Sonnerie... AAAAAH merdouille ! Pourquoi la vie était-elle si injuste hum ? POURQUOI? Pas le teemps de sortir du cours de maths que déjà les Sciences nous tombent dessus, you-hou... Et impossible de sécher les cours ici, le personnel, l'air de rien était disposé à chaque porte durant les inter cours riduicules que nous avons la plus part du temps, bref, en gros, faire sauter le cours ed Sciences, c'était décidement MORT ! Place à la souffrance de longue durée, à une torture sans fin ! Si il y avait bien un cours qui me déprimait au plus haut point, c'était les Sciences... En quoi savoir comment on dépeusse une souris sans bousiller ses organes allait me changer la vie ? Même si j'aimerais énormément pratiquer cet exercice sur certains individu ed sexe masculin, histoire de déconner un peu tout en leur faisant amèrement payer ce qu'ils imposent aux femmes;je ne le pourrais pas, ça dépassait ce que je le permetrais de faire, les Trèfles sont des grosses malades, ok, mais pas jusque là ! Je préférais de loin ridiculiser et faireperdre toute crédibilité à un de ces connards que de les blaisser réellement, c'est moins drôle, et surtout beaucoup moins intéressant, une blessure physique attire la pitié des gens pour la victime, et la haine pour son agresseur; tandis qu'une bonne humiliation au grand public amuse la galerie plus qu'autre chose, et ça reste dans les mémoires un bon moment. Bref, où en étais-je ? Ah oui, cours de Science = débilité sans aucune utilité !
Je me dirigeais vers le rang devant la salle de cours, moutons moutons, suivez donc vos congénères ! Je me callait contrele mur à la fin du rang, un peu à l'écart, comme à mon habitude, les gens ici étaient des fourbes manipulateurs et faux cul pour la plus part ; on ne pouvais compter que sur nos collègues. Ici tout le onde était parfaitement différent, comme dans chaque établissement c'est vrai, mais ces journées de cours arrivaient à nous faire afficher la même expréssion morne et fatiguée, à tel point que nos visages étaient tous semblablesà quelques détails près.
Un mouvement se fit sentir le long du rang, on y était... La trentaines d'élèves que nous étions s'engouffra lentement dans la salle de cours. Les néons aveuglants de la pièce me sortirent de mon demi sommeil agressivement. Nos rétines,pensez à nos rétines merde ! Voilà qu'en plus de nous abrutir, ils compte nous faire devenir aveugles...
La classe se disperssait dans les différents rangs, toujours à une vitesse digne de celle de ce fameux animal originaire de Bourgogne, je me glissais rapidement vers une place sur les bureaux au fond de la salle, places généralement occupées par les glandeurs de première, je trouverais peut-être quelqu'un à qui parler un peu, histoire de voir passer un peu plus rapidement ces deux heures sur... ah, le sujet était au tableau...Je plissais légèrement les yeux pour lire le titre écris en mode pattes de mouche naine par la prof. “La refraction des rayons lumineux” hum... Thème fort interessant dites-moi...
Quelqu'un s'asseyait à ma droite. Occupée à sortir de quoi prendre deux trois notes de ma boge millitaire reteintée en noir par mes soins, je priais pour êtr tombée sur UNE bavarde, pas de monsieur aujourd'hui, par pitié. Je me retournais pleine d'espoir... Sa saintetée n'avais pas été clémente aujourd'hui apparement...