Sei Gakuen
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Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi]

Invité
Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi] Icon_minitimeLun 6 Mai - 7:13
VIENSMONBEAU.




viens mon beau, que je te pète ça au visage et que ça fasse le tour du réseau de l'école. Viens, ça me fais marrer.


    J'ai mal, et je suis à terre comme une grosse chienne, étendue dans l'herbe. Je veux mourir, je veux vomir, j'ai la tête qui tourne, je vais tellement mal. Maman, Papa, je vous aimes, je suis désolé, je reviendrais pas avec une belle lettre de recommandation. J'ai fais la conne, encore une fois.Je me suis foutue entre deux personnes, encore une fois. Je vous ai déçu, encore une fois. Je m'en excuse, mais en ce moment, vous pouvez pas savoir à quel point j'ai mal. Bien sûr que j'ai des excuses. Bien sûr que j'ai une raison de me plaindre. Il y avais ce grand gars, quand même beau, devrais-je avouer, mais la tête vide comme mon porte-feuille en moment, par votre faute, mais bon, oublions le détail, hm? En tout cas, il y avait ce gars, il était dans le couloir près des toilettes des filles. Sur le coup, j'ai rien penser, je me suis dit que c'était normal, mais quelques secondes plus tard il y a eu une fille, assez belle, et probablement avec plus d'argent que j'en ai jamais vu, parce que bon, elle avait des vêtements que même moi qui travaillais d'arracher pied pouvait me permettre, qui est sortie. Il a commencé à lui crié dessus et elle, elle pleurait. Elle disait simplement qu'ils n'étaient pas fait l'un pour l'autre... Mais elle pleurait, fragile. Il criait, encore plus, disant qu'elle n'était qu'une salope, pas capable d'ouvrir sa bouche pour lui faire plaisir.... Maintenant que j'y pense, c'est gross. Et il allait lever sa main. Au début, j'ai attendu, derrière le muret. Et après. Vous connaissez la suite. Comme d'habitude, je me suis interposée, j'ai voulu lui donner une raclée. La fille est partie et j'ai eu droit a un petite fête juste pour moi.

    Il l'a traîne, derrière lui, par les cheveux, pendant qu'elle se débat comme elle peut, cette Saki, cette Wonderwoman qui voulait simplement aider cette fille. Elle se fait traiter de salope, de connasse et comme toujours, de fille qui ne se mêle pas de ses affaires. On la traîne jusque dehors et il l'envoi dans le gazon avec un coup dans le ventre. Et depuis, elle ne se lève plus. Elle attends sur le sol en regardant le ciel au dessus d'elle. C'est juste une douleur de quelques minutes. De quelques minutes, ce dit-elle dans sa tête. En effet, c'est un détail de quelques minutes, si le connard ne l'avait pas pogner dans l'utérus justement quand elle à ses problèmes de filles. Elle soupire, le monde la pointe du doigt, elle se tourne dans l'herbe, leur pète dans la face et part à rire elle même de son tour. Elle n'a pas d'élégance, la jeune Saki. Elle rit encore plus, lorsque les filles s’éloignent en sentant l'odeur. Et ouais, parfois, être un cochonne n'est pas plus mal. Elle rit, elle rit, et on entends même un bruit de cochon sortir de ses rires. Elle se relève lentement, difficilement, et marche petit à petit, toujours en riant comme la petite folle qu'elle aie. De toute façon, elle a déjà une réputation de folle, alors tant qu'à y être. Il n'y a pas meilleur remède que de rire un bon coup, disons-nous.

    Se tenant contre le mur, elle marche en direction de son vieil ami, elle rit toujours, toujours, et elle se traîne en se collant contre le mur. Son téléphone portable sonne, Saki arrête de marcher, puis soupire, continuant sa route. Elle frotte son ventre, tousse un peu, tourne dans le couloir de gauche, continue lentement. Elle prend son temps, elle avance petit à petit. Quelqu'un lui propose même de l'aider, mais elle refuse, disant qu'elle est presque rendue. Et en effet, plus elle avance, plus la porte de son ''vieil'' ami se voit. Elle y arrive finalement, elle glisse ses cheveux derrière son oreille, sa main frape sur la porte, elle l'ouvre puis reprends son rire, se rendant difficilement jusqu'au lit près du bureau.

