Alors que tous rentraient de leurs cours, et que les couloirs devenaient peu à peu silencieux, lui sortait au contraire de sa chambre et se dirigeait vers le toit. Mais pour y faire quoi ? Ce que tout bon roi se doit de faire en temps de crise, dit-on. Une réunion des piques aurait lieu ce soir même et il avait convoqué tous ceux qui en faisaient partie pour être certain que tous s’entendent. Depuis une semaine déjà ils parlaient de cette idée, idée folle qui avait été lancée comme une mauvaise blague qui s’était, finalement, concrétisée. Ils allaient frapper fort cette fois, et toute l’école allait entendre leur supériorité. Il marchait la tête haute, repérant au loin les escaliers qu’il devait gravir pour se rendre sur le toit. Le roi se devait d’être le premier arrivé, évidemment. Il s’avança sur le sol plat et releva les yeux vers le ciel qui se couvrait déjà de noirceur, l’été approchait déjà de sa fin et les journées étaient bien plus courtes. Une pensée pour l’hiver prochain, leur QG n’était décidément pas pratique mais au moins il faut dire qu’ils avaient la classe, au-dessus de tout le reste et… enfin. Quand on se les gèle en hiver, on n’y pense plus vraiment à la grande classe, disons.
Ils avaient installé depuis un moment déjà des chaises sur le toit, ainsi qu’une table, histoire de rendre l’endroit un peu plus pratique. Quoi que… La table ne servait pas à grand-chose, sauf pour s’asseoir. Qui prend des notes, dans ce genre de réunions ? Sûrement pas un pique. Norio vint donc s’asseoir sur ladite table, attendant la venue des autres. Il pouvait entendre des pas dans l’escalier – les bruits retentissaient bien trop fort dans le silence de l’extérieur.
Ce plan… parlons-en. En quoi consistait-il exactement ? C’était bien simple. Ça tous les piques le savaient déjà. Ils allaient, tout simplement et sans se prendre la tête, cramer les dortoirs. Avec les gens dedans, évidemment. L’idée de base était simpliste et bien évidemment tenue secret défense de tous les autres groupes. L’effet de surprise allait être superbe ! Ils comptaient bel et bien allumer un brasier au milieu des chambres, en pleine nuit. Fous, direz-vous ? La plupart des piques l’étaient alors la question ne se posait même pas. Maintenant il ne leur restait qu’à organiser le déroulement de cette soirée qui serait mémorable. Aucun d’eux, jusqu’à maintenant, n’avait osé énumérer – ou du moins pas devant Norio – les différents aspects négatifs de ce plan. Pourtant il y en avait pleins, évidemment par aspect négatif vous vous douterez bien ici que l’on parle d’effet déplaisant pour les piques. Pour les autres, c’était bien le but de leur faire vivre une expérience déplaisante ! Dans tous les cas, même si le plan avait des points faibles, ça allait se faire. D’une manière ou d’une autre, d’ici quelques jours, les dortoirs allaient brûler. Avec les gens dedans.
La porte s’ouvrit enfin, grinçant bruyamment et les autres sortirent enfin de l’école pour venir rejoindre Norio. Ça n’allait pas être de tout repos, mais chacun devait faire un travail en particulier. Pas de trahison, pas de connerie. Pas d’erreur permise. Tous savaient à quel prix la trahison se payait avec le roi de piques.
« On peut commencer, il me semble. »
Sa voix retentis, alors que quelques-uns s’asseyaient et d’autres restaient debout. Il fallait donner une tâche à tous ces grands gaillards. Norio décida d’y aller simplement – comme à son habitude direz-vous.
« Il faut bien s’préparer, sinon c’est nous qu’on va cramer. D’avance, il faudra sortir – et sérieux les mecs, discrètement hein – nos trucs importants de nos chambres. C’qu’on veut pas voir brûler. J’suis pas responsable des pertes. Poser des pièges, faudra l’faire vite. Pas d’temps à perdre. On coupe les extincteurs par le sous-sol, on met l’feu et on l’laisse faire son chemin. Au signal, PAF plus d’électricité. On s’retrouve tous à l’extérieur du bâtiment. C’est clair ? »
Quelques secondes de suspend, le temps de laisser la chose être assimilée de tous. Il avait parlé vite, mais sa voix avait le mérite d’être très nette et forte. On ne pouvait pas vraiment s’embrouiller en l’écoutant parler, enfin pas quand il commençait à être sérieux.
