaux, bonbons en tous genres tellement exquis à ma bouche … Il y a toujours une raison à tout, je n’étais pas qu'une grosse gourmande assoiffer de sucre.
La journée n’avait pas trop mal commencé. Je me suis lever comme tous les matins depuis peu pour aller en cours, toujours à moitié dedans à écouter les profs et à moitié dehors à écouter ce que je ne devrais pas. Pour une matinée c’était banal. L'heure du déjeuner se passa aussi comme d'habitude. Toute seul … Depuis mon arriver ici et même avant, je ne me suis pas fait beaucoup d'amis donc je mangeais toute seul comme la veille et celle d’avant et celle d'avant … Ils n’y avaient pas cour cette après-midi l’à, va savoir pourquoi, à près tout je l’ai peut-être inventé moi-même pour que cela m’arrange car même si la journée avait bien commencé, depuis mon réveille, d’un cauchemar, il se passait des choses étranges dans ma tête
Bon … Je suis à moitié folle et a moitié paranoïaque donc qu’il se passe des choses étranges dans ma tête ce n’est pas une chose extraordinaire en soi mais depuis que je suis arrivée ici cela ne c’était jamais reproduit.
Donc cette après-midi-là je me suis mise en tête d’aller faire un tour en ville pour pouvoir visiter les alentours et découvrir quelle sorte des personnes abritait cette ville, car comme toujours je sois curieuse de ce qui me regarde pas et four mon nez partout donc j’étais curieuse de savoir ce que racontait chaque personne, tout le monde a son histoire. Je n’ai pas eu ma dose de commérage pour aujourd’hui alors il faut que j’aille me rassasier. Je suis allé un peu partout, j’ai découvert de magnifique endroit comme les jardins qui sont parsemés de fleur de toutes les couleurs comme des milliards de Paillettes poser délicatement au sol. Je suis aussi allé visiter le zoo, je me suis imaginé à la place de chaque animal qui se trouvait enfermer dans ses cages, comme moi prisonnière de ma propre vie, et de mon passer, présent et surement de mon futur .Je trouve que l’animal à qui je ressemble le plus c’est l’ours, il est gourmand toujours en train de manger, il est féroce mais souvent incompris, il ne fait que se défendre à juste titre. Il est tout doux et tout rond … Enfin bref, je me suis aussi baladé au bord du lac, un endroit paisible et calme où toute âme en peine peut venir se reposer. Une immense étendue d’eau dans laquelle se reflète le soleil, entourer d’arbres dont les fleurs tombent délicatement en rythme avec le vent et créent des nuances de couleurs qui se mélanger à celles du soleil, rose et violet viennent se mélanger aux oranges et jaune pendant que vert et rouge attendent leur tour. La forêt a aussi son charme. Vous imaginez, être entouré de milliers d'arbres dans lequel résident de milliard d’animaux qui vous regardent avec leurs petits yeux apeurer et qui se demandent ce que vous allez faire … ? Imaginez que les milliers d'arbres perdent leur fleur et leur feuille qui dégringole autour de vous dans un vrai tourbillon, comme si elles se suivaient en rythme avec une musique et qu’elle n’avait droit à aucune fausse note. Cela ressemble à la vie, tu suis ton chemin, un chemin choisi ou non, tu suis les autres que tu penses digne, en espérant ne pas les perdre, et tu traces ton chemin sans faire aucune fausse note. Tu te sens comme dans un arc-en-ciel, qui aurait fait l’amour avec des milliards de bouteilles de parfum.
En dernier j’ai décidé d’aller traîner dans les ruelles, comme de par hasard à la nuit tombée. On se croirait un peu dans un film, de vieilles maisons sombres et délabrerait dont la peinture noire s’effrite de plus en plus les unes à côté des autres séparés par des bars, taverne et autres lieux dans ce style tout aussi sinistre. Par terre, on marche sur des pavés, on ne sait pas s'ils sont blancs gris ou noir, la plupart fissurer ou exploser, tout le long des caniveaux on peut trouver de vieilles bouteilles, des mégots de cigarette, de vielle capote à moitié usée que certaine personne ramassait surement pour leur collection personnelle. Tout sa éclairer par d'anciennes lanternes du moyen-âge qui procurait une sensation étrange Plus loin au bous de la rue, il y avait une petite épicerie qui vendait toute sorte de chose mais principalement de l’alcool, sa et de la bouffe.
