Après le show... le réconfort ! Sora-chou & Katerina
Derrière le rideau rouge se trouvait notre petite blonde. Ce soir-là, elle avait été contacté la veille pour assurer un spectacle dans un petit bar en ville. Un strip-tease comme elle les aime. Cela faisait une semaine qu'elle ne s'était pas représenté sur scène alors, elle comptait bien en profiter. Ces derniers temps, elle avait de plus en plus de demande pour son autre travail tout aussi cocasse. Aujourd'hui, elle avait tapé dans le simple au niveau de la tenue. Elle avait des haut talons noir, une petite -vraiment petite- jupe rouge et une veste rouge assortit. La veste lui arrivait à peine au dessus du nombril et elle offrait une vue imprenable sur sa poitrine. En même temps, elle n'avait rien sous la veste. Derrière la rideau on pouvait entendre les personnes présentent attendre de voir celle qui allait leur vendre du rêve le temps d'une chanson. Ce soir il n'y aura qu'elle dans la tête de tout ces hommes en quêtes de plaisir charnel. Les cheveux de la blonde étaient comme à son habitude à l'allure sauvage. Doucement, les rideaux s'écartèrent laissant la vue de la danseuse contre sa barre en fer. La musique débuta immédiatement. Une mélodie sensuelle. Directement, elle débuta son spectacle érotique en se déhanchant sur la piste. Petit à petit, elle retira sa petite culotte rose en dentelle avant de l'envoyer dans le public avec son sourire coquin. Elle ne fit pas attention à qui elle l'avait envoyé. D'un coup, comme tout le monde avait vu qu'elle ne portait pas de culotte, l'attention se porta sur sa jupe. Les plus pervers devait prier pour qu'elle se soulève durant sa danse. Vers la fin, elle se mit dos face au public et ouvrit sa veste avant de l'envoyer dans le public à son tour étant torse nue. La jeune femme se remit à danser sensuellement avant de faire glisser sa petite jupe le long de ses jambes se retrouvant nue sur la scène. Après s'être inclinée et avoir lancé un baiser au public, elle retourna dans sa loge aux anges. La prostitué de luxe rentra dans sa loge en fermant la porte. Pas à clé bien entendu ~ Après avoir enfilé un peignoir, elle se mit à lire ses sms sur son portable professionnel. Oui, elle avait deux téléphones, un professionnel et l'autre qui lui servait largement moins pour la vie privé. Ce soir, elle avait deux propositions de clients. Souriante, elle les laissa un peu languir. En effet, la catin les tenait pas le slip et elle le savait. Comme elle avait un peu transpiré, elle partit prendre une douche dans sa petite salle de bain. Une fois propre, elle sortit et commença à s'habiller pour aller faire la fête un peu. Rapidement, elle mit un petit short en jeans puis un haut ample qui laissait la vue sur ses épaules et sur son décolleté. Ne supportant pas être décoiffée, elle coiffa sa longue chevelure d'or avant de prendre son sac prête à partir. Avant cela, elle glissa son enveloppe avec sa paie dans son sac à main.
