Sei Gakuen
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Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo]

Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeJeu 22 Nov - 0:35

WHO CARES


Shizue&Tetsuo

Can you hear me now ?

Tous mes rêves flottent,
je balaye la poussière d'étoile avec ma plume.


17:37

Une salle vide, quatre murs, une jeune fille, un instrument et une mélodie.
Si ce n’était pas hier, pourquoi pas aujourd’hui. Si ce n’est pas aujourd’hui, pourquoi pas demain. Si ce n’est pas demain, pourquoi pas un autre jour. Un autre jour prodigue à la musique, aux souvenirs, à l’espérance et en la ferveur de croire en un lendemain qui aura un sens. Même si une personne hante mes pensées nuits et jours, en un incessant bruit de fond qui finira par me briser les tympans, je crois en la capacité de changement, d’évolution. Même si beaucoup de personnes me croient sans cœur, démunie de sentiments proprement humain, je crois en la force d’acception. Je ne parle plus d’abandon, si ce n’est mon abandon de la tristesse. Je ne parle plus de mal-être, mais d’un nouveau souffle qui m’emplit les poumons à chaque inspiration. Tous ces sentiments malsains, mais pourtant bien réels, je les ai mis de côté. Je ne me suis pas résignée à la brutalité de la réalité ; j’ai tout simplement compris que me battre contre une chose dont je ne pouvais lutter était inutile. Gaspiller son souffle, son énergie, je n’en veux plus. La pitié ressort généralement du comique, alors pourquoi est-ce que vous ne riez pas de moi ? J’arrive pourtant à rire de moi-même.

Mes pensées s’égarent, un sourire se forme sur mes lèvres. Ne vous est-il jamais arrivé de perdre vos clés ? Pour la plupart, de ne plus jamais les retrouver ? Les objets se perdent, tout comme les personnes. Quand je repense à la personne perdue, ce sourire toujours sur mes lèvres, le regard lointain, ce n’est pas la nostalgie qui l’envahit. Il en est de même pour le regret. Les yeux pétilles, le cœur s’agite et se réchauffe, une sensation de bien-être prend possession du corps à pas de velours, en une douce caresse de tendresse. Tout s’envole, les souvenirs autrefois définis comme assassins sont ceux qui nous pansent le cœur et l’on ne ressent plus rien qu’une vague d’amour envers l’être qui s’est égaré en chemin. L’acceptation. Lorsque l’on entre dans cet état d’esprit, le regard peut à nouveau se tourner vers l’avenir. La vie est parsemée de changements qui peuvent effrayer. Tout laisser pour reconstruire quelque chose de nouveau. Les changements me terrorisaient, il n’y a pas si longtemps, puis j’ai compris quelque chose d’important : où que l’on aille, nous ne sommes jamais seuls, ces personnes qui nous sont si chères, nous les emportons avec nous, dans notre cœur.

Tout ça, je ne saurais l’exprimer tout haut, par ma simple voix, il n’y a que mon cœur qui en soit capable. Alors joue, mon violon. S’il n’y a que toi, sur cette foutue terre, qui soit capable d’exprimer la sincérité de mes sentiments les plus enfouis, joue. Joue à jamais. Que ta mélodie porte le message que j’essaye tant de transmettre, mais qui pourtant échoue à chaque tentative. S’il n’y a que toi qui puisse communiquer comme je ne serais jamais capable de le faire, fait en sorte que tout le monde puisse te comprendre ; que tout le monde parle le même langage. Je ne te demande pas grand-chose tout en reposant autant d’espoirs sur toi. Que toutes tes notes remontent dans ces hauts-ciels, qu’elles aillent chatouiller le plus beau des sommeils et qu’elles apaisent les âmes tourmentées de mille rêves plus doux les uns que les autres. Ainsi, tu me donneras l’impression d’exister, de ne jamais me sentir aussi vivante. Ainsi, je pourrais partir l’esprit soulagé, libérée de ces tortures profilées, libérée de ma conscience. Ainsi, peut-être que j’arriverai à me tourner vers les personnes qui m’entourent sans en contre partie me retrouver un jour ou l’autre à fuir et à blasphémer les liens qui ont eu le malheur de se tisser. Libère-moi de ma prison dorée, oh violon. Ou donne-moi juste une illusion.

Ecorcher mes ailes, envole-moi.

Y croire rien qu’une seule seconde, je ne demande que ça. Je n’espère que ça, avoir en confiance en toi. Alors, je continue de jouer. Il n’y a que moi dans cette salle, personne d’autre ne pourra entendre ta mélodie, personne d’autre ne me comprendra. Mais je persiste tout de même à jouer. Depuis combien de temps déjà suis-je ici ? Depuis combien de temps déjà n’ai-je pas quitté mon instrument ? Je ne compte plus les heures, alors que le monde, lui, continue de tourner, sans me demander mon avis. Le soleil a eu le temps de faiblir, le ciel de pâlir en une teinte de couleurs chaleureuses. Si la beauté de ce moment n’est que l’osmose du musicien et de son instrument, écarté du temps qui passe, est la seule chose que tu as à m’offrir, je l’accepte. Laisse-moi remonter les secondes, que je rejoue cet air. Mes doigts s’engourdissent. Mon cou devient douloureux, l’archet faiblit. Serait-ce déjà la fin ? Pourquoi suis-je toujours seule ? Pourquoi est-ce que sans musique je me sens si démunie de sens ? Debout au milieu d’une salle, partagée entre mon cœur et ma conscience, il ne reste plus rien, mis-à-part la lourdeur du silence qui venait à s’installer. Quand la musique prend fin, il ne reste plus rien qu’un vide béant, qui à chaque fois je peine encore plus à combler. Je laisse mon regard divaguer sur des chaises environnantes, sur d’autres instruments. Et si je recommençais à jouer ? Non, pas pour n’être que plus assaillie par le silence meurtrier qui s’en suivra.