Je décidais de faire demi-tour mais malheureusement pour moi sur le chemin du retour il m’est venu à l’esprit de lointain souvenir. C’est ruelles sombre et mal éclairez-me rappelait avec froideur mon ancien mode de vie ainsi que mes anciens « amis « si je puis dire. Une période qui ma causée de nombreux problèmes […] Pendant que j’étais dans mais penser, aussi noir qu'elles peuvent l’être, une personne ma choper le bras et ma plaquer contre le mur, sur le coup mes yeux se sont fermé de peur mais quand je lest rouvert j’ai découvert un vielle ivrogne, compétent saoul qui avait décidé de me prendre comme victime de son odeur infecte et de son langage incompréhensible, il marmonnait quelques phrases que je ne comprenais absolument pas. Evidemment j’ai essayé de me débattre mais avec ma force herculéenne ce n’était pas facile. Pendant que je fessais tout pour me débattre ses Salopard essaya de fourrer ses grosses mains salle sous mes vêtements. Je suis resté comme paralysé pendant un moment mais je me suis comme réanimer par la rage, je l’ai poussé avec une telle force qu’il en est tombé par terre…
Je me suis rapproché de lui doucement, il me regardait avec peur et il avait bien raison. Je me suis défoulé sur lui, je lui aie infligé toute ma haine par les coups, je voulais qu’il souffre et qu’il ait peur, je voulais que son cœur explose, qu’il périsse sous les coups, qu’il est tellement mal que ses yeux sortiraient sortirait de ses orbites. J’ai pris tout ce qui me passait par la main pour lui balancer à la figure (pierres, pavés, bouteilles, Chats, chiens …) TOUT y ait passé, je ne pouvais plus m’arrêterez […] Mais au moment où j’ai senti de nombreux regards qui se posèrent sur moi, je me suis calmé peut a peut, je prie une dernière bouteille et lui fracassa sur le crâne, j’ai fait quelques pas en arrière, pour le regarder puis je suis partie en direction de la boutique du fond sans me retourner, je ne savais pas si je l’avais tué ou pas …
Je déteste les hommes qui se croient tout permis, que tout leur appartiennent surtout le corps des femmes, nous ne sommes pas des objets. Les mecs comme sa sont tous des connards de toute manière. Nous sommes largement supérieurs à certain niveau […] Sur la route mes pensées se bousculèrent, j’ai eu si peur que je n’arrivais même pas à pleurer. Arriver devant la boutique, je me suis stoppé, immobile devant je me suis dit qu’il fallait absolument que j’oublie au plus vite. Je me suis décidé à entrer et à aller prendre 3/4 bouteilles qui passer par l’a même si je sais qu’il ne faut pas que je me remette à boire. Apparemment le vendeur était bien trop occupé à baiser si je puis me permettre qu’il en a oublié sa boutique, donc je suis partie les bouteilles à la main, je n’allais pas l’attendre tout de même. Je me suis arrêté en sortant de la boutique.
J’ai continué à marcher doucement puis plus vite et je me suis mise à courir jusqu’au pensionnat. Je continuais, des larmes se sont finalement décidées à sortir de mes yeux […] Enfin arriver devant, j’avais du mal à respirer, e reprit Mo soufflé doucement peut je me suis approché de la grille, je me suis adossé contre elle. Je me décidai enfin à regarder les bouteilles que j’avais choisies. Véridiques, trois vodkas dont une que j’avais finies sur le chemin et une de Malibu je décidai d’ouvrir celle de vodka et de dans une grosse gorger cul sec.
Je me suis retourné pour escalader la grille, avec du mal car je n’étais pas très doué en escalade, et les bouteilles à la main ne facilitaient pas les choses. Après avoir enfin réussi avec un atterrissage forcé je me suis remise à boire la bouteille que j’avais commencée tout en me dirigeant vers le hall A moitie saoul quand j’entendis ceux-ci : -« Qui que tu sois, je te conseille de ne pas rester dans mon chemin » Puis sur le chemin je ré-entendis : -« Je suis particulièrement en rogne, alors traîne pas près de moi où je t’arrache les ongles un à un » Moi à moitié dans les vapes, ne prêtait pas attention à ce que j’entendais et je répondis instinctivement : -« Non, non vous pas tuer moi, je suis gentille,j'ai potion magique » […]
Apparemment les menaces proférées n’avaient eu l’effet escompté. Lith serra les dents de rage et observa de ses prunelles saphir la jeune fille qui se tenait en face d’elle. Idiote. Un peu plus petite, son visage était aussi rond que celui d’un poupon et ses joues avaient une légère teinte rosée. Comme une poupée. Une question subsistait. Etait-elle bourrée ? Pour toute réponse, elle eue une simple phrase complètement dénuée de sens, confirmant ce qu’elle pensait. C’en était trop pour la Queen. Elle s’approcha de la demoiselle pompette et tira sur son col, la soulevant à moitié. Ses yeux perçants scrutaient le faciès au teint de pêche et elle siffla entre ses dents. Le hall était vide et les seuls bruits qu’on pouvait discerner étaient ceux des souris qui grignotaient des restes par terre. Les faibles rayons de la Lune éclairaient les lieux et Lilith répondit sèchement à cette petite idiote qui avait un peu trop abusé de l’alcool.
« C’est pas ta gentillesse qui te sauvera. »
Elle souleva le menton de la demoiselle avec sa main libre et afficha une grimace sur son visage diaphane. Elle détestait vraiment les filles dans son genre. Insouciantes, gentilles, des quasi-miss-parfaites. Depuis combien de temps n’avait-elle pas torturé une fille ? En général elle ne se mêlait guère aux groupes de filles, préférant rester dans sa solitude. Même si elle avait promis de protéger les Amazons, elle ne trainait pas avec. C’est à peine si elle prenait le temps de gérer son groupe. En tant que Queen, elle laissait une grande liberté aux filles constituant le groupe et n’interférait que rarement dans les conflits opposants les sexes. Mais pour ce soir, une idée germait dans sa petite tête de psychopathe. Toujours tenant sa proie, elle continua à parler, chuchotant presque. Qu’il était simple de s’en prendre à plus faible que soi, et surtout, plus naïf.