Je l’avais repérée dès le début du show, m’moyez, surtout quand sa petite culotte s’était soudainement retrouvé dans mes mains. Elles étaient plusieurs à danser et s’effeuiller devant le regard lubrique – y compris le mien, sans mentir – des mâles présents, mais cette nana-là, cette jolie blonde aux yeux bleus m’avait tapé dans l’œil, ‘fin l’unique œil encore en état de voir quelque chose, voilà. Parfois ma blessure me lançait violemment, comme pour me rappeler que mes conneries de jeunesse étaient puériles et sans intérêt. Mais je refusais de vivre dans le passé, surtout que la vie me tendait les bras, ce n’est pas maintenant que j’allais sombrer dans la dépression, bordel de merde. J’avais encore pas mal d’années devant moi, et surtout, plein de filles dans son genre à rencontrer et à mettre dans mon pieu, au moins pour une nuit. Elle était belle, c’était indéniable. Son sourire m’avait fait craquer et pour tout vous dire, il en fallait pour que je sois ému par quelqu’un. Après avoir enfilé verre sur verre avec Kenji, qui s’était déjà trouvé une poulette à se mettre sous la main, je m’étais glissé dans les loges, pour tenter de la retrouver, toujours son sous-vêtement dans ma poche. Manque de bol, les vigiles, eux, étaient moins cléments ce soir. Après tout, un mec borgne qui se balade à moitié torché dans les coulisses de strip-teaseuses, on se doute bien qu’il ne vient pas jouer aux échecs. Et voilà, je me retrouve encerclé par trois gorilles en tenue de pingouin, tiré à quatre épingles. Merde, moi qui voulais rester neutre ce soir et ne pas partir en couilles totale, je suis servi. Les questions fusent, pourquoi t’es là, qu’est-ce que tu cherches, t’as pas le droit d’être ici et j’en passe. Ça cause sur mon œil qui est recouvert par un cache, ça crache sur ma tenue vestimentaire qui est loin – très loin – d’être aussi classieuse que les leurs. Mais merde, ce n’est pas non plus de ma faute si je n’ai pas un rond pour me saper avec des costards, bande de couilles molles. J’hésite à ouvrir la bouche pour pousser ma gueulante et c’est là que je l’aperçois, la jolie donzelle aux reflets dorés qui m’a lancé sa culotte auparavant. Man, c’est ma chance, si je la loupe, ces abrutis vont ne pas me lâcher les basques. Je lui fais signe de la main et m’époumone sauvagement.
« Ah t’es là mon cœur. Je suis venu te chercher, j’attendais simplement que tu finisses de te préparer. »
Regard inquisiteur qui signifie explicitement « joue le jeu » et je dépasse les gorilles, m’approchant de la demoiselle en question qui me parait bien petite par rapport à ma taille. Elle est exquise, ses formes me font rêver, je donnerais cher pour goûter cette peau délicate et toucher le creux de ses reins bien dessinés. M’enfin, le moment n’est pas à s’extasier devant la miss, mais plutôt à évincer ces abrutis de vigiles. Je me penche vers elle, mes yeux parcourant allégrement sa poitrine opulente qui est visible et je chuchote à son oreille, posant ses mains sur ses hanches, la prenant dans mes bras. Ouah, je la pensais pas si menue, la donzelle. J’essaie de pas trop paraître familier avec elle, on sait jamais, je sais que toutes les femmes sont des garces à mes yeux.
« Joue le jeu, ça m’éviteras les ennuis. D’ailleurs, j’ai quelque chose qui t’appartient. »
Je reste assez évasif dans mes paroles, j’attends simplement que les idiots s’excusent – ce qu’ils font – et foute le camp d’ici. Pari réussi, ils vont ailleurs, je me retrouve donc seul avec la blonde aguicheuse. A la regarder de plus près, elle est encore plus belle, ses courbes généreuses me permettent de me rincer l’œil une nouvelle fois. Ouais, je me la taperais bien cette gonzesse, elle me plaît assez, mais je suppose qu’il faut payer pour toucher, c’est comme ça avec toutes les prostituées. J’aurais tenté ma chance si j’avais de la thune mais manque de bol, j’en ai pas et je ne vais pas emprunter de l’argent à Kenji pour me payer une pute ; aussi belle soit-elle. Je la relâche, sors sa culotte de ma poche de jean et lui met sous le nez.
« Je ne sais pas quoi en faire donc je te la rends, mamzelle. »
Et je me tais, restant béat devant cette élégance, debout comme un couillon.