Ce moment de partage, où j’ai senti tout mon corps vibrer à travers mes doigts est terminé. Il recommencera un autre jour, pour s’achever une nouvelle fois. Cette fois, je me résigne pour de vrai. Je tourne les talons, archet et violon à la main, je tourne la tête et toute la scène prend son sens. Je n’étais seule qu’à regarder dans mon coin. Pas une seule fois je n’avais songé à dévier mon regard. Comment puis-je guetter une entrée si je ne fais pas face à la porte ? Serait-ce une façon de refuser tout contact humain ? Ou encore une autre manière de se protéger… Peu importe. Le-fait-est que moi, qui me croyais isolée, je ne l’étais pas. Depuis quand ma musique avait-elle d’autres oreilles pour l’entendre que les miennes ? Depuis quand suis-je dans cette solitude erronée ? Quelle ironie du sort, moi qui parlais de passer un message, mais qui ne trouvais aucun récepteur, je m’étais fourvoyée sur toute la ligne.

Le problème, c’est que je ne regarde pas assez loin.
Oui, je veux juste transmettre un message : la réalité n’est pas toujours telle que vous le croyez.
Et toi, qu’entends-tu, dans ma musique ?

Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:46


Si j'ai bien compris, vous avez pas tout suivi et il faut que je fasse un résumé c'est ça ? Bon si c'est comme ça, pour vous, grand fan de notre Tetsuo, je me permet de faire un résumé des événements passé ultérieurement. Pour que vous puissiez comprendre le pourquoi du comment, de la situation. Ce n'est pas des plus compliqué, mais je préfère toujours ne pas mettre d'ambiguïté dans ses actes. Il était, encore une fois je dois l'avouer, dans ses pensés, casque sur les oreilles, se laissant porter par ses jambes où bon leur semblait. Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas fait, du travail à rendre par moment, des rencontres quelques peu dangereuses à d'autres. À chaque qu'il essayait de refaire cet exercice, il avait le malheur de toujours se trouver dans une situation qui n'était pas de son désir. Pourtant, cette fois, il avait commençait sa déambulation fantomatique, parce que à ce niveau de perte de conscience totale, il devenait un fantôme, il évitait à peine les gens. Pour l'instant, aucune perturbation, cela faisait tout de même vingt minutes qu'il tournait dans les bâtiment. Un véritable record, je dois vous l'avouer, pour le mois. Certes auparavant il le faisait tout les jours, au minimum trente minutes, mais à chaque circonstances sa gloire. Le léger sourire à ses lèvres suffisait amplement à toute personne le connaissant pour savoir qu'il appréciait le moment comme si on venait de lui offrir le plus beau cadeau qui soit. Parfois je me demande si ce n'est pas réellement le cas !

Enfin, ses pas se perdre dans les couloirs, les élèves se retirent de plus en plus, l'écho de ses chaussures se fait entendre. Il n'a plus envie d'entendre ce bruit, mais par principe,il vérifie que c'est bien lui. Il enlève donc son casque, marche encore un peu, s'arrête. Plus de bruit, une seule musique, lointaine. Il regarde les alentours, comme très souvent, il se retrouve dans cette partie du bâtiment où peu de personne vont. Au niveau des clubs, de la salle de musique et de la bibliothèque. Pourtant, c'est la première fois qu'il entendait ce doux son. Un petit doute à l'air de s'installer en lui. Peut être une hésitation sur l'instrument précis, ou bien sur la musique qui était jouée. Dans tout les cas, son attitude est à la curiosité, certains d'entre vous me diront évidemment, je ne peux que être d'accord avec vous. En cas de musique, il suit ses oreilles et seulement ses oreilles, pas d'autre solution, il s'avança vers la salle d'où venait la mélodie. Malheureusement pour lui, cette salle est insonorisée, il se retrouve donc devant la porte, mais ne peut s'asseoir à côté pour écouter. Soit dit en passant, il le faisait avant lorsque les gens n'avaient pas de salle de musique et devaient jouer dans les salles de cours, non insonorisées. Très peu d'altération, il n'était pas vu, et il jouissait du calme du couloir des heures tardives. Maintenant, avec cette salle, il ne pouvait plus être aussi discret que d'habitude. Deux solutions se présentaient à lui, ouvrir, rentrer et au risque de se faire voir et entendre, se faire repérer. Donc que les personnes râlent, arrêtent de jouer, ou autres choses dont je n'ai pas tellement idée. Ou, sinon, il pouvait rester là, en écoutant, en partie la musique, altéré par l'insonorisation, mais rester discret et être sûr que la musique continue. Un dilemme sans nom