« Tu pues l’alcool, miss insouciante. Donne-moi cette bouteille avant de faire un coma éthylique. »
Elle aurait pu lui laisser mais l’occasion était trop belle pour la laisser passer. Relâchant la jeune fille joyeuse, elle récupéra la bouteille de ses mains sans attendre de réponse et en bu une gorgée avant d’esquisser un sourire de satisfaction. Elle n’avait jamais été une grande fan de vodka, préférant de loin l’absinthe mais après tout, ça restait de l’alcool et la sensation de planer était la même. Ça montait doucement, parcourait lentement son corps et lui donnait l’impression de rêver. Ses pupilles étaient de plus en plus dilatées. Elle en profita pour sortir une énième clope depuis le début de la soirée et la porta à ses lèvres fines. Avant de l’allumer, elle parla une dernière fois.
« T’en veux une ? » lui demanda Lith en tendant le paquet vers elle. « Mon nom c’est Lilith. Et à partir de maintenant, tu m’appartiens, miss insouciante. »
Ses mots étaient aussi clairs que de l’eau de roche. Sans doute elle ne comprendrait pas le sens de cette phrase, pensant à une blague, mais Lith était plus que sérieuse. Son expression avait complètement changé, elle la regardait droit dans les yeux, le visage impassible. C’était décidé, cette fille serait sa poupée. Une poupée avec laquelle elle pourrait jouer tant qu’elle le veut et évidemment, la briser à la moindre occasion. Même si elle se rebellait, Lilith s’était résolue et rien ne la ferait changer d’avis. C’était comme ça et pas autrement. Elle attendait sagement une réponse, tirant de longues bouffées sur sa cigarette qui se consumait au rythme du temps qui s’écoulait.
HRP
Je sais pas pourquoi ça a tourné comme ça mais bref xD
Je continuais d’avancer maigres les nombreuses menaces, je ne savais pas ce qui m'attendait mais à vrai dire je nie pensait mémé par, j’étais bien trop pompette pour ça. les gouttes de vodka coulaient dans mes veines comme des gouttes de caramel sur un marshmallow, et comme cela fessait un sacré bouillent de temps que je n'avais pas touché à une goutte et n’étais plus vraiment de ce monde. Je volais au-dessus des nuages au pays du muffin à la framboise.
En avançant plus loin je vis une fille qui était dans ce cas l'auteur de ses menaces. De longs cheveux roses comme moi et de grands yeux rose, violet brillant, comme moi aussi, mais il ne semblait plus être parmi nous. Je la trouvais plutôt belle et charismatique à vrai dire. Mais bien trop sous les effets de l'emprise de l'alcool je continuais d'avancer à mats de velours vers elle.
Après être arrivé devant les fusiller qui lui servait de paire d'yeux, je me ms à ne plus touche le sol car elle avait essayé de me soulever mémé si je ne suis pas un pois plume, je la plains […] Elle me fixa, et dit: « Ce n'est pas ta gentillesse qui te sauvera. »
Malgré mon état second j'ai réussi à me demander pour quelle raison au premier abord je serais forcément gentille, c'est vrai quoi, elle ne me connaît même par , et moi non plus d’ailler . Elle ne cessa de chuchoter des mots incompréhensibles . Je ne suis pas conne dans mon état normal mais l'ai je me comportai comme Bob l’éponge et Patrick a au péché a la méduse[...] Ou comme une fillette qui aurait trop mangé de chocolat alors que sa mère lui avait interdit. Toutes les deux minutes des pites gloussement incontrôlable sortent de ma bouche. J’espère que je ne vais pas l’énerver car ce n'est qu'en mémé par mon intention, je vue juste oubliait moi […]
Elle me dit ensuite sur un ton plus fort et plus sérieux: « Tu pues l’alcool, miss insouciante. Donne-moi cette bouteille avant de faire un coma éthylique. » me demandant qu'est-ce que se pouvais bien lui foutre que je tombais ou autres, je la regardais boire ma bouteille que j'avais si soigneusement volée, mais bon, après tout il m'en restait bien assez pour qu'elle puisse finir celle-ci , ce n'est pas sa qui va faire que je vais arrêter Mais sur le coup je rebondit :
« Non, c'est la mienne, c'est ma potion magique pour oublier, je veux oublier … » Trente secondes plus tard je me suis mise à rigoler comme une hyène et j'ai lever mon vas devant ses yeux en criant : « HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAA, il m'en reste encore plein, encore pour oublier, plein … avec un regard très bisard, limite sadique.