Putain j'en ai bavé pour trouver des couleurs qui me plaisent, surtout du jaune. xD Bwef hormis ça c'mon premier RP avec Sora... J'utilise le « Je » bien que je ne sois pas fan, je changerais sans doute. >w<
Invité
Lun 13 Mai - 20:05
Après le show... le réconfort ! Sora-chou & Katerina
La blondinette s'étira puis elle sortit de sa loge avec son large sourire habituel. Sa soirée allait être vide si elle ne trouvait pas quelque chose à faire. Peut être trouverait-elle un monsieur voulant passer une bonne soirée avec elle. Sans faire attention à ce qu'il se passait derrière elle, Katerina commença à s'en aller. "Peut être que je trouverait le prince ce soir ~" pensa-t-elle rêveuse. En apparence, elle semblait enjouée et heureuse, alors qu'a l’intérieur elle attendait son heure de bonheur. Mais voilà qu'un homme assez louche en apparence vint l'appeler "mon coeur"...Une erreur ? La prostituée se tourna alors puis le vit s'approcher dangereusement. Naïve, elle garda son sourire, ce qui pouvait donner raison à cet homme devant les vigiles. D'ailleurs, elle venait de remarquer qu'il avait sans doute des ennuis avec eux. " On va jouer l'jeu après il aura une dette envers moi ~" se dit-elle. Un petit rire adorable sortit d'entre ses lèvres pendant qu'elle posa ses fines mains sur son torse jouant purement la comédie comme on lui avait apprit à faire pour satisfaire certains fantasmes. " Salut mon amour ~ je te cherchais ~" Son visage s'approcha du sien venant murmurer à son tour une petite phrase "Tu as une dette envers moi". Une fois que les gorilles fut partit après s'être excusé auprès de la danseuse et de son "petit copain". Non, ce gars n'était pas son style de mec. Pas du tout même. Elle, elle aimait les princes, galants, romantiques, beaux et riches. Lui, il semblait rustre, bad boy, goujat et tout sauf riche. Après, elle n'aimait pas se fier aux apparences. Regardez la...Blonde, souriante, superficielle, un peu bête...en apparence. Personne ne voyait plus loin. Son étiquette de prostituée la suivait souvent aussi. Quand il lui tendit sa culotte, elle pouffa de rire en la prenant l'agitant sous son nez " Merci bien" Doucement, la sulfureuse blonde la rangea dans son sac puis elle recula mettant un petit mètre entre eux. Son regard vert ne le lâchait pas. Hormis sa classe de babouin, il était plutôt pas mal. Il avait un certain charme. De toute façon, ce petit bout de femme n'était pas du genre à s'arrêter au physique et aux apparences. D'un coup, elle saisit son bras avant de se mettre à marcher "Ce soir, j'ai fini mon travail et j'ai envie de m'amuser un peu. Tu me dois une dette non ?" elle lui lança un petit clin d'oeil "Je te propose d'aller soit boire un verre dans un bar soit d'aller se promener dans les rues de la ville ~" Oui, elle n'allait pas le lâcher comme ça. C'était pas souvent qu'elle tombait sur des hommes comme lui et l'audace, elle adorait ça. Le danger aussi ~ Avec son petit sourire habituel, elle essayait de le faire tomber sous son charme. Sa personnalité était un peu atypique voire surprenante qu'on a pas l'habitude de rencontrer de telles femmes. Les femmes de la nuit sont souvent celles avec le plus de secret. Ce soir, elle voulait oublier ses problèmes et s'amuser. Même, auprès de cet inconnu qui paraissait peu fréquentable. "Normalement je ne traîne pas avec des hommes comme toi, mais j'aime prendre des risques. On va pas s'arrêter au préjugé non ? Prouves moi que t'es pas un gorille sans cerveau ~ " Une fois sortit par la sortie de derrière, elle se mit à frissonner. Il ne faisait pas aussi chaud qu'à son arrivée. Le ciel noir et aux étoiles brillantes, attirait le regard de la jeune femme. Ce ciel lui donnait envie de philosopher. En marchant, elle lâcha son bras pour finalement ne garder que sa main dans la sienne. "J'adore ce ciel... Tu as vu ces étoiles. Je me compare à elles tout les jours. Regarde elle là" elle lui montra une petite qui brillait parmi tant d'autre, mais il était dur de la remarquer à côté de ses soeurs plus grosses qu'elle. "Elle lute pour briller parmi toutes les autres. Mais peu de gens la voit. Petite, fragile mais déterminée. Et elle rêve qu'un jour, que quelqu'un la remarque pour tout ça. Que ses efforts soient remerciés. Je délire certainement, mais j'aime me dire que je suis comme elle. Je brille un petit peu, peut être qu'un jour je trouverait quelqu'un qui me rendra aussi brillante que les autres." elle rit alors "Je suis trop romantique ~" Sur leur chemin, Katerina vit un petit banc. Tranquillement, elle s'installa dessus regardant son ami du soir "Je m'appelle Katerina au fait. Et toi ?"