    '' Yo, mon rosé, je me suis faite donner un coup de pied dans le ventre. J'ai mal, j'ai mes règles et j'ai plus de tampons. Help me? ''

    Elle rit, se couchant sur le lit et remontant légèrement son chandail pour lui montrer la place où elle venait de se faire frapper. Elle fait encore ce petit son ridicule qui sort de sa bouche lorsqu'elle rit. Elle voit la tête rose arriver, elle lui fait un signe de main. Encore une fois, elle se dit qu'il doit bien se demander dans quel genre de situation cette petite gamine s'est emporté. Mais c'est Saki, une de ses habituée, qui vient toujours le faire chier pour un mot d'excuse. Qui vient toujours lui demander pleins de pilules parce qu'elle ne veut pas dépenser un sous de plus dans ses affaires de merde la. C'est Saki, celle qui vient parfois juste l'aider dans la paperasse parce qu'elle l'aime bien aider. C'est Saki quoi, la jeune qui rit avec un son de cochon quand elle vient de se faire démembrer l'organe qui va porter des bébés.
(c) Code par Calys

Invité
Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi] Icon_minitimeLun 6 Mai - 8:09














Temps pour un ménage.



Lentement mais surement, Toshi avait commencer à s'adapter à son petit local qui lui servait de bureau. Certains élèves passaient plus souvent que d'autres. On aurait pu même croire que certains ne venaient que pour le voir. M'enfin, Toshi commençait à avoir son petit lot de malades; Kazuma le petit rebelle, quoi que, même si celui-ci tentait de ce débattre, Toshi arrivait toujours à s'en sortir sans être trop blessé. Y avait aussi quelques autres élèves à problèmes qui parfois ne venaient que pour des antidouleurs ou encore pour des conseils. Et il y avait Saki. Saki, quel petit problème ambulant. Une si jolie fille, avec un caractère de tête de cochon. Au moins elle l'aidait dans son travail, parfois on dirait même qu'elle fessait exprès pour manquer des cours juste pour lui parler. Quelle pie. Au moins cela le changeait des jeunes qui ne venaient que pour des petits bobos dans importances. Non mais, quand on saigne du nez, tout le monde sait où il faut faire une pression. Faut croire que ces jeunes n'ont rien appris à l'école ou on eu une éducation de merde.

Du ménage, c'était tout ce que Toshi avait en tête, faire le putain de ménage. Il laissait trop trainer ses feuilles, les dossiers des élèves, ses instruments. Mais Toshi n'a jamais non plus été monsieur ménage. Pour lui son confort était important, mais il fallait aussi qu'il pense qu'il ne serait pas seul dans ce bureau. Tout plein d'élèves allaient y mettre les pieds. Il fit donc cela. Commençant avec bien sur les dossiers des élèves et les papiers importants qui trainaient ici et la. Il regardait les dossier, les plaçaient en ordre alphabétique, regardant les visages, les uns après les autres commentant leur apparence comme mignon, mignonne, laid.. ou laideron. Tant qu'on le surprendrait pas, c'était pas si mal. Ensuite vint le temps des lits. Changer les couvertures, replacer le tout, replacer les rideaux pour avoir de l'intimité. Toshi s'étira de son corps, se coucha sur un des lits et ferma les yeux.

Quand il ouvrit les yeux, il se rendit compte qu'il venait faire un léger somme. Hé merde. Il ce précipita vers son ordinateur portable affolé. Quel heure était-il? Ah.. il n'avait dormit qu'une petite heure. Merci seigneur. Puis on cogna à la porte. Toshi se tourna aussi tôt vers celle-ci. La porte s'ouvrit. Il replaça ses cheveux à la va-vite et s'assit sur sa chaise, tentant d'avoir l'air professionnel.

Saki apparut de derrière la porte. Ah tiens... sa petite protégée. Enfin, protégée.. c'était vite dit. C'était plus tôt une fuyarde qui venait ce réfugier dans son bureaux de temps à autres. Mais qu'est-ce qui pouvait bien l'amener ici, Et surtout dans ce piteux état? Il la laissa prendre place sur le lit et ferma la porte du bureau derrière elle.