Je retouchais soudain terre si l'on peut dire, car elle m'avait lâché pour le ne peu qu'elle avait réussi à me soulever, va savoir pourquoi. Et par la même occasion je commençais à redescendre de mon pays du muffin à la framboise et les souvenir de cet homme me revenais peut à peut. Je revoyais ses mains, son visage, ses yeux complètement vides de tout signe d’intelligemment, ainsi que son odeur d'homme par laver depuis des mois, qui passe toutes ses journées à brio et à ce relu par terre … Cela voulait dire que je n'avais pas assez de potion magique en moi... D'un coup elle se mit à me dire sur un ton plutôt calme : « t’en veux une ? » lui demanda Lilith en tendant le paquet vers elle. « Mon nom c’est Lilith et à partir de maintenant, tu m’appartiens, miss insouciante. »
Tout d'abord pour la proposition de la cigarette , je ne fumais plus et je refusait de mi remettre donc je lui répondit : « non merci » avec un petit sourit Mais pour ce qui est de la suite , à vrai dire je ne comprenais pas vraiment sa phrase, en premier lieu, pourquoi elle disait que je lui appartenais, et dans quel sens … ? Car le pire c'est qu'elle avait l'aire sérieuse ses pupilles caissette ragrandie, et ses yeux s'étaient arrêté de briller, il semblait être revenu sur terre. Mais après tout si elle disait cela dans un sens positive ce n’était pas forcément néfaste pour moi a niveau de mon intégration ici à Sei Mais si ce propos était négatif, je me demandais vraiment ce que je représentais à l'heure d’aujourd’hui à ses yeux.
Je sais pas […] au premier regard j'ai peut-être une tette à claque vu que la première personne que j'ai rencontrée ici a voulu directement me casser la gueule, dessole de la vulgarité . Et maintenant une fille que je connais à peine et que je vine de rencontrer, si on peut appeler cela une rencontra, me prend pour sa poupée, et inconsciente en plus de cela . Alors que moi, je suis parfaitement consciente de ce que je fais en ce moment, fin a moiti certes mais j'ai de bonnes raisons.
Avant de lui répondre, je me suis posé par terre pour ouvrier mon sac, et sorti ma bouteille de Malibu que j’entamai aussi tôt, je ne voulais surtout pas que plus de souvenirs me reviennent. Puis je lui dis : « Mon nom a moi c'est Nausikaa, et laisse-moi boire a ma guise je ne suis pas insouciante et les souvenir me revienne, il faut que j'oublie Lilith […] Je ne comprends strictement rien au sens de ta phrase ( petit sourit sarcastique) Je t’appartiens dans quel sens ? Tu es lesbienne … ? Okey ce n'était pas marrant, bref. Je repris la bouteille où elle m'avait pris aux débuts et lui remit dans la main en lui disant : « tien je te la donne, une bouteille de ma potion magique. » Pendant que moi je vidais la bouteille que j'avais déjà entre les mains, celle que j'avais commencée entamée sous sur son regard froid.
Jeu des frissons qui me traversa le corps, cela voulait sir que je recommandais à retourner à mon pays du muffin à la framboisa et peut-être que je verrais maintenant aussi des muffins au chocolat. À vrai sir je n’étais pas contentement de retourner dans mon monde, je n'avais pas envie de me casser la tette se soir, pour quoique se soit. Je la regardai, sourit et dit : » tu sais que tu serais belle ? non mais c'est vrai je te jure Lilith, et toi non plus tu n'as pas l'aire bien, tu es tout seul ici, et personnellement je trouve que tu ne sens pas le jus de cerises pures, si tu vois ce que je vis dire … toujours avec un sourit aux lèvres j'attendais une nouvelle parole d'elle, espérant qu'elle ne me fasse pas encore atteindre le ciel d'une manière ou d'une autre[...] Je la regardais tire sur sa cigarette, pendant que moi, assise par terre je commandais à ouvrir une autre bouteille. Je regardais à ma droite, à ma gauche, je cherchais l'ancienne bouteille que j'avais également finie .Après l'avoir longuement cherché alors qu'elle n’était qu'à dix centimètres de moi, même pas.
Je me suis lever en direction de la poubelle, avec du mal évidemment et en fessant un parcours de slalomer pour pouvoir enfin jeter ma bouteille vide. Âpres avoir fini cet exploit du jour incroyable et je suis retourné en direction de mon ancienne place, c'est-à-dire par terre à côté de Lilith Âpres avoir repris ma place je levai les yeux pour la regarder, je pensai qu'elle devait vraiment me prendre pour une conne, mais bon je ne suis point responsable de mes rets et geste pour le moment en tout cas. Je suis contrôle par l'alcool et le muffin à la framboise et ceux au chocolat qui se bat contre des pans cakes au caramel fondu[...]
Cette fille ne tenait absolument pas l’alcool. Sa façon de passer du rire au désespoir montrait à quel point son corps ne supportait pas l’alcool sillonner ses veines et remonter jusqu’à son cerveau. Nausikäa, car tel était son prénom, faisait doucement sourire Lilith. Encore une de ces filles qui veulent oublier une certaine expérience traumatisante & s’enferme dans l’alcool et autres substances illicites. Quoi d’autre ? Le sexe, probablement, quoique elle n’ait pas la tête d’une garce comme les Mermaids. C’était amusant de la voir courir dans tous les sens et faire de grands gestes avant de se reposer aux côtés de Lith. Elles étaient seules, en pleine nuit, buvant comme des vieux cons de bar et rêvassant. La jeune femme écrasa son mégot contre le sol et se laissa glisser contre le mur froid, prenant place à côté de sa compagne nocturne, visiblement perdue entre la plénitude & l’insouciance de la jeunesse.