C'est pourquoi, vous le voyez, devant cette porte, en train d'hésiter. Enfin, je pense qu'il a ces deux solutions, je n'en suis pas sûre, comment l'être avec lui ? Si ça se trouve il se demande juste si il n'y a pas des toilettes de l'autre côté … Toujours est-il que maintenant, vous comprenez pourquoi il est devant cette porte, stoïque, sans bouger. En plus si ça se trouve il hésite aussi à continuer la balade qu'il avait commencé. Enfin, nous allons pas non plus faire une discussion sur ce que pense le petit bonhomme, sinon nous sommes pas sorti ! Je ne pourrais pas suivre ce qu'il fait. D'ailleurs, quand on parle d'action, il rentre dedans ! Attention, un mouvement brusque et inespéré, mais quelle actions mesdames et messieurs !! Olalala, oui, il vient de poser sa main sur la poignée ! Quoi ? J'ai l'air folle ? Rho mais vous vous arrêtez à si peu de chose ? Du coup, je disais, qu'en effet il c'est décidé à rentrer dans la salle. Enfin ! Il ouvre un peu la porte, j'en profite pour qu'un de mes petits engins rentrent, une seule personne, au fond, dans le coin, qui regardent … le coin … Elle est pas louche celle-là non plus … Bon on s'en fout pour l'instant, du coup, il ouvre un peu plus la porte, doucement, vérifiant qu'elle ne grince pas. Il passe son corps le plus vite possible et va se poser sur un des bancs au fond à côté d'un mur. Doucement, là encore, il enlève son casque, s'allonge, et le pose sur son ventre, met ses mains derrière la tête, tel un oreiller, ferme les yeux. Il s'endort. Ou s'envole avec la musique, ou alors voyage. Enfin en tout cas il est plus totalement dans le monde des vivants. Elle est belle, envoûtante, d'une part triste, mais avec un tel espoir et réconfort. Je me demande qui a bien pu la composer. Je n'avais jamais entendu cette musique auparavant et si c'est un grand compositeur qui l'a écrite, je ne vois pas pourquoi elle est inconnue. Je me met bien au fond de mon siège, j'écoute, je ne vois plus le temps passer.

Elle s'arrête, j'ouvre les yeux. J'hésite entre une éternité et quelques secondes. Je ne sais pas quel laps de temps cela a duré, mais c'est trop court. Le jeune homme n'a pas bougé. La jeune fille, parce que si j'en crois bien mes yeux, c'en est une, ne joue plus. En revanche, elle a toujours son instrument dans les mains. J'espère qu'elle va continuer. Peut être se demande-t-elle ce qu'elle va jouer maintenant, ou bien c'est la fin ? Arriver aussi tard dans sa musique et un désastre. Pour l'instant, je suis la seule à avoir ouvert les yeux, Tetsuo est encore là, les yeux fermés, au loin. Il attend, enfin je pense. Mais cela ne viendra peut être pas. Elle se retourne, je pense que c'est définitif, plus de musique. Il y pense enfin. Il ouvre les yeux. Je ne sais pas si il avait même regardé qui pouvait jouer. Il découvre la personne en même temps que la personne le découvre. Elle a l'air un peu … surprise je dirais, lui, un peu … déçu ? Plus de musique, fini, stop, il écoutera sûrement pas sa musique dans son casque, comme à chaque fois qu'il écoutait au porte. Peu importe, il se retrouve dans un des moments qu'il aime pas tellement, en face des musiciens, sans qu'il soit autorisé. Il voyait, chaque musique comme la propriété des musiciens et s'il ne voulait pas la partager c'était leur choix.

- heuuuu … je suis désolé, la porte était ouverte, enfin, pas à clef, et … il y avait pas de panneau d'interdiction. Et puis, la musique était belle, je l'entendais pas bien … Scuze-moi si tu voulais pas que je l'entende. » Il s'était redressé, son casque dans les mains, au milieu du ventre. J'avais l'impression qu'il avait fait une des plus grosse connerie. Je ne l'avais quasiment vu comme ça. Alors que … parfois, il aurait réellement pu ! Enfin de mon point de vue. « Je … excuse-moi, je vais te laisser tranquille, enfin si tu m'en veux pas trop. » … Bon là, il faut qu'il redevienne un peu lui-même, et comme à son habitude, il ne perd pas le nord. « Mais … ça te dérange pas si je reviens quand tu joues ? Si tu peux même me prévenir … » Et voilà … c'est bien lui !


Spoiler:


Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeLun 26 Nov - 10:23

JUST PERFECT


Stay Here

Les problèmes du monde,
me paraissent petits quand je les vois depuis la lune.



Il y avait là, une âme qui vivait. Qui avait entendu ma musique. Qui avait apprécié ma mélodie, sinon pourquoi ce garçon serait-il là ? Couché sur un banc ? Manifestement, il ne montrait aucun signe qui témoignait de son envie de s‘en aller, j’en déduisais donc que la douceur des notes de mon violon l’avait atteinte. Du moins je l’espère, que ce soit réellement pour cette raison qu’il soit resté ici. Vraiment. Un amoureux de la musique ? Une âme perdue qui ne savait pas où aller ? Pour l’instant je ne pouvais tirer aucune conclusion. Mis-à-part le fait que l’on ne se retrouve vraiment seul que quand ce n’est que nous-mêmes qui ne voulons pas de compagnie. Si je ne m’étais pas retournée, jamais je ne l’aurais aperçu et peut-être même serait-il parti sans que je ne m’en rende compte. Un peu comme il était venu, dans un le plus grand des silences.

