Sei Gakuen
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Liberté, quand tu m’appelles. [PV Toshi]

Invité
Liberté, quand tu m’appelles. [PV Toshi] Icon_minitimeMer 8 Mai - 5:02


Soyons fous.

Les couloirs semblaient vides ; le silence pesait sur le pensionnat encore endormi. J'étais le seul réveillé. L'écran devant moi affichait de nombreux codes incompréhensibles pour la plupart, et pourtant. J'avais encore fait mes expériences sur le serveur de Sei. C'est simple, seulement, personne ne comprend mon génie. Ca serait trop beau. Je savais que ces fichiers craqués, j'étais le seul à les avoir. Ces petites choses m'amusaient à un point inimaginable. Je ne lisais rien ; c'était trop peu intéressant. J'avais le Wi-fi ça me suffisait ! Comme l'hideux Minautore aux cornes rabougries, comme le grondement d'une frêle créature de la nuit, j'étais traqué. On m'avait vu. Les sons habituels des pas du Loup s'approchaient à grands pas.

Combien étaient-ils ? Plusieurs, ça suffisait. Par leur démarche gauche et leur souffle en colère, comme le chien des Enfer, comme le Phoénix enragé, comme le Faucheur d'âme, ils étaient perchés, surplombant de toute leur hauteur l'esprit vagabond que j'étais. "Qu'est-ce tu fais?" demanda le premier, qui employait un de ces airs fiers, ces sourires Narcisses qui ne cherchent que leur reflet dans le lac. Le deuxième répondit, aveugle et renfrogné, quelques grossiertés de la pire race. Moi ? Insulté ?

Qu'ils aillent se pendre. Leurs raisons ? Ils mandaient un pardon de ma part. D'autres y voyaient un de ces jeux ivres, celui de la Baston. Je suis tombé bien bas dans ce monde de guerre. Microbe, m'avaient-ils appelé ? Ils allaient payer. Je n'avais rien à me reprocher. Je ne savais même plus le pourquoi du comment on en était arrivé là. Je m'obstinais encore à ne pas croiser leurs vaillants sourires de feu, je m'obstinais simplement à ne pas me mettre en colère.

Je fermais l'écran de ma divinité du Monde, pour enfin leur offrir un des plus blasés des regards de l'Univers. C'est comme cela, hélas, que les infortunés de la Terre nous accordaient quelques secondes d'attention. Je rangeais ma machine dans la sacoche du Diable, me relevant pour faire face à l'individu remonté des Enfers. C'était tellement amusant, de voir des têtes sûres au dessus de leur cou, tellement amusant de voir qu'ils ne savaient pas à qui ils avaient à faire.

Pourtant, le seul mot qui me venait par delà mon âme tourmentée était celui-ci : Insolent. Le suis-je ? Mais non, voyons, on y serait berné. Je n'ai pas besoin de l'être pour être ce que je suis. Je ne leur ressemble pas, c'est tout. Le Noir ténébreux envahissait ma vision. Des images chevaleresque d'un enfant sans défense me revinrent à l'esprit. Je ne suis plus Lui. Je reprend l'affaire de Mimétisme de la maladie Parentale, c'est tout.

Un cri vient troubler mon apaisement. Ah, oui, le Chaos avait déjà dépravé l'atmosphère. Un cercle d'élèves curieux, Moutons décharnés du reste, le blond du milieu qui venait une nouvelle fois d'oser m'interdire sa Punition, et moi, petit brun, qui d'un coup de genoux lui avait pratiquement fait vomir son déjeuner.

Soyons fous.

Il m'asséna d'un coup de bascket à l'endroit que je ne voudrais jamais me servir, et pourtant, Souffrance sait à quel point ça fait mal. Je me retrouvais à embrassé Gaya de mon dos sans retenue, et finalement, moi aussi, je lui rendais la pareille. Nous deux, comme des cons, désarmé de notre appareil génital, furent les seuls à tirer une tête étrangère à celles du corridor.

Le Blond, poussa un cri de douleur comparable à celui d'un coq le matin -en plus émouvant, avec les gouttes de pluie en plus-. Incapable de bouger plus que cela, il se laissa tomber sur moi, me donnant tantôt des coups de poings, tantôt des coups de griffes, tantôt mes cheveux étaient tirés en arrière. Je lui rendais les coups, fillettes qu'on osait ressembler, et finalement, ce fut des surveillants qui nous séparèrent. Entré dans une colère folle, ils s'y mirent à cinq pour me calmer, en venant à un deuxième coup dans la Chose qui procurait, disait-on, un soupçon de plaisir charnel. Je restais à présent silencieux, repoussant parfois leur entrées en scène pour me faire avancer plus vite vers l'infirmerie.