« Tu bois pour oublier ? Mais que veux-tu oublier à ce point pour te mettre dans cet état… »
Lith lui adressa un léger sourire, qui disparut rapidement, remplacé par son habituel visage dénué d’expressions. Le hall était très calme, on entendait uniquement la pluie frapper les carreaux des fenêtres et par moments quelques éclairs déchirer le ciel étoilé. Lith repris la bouteille et en bu une petite gorgée avant de poser sa tête contre le mur, regardant dans le vague, sentant son corps s’alléger & l’alcool parcourir ses membres lentement. Depuis combien de temps était-elle là, avec Nausikäa ? Cela ne semblait ne plus avoir d’importance, elle se sentait étrangement bien, enveloppée par une douce chaleur.
« Je n’ai jamais été bien. Le bonheur est quelque chose que je n’atteindrais jamais… Ou peut-être que je ne le mérite tout simplement pas. Mais toi, tu as l’air si gentille, alors pourquoi dis-tu que tu dois oublier ? Les souvenirs sont quelque chose qu’on ne devrait jamais oublier. Quelqu’un t’a blessée auparavant ? »
Quelque chose clochait avec Lilith. Est-ce dû à l’alcool ingurgité ? Elle n’était pas du genre à blablater avec quiconque alors pourquoi fallait-il que ça se produise maintenant ? Maintenant sa tête contre le mur, ses prunelles rougeâtres se perdaient dans l’horizon du hall. Bizarre qu’elle veuille écouter les confessions d’une personne qu’elle vient de rencontrer & pourtant, elle se sentait étrangement intéressée par cette fille qui se saoulait volontiers pour effacer ses souvenirs. Elle attendait, jouant distraitement avec son paquet de clopes, que Nausikäa réponde à ses questions indiscrètes.
Et c’est au fil de leurs sourires que se noua le premier fil.
Je me tenais toujours contre le mur, auprès de Lith. J'avais réussi à me faire oublier ce que je voulais oublier mais je redescendis vite de mon petit nuage car même dans l’état second que j’étais les souvenirs restais malheureusement nette et précis. Ils faisaient comme des éclaires qui apparaîtraient et disparaissaient dans un flash de terreurs. J’étais auparavant triste , énerver, perturber, chambouler et d'autres adjectifs précis mais je réussissais à garder une lueur de bonne humeur mais c'est comme si celle-ci la voulait s'échapper de mon corps imbibe d'alcool et de larmes sans qu'elles ne puissent sortir.
Je levais la tète en l'air comme pour réfléchir mais à vrai dire je regardais juste les gouttes de pluie tomber sur les fenêtres en désirant vouloir m’échapper de ce cauchemar. Cet évènement était certes traumatisant, personnellement je n'ai jamais été aussi violente, ce n'est pas mon délire de tabasser pour le plaisir, et une chose comme celle-là ne m’était jamais arrivé. Mais c’était aussi une bonne « occasion » pour faire le point avec moi-même et mon entourage. J'ai toujours sur garde la bonne humeur malgré tout, alors certes je n'ai pas eut une enfance merveilleuse mais je sais qu'il y a largement pire alors le smile était toujours sur mes lèvres quels que soient les évènements passer, présents et futurs également.
Aux yeux de tous je ne suis qu'un petite fille sage, naïve et sûrement débile mais bon … Perdue dans mais penser j’entendis soudain Lith me dire : « Tu bois pour oublier . Mais que veux-tu oublier à ce point pour te mettre dans cet état… Ce qui me fils directement replonger dès mes souvenirs. L'effet de l'alcool semblait se dissiper peut à peut mais j'allais remédier à ce problème plus-tard car pour être en états d lui répondre il fallait que j'aie les idées claires même si ce n’était pas gagner. Une boule me serait le ventre et le cœur rien qu'a l'idée de lui en parler. Mais je m demandais tout de même pourquoi elle s’intéressait à moi et à ma vie . Les effets de l'alcool se dissipant je commençais à bayer car mine de rien cela faisait un bye qu'on était là toutes les deux à essayer de comprendre pourquoi d'ailleurs Elle reprit à un moment : « Je n’ai jamais été bien. Le bonheur est quelque chose que je n’atteindrais jamais… Ou peut-être que je ne le mérite tout simplement pas. Mais toi, tu as l’air si gentille, alors pourquoi dis-tu que tu dois oublier ? Les souvenirs sont quelque chose qu’on ne devrait jamais oublier. Quelqu’un t’a blessée auparavant .