"Combien de fois t'ai-je dit de pas m’appeler ton Rosé? Je m'appelle Toshi. Tosh fonctionne, dieu aussi, mais Rosé c'est non..."

Toshi aimait bien ce petit surnom, mais il ne devait pas montrer trop d'affection envers les élèves. Certains pourraient être jaloux non? Enfaite, c'était plus tôt le côté professionnel de la chose. Il venait de commencer, il ne voulait pas perdre son emploi dès maintenant. En plus il aimait cet emploi. Puis il alla voir Saki, observant son ventre. Hmm... la personne avec qui elle c'était battue ne l'avait pas manquer. Il passa sa main sur son estomac, où elle semblait savoir faite frapper. Il prit place sur la chaise à son côté passant ses mains sur corps.

"Sa fait mal quand j’appuie ici? Et ici? Ici?"

Il appuyait sur certains point de son ventre, tentant de comprendre ce qu'elle avait.

(c) Fiche par Calys de L.Graph'



Invité
Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi] Icon_minitimeLun 6 Mai - 12:01
PREMIERJOUR.




au début c'était kazuki-san, tu t'souviens? moi je m'en souviens parce que tu as été une des premières personnes à qui j'ai donné un surnom.


    La porte se ferme et elle reprends lentement son souffle, respirant beaucoup plus doucement à présent. Un lit ne fut jamais aussi confortable depuis quelques temps et elle semblait au limite de l'extase et du repos. Ses yeux se refermèrent, les mains tenant son chandail relever, les jambes se calmèrent et purent reprendre de leur énergie. Son ventre montait et descendait tout lentement, tandis qu'elle pouvait finalement fermer les yeux. Ce court instant où elle ferma les yeux lui firent le plus grand bien, un bien immense qui semblait enfin la consoler. Cette salle, cette infirmerie était un de seuls endroits où elle se sentait parfaitement à l'aise. Depuis qu'elle était ici, elle tombait, tombait encore et encore sans jamais en voir le fond. C'était horrible à quel point elle avait passer de ''juste une fille qui veut aider'' et le nouveau souffre douleur. En effet, c'était son nouveau statut, car elle était rendue qu'elle craignait n'importe qui. Depuis son arrivé, elle ne pouvait même plus calculer le sur ses doigts et ses pieds le nombres de fois qu'elle était venu ici. La première fois, c'était exactement la même journée ou elle m'était ses pieds ici, voyez-vous. Le bus l'avait descendu a l'arrière au niveau des jardins et elle avait du traîner ses tonnes de valises derrière elle Et de loin, elle avait remarquer le bruit qui retentissait de partout, on criait, on gueulait, et sa curiosité avait prit le dessus. Elle avait rejoins le troupeau et malheureusement, n'avais pas supporter de voir le monde agir en bête ainsi. C'était la première fois qu'elle s'interposait entre un gars et une fille qui voulait littéralement se tuer mutuellement. En général, à Tokyo, ce n'était jamais aussi grave que ça, surtout que le monde tentait de faire quelques choses pour les arrêter. Ici, ils les encourageaient. A peu près deux semaines après cet événement, elle rencontrait le nouvel infirmier, Kazuki-san.

    Kazuki-san, parce que au début, non, elle ne l'avait pas appelé Rosé, mais bien monsieur l'infirmier, ou docteur Kazuki, ou Kazuki-san. Et quand elle était a moitié à terre, c'était ''Chose''. Et quand elle aidait quelqu'un c'était : ''Grouille ton cul''. Quand c'était quelqu'un qu'elle n'aimait pas et bien, c'était '' Le Docteur infirmier de cette école, Monsieur Toshi Kazuki-san!'' Et souvent, elle aidait à peine à transporter la personne sur le lit, parce qu'elle était elle-même souvent blessée. Mais la première fois qu'elle l'avait rencontré, elle était arrivée le nez saignait, les cheveux tout a l'envers et une autre fille sur le dos. Elle avait sourit comme une conne, au limite des larmes et elle s'était laissé tomber sur le lit. Elle s'était endormie bruyamment, ronflant dans son sommeil et restant un bon douze heure à ronfler, baver sur le coin de l'oreiller et a dormir comme un gros bébé. En se réveillant, elle avait les bandages en place, une musique calmante dans le local et un léger vent frais lui passant dans les cheveux. Il était à son bureau, avec des tonnes de feuilles à ses cotés, tentant de remplir chaque document respectivement. Il calculait l'inventaire à acheter, les coûts, les assurances, les transports en ambulance.