Je ne savais trop quoi faire, ni trop quoi dire, à-vrai-dire, à aucun moment je n’avais songé à me retrouver dans cette situation. Cette aire du bâtiment n’est que très peu fréquentée. Encore une donnée contradictoire, soit dit en passant. Moi, vouloir passer un message ? Et où ça ? Dans un lieu où il n’y a quasiment personne. Suivez donc ma logique, moi personnellement je n’y comprends absolument rien. Enfin bref, tout ça pour dire que je suis un allien. Bien que mon regard restait rivé sur ce curieux personnage, je semblais ne pas le voir. Un peu comme s’il était transparent, tellement j’étais aspirée par le tourbillon de mes pensées. Quand une voix retentie. Où étais-je déjà ? Ha oui, dans une salle de musique, à dédier le son de mon violon à l’être que j’ai perdu. Il y avait donc là un garçon qui avait écouté ce que j’avais à raconter. La musique s’était arrêtée. Je m’étais retournée. Il n’avait pas tout de suite réalisé que la musique qui avait alors retentie n’était plus. Je l’avais fixé, songeuse. Il me sortit de mes pensées. Il s’excusa, pour diverses raisons. Je l’écouta. Il se redressa. Un casque de musique ? Serait-ce une autre indication sur ce qu’il aime ou suis-je encore en train de divaguer ?… Il s’excuse encore une fois. Il n’y a pourtant pas de raison, je ne lui en veux pas.

Au contraire. Il avait donné vie au sens premier de ma venue ici. Si j’allais lui dire ? Je ne pense pas. Ou bien j’allais minimiser les choses. Je ne voulais pas lui donner l’impression d’être juste tombé au bon moment, même si c’était le cas. Je ne voulais pas non plus me retrouver redevable envers lui, même si d’une certaine manière et je dois me forcer à l’avouer : c’était le cas. Pourtant, dans un sens, je mourrais d’envie de lui dire tout ça, mais mon subconscient me retenait. Il s’opposait. Je ne comprends pas pourquoi. Je ne me pose pas plus de questions. L’inconnu me demande s’il peut revenir. Je peux le prévenir… Avec un moyen de le contacter cela serait quand même plus simple, non ? Allez savoir pourquoi, mais ce garçon me fit sourire. Sûrement sa façon d’agir. Que dois-je faire à présent ? M’en aller ? Le laisser partir, ou bien… Reprenais-je là où j’en étais ? Pourtant… Je m’étais résolue d’avoir assez joué pour aujourd’hui. Mais à présent les circonstances n’étaient plus les mêmes. Tiens, des yeux bleus, ou gris ? Ou bleus gris ? Gris bleus ? Ce n’est pas courant… STOP, je m’éloigne.

Encore une fois je réfléchis trop, pardonnez-moi roi des démons. Mes doigts se resserrèrent un peu plus autour de mon archet, ils me démangeaient. Ce sourire que je qualifierais d’idiot était toujours planté sur mon visage, quant à mes yeux, ceux-ci dévoilaient tout le fond de ma pensée. Comme à leur habitude, en fait… On pouvait lire à travers eux la surprise, un soupçon de nostalgie et surtout de la reconnaissance. La scène que je trouvais auparavant incongrue, voir-même embarrassante prit soudainement une toute autre signification. Il n’y avait qu’une violoniste reconnaissante encore son public improvisé.

    « Non, au contraire, tu peux rester ici sans problème. Pour tout te dire, je suis contente que quelqu’un puisse écouter ce que je joue. »


Il n’y avait là que simplicité et vérité. De ce côté-ci, je ne pouvais pas en faire davantage. Si ce n’est me laisser aller à mes envies et à ma passion. Un espèce de nouveau souffle me gagna et je me laissai aller à la tendresse du bien être. Finalement, ce n’était pas encore fini pour aujourd’hui. Je dirais même que c’était l’heure du come back. Prenant donc un air beaucoup plus neutre que le précédent (du moins j’essayais, je pense déjà avoir assez fait paraître mes émotions pour aujourd’hui ; je me rappelle plus vraiment qui, mais quelqu’un m’a déjà assuré que mes yeux étaient comme un livre ouvert, dammit
), je réengageai la conversation, sur un ton que l’on emprunterait pour parler à monsieur tout le monde. D’ailleurs cette fois-ci, je pris soin de dévier mon regard dans un autre coin de la pièce, on avait déjà assez lu en moi comme ça. Pas vrai ?

    « En fait, j’avais l’intention d’arrêter de jouer. Mais… Puisque tu es là, je pourrais reprendre où j’en étais. Qu’est-ce que t’en dis ? Sinon… Bah se sera pour une prochaine fois. »


J’entendais par là qu’il comprenne qu’il avait le droit de revenir. Et les jours où je voudrais me retrouver seule, je n’aurais cas aller autre part et puis c’est tout. Non ? Eh bien voilà. Je déviai à nouveau mon regard vers lui, dans le but d’observer sa réaction. Je ne m’en rendais sûrement pas compte, mais je me tortillais presque sur place. Je ne vous le cacherais pas, j’espérais fort bien qu’il accepte. Que je ne sois plus seule. Il semblait étrange, un peu décalé avec sa coupe de cheveux et son style vestimentaire. Cela m’allait très bien. Parfait, je dirais même.