Je me demandais pourquoi elle me disait sa à moi . Est-ce cause de l'alcool … ? En tout cas je ne tardais pas à lui dire : « Tout le monde mérite les bonheurs, chaque personne sur terre a le droit d’être heureuse , et toi aussi … Si tu ne crois pas l’être c'est que peut-être tu ne tant rends sûrement pas compte et que tu profites pas assez … Pour la petite histoire , Je viens de tabasser un homme... Limite à mort... Car[...] » Et je me suis stoppé là, car la boule que j'avais au ventre m’empêchait limite de respirer et donc de parler mes yeux suis devenu rouge comme une sucette a la fraise. Et je ne savais de nouveau plus quoi dire …
Je repris sauvagement une bouteille qui passait par là et en rebut plusieurs gorger Et reprit en marmonnant : « de toute manière les mecs de ce genre sont tous des connards sans cerveaux et sans cœur » Puis en criant : « Aller, cul sec , santé ! »
Je me demandait vraiment ce qu'elle pouvait penser de moi, mais pour qu'elle ne croie pas que j'ai commis cet acte juste par amour je lui répondis également : « Je te rassure je n'ai pas tabasser mon ex, ou simplement quelqu’un qui ne m’aimait pas » Puis je me suis tus, et ma bouche ses mises à sourire puis déchanter puis sourire puis déchanter, comme sa à répétition sas raison particulière … Et jasperait malgré tout que Lith deviendrait une de mes amies et qu'un lien finirait par se créer
Elle la prit dans ses bras, doucement. Son corps délicat se pressa lentement contre celui de la jeune fille au sourire triste et elle l’enlaça sans néanmoins la forcer. Le silence avait envahi le hall et on n’entendait plus que le vent soufflant dans les feuilles, des bruissements. Lith se sentait, à sa manière, proche de Nausikaa. Elle comprenait ses sentiments. Car elle aussi, on l’avait blessée au point que maintenant, elle se renfermait dans cette coquille, dressant fièrement un mur autour de son cœur. La jeune Reine resta quelques minutes contre elle, écoutant distraitement les battements de son propre cœur résonner au creux de sa poitrine. Le silence était d’or, ce soir. Se dégageant progressivement, la jeune verte attrapa une des bouteilles et avec un sourire, en bu deux ou trois gorgées cul-sec et reposa sans un bruit la bouteille. La nuit était si belle. Et elle était le témoin silencieux de cette amitié naissante. Reposant sa tête contre le mur, Lith se laissa errer dans ses pensées les plus intimes et finit par se tourner vers sa jeune compagne, murmurant quelques mots, presque effacés par le silence qui régnait en ces lieux.
« Pourquoi est-ce que tu l’as frappé ? »
Peut-être que la question était vaine. Peut-être qu’elle se mêlait de choses qui ne la regardaient pas. Peut-être qu’elle en demandait trop. Peut-être que tout ceci était dû à l’alcool qui sillonnait allégrement ses veines, jouant nerveusement avec son sang, montant rapidement à son cerveau. Peut-être qu’elle planait, tout simplement. Ou peut-être pas. Peut-être que tout ceci n’était que le fruit de son imagination débordante. De sa douleur, de ses angoisses, de sa Peur. Peut-être que Nausikaa l’ignorerait, tout comme on ignore ses sentiments lorsqu’ils nous effraient. Mais cela ne tenait qu’elle. Cette simple petite fille au teint pâle, aux boucles roses bonbon et au sourire triste. Lith laissa un petit soupir s’échapper de sa bouche et fixait un point imaginaire dans le vague. Quelle heure était-il exactement ? Les minutes, les secondes s’écoulaient sans qu’elle ne s’en rende véritablement compte. Elles se ressemblaient et pourtant, étaient si opposées.
« Si tu ne veux pas te confier, je comprendrais. Mais sache que si jamais tu as besoin d’en parler, je suis là. Peu importe l’heure. Je sais qu’on ne se connait pas du tout, mais tu me rappelles quelqu’un qui a beaucoup compté pour moi. Une personne chère à mon cœur qui, malheureusement, n’est plus là. En mémoire de cette personne, je veux être ta confidente secrète… »
Elle marqua une petite pause, reprenant son inspiration et continua, d’une voix plus sérieuse et grave, comme si le temps n’était plus aux rires.
« Mais personne ne devra être au courant. Je suppose que tu as déjà entendu parler de cette fameuse guerre des sexes au sein de Sei. Je suis la... »
Elle marqua de nouveau une pause, presque trop longue, parce que ce qu’elle s’apprêtait à avouer à Nausikaa n’était pas une mince affaire. On lui avait toujours dit et répété de ne pas révéler son statut, mais Litn n’en faisait qu’à sa tête, comme toujours.
« Queen des Amazons.. Et donc théoriquement l’ennemi de tout le monde. Ma réputation me précède, mais tu seras mon exception. Ma petite protégée parce que tu lui ressembles. Tu es aussi vulnérable qu’elle, même si tu le nies. »
La Queen lui fit offrande de son plus beau sourire, un qui était unique et sincère. Puis elle inscrivit sur un morceau de papier vierge son numéro de téléphone, le fourrant dans la poche de Nausikaa.