« Qui fait quoi ? Des idées ? »
//IMPORTANT\\
{ Pour les membres qui ne sont pas des piques et qui lisent ce rp ! Vous, joueur derrière le pc, pouvez le lire pour vous mettre dans l'état d'esprit de l'event futur. C'est même conseillé, c'est une sorte de prélude ~ Par contre, votre personnage ne peut pas être au courant, d'une quelque façon que ce soit de ce rp ni intervenir dedans. Merci de respecter cela :)
Invité
Mer 29 Aoû - 14:15
Invité
Mer 29 Aoû - 19:11
Flammèches
Oh putain quel mal de crane ... Réveiller par cette saloperie de sonnerie qui sonnait la fin des cours pour la journée, je vis à côté de moi une nana, nue qui plus est, et qui ne tarda pas à rejoindre le sol en la poussant un bon coup. Ingrat ? Oui certainement, mais qu'importe j'avais autre chose à faire que de bichonner une cruche. Effectivement chez les Piques se préparaient quelque chose de grand, de dangereux et surtout ... D'inutile. Le plan était simple tout faire cramer. C'était bien beau de faire un feu de camp géant, mais où allais-je dormir ensuite ? Je n'avais pas de chez moi, et mon casier était aussi long qu'un rouleau de PQ ... Quelle vie de merde ! M'habillant alors rapidement de cet hideux uniforme, je finis par sortir de ce havre de femme. Un con qui servait de secrétaire m'a placé dans une chambre remplit de fille. Honnêtement je ne savais pas si je devais être heureux ou hurler au scandale dans tous les cas il en prit pour son grade. Le QG des Piques n'étaient autre que le toit du bahut y allant donc sans grande conviction clope à la bouche, je finis par m'écrouler sur un banc à l'écart du groupe, en sifflant un simple "Lut".
Dans ce troupeau de brute j'étais le seul qui affichait toujours une gueule de blasée de la vie, aucune motivation, aucun dessein, tout me faisait chier. A croire qu'on pouvait se demander ce que je foutais avec eux. Ben c'était simple : Je possédais un casier qui était tout sauf blanc, et j'avais "malencontreusement" fracasser le visage du secrétaire à la rentrée. A partir de là on m'a collé une étiquette de voyou. Non pas que je n'aimais pas mes potes au contraire. Le problème c'était la hiérarchie. C'était à cause de mon manque d'obéissance que j'ai passé plusieurs séjours à faire des TIG ou encore en prison pour mineur, alors ce n'était pas parce que Nori' était cool que j'allais l'écouter au doigt et l'oeil, encore une différence entre moi et le groupe. Je ne l'appelais pas "patron" ou "boss", moi c'était Nori (algue en japonais). Fumant tranquillement ma clope en regardant le ciel comme un vieux drogué qui planait, j'écoutais d'une seule oreille ce qui se disait. Bruler les dortoirs. C'était un acte odieux ... Du moins, pour la société. J'avais une vision des choses bien à moi. Pour moi, le monde n'était pas divisé entre le bien et le mal. Les humains avaient juste instaurés des lois débiles qu'on pouvait enfreindre. A partir de là on était soit un honnête homme ou un hors la loi, au choix.
Ne disant pas un mot, je préférais écouter ce qui se disait. Dans ce groupe j'étais plutôt observateur qu'un acteur, tout simplement parce que j'étais un gros flemmard et que je ne parlais pas pour rien dire. De plus, brûler les dortoirs étaient une idée assez ennuyeuse, avis que j'avais déjà fait entendre. Certes l'adrénaline allait monter, mais en prison j'ai déjà trouvé plus drôle, cependant quand Nori avait une idée en tête personne ne pouvait l'arrêter. A l'école du crime on apprenait beaucoup de truc utile. Crocheter des serrures, fabriquer toutes sortes de produits dangereux ou non, à escroquer ... En gros je n'avais pas perdu mon temps à être enfermer. Fabriquer des produits inflammables à partir de rien, je savais faire, mais ma bouche resta fermé pour le moment préférant déguster ma clope tranquillement. Sortant un flash de vodka de ma poche, le liquide brulant coula doucement dans ma gorge. Quel bonheur !