    Et puis, au fur et a mesure des visites, ça avait fini par être ''Mon rosé''. Elle connaissait la plupart des documents a remplir, ça lui faisait pas de mal, au contraire, elle était tranquille sur un lit, guérissant quelques blessures quelconques qu'elle avait subi. Avec le temps, c'était plus vous, mais toi là. Elle revenait parfois avec une liqueur pour lui quand c'était juste pour des anti-douleurs ou quelques anti-inflammatoire et qu,elle était capable de se tenir sur les jambes. Elle sourit, clignant des yeux et rit, passant sa main dans ses cheveux et retirant quelques feuilles qui s'y était coincés.

    '' Je t'appellerais toujours mon rosé, parce que c'est comme ça, tu n'as pas le choix. Apprécie ton surnom. Ça te vas bien, en plus, tu trouves pas. ''

    Et ce surnom l'a datait un petit moment. Depuis que ce n'était plus Kazuki-san et Yamaoka-chose binouche. Elle fit quelques grimaces sentant les premiers appuis et laissa un léger cri de douleur au bas de ventre.

    '' Je t'ai dis que j'étais dans ma semaine! Tu vas me tuer! ''

    Elle s'était relevé à ses paroles, puis se recoucha lentement sur le lit, fermant les yeux. Un soupire passa entre ses lèvres, tandis qu'elle regarda Toshi finir son travail. Elle lui demanda des pillules quelque chose pour arrêter la douleur, n'importe quoi, et se tourna sur le coté, regardant sa pile de papier, rangé pour une fois. Elle sourit, se disant que ça n'allait pas durer éternellement puis se releva de sur le lit, passant sa main dans ses cheveux et retirant encore l'herbe coincé. Elle sourit encore, se recouchant sur le dos et frotta son ventre de sa main droite, doucement.

    '' Je me suis juste mangé un coup de pied bien mal placé. Ce trou du cul allait frappé son ex parce qu'elle l'a quitté... En tout cas, il dit vraiment des affaires gross ce gars là, même pas capable de la respecter et il s'en vas pour la butter devant les toilettes... Tu sais, Rosé, je comprendrais jamais rien à cette école. C'est tous des bâtards et des connasses, j'arriverai jamais à rien ici. ''
(c) Code par Calys
Invité
Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi] Icon_minitimeMar 7 Mai - 9:25














Temps pour un ménage.



Toshi essayait de faire un diagnostique, mais celle-ci, étant trop agitée l’empêchait de faire son travail. Si au moins elle aurait voulu bien ce coucher et attendre calmement. Au moins elle n'était pas la pire de tous. Depuis que Toshi avait cet emploi il c'était pris un bon lot de coups aux visage au ventre et sur ses membres. Même une fois, il avait faillit se prends un coup entre les jambes, alors il commençait à avoir le tour avec elle. Toutes les fois ou elle rentrait après s'avoir battue c'était couche sur le lit, examination, voir si tout était okay, et des anti-doulleurs si nécessaire, et s'en suivait d'une bonne heure de parlotte si ce n'était pas plus. Toshi continua d'appuyer sur ses blessure ignorant ses protestations, puis quand elle ce tourna sur le côté, il examina aussi un peu son dos.

"Bon.. oui j'aurais pu te tuer.. mais pas implement avec mes mains et en appuyant sur elle. Tristement tu es dans ta semaine, donc je ne pourrais pas faire une vérification en profondeur."