Je me suis d'un coup senti comme réchauffer, apaiser, rassurer comme pour ainsi dire , en sécurité sans pour autant savoir ce qui se passait. J’ouvris d'un coup les yeux et je vis une chevelure verte pomme magnifique. Je vis les yeux, fermer de Lith, comme si elle se concentrait sur une chose précisément pour ne plus penser à autre chose. Je fis de même , j'ai fermé les yeux très forts et j'ai savouré l’instant présent.
Dehors, la pluie qui ruisselait doucement sur les vitres du hall, faisait office de mélodie sereine comme si elle accompagnait nos moindres fait et gestes. Une nuit calme, sans le moindre bruit, rien ne pourrait casser ce merveilleux silence, qui est comme une guérison pour elle et moi. Les étoiles qui scintillaient dans le ciel étaient comme des lueurs d'espoir, comme si toute la terre entière était avec nous, mais qu'aucun sons ne sortait de leur bouche pour ne pas briser ce silence de cristal.
Pendant que j’écoutais mon cœur battre, je vis Lith boire une ou deux gorgées discrètement pendant que l'on s'éloignait peu à peu. Je fis la même chose, mais plus pour les mêmes raisons cette fois , juste comme ça. Pendant que j'oubliais peu à peu pourquoi des cernes noirs de mascara c’était former autour de mes grands yeux , j’entendis lith me demander :
« Pourquoi est-ce que tu l’as frappé ? »
Cette question m'a fait comme un gros boum dans mon cœur, mais étant un peu calmé, j'allais lui répondre, mais il fallait que je me retrouve et que je cherchais les mots exacts. Sachant que je ne suis pas une fille à rester à me lamenter en permanence , je suis plutôt de celles qui se cachent derrière un sourire, peut-être faux mais réel pour les personnes qui le regardent . Je fixai Lith, comme pour essayer de la déchiffrer, je vis d'un côté, un regard plein de tristesse, des souvenirs abondants qui ne demandent cas s’échapper, une fille perdue par sa propre vie, engloutie par le personnage qu'elle s'ordonne d’être, je vis dans ces yeux une petite fille qui ne demande qu'à sortir...
Mais d'un autre côté je vis une fille parfaite, belle, gentille, pleine d’espoir et de vie, une personne qui sait ce qu'elle veut et pourquoi elle le veut mais une personne qui a été blesser par le passer et qui à partir de ce moment l'a, qui a perdu fois en l’humanité... Complètement perdue dans mes pensées j'en 'ai oublier la question de lith, je n'ai pas eut le temps de répondre qu'elle me dit : « Si tu ne veux pas te confier, je comprendrais. Mais sache que si jamais tu as besoin d’en parler, je suis là. Peu importe l’heure. Je sais qu’on ne se connaît pas du tout, mais tu me rappelles quelqu’un qui a beaucoup compté pour moi. Une personne chère à mon cœur qui, malheureusement, n’est plus là. En mémoire de cette personne, je veux être ta confidente secrète… »
Je n'est a peine eut le temps de lui demander : « Qui était donc cette personne si chère a t'es yeux que tu retrouves en moi ? » Qu'elle se remit à dire : « Mais personne ne devra être au courant. Je suppose que tu as déjà entendu parler de cette fameuse guerre des sexes au sein de Sei. Je suis la... »
Puis plus rien pendant quelques secondes, des secondes interminables car elle avait quelque chose à me dire qui ne voulait pas sortir de sa bouche. Je me demandais ce qu'elle pouvait bien vouloir me dire d'aussi important a moi, à une fille qu'on dit stupide mais à la fois innocente et gentille. Puis plus de silence : « Queen des Amazons... Et donc théoriquement l’ennemi de tout le monde. Ma réputation me précède, mais tu seras mon exception. Ma petite protégée parce que tu lui ressembles. Tu es aussi vulnérable qu’elle, même si tu le nies. »
Tout se mélangeait dans ma tête, je ne comprenais pas encore l'importance de son aveu mais je savais que je devais ne le dire à personne, comme elle me l'avait dit. Elle me reparla également d'elle, de celle à qui je lus fait penser. Et je savais que maintenant et pour longtemps j'allais pouvoir compter sur une personne, sur elle. À partir de cette nuit-là, je m’étais fait une amie, une confidente qui m'avais glissé discrètement un bout de papier avec un numéro , sûrement e sien dans ma poche. Elle m'a donné un sourit, qui venait de son cœur je pense, une belle image, un beau tableau qui vaut de l'or.