    « J’entends par là, que tu pourras revenir, bien évidemment. »


Ne sait-on jamais, autant préciser.



Spoiler:
Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeDim 2 Déc - 1:25


Je le hais, je le hais. Je ne sais pas comment vous expliquer, mais il y a déjà cette personne qui sait jouer du violon. J'ai toujours essayer de lui faire plaisir en essayant d'en jouer, je sais que c'est un de ses instruments préférés, si ce n'est pas son préféré. Mais je n'ai jamais réussi. J'ai toujours était nulle en musique. Donc, déjà, qu'il découvre une personne avec ce talent, cela m'énerve, en plus, je n'ai pas de son assez bon pour en profiter réellement, je n'entends surtout que les vois, et pas quand elles chantent. Enfin c'est surtout que les micros sont de plus petits pour les faire passer sur mes caméras. Je vous dit que j'ai pas de veine ! Mais ça je ne peux pas le changer. Impossible. Sauf, si vous voulez bien me faire une précieuse donation qui pourrait m'être totalement utile dans l'histoire de la vie de Koyama Tetsuo. Personne qui, tout le monde le sait bien, n'en a rien à faire de tout le monde. Donc, je réitère mon appelle pour une éventuelle donation pour ma personne. On me fait signe que je commence à dire n'importe quoi. C'est pas totalement faux. Reprenons le sujet de base !

Alors, qu'elle joue du violon, passe, qu'elle en joue réellement bien, bon … Que je ne puisse pas écouter ce qu'elle joue dans de bonne condition, ça peut encore aller. MAIS QU'ELLE COMMENCE À FAIRE PETITE PRUDE ET INNONCENTE!!D'accord je me calme. Non pas que … Quoi ? Moi ?? Jalouse ? Je vous l'ai déjà dit et redit ! Il est à moi, j'ai tout fait pour lui, donc non je ne suis PAS jalouse. Non mais ! En plus je sais pas, elle le regarde bizarrement, entre la dévoration et … l'admiration peut être ou encore, un reconnaissance. En fait c'est réellement bizarre. Je pressens rien de bon pour leur relation. Et voilà qu'elle se dandine. Moi aussi je sais me dandiner ! Moi aussi je sais faire ma timide. J'en ai marre, pourquoi je suis pas comme elle ? J'ai l'impression qu'il n'y a que ce genre de fille qui l'intéresse. Parce qu'en plus, ce type devait m'envoyer des lettres, mais que nini. Détail en passant en fait … Mais je crois que c'est mieux que je ne puisse pas voir très bien le visages de la demoiselle ? Parce qu'entre ses yeux et les petits tics nerveux, je crains que j'aurais eu envie de la tuer et de sacrifier une caméra contre elle. Oubliez pas la donation !

Il n'a pas réellement bouger dans tout ce temps le grand crétin, enfin, il faut dire qu'entre le moment où il se dirigeait vers la porte et le moment où elle commença a parler, il n'y avait pas tant de temps que ça. Je ne puis évaluer le laps de temps, vous m'excuserez, mais vous aurez dans tout les cas, pas l'information. Du coup, au moment où il entend sa voix, enfin je pense, il s'arrête. Elle est un peu … En fait je sais pas réellement, Micros de merdes. Je ne peux pas réellement dire si elle a l'air aussi cruche que dans ses mouvements. Je ne pense pas tellement visible, si l'on ne fait pas attention à son comportement. Il doit tout de même la voir bouger un peu, puisque, ces mouvements à elle, ne sont pas des plus réguliers ni des plus léger. D'un autre côté, il ne la connaît pas, moi non plus me direz vous, mais je suis une fille, du coup pas besoin de la connaître pour comprendre ce que cela signifie. Lui, comme il a toujours été un peu handicapé sur les ressentiments des gens, je ne pense pas qu'il comprenne. Peu importe, s'il est stupide c'est de sa faute pas la mienne !!! Du coup je disais qu'elle avait parlé non ? Oui, ça devait être ça. Alors que, je pense , il allait répondre. Elle continue sa parlotte, du coup, bon cœur, bien élevé comme il est. Il la laisse parler. Et enfin elle termine. Il prend enfin la parole pour lui répondre. Alors qu'elle n'avait pas réellement eu d'écouter sa réponse. Comment ça je suis méchante ? Si je vous assure, ça se voit au premier coup d'œil qu'elle est vicieuse et qu'elle veut jamais vous écouter et laissez moi dans mes délires.