Il ne s’était jamais vraiment investi chez les Piques. A vrai dire, il préfère de loin faire les choses comme il l’entend, ne supportant pas de se courber face aux souhaits de quelqu’un. Le Roi des Piques devait s’en voir avec les membres, leur caractère étant en général plutôt sauvage et fougueux, étant seulement maître d’eux-mêmes. Pourquoi un chef ? C’était une question que s’était plusieurs fois posé Daiki, sans vraiment avoir trouvé de réponses. Certainement qu’avoir un leader, une figure c’est quelque chose de logique. Mouais. Il était pas si convaincu que ça. Il allait rarement aux réunions, n’y trouvant aucun intérêt. De toute façon, tout se sait tôt ou tard, bien qu’il soit toujours le dernier au courant. Avant, y’avait Kyra pour le motiver – ou plutôt le forcer, à se bouger, même s’il trouvait toujours des excuses pour se défiler. Maintenant qu’il ne fait plus parti du groupe, Daiki avait dit fuck et ne foutait vraiment plus rien.
Cependant, dernièrement, une information circulait sur un évènement explosif. C’était bien le mot. Mais le renard comprenait rien, parce qu’il était pas au courant. Il avait chopé un de ces premières années fouineur, qu’on envoie faire prévenir les gens concernés par cette annonce. Mais manque de pot pour le bleu, il fait peur. Donc on lui parle peu. Allez tous faire foutre. De manière alors peu diplomate, il avait fini par savoir ce qu’il se tramait. Réunion sur le toit. Ah. Aller ou ne pas aller, telle est la question. Mais cet adjectif, explosif, lui parlait bien, ça l’intéressait. Ainsi, pour la première depuis bien longtemps, Daiki décida d’aller jeter un œil à cette petite attraction.
Bien. Jour-J. Il aurait mieux fait de pas venir. En fait, bien que lui-même ait quasiment le même caractère que ses confrères, leur comportement le débecte. Du genre, ils le saoulent tous. Leur langage, leurs gestes and so on. Un vrai paradoxe. Il n’y avait pas beaucoup de monde à cette réunion. M’enfin bon, détails, détails. Il ne salua personne et alla se caler contre un poteau. Daiki respectait le Roi parce que voilà quoi, mais c’était tout. Il n’avait en aucun juré loyauté ou quelque chose d’aussi débile. Il y avait beaucoup de têtes sur lesquelles Daiki était incapable de foutre un nom. Son laisser-aller se reflétait à l'instant-même. Baaah, au fond il s'en tapait une huître.
Une voix s’éleva et tout le monde l’écouta. Vous connaissez le film « Le discours d’un Roi ? ». C’est un film magnifique que Daiki adore, mais qui n’a rien à voir avec le discours que le Roi des Piques faisait. L’idée était pas mal en soi. Il cherchait ce qu’il pouvait faire dans ce plan, un truc pas trop fatiguant, qui le ferait s’amuser en même temps. Au fur et à mesure que le temps passait, les gars se choisissaient un poste.
Le « Putain ! réveillez-vous les gars » d'un de ses compatriotes, dont soi-disant passant Daiki ne connaissait pas non plus le nom, l’agaça un peu. Déplane, tous les gens ont pas une capacité à être bien réveillé.
« Rah la ferme gars. » grommela Daiki. « Bon, j’poserai les pièges du côté des meufs et puis c’tout. »
Il fit valser sa main de part et d’autre, afin de désigner les différents personnes du groupe, avant d’ajouter.
« Celui ou ceux qui feront ces pièges auront qu’à me contacter. J’fais rien d’autre. Ou p’t-être faire peur.à l'occaz'. »
Tout est dit. Qu’on le réprimande ou quoi, il ne ferait vraiment rien d’autre. Maintenant ennuyé, il finit par s’asseoir sur une caisse en bois abandonnée là, posant sa tête dans la paume de sa main, décidant de rester quelques minutes de plus pour voir qui allait faire quoi.