Il fallait que je réponde à toutes ces paroles, alors je repris :
«Je ne l'ai pas tapé, je l'ai massacré, ses peut-être durs a croire certes... Cet homme, que dige cet homme, cet ivrogne ignoble et dénuer de tout signe d'humanité à voulut abuser de moi […] Je passe les détails car ça n'en vaut pas la peine, je revois encore son regard vide, tel un trou noir et je sens encore son horrible odeur, un mélange d'alcool, de crasse, de cigarette et sûrement autre substance. Bref ... Je te remercie de ta présence de et de ne pas m'avoir laissé seul, je serais moi aussi ton amie, comme ta confidente, ton journal intime , ton épaule, ou simplement une personne là pour me taire et t’écouter, en bref je suis là pour toi. Et sache qu'avec moi ton secret sera bien garde, même si je comprends pas encore pourquoi il est si important, il sera à jamais enfoui dans ma tête, et je ne préfère pas demander sa signification, je le découvrirais par moi-même le moment venue. Par contre , j'aimerais savoir , a qui ai-je l'honneur de ressembler , qui était cette personne si chère a ton cœur qui a fait que en cet instant je te fasse penser a elle … ? Si ce n'est pas indiscret tu n’est pas obliger de me répondre …
Mais n'oublie pas que je suis la aussi pour toi ... »
LE SILENCE EST D'OR MAIS LA PAROLE EST TOUT AUSSI PRÉCIEUSE , EN CETTE NUIT EST NÉE UNE AMITIÉ , QUI VA ÉCLORE LE MOMENT VENUE COMME UNE ROSE UN SOIR D’ÉTÉ
Même si notre rencontre était un accident, Je peux y sentir une signification spéciale
« Elle s’appelait Reira. Elle était plus âgée que moi, beaucoup plus. Elle avait vingt-deux ans quand elle m’a récupérée devant sa porte, alors que je n’étais qu’un nourrisson venant de naître. Elle me disait souvent que j’étais envoyée par un Ange, parce que grâce à mon arrivée elle a pu se libérer des chaînes qui l’entravaient, à savoir son mari. Ce que je trouve bizarre parce qu’elle m’a donné le nom d’un Démon, mais je crois que c’était juste pour effrayer son mari, Shin. Je ne l’ai pas connu lui, mais je sais qu’il la maintenant en cage et contrôlait sa vie. Elle me l’a toujours caché mais je l’ai su avec le temps. Mais Reira était seulement forte en apparence, en vérité elle était très faible… Je n’ai pas pu la protéger et elle est morte à l’âge de 37 ans. Celle que je considérais comme ma mère est partie… Et pour ça, je m’en voudrais toujours. Je ne veux pas que ça recommence, plus jamais. »
Elle parlait à voix basse, comme de peur que quelqu’un d’autre entende ce qu’elle venait de dire. Un de ses plus lourds regrets. La pluie continuait de tomber de plus en fort, frappant les carreaux avec violence. Les effets de l’alcool commençaient à s’estomper légèrement et elle reprenait ses esprits lentement. Lith se sentait étrangement bien près de Nausikaa, peut-être parce qu’elle avait pu se confier sans peur de voir ses secrets exposés à la vue de tous. Elle ne s’était jamais sentie aussi proche de quelqu’un depuis Akira. Elle sentait au fond de son cœur qu’elle pouvait lui accorder une confiance aveugle, rien qu’en le regardant droit dans les yeux. Elle la savait fiable, malgré le fait qu’elles ne se connaissaient que depuis une ou deux heures, voire plus, peu importe en fait. Suivant les traits fins de son visage avec patience, la jeune Queen esquissa de nouveau un sourire sincère, prenant la main de sa nouvelle amie au creux de la sienne. Chaude et douce. Les réminiscences du passé firent irruption dans sa tête, comme des flash-backs prompts. Les douces années passées auprès de Reira, quand elle était encore cette adolescente turbulente et pourtant si proche de celle qui était sa mère adoptive. L’arrivée de son père, cet homme antipathique et froid qui lui promettait bien trop souvent de s’occuper d’elle, en vain. La rencontre avec Akira… Tout se mélangeait et elle décida simplement de penser à autre chose. Ce n’était pas le moment de replonger dans les souvenirs. Nausikaa avait eu affaire à un violeur, semblerait-il. Comment une si petite fille avait pu venir à bout d’un homme faisant sûrement deux fois sa taille ? L’adrénaline ? L’envie de vivre ? Lilith ouvrit une dernière fois la bouche et murmura dans un souffle.
« Tu l’as tué ? »
Coïncidence ou non, un éclair éclaira le hall brusquement, et la tension était tout à coup palpable. Lith avait chaud, malgré la tempête qui se jouait dehors et le vent qui soufflait à en déraciner les arbres. Ses yeux vermillon scrutaient intensément Nausikaa, comme si le fait de la regarder lui permettait de la déchiffrer entièrement. Lith n’était pas dupe, elle savait que la jeune fille cachait encore de nombreux secrets, tout comme elle. Mais avec le temps et un peu d’envie, elles finiraient par devenir de bonnes amies, plus encore, des confidentes. Mais pour le moment, elle voulait juste savoir à quel point Nausikaa était violente. Si elle ressentait une telle animosité pour les hommes, elle pourrait largement intégrer les Amazons. De toute façon, les autres filles n’avaient rien à dire et préféraient ne pas contredire la Queen. Profitant du silence qui s’instaura peu à peu, Lith attrapa une dernière bouteille pour en boire le contenu, non pas pour se bourrer mais simplement pour se désaltérer un peu. Elle tendit la bouteille à sa nouvelle amie, avec en prime un léger sourire.
HRP
Première fois que je réponds si vite à un RP *fière* J'espère que ça te convient <3
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Lun 12 Nov - 4:15