Puis il ce leva, ce dirigea vers ses armoires et sortit un petit pot transparent de médicaments, sortit de ce pot deux pilules, il ce dirigea vers l'évier, pris un verre et le remplit d'eau puis s'en retourna vers elle. Toshi rigola un peu, lui expliquant que non, il n'aurait pas vraiment fait une fouille... profonde. Puis il ce mit a rigoler un peu en écoutant son histoire, lui donnant son verre et les médocs puis s'asseya par la suite à côté d'elle. À l'époque lui aussi avait tenté de défendre une fille en "détresse" contre son copain, mais tout ce qui était arrivé était que les deux parties c'étaient mis à lui crier dessus pour qu'il ce mêle de ses affaires. Alors pour Toshi, jouer les super-héros était dépassé. Il avait essayer, il avait échouer disons que guérir les gens était déjà suffisant pour lui.

"Prends ce que je viens de te donner, tout devrait aller mieux. Mais.. tu as pas un peu peur pour ta santé à toi? Je veux dire.. à force.. tu vas te casser un truc... à mois que tu ne veuilles vraiment te casser quelque chose, pour passer plus de temps avec moi... Oh.. Saki je t'ai déjà dit.. mon amour.. c'est mon travail!"

Puis il rigola un peu, regardant son cellulaire pour voir l'heure. Toshi n'aimait pas vraiment son travaille à ce point, c'était plus tôt pour ce foutre un peu d'elle. Saki lui plaisait bien, mais elle était trop jeune. Quelques années de plus... et sa aurait été parfait. Mais bon Toshi pour l'instant ce contentait de sa présence. Cette jeune fille était la personne envers qui il pouvait dire tout ses problèmes, comme une confidente quoi. Les prenaient le rôle de psychologue pour l'autre. Toshi serra son cellulaire dans sa poche et s'appuya sur le lit, où elle était couchée, la regardant.

(c) Fiche par Calys de L.Graph'



(Pardon.. beaucoup plus court..D: )
Invité
Un rire de cochon en plus. [ PV. Toshi] Icon_minitimeMar 4 Juin - 15:02
GONNA.VOMIT.




faisait un peu mal au cœur, de voir comment tu pouvais ignorer le fais que je me tortillais sur la table.


    Parfois, il fallait mieux faire comme si on comprenait les jokes, on comprenait que c'était des jokes et non de vrais commentaires. Ça vous met dans le trouble, ça vous donnes des idées un peu folle, ça vous fait penser des choses qui ne vous serais jamais venues. Les jokes. Les commentaires abusifs. Parfois, même vos plus lointains désirs ne représente même pas l'étendue de ce que votre esprit peut imaginer. Il suffit de quelques petits mots, une tournure bizarre, et ça démarre. Votre cerveau vous envoi des milliers d'idées complètement suicidaires, incompatibles, impossible, même pour vous. Jamais, non, au grand jamais. Y'a des choses qui s'imaginent, d'autre pas. Y'a des choses qui doivent rester enfoncé dans le fin fond de son esprit. Sauf que le cerveau, comme tout le monde le sait, en a toujours absolument rien à foutre de ce que tu veux ou non. Tu aimerais ne plus avoir mal ? Et bien, non, tu as encore plus mal. Envie de queue. Non, tu auras mal à la tête. Test cette après-midi. Il en a rien à foutre, let's go party in the house. EN GROS. C'est un trou du cul. Redressement, tournant la tête de gauche à droite, allez, change toi les idées, baissant le chandail, se rallongeant et donnant une excuse brève. Sèche. Rapide. Non, non, tout vas bien. Tout vas toujours très bien. Sauf le fait qu'elle vient de s'imaginer couché les jambes d'un coté du lit, la tête de l'autre et les mélodieux sacrement de cette demoiselle qui est mille fois plus sensible quand le sang déborde. En gros, comment gâche la scène inimaginable, pitoyable, un peu grotesque en rajoutant une bonne couche de confiture de femme en période menstruelle.