Une dette, carrément ? Elle n'y allait pas par quatre chemins cette petite blondinette, dis-donc. Toujours debout comme un gros couillon, je la regarde avec un air surpris. Enfin, façon de parler, parce que dans mon cerveau, j'ai plus tendance à me faire des films bizarres. Du genre comment je vais la sauter ou un délire comme ça. Bah quoi ? Je reste un homme, un pervers, un vrai mec quoi. J'ai l'air macho ? Je vous emmerde cordialement. Trêve de bavardages, elle me propose gentiment de passer la soirée avec elle en me prenant par le bras … Et après ça je ne dois pas me faire de films ? Elle me drague ouvertement la donzelle, m'voyez, c'est que forcément elle attends quelque chose. Et c'est certain qu'elle va l'obtenir, vu qu'elle me plaît bien, je dois l'avouer.
« Va pour se promener. Je suis un peu à court d'argent, j'aurais même pas de quoi te payer un shot. »
L'honnêteté me tuera un jour, je crois. Mais je préfère être franc avec elle, qu'elle n'aille pas s'imaginer que je suis plein aux as alors que c'est tout le contraire et que je dois trimer comme un malade pour arrondir mes fins de mois. C'est limite si j'ai de quoi bouffer, alors faire picoler cette fille, je ne peux pas me le permettre. On marche tranquillement, arrivant finalement dehors et je la sens frissonner un peu. Elle a froid, OK. Je lui donne ma veste ? Non, je caillerais aussi. Alors je me contente de sourire comme un béat, tandis que sa main frêle effleure la mienne. C'est doux, mais je ne suis pas habitué alors je lâche prise. En plus, à part si je suis en couple, je ne fais pas des trucs de ce genre. Loin d'être un sentimental, je préfère laisser un petit espace entre nous, pour lui faire comprendre que je ne suis pas le prince charmant qu'elle espère. Je l'écoute déblatérer sur les étoiles avec un air débile sur le visage, creusant mes traits sévères. Elle délire pas mal, pourtant elle semble sobre, la miss. Arrivant près d'un banc, je la scrute à travers la semi-pénombre s'asseoir sur le banc et fais de même, après avoir préalablement allumé une clope. La fumée s'échappe en volutes grisâtres vers le ciel nocturne et je baille négligemment, répliquant avec une pointe de cynisme.
« T'es mignonne avec ton romantisme. Mais je doute que tu trouves ce genre de prince charmant un jour. »
Oui, vous pouvez dire que je suis froid, mais au moins je suis réaliste, moi. Je n'aime pas spécialement briser les rêves des gens, mais la réalité reste la réalité, les hommes ne la feront pas briller comme le souhaite, surtout avec le job qu'elle exerce. Ils la reluqueront comme je la reluque sans gêne en ce moment, comme des vieux vicelards. M'enfin, c'est quasiment certain qu’elle trouvera si elle change de voie. Elle est jeune, jolie et semble gentille. J'expire ma latte en soupirant et observe l'étoile qu'elle m'a montré auparavant.
« C'est un drôle de prénom... Moi c'est Sora, ça veut dire ciel en japonais. T'as pas l'air de venir d'ici, en tout cas. Surtout avec ces cheveux blonds et tes yeux verts... étrangère ? »
Qu'est-ce que je fous ? Ce n'est pas mon genre de m'intéresser à ce genre de détails. Certes elle est tout à fait mon type, petite, la peau douce, de longs cheveux. Mais m'intéresser comme ça à la vie d'une femme, surtout quand elle est aussi jeune, je sais pas, c'est pas mon trip. Elle a l'air de sortir de l'adolescence mais peut-être qu'elle est plus âgée que ça et que c'est seulement mon imagination délirante. Je me tais, vaux mieux et termine simplement ma clope sans rien dire.
Plus pourri, tu meurs. En fait j'ai vraiment du mal à tenir un seul compte, alors trois. =w= Bisouuus love & désolée du temps de réponse...
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Ven 3 Mai - 22:21