Invité
Lun 10 Sep - 5:51
( Désolée j' ai de gros problèmes pour organiser mes idées rp en ce moment)
Fini, voilà elle a vu qu' on s' foutait pas d' moi comme ça c' tte Conne! C' est vrai c' soir y a réunion sur le toit, faut pas qu' j' oublie... PUTAIN! Même casser la gueule de cette Nana de Merde m' a pas mis d' meilleur humeur... Sont là et Bordel j' ai du r'tard, j' essaie discret d' me faufiler puis parviens à m' asseoir à coté de Juichi sans qu' personne m' voie, super! En regardant mon bras j' remarque qu' il reste du sang, sûrement l' sien.. Elle l' a cherché faut pas m' déranger quand j' dors moi sinon, barre toi en vitesse... J' écoute mais j' en profite pour m' en griller une: j' ai envie d' casser quelque chose... Dégommer les corbeilles, les poubelles suffit pas, en plus après j' me retrouve avec des bleus, non merci j' ai mon compte niveau déco sur le corps, j' repasserai. Donc petit topo: poser les pièges, déjà pris, mettre le feu, Norio s' le réserve parce que moi j' flamberais pas l' bâtiment mais plus les filles; je souris en les imaginant brûler, j' ai d' jà vu ce qu'ça donnait les rares fois où j' quittais ma Cage et c' est cool, assez marrant voire tordant quand elles gesticulent pourtant en courant dans tout les sens. J' tire sur le filtre, profite d' la fumée dans mes poumons, j' crèverai jeune, j' le sais, fin les gamins comme ça survivent jamais longtemps j' me fais pas d' illusions. - Si y a d' la casse à faire j' suis partant... J' dis ça en baillant presque avant d' ajouter: Du matos à bousiller ou une connerie comme ça... Houai vous rêvez pas, la Princesse vient de l' ouvrir, des fois je parle quand même, juste qu jusqu’ici j' avais rien d' intéressant. Je reprends ma clope continuant d' fumer, j' ai l' air hautain indifférent sans doute, mais vous fiez pas aux apparences ni aux impressions car vous aurez des surprises... De Taille. Tonight is the NIGHT NO GUYS?! Let's begin!
( pardon j' ai honte...)
Invité
Jeu 20 Sep - 21:52
BURN IT DOWN
Une clope à la main, le brun soupira. Il n'avait jamais participé aux réunions de son groupe. À vrai, dire, il s'en fichait totalement. De toutes façons, il ne disait rien lors de ces dernières. Leif se contentait de hocher la tête et c'était tout. Il se cassait le premier quand c'était fini, ne prononçant aucun mot. Toujours avec sa clope. Toujours avec son air de je m'en foutiste, avec cet air qu'ils n'appréciaient pas. Mais lui il s'en foutait, il ne les aimait pas. Il ne les a jamais aimé. Peut-être certains se distinguaient des autres à ses yeux... Mais il s'en fichait. Il fallait faire mieux pour l'intéresser. Et, soyons honnêtes, les membres de son groupe n'étaient pas des spécimens rares. Il ne connaissait pas grand monde.
Et ça lui suffisait.
Il etait courant pour l'evenement. Il prit une latte de sa clope, expirant longuement la fumée. Il était là depuis pas mal de temps, mais avait écouté le discours du Roi. Le brun n'avait rien laissé paraître. Il écoutait. Point. Il fronça légèrement les sourcils quand l'un de ses « compatriotes » parla. Il n'avait pas à donner d'ordres. Il n'était pas le Roi. Se retenant de lui balancer dans la face une réponse acerbe, il se contenta de tirer sur sa cigarette. Ce n'était pas aujourd'hui qu'il obéirait à un ordre, oh non. Il n'est pas un de ses pions que l'on peut facilement manipuler à sa guise. Il n'aimait pas non plus être sous l'autorité d'un roi, mais il fallait bien s'y faire. Dans tous les cas, il ne disait rien. La réunion devenait de plus en plus intéressante.
Leif finit d'abord sa clope, puis l'écrasa par terre, se tournant vers le meneur. Comme s'il allait s'adresser à quelqu'un d'autre que lui.
« Mets moi sur le truc le moins chiant possible. »
Parce que oui, le brun était un gros flemmard. Et c'était pas nouveau. Il balaya les personnes présentes d'un geste rapide de la main, puis reprit.
« Et qu'on ne me fasse pas chier quand je serai occupé. »
Comme s'il allait se retenir de leur foutre un poing dans la gueule.