- Je dois dire que pouvoir rester ici, encore, à écouter le violon ne me déplairait pas, mais je ne veux pas te forcer ! Si tu as du travail ou simplement plus envie n'en fait rien. Je peux comprendre que jouer épuise au bout d'un moment. ». Et voilà encore sa bonté envers les musiciens, il leur fait passer tout leurs caprices. Non pour une fois je n’exagère pas, enfin presque pas. « franchement si tu as envie de faire autre chose, vas y, je peux attendre la prochaine fois. Ça me dérange pas. » Ha bon ? Ça te dérange pas ? Abruti, tu sais très bien ce que tu veux. « En revanche, si tu peux me dire quand est ce que tu risque de revenir ici. Ou même autre part, si tu joues dans des lieux un peu moins privés. Enfin peu importe, dis moi où est-ce que je pourrais t'écouter la prochaine fois. En plus je peux comprendre que tu vieilles arrêter, j'ai une petite faim. »

Là, je dois dire, que cet argument est invalide. Il le sort à tout moment, en cours, en pleine nuit, en pleine soirée. Que ce soit pour des bonnes ou des mauvaises raisons. Je dois dire que cela m'exaspère. Toujours la même chose ! C'en est épuisant. Il le faisait déjà durant le collège. Certes cela pouvait m'être utile, mais tout de même. Ne me dites pas qu'il a toujours faim ! Et en fait, si vous le pensez, détrompez vous, c'est juste qu'il aime cet excuse. Et que, c'est vrai, il a toujours un peu de place dans le ventre.

- En fait, viens plutôt te restaurer, cela fait du bien, il ne faut pas jouer le ventre creux à ce que j'ai entendu. Nous reviendrons si tu veux rejouer plus tard. Je n'en vois aucun inconvénient. Range ton instrument et vient. Je paye tout, j'aime bien payer quelque chose aux personnes qui m'offre de leur musique.

Joignant, parole et geste, il ouvre la porte et s'appuie dessus pour la tenir ouverte, pour que la jeune demoiselle puisse sortir. Et franchement c'est pas des phrases de tombeur ça ? Si ! Enfin pas pour lui mais nous tairons le détail je vous prie.


Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeDim 30 Déc - 11:06

WHAT THE...?


So... What's your name ?

Sur la lune je marcherai,
Un petit pas pour l'Homme, un grand pas pour ma liberté.



Un petit point pour éclaircir la situation : une jeune fille, un jeune homme, un violon et... De beaux de discours aux phrases merveilleusement bien tournées et que de belles paroles ! Ajoutez à ceci que de bienséances, de clichés mélodramatiques et vous obtiendrez la situation du moment. A croire que je ne serais jamais contente. Pour qui ce garçon devait me prendre ? Si ce n'est pour une dégénérée qui le regarde bizarrement et qui gesticule de gauche à droite. A se demander si cette demoiselle ne tentait pas de se remémorer quelques pas de danse de la polka. Osez donc me contredire infâmes stalkeurs qui m'espionnent jusqu'à décrypter les idées farfelues qui me passe par la tête ! Ne venez pas m'assurer que l'instant présent ne virait pas au pathétique théâtralisé où tout le monde s'excuse de tout ! Aux demandes étranges, aux comportements douteux suivant le contexte de la génération... N'importe quel poltron squattant une école, un collège, un lycée tout c'que vous voulez plus ou moins normal se ferait chambrer à mort sur cette si belle façon de s'exprimer. Maintenant que les choses sont claires et que tout le monde est au parfum, j'aimerai beaucoup savoir pourquoi je suis pourvue d'un esprit si déréglé si ce n'est par un coup d'pute du destin. Vous seriez venus me voir il y a deux minutes de cela, mais je me trouvais dans le monde fabuleux des télétubbies en compagnie de Tinky Winky, Dipsy, Laa-Laa et Po. A présent... Je me retournais sur le niais de la situation alors que ce garçon avait su faire preuve d'un comportement exemplaire. Ce n'était qu'un étudiant qui demandait un peu de musique, voilà tout. J'aurais tout simplement pu l'informer sur les lieux où je joue, comme il venait de me le demander et puis tout serait déjà terminé. Mais non. Je suis beaucoup plus compliquée. Il avait fallu que je sombre dans une tragédie où l'héroïne affublée de sa solitude remercie désespérément un parfait inconnu qui était tombé sur elle de façon hasardeuse. Que quoi ? Non.. Oui j'ai fini. Par moment, moi-même je me trouve désespérante. Il était temps que je réponde à ses attentes.

    « C'est gentil. Mais le meilleur moyen pour me retrouver reste quand même de venir ici, j'y passe le plus clair de mon temps. En particulier en fin d'après-midi. »


Voilà, j'avais enfin emprunté le ton que j'aurai du adopter depuis le début. Bien sûr, n'y voyez absolument rien de négatif. En aucun cas il ne témoignait d'animosité ou d'autres intonations peu appréciables. Un ton simple, léger, qui pouvait laisser espérer une suite de conversation un tant soit peu plus normale pour des jeunes de notre époque. M'enfin, il ne faut pas trop espérer non plus. Vous avez vu comme je parle ? C'est trop classieux. Enfin voilà, la suite maestro ! Je fis un bref arrêt sur image à la suite du drôle argument du garçon. Ça, on ne me l'avait encore jamais fait. C'est un bon celui-là, c'est un bon ! ... Va falloir que je fasse preuve d’ingéniosité pour être à la hauteur ! Un nouveau défi à relever pour... POUR DEVENIR LE MEILLEUR DRESSEUR ! Ha nan, ça c'est dans pokémon. Hé, pas le peine de me regarder avec ces yeux globuleux ; chacun ses délires nom de Zeus. La prochaine fois j'vous frappe à coup de tentacules (et oui, voilà ce que ça donne quand je redeviens moi-même). Fort heureusement, ces délires pour le moins étranges sont censés rester secrets. J'étais littéralement aspirée par le flot tourbillonnant de mes songes pour le moins burlesque quand une proposition vint à se faire entendre. Sur le coup, plus que jamais prise au dépourvue, j'affichai une mine réellement surprise. Je n'eus même pas le temps de répondre que la porte m'était déjà ouverte. Waoh. Ca c'est du... Théâtre à foison. Vingt dieux nous y replongeons mayday mayday !