Ok, j'avais des bleus, un oeil au beurre noir commençait à venir, des traces de sang sur mes bras nus, je boitais grâce au majestueux coup de pied dans le tibia que je m'étais reçu, mais fallait voir la tête du pseudo attaquant :

Décoiffé, les deux yeux aux beurre noir, le nez saignant, marchant à cloche pied tenu par deux Gendarmes de Sei, larmes perlant aux abords de ses yeux, et je passe ses nombreuses ecchymoses. Il réfléchira avant de s'attaquer à un inconnu. La Brute me lançait des regards de haine, déformé par celle-ci, d'ailleurs.

Je finis aux urgences de l'infirmerie. Dieu sait que c'est long ! Horrible Sacrilège. Le blond se fit prendre en charge par deux demoiselles. Je sentais le désespoir se lire dans ma tête tournant. Si il avait reçu les filles, il y avait de grandes chances pour que je tombe sur le Rose.

Cannibale destin.

Je fus envoyé dans sa Salle de Tortures, les trois gardes m'ayant jeté dans la Cage, refermant la porte. Pas la peine de fuir. Ils m'attendront dehors... Je faisais face à la Bête, l'affrontant d'un regard noir, avant de regarder d'un air désintéressé les objets décoratifs sur son bureau, les examinant sans trop me convaincre.

- Alors, qu'allez-vous me faire, aujourd'hui ? surplantai-je d'une voix ironique, levant les yeux vers le concerné. J'avais des ecchymoses de partout, je boitais. Sûrement à cause de foutu truc qui ne sert à rien. M'attacher sur votre lit blanc, me ligoter à une chaise, me réprimander sur ma façon d'être, ou encore me demander de votre grimace exaspérée ce qu'il s'est passé ? Hu-uh...


Invité
Liberté, quand tu m’appelles. [PV Toshi] Icon_minitimeMer 15 Mai - 6:16














You've got mail!



"Allez il faut sauver la princesse!!"

Toshi était au rebord d'une falaise regardant au loin la princesse du royaume qui c'était fait kidnapper par un dragon rouge cracheur de feu. Celui-ci avait déjà détruit la moitié de la ville ainsi que plus de 80% de l'armée du Roi. Toshi était à la tête de celle-ci. Espérant avoir le temps de sauver la princesse, celui-ci sauta dans le vide, ainsi que le reste de l'armée. Tous en chute libre tombèrent jusqu'à près du niveau de l'eau. Quelques secondes de plus et il allaient mourir, quand tout à coup des griffons armés de lances glace ou de mitraillettes leur passèrent sous le corps, les rattrapant en plein élan. Le choque fut terrible pour l'entre-jambe de l'armée. Mais tout de même, il s'envolèrent, à la vitesse des griffons.

Après un certain moment, Toshi à la tête apercevait le dragon ainsi que la princesse. Ils étaient près d'un gigantesque volcan. Prenant de la vitesse en descendant les griffons ce faisaient descendre les uns après les autres par le volcan qui venait de tomber en éruption. Toshi ainsi que son griffon arrivaient à éviter les grosse boules de magma qui tombaient du ciel. Puis il finit par arriver face au dragon, lui tirant dessus avec le fusil de glace, ainsi qu'avec la mitrailleuse. Il repassa quelques fois, tirant toujours dessus, jusqu'à ce que son griffon reçut un coup de patte du dragon. Les deux tombèrent vers le volcan. Toshi lui sauta au dernier moment, laissant le griffon tomber tout seul. Il sortit ses deux épées avec sa première paire de main ainsi que deux petites mitraillettes avec ses autres mains. Rappelons-nous que c'était un rêve. Mais Toshi lui, ne s'en rendait pas compte. Courant vers le dragon les deux paires d'armes pointées sur lui, tirant sans arrêt. Il arriva à deux mètres du dragon, qui lui donna un coup de patte. Toshi fut propulser dans les aires, tombant vers le trou du volcan. Il réussit à ce rattraper au rebord. Il fessait chaud, très chaud. Sa main commençait à céder. Il entendit des bruits, des cris! C'était la princesse. Il essaya de ce remonter, en vain. Puis comme une merde, il tomba, du haut du volcan jusqu'à dans le magma bouillant au bas. Il s'engouffrait dans le magma brulant, mourant à petit feu (jeu de mot!!:D). Le chevalier venait de disparaitre.

Toshi ce réveilla, en sueurs. Il venait de faire un rêve où il était over-épique mais où il mourrait. Tentant de ce rendormir, dû au fait qu'il fasse toujours noir dehors il en fût incapable. Tant qu'à faire, pourquoi ne pas ce lever à cette heure? Histoire de ce coucher plus tôt ce soir là. Toshi ce leva, regarda ses compagnons de chambres toujours endormis et soupira. Il aurait préféré avoir sa propre chambre, ou encore son appartement. Bon, de toute façon le loyer ne lui coutait rien, alors il n'avait pas à ce plaindre. Toshi ce leva seulement en bas de pyjama et ce rendit vers son bureau de linge. Il ouvrit les tiroirs dans faire de bruits, prenant des chaussettes, un boxer un chandail propre ainsi qu'un pantalon propre. Il allait aller prendre une douche. Il ce dirigea vers celle-ci prenant une serviette au passage.