    '' Très drôle, Rosé, très drôle. Je suis sûr que tu adoreras ça, la profondeur.''
    Elle rit, parce qu'une femme sait toujours très bien caché son jeu. Dans le fond, elle n'ont plus, elle a pas envie d'aller en profondeur. Non, mais oh. Elle est ici car elle le veut bien, car elle en as vraiment besoin. Juste une foutue lettre de recommandation et la voilà, avec un joli diplôme et un nouveau départ dans les mains. Un, il est adulte. Deux, elle est mineure. Trois, elle est réglée. Quatre, il est probablement pas puceau. Cinq, elle est pucotte. Six, elle connait pas ça, la contraception. Sept, nowaynever. Parce qu'elle aime bien Toshi, elle veut pas foutre ça en l'air. Parce qu'il est bien comme ami ///FRIENDZONED///. Il est bien comme il est, et puis, c'est une pucotte, qu'elle pucotte de ce nom serait assez conne pour se foutre dans la madamdouille et dire adieu à sa virginité en l'espace de deux secondes, un quart d'heure, selon une moyenne vu dans un magasine web sur la sexualité. Elle a pas envie que le lit craque, de briser le métal sous leur poids. En gros, elle veut juste pas. Elle n'en ressens pas le besoin. C'est pas une fille en manque... Elle ne connait pas ça, elle ne connait pas. Alors pourquoi goûter à quelque chose par curiosité quand cela peut juste lui apporter du trouble.

    Elle se redresse, prends les pilules dans sa main et les lance dans sa bouche, prenant une gorgée d'eau et sentant ses tripes se crisper en avalant l'eau qui suit. Un peu glacée, doit-elle avouée, mais c'est bien mieux comme ça que chaude.

    '' Pas besoin de me le dire, je sais à quel point tu adores tripoter... oups, vérifier les corps de tes patients, fait pas l'innocent, Romario.''
    Elle rit, lui poussant la tête un peu et se rallonge, prenant une longue respiration. Ça tourne un peu autour d'elle, c'est vague, flou et elle ferme les yeux un très court instant avant de les ouvrir, raclant sa gorge et contemplant le plafond quelques secondes. Quel était vraiment les raisons qui la poussaient. Faiblesse. Crainte. Désir d'être forte. Féminisme. Toutes ces choses qui faisaient d'elle une tête dure qui fonçait, sans regardé ce qu'il y avait autour.

    '' Je sais pas. Je veux pas être sacagé non plus, mais je ressens le besoin d'acourir. J'ai l'impression que si je ne fais rien, personne ne fera rien non plus. Et je vais me sentir encore plus.... Encore plus horrible.''
    Elle se retourne, passe sa main dans les cheveux rose et sourit. C'est silencieux depuis quelques secondes, mais ça fait du bien. Son esprit tourne encore, quelques secondes.

    '' Enfin, c'est un peu comme toi. Je me vois juste pas être là sans aider le monde. Enfin, sauf si la raison pourquoi tu es ici en tant qu'infirmier c'est pour tenter de profiter des jeunes en détresse.''
    Elle rit, encore, et puis elle se dit que ça pourrait vraiment être le cas. qui dit qu'il n'a jamais... Alors, elle a un tas d'images louches qui s'accumulent dans son esprit. Elle est pucotte mais pas conne. ( Elle a juste prit beaucoup de ressource audio-visuelle ) Et si il était pas aux filles. Et si. Elle imagine quelques instant une drôle de scène, et puis, ça remonte. Remonte. Le lit craque. La sueur coule. Les voix s'entremèlent. Elle rêvasse. Elle s'étire, et marche vers la poubelle, crache, crache. BEDANGBEDANG. Le lit cogne contre le lit. Gémit. BEDANGBEDANG. Ça cri dans l'infirmerie. C'est plein d'action. Les corps se collen, chaud, transpirant. Musclé. Elle tousse, crache encore de la bile. BEDANGBEDANG. Elle tousse encore. BEDANGBEDANG. Je vais venir. Et ça continue. elle rit, mais en même temps, elle tousse. Elle peut pas l'imaginer ainsi n'est ce pas ? BEDANGBEDANG. Elle crache et soudainement, un petit morceau de pillule blanche sort de sa gorge. Hum. Intelligent. C'est blanc, ça aussi. Et puis, elle s'imagine le retournement horrible. Tournement de corps, tournement de situation, ça coule partout. PLOUFPLOUF. Elle rit, crache encore. Et la tête Rosé est parcemé, et le grand énorme gros gars s'en vas de sa tête. Elle rit, allez, calme-toi. FOUTU ESPRIT.
(c) Code par Calys

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