    « Ha, euh... Oui, pourquoi pas. » balbutiai-je telle une donzelle en détresse.« Deux minutes, j'arrive tout de suite ! »


Hééééé, top ! Et le signe du départ a été lancé ! Nous pouvons déjà assurer que la victoire est devant numéro 13 (pourquoi 13 ? Je sais pas, en fait, vous connaissez Docteur House ?) ! Il est clair que cette jeune fille sait ce qu'elle fait ! Bien que sous l'empressement du moment, ses gestes sont clairs nets et précis. Elle se trouve maintenant sur la dernière ligne droite ! La victoire lui ouvre grand ses bras et hop ! ELLE A GAGNE ! ELLE A GAGNE EN PAS MOINS DE DEUX MINUTES ! Bad trip, excusez en moi. Donc, comme je voulais le dire en pas moi de deux minutes, comme je l'avais si bien précisé, je me retrouvais toute souriante, la housse de mon violon accrochée à mon épaule (avec le violon à l'intérieur, hein, qu'on se le dise). Tranquillement, je passai le pas de la porte, maintenant la bandoulière pour qu'elle ne glisse de mon épaule. Puis, me retournant vers le garçon :

    « Mais tu sais, tu n'es pas obligé de tout me payer. J'aurai l'impression de profiter de toi sinon. » tentai-je de lui expliquer avec un air plus ou moins gêné.


Stricte vérité et en plus de profiter de lui, ce genre d'actions qui peuvent vous paraître si anodines me procurent la plupart du temps un amer sentiment de dépendance. Après.. Vous me connaissez, moi et mes pétages de plombs loufoques. On ne me refera pas... Allez, je tentai néanmoins de lui afficher un sourire amical en réponse au savoir vivre dont il faisait preuve. Décliner ce genre de proposition est toujours délicat, surtout avec moi. Je saisi donc la carte la plus avantageuse et à ma portée qui s'offrait à moi. Prenant un air plus détaché, j'entrepris un rituel qui se pratique régulièrement entre deux personnes méconnues qui viennent à passer un certain laps de temps ensemble.

    « Au fait, vu que l'on va sûrement être amené à se revoir, autant se présenter, non ? Je m'appelle Shizue Tsunehisa, ravie de te rencontrer ! Je pense qu'on devrait bien s'entendre. »


Haha, ce genre de présentation cucul la praline, vous pensez vraiment que vous y échapperiez ? Même si le "on devrait bien s'entendre" sonnait plutôt louche...



HRP : Et voilà ! Je m'excuse pour le temps d'attente et pour ce rp totalement random xD En espérant qu'il te plaise tout de même o/
Invité
Sad Violin [PV Koyoma Tetsuo] Icon_minitimeLun 7 Jan - 7:10



Je ne sais pas qui il faut réellement tuer en fait, entre lui qui lui propose de s choses indécentes, tel que …. écouter sa musique et elle qui lui donne des rendez-vous galants dans cette même salle. Je trouve que la niaiserie est poussé tout de même poussé. Et le premier qui me dit que c'est moi qui abuse, je pense qu'il ne va pas faire long feu dans la salle. Ne me dites pas que c'est pas une invitation au ciol le fait qu'elle lui dire qu'elle est toujours dans cette salle. Je suis la seule à voir ça comme ça ? Vous êtes réellement sûr ? Non c'est pas parce que je suis amoureuse de lui, je ne vois pas du tout ce que vous voulez dire. Je trouve ça même désobligeant, et puis vous m'écartez de mon domaine de prédilection qui est le comptage de sa pauvre aventure. Le pauvre, supporter une fille aussi niaise. Vous pensez réellement qu'il va pouvoir le faire ? Moi je ne pense pas, elle a beau savoir jouer du violon, elle n'a que ça. Je dois dire que sinon physiquement parlant, elle est pas éblouissante et d'un point de vue cervelle, elle a pas l'air non plus extra, même moi je parais plus intelligente devant elle. Alors que bon, je suis pas mauvaise, mais tout de même, pas une pure flèche d'intelligence. Ça me plaît de pouvoir taper sur elle. Je l'aime pas, elle avait l'air cruche, mais réellement en plus, quand elle se dandiner sur ses pieds ! (En fait je pourrais presque jouir encore plus que quand j'utilise le nouveau … Pourquoi je raconte ça moi ? Oubliez ce que je viens de dire, couchez vous et ne demandez rien sinon je tape ! ). Donc j'en étais où dans tout ça ? Que je veux la taper ? Ça c'est un détail.