UNKNOWN
INSCRIPTION : 15/07/2012 MESSAGES : 738
Jeu 11 Oct - 14:47
let's talk about serious business
Parfois, il se demandait vraiment ce qu’il foutait là. Les mecs étaient arrivés sur le toit tranquillement, il y avait Juichi qu’il connaissait bien, et les autres. Plusieurs nouvelles recrues, des types qu’il ne connaissait que très peu. Lui n’était pas un roi comme il aurait sûrement pu l’être. Le genre qui hurle à son pouvoir et qui s’assois sur un trône. Ce rôle de roi n’était pas toujours de tout repos et à tout instant on pouvait le poignarder dans le dos. Au sens propre, en fait à Sei c’était bel et bien le cas. Il n’était pas du genre à afficher une grande forme d’autorité, de suprématie. Il préférait voir les bâtards comme une meute de loups, soudés. Mais que restait-il de cette meute maintenant ? Ils ressemblaient plutôt à une mélodie mal jouée, dont les notes ne s’accordent pas. Tous froids ou distants, désintéressés et montés les uns contre les autres. En les voyant tous agir, leurs regards sur les autres et sur lui, Norio se demanda bel et bien ce qu’il foutait là. Il les avait tous écoutés sans rien dire, chacun prenait une tâche qui lui plaisait bien. Puis, lentement un soupir traversa ses lèvres quand le dernier sembla avoir parlé.
« Oh vraiment, vous pensez qu’on va aller loin comme ça ? À tous se lancer des regards noirs et à se cracher à la gueule comme des nanas ? Sérieux les mecs, j’suis déçu là on est quoi, des Aristo’ ? »
Il avait voulu les secouer un peu, pour tenter de les réveiller. Il ne fallait surtout pas que les bastards se tournent tous le dos, indépendants les uns aux autres. C’était en quelques sortes son devoir en tant que roi de garder ce groupe soudé. C’était là la grande difficulté, de garder tous ces tarés sur la même longueur d’onde, de rallier leurs forces pour combler leurs faiblesses. Sinon les autres n’en profiteraient que trop pour les attaquer dans ces petites crevasses faibles entre chaque membre du groupe. Il avait soupiré, encore longuement, puis relevé la tête, avec un petit sourire en coin. Ce n’était pas le moment de se décourager, ils étaient en position de puissance et cela devait le rester.
« On va faire un p’tit feu de camp d’accord. Ça va se passer dans une semaine, au soir. Quand tous seront endormis, tranquillement on frappera. On sait tous ce qu’on a à faire, Juichi et moi chacun sur un étage on va allumer le feu, Akira, tu sais faire pleins de trucs, genre… de quoi faire bien brûler non ? Tu vas nous préparer ça. Daiki, arrange-toi pour que sortir de ces dortoirs en feu soit la chose la plus impossible qui soit. Santa Cruz, tu niques l’arrivée d’eau. J’crois qu’en bas y’aura des verrous pour aller couper l’eau, Akira tu pourras l’aider p’t’être. Leif… Bousiller l’électricité, c’est pas trop chiant ? Sinon on te trouvera bien un truc pour toi. »
Il regarda les garçons présents, et sourit vaguement. C’était sûrement pas la meilleure idée qu’il avait eue, mais ça pour sûr, ça allait frapper un grand coup. Il fallait maintenant qu’aucun d’eux ne déconne. Vaguement, il espérait pouvoir avoir confiance en chacun d’eux, leur nom était certes les ‘bastards’ mais entre eux, ils devaient se serrer les coudes.
« On va tous avoir nos portables allumés à c’moment-là, l’électricité on la coupe après avoir mis le feu et les pièges, faudra faire vachement vite. Au signal, faudra tous se barrer, et en vitesse. Bref, préparez ce que vous avez à préparer discrètement avant le feu de joie, et le joue J ce sera parfait. »
Il se redressa, et les regarda tous à tour de rôle, tous semblaient avoir bien compris ce qui venait d’être dit. Le moment tant attendu arrivait bientôt, et ça promettait d’être bien chaud pour tout l’monde. Tout devait bien se passer. C’était impératif.
//IMPORTANT\\
Donc voilà je crois que c'est clos, certains n'ont pas postés même s'ils sont dit participer à l'event, je voulais attendre que tous aient postés mais voilà erm... Je peux pas repousser indéfiniment le moment de l'Event hein ! Voilà donc je vais lancer le sujet de l'event sous peu, chacun devra poster une fois pour accomplir sa tâche. Ensuite nous on dégage de l'école, on va dehors mater le feu de joie et on laisse tout le monde paniquer (et participer 8D) Donc d'ici vendredi normalement j'aurai posté le premier poste, vous répondez à la suite ce que vous avez fait et tout et après que tous les piques participant auront posté on ouvrira à tous les membres ~
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Dim 26 Aoû - 19:04