Je pense que je dois un peu plus me concentrer sur la chose qui est réellement intéressante. Du coup, qu'est ce qui a bien pu se passer ? Rien de bien important en fait, elle acquiesce dans, on doit le dire, sa grande bonté, l'offre que lui a proposé le pauvre homme. Qui ne veut qu'une seule chose, Manger ! Ne l'oubliez pas, il n'est qu'un ventre, et ne sera toujours qu'un ventre, bon il y a aussi le fait qu'il aime écouter de la musique, et pas le ventre vide. Et qu'un musicien qui a le ventre vide joue moins bien qu'un musicien repus qui a digéré. C'est un avis personnel, partagé par nos deux personnes. Et les autres de toute manière on s'en fout et s'il ne sont pas content, je leur tape, encore, dessus. Alors qu'elle accepte la proposition, elle se met ensuite à ranger son violon, son précieux violon. Je lui casserais bien en deux, en fait non, je lui volerais bien, ça ne se fait pas casser un violon comme ça.

Une fois que cela est fait, comme toute bonne femme, elle refuse de se faire payer, parce que gnnn gnnn gnnn. Mon cul aussi Gnn gnn gnn. Elle adore, comme tout le monde se faire payer à manger, c'est juste qu'elle fait la précieuse, parce que c'est tout de même bien plus mignon et marrant de faire en sorte qu'il brave un interdit. Ou du moins une chose que Madame ne veut pas. Mais sache petite conne que tu n'est pas une une dame, et encore moins ton interdit l'oblige à quoi que soit. Tu n'est qu'une demoiselle, comme quiconque, qui a juste la chance de savoir jouer au violon. Je ne vois rien de plus pour toi, si tu es ici, c'est que des personnes n'ont plus voulu de toi, c'est tout. Peu de personne ne t'aime, enfin, pour ce qui est des tes tuteurs. Et cela suffit pour que tu sois ici. Tu n'es qu'une … faut réellement que je m'arrête parfois, j'en deviens vulgaire.

En plus, je vous fais une analyse de tout ce qui se disent, vous devez vous en foutre non ? Tant pis ou tant mieux. Après un sourire, des plus … moi je dirais kitch, mais je ne suis pas sûre que tout le monde soit d'accord, donc ravageur. Mais apparemment le jeune homme est d'accord avec moi. Le sourire ne lui fait rien. Il reste impassible, je ne sais combien de filles ont pu lui faire ce sourire alors qu'Aria le sortait en ville, mais je ne sais pas si une seule à réussie à avoir ce qu'elle voulait. Ce n'est pas elle qui allait commencé, surtout en vue de ce qu'elle vient de dire. Les présentations comme ça, il n'y a rien de pire. Ça fait réellement, je ne sais comment dire, forcé peut être, à quoi bon connaître le nom quand on parle ? Nous nous appelons très rarement comme ça, vous le savez très bien, ça se voit. Et pourtant, on se doit de donner le nom. Je ne comprendrais peut être pas, lui non plus, mais c'est avec le sourire au lèvre qu'il lui répond.

- Peut être allons nous bien nous entendre, mais peut être allons nous ne plus pouvoir se supporter lors des prochaines minutes, sauf lorsque tu joueras. Enfin peu importe, de toute manière nous verrons ça avec le temps. Au pire je resterais à la porte pour t'écouter jouer. Mon nom est Koyama, Tetsuo de son prénom. Le retenir ne servirais pas à grand chose, puisque nous ne nous appelons pas réellement en plein public.

Alors qu'il parle, il se dirige vers ce qui va leur servir de restaurant gastronomique pour le dîner. De toute manière il n'a pas réellement le choix, il a faim. Enfin, je ne sais pas réellement quelle faim il veut satisfaire, avec lui plus rien ne m'étonne. Alors qu'il marche côte à côte, lui vient les questions stupides, dans le style : depuis quand tu joues, pourquoi cet instrument, qui t'a apparis, qui t'a poussé à jouer. Enfin moult questions que je pourrais qualifier de peu utile sauf pour ne pas faire un gros blanc. Excusez-moi, dans les questions à la con, il y a aussi les questions concernant l'école et le pensionnat, le groupe, la classe, l'âge, pourquoi le groupe, l'argumentaire pour qu'elle rejoigne, même si elle est déjà dans un groupe, les anciens Jokers. Cela l'amuse de voir les gens se défendre, ils ont parfois des bonnes raisons, mais les peu de personnes qu'il a entendu, s'en était pitoyable, peut être que cela l'est moins pour elle, j'ai pas réellement envie d'écouter.

- Dis moi, tu préfères manger dans le pensionnat où à l'extérieur ? Pour la seconde solution, c'est bien plus loin, mais meilleur. Et puis ensuite, on pourra toujours sortir ou se mettre dans un coin pour que tu joues tranquillement.

Holalalalala, mais faites quelque chose, il en devient presque niaiseux lui aussi sans le vouloir, peut être en le sachant, mais peu importe, le problème est là. C'est pitoyable ! Monsieur fait son grand homme. Comment ça ? Moi ? Jamais il ne m'a amené dasn un restaurant, mais je ne vois pas le soucis, ni le rapport. Enfin, non réellement pas, je ne vois pas le soucis, vous vous faites des films sur mes préjugés en fonction de ce que j'ai vécu avec lui. Vous aussi vous me faites chier tiens …

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