Ouf.. une bonne douche après une nuit aussi mouvementée. Toshi ce sentait propre à nouveau. Il prit le temps de s'habiller, ce brosser les dents pour ensuite aller porter ses vêtements sales dans son sac de vêtements sales. Il passa par sa commode de linge ce ramasser une cravate, prit son cellulaire, ainsi que son porte-feuille et ses écouteurs. Il prit une petite marche dans les coulloirs. Ce rendant par la suite à sont bureau.

Ses écouteurs sur ses oreilles, son cellulaire mis à fond, il entra dans on bureau, y allumant les lumières. Personne n'y était pour une fois. Enfin, la paix. Il ce précipita vers la machine à café. Premier achat qu'il avait fait avec sa première paye. Un bel engin. Il mit à préparer son café, allant sur l'ordinateur voir ses mails. Des spams, que des spams et oh tiens un message de ses parents.

"Cher Toshi, nous transcrivons pour t'annoncer la mort de ta tante ******* qui vit en Amérique. Nous y allons histoire de bien passer aux yeux de la famille. Voudrais-tu y venir ou serais-tu trop pris par ton travail? Maman qui t'aime."

Sa tante en Amérique? Il ne savait pas du tout de laquelle elle parlait. L'Amérique pour lui c'était loin dans ses souvenirs. De toute façon comme elle l'avait écrit il était trop pris par son travail. Il lui écrit donc une lettre déclinant l'offre. Quand tout à coup la porte s'ouvrit. Par dessus ses écouteurs il entendit les plaintes de quelqu'un. Qui était-ce encore? Il ce leva, regardant le jeune homme qu'on venait de lui livre. Kazuma? Encore? Les surveillants avec lui refermèrent la porte derrière lui. Il ce dirigea vers le petit, allant prendre son sarrau accrocher au dos de la porte. Il l'enfila, regardant au passage le visage de celui-ci.

"-Tu as raison.. je vais bien te demander comment tu t'aies fait cela, mais en examinant ton visage."


Il l'amena vers le lit pour s'y fait asseoir. Il l'examina de près, regardant les bleu sur ses bras ainsi que ses yeux noirs. Dans quelle genre de merde s'était-il mit encore?

"-Qui as-tu fait chier encore? Des surveillants ou tes copains les fouteurs de troubles? Sérieusement.. je sais pas comment vous faites pour vous ramasser dans une telle pagaille."

(c) Fiche par Calys de L.Graph'


Invité
Liberté, quand tu m’appelles. [PV Toshi] Icon_minitimeJeu 16 Mai - 5:47


"-Tu as raison.. je vais bien te demander comment tu t'aies fait cela, mais en examinant ton visage." Non. Non. Non. Non. Et... Non. Pas touche. Me touche pas bordel. J't'ai rien demandé. Le jour où j'aurais besoin de vous, j'irai demander. Là c'est pas le cas. Foutez moi la paix, mon ordi est entre les mains des surveillants et je veux le récupérer. Pourtant ils savent que je dois faire cette séance de torture libérale si je veux jouer ! Pfff. Il s'approchait. Je reculai, prêt à me défendre... Quoi que, défendre est un bien grand mot ! C'est qu'il tapait fort quand même ! Mes bras me faisaient mal dès que je les bougeais. Ma jambe gauche me tuais quand je marchai. Et mon entre jambe... Mais putain, ça fait mal bordel ! Pourquoi il me laisse pas me reposer tranquille ? J'avais l'habitude de recevoir des projectiles en verre ou des couteaux, moi, pas des coups et des morsures... Bref. Je savais m'en sortir tout seul. Mes mains tremblaient. J'avais l'impression de redevenir ce petit gosse faible que j'étais avant. Pourquoi ? Il était adulte. J'étais seul. Aucune possibilité d'être secouru. Aucun moyen de vraiment se défendre. J'aurais quand même essayé... Ma jambe commença à partir pour lui donner un coup de pied. Sauf que non. Je venais de me ramasser contre le lit. J'avais l'impression d'être un pauvre animal traqué. Je grimaçais. Ma jambe me faisait atrocement mal... Une entorse, un gros bleu, ou encore une fêlure... Je savais pas trop. J'avais pas envie de le savoir. Je ´ne voulais qu'une chose : rentrer dans mon dortoir. Bref. Je me suis retrouvé allongé sur le lit blanc, seulement capable de... De rien faire. Je n'avais plus que les mots et les souvenirs qui revenaient.

« Me touchez pas...» murmurais-je tandis qu'il était à une dizaine de centimètres, qu'il me touchait les bras. Je frissonnai. Ça ne faisait pas très mal, mais je sentais mes forces m'abandonner. J'étais incapable de me défendre. Ça changeait de d'habitude... J'essayais encore de lui enlever la main quand il releva la mèche de mon visage. Une énorme cicatrice allait de la tempe jusqu'en dessous de la joue en ligne presque droite. Je le fixais d'un regard se voulant meurtrier, mais les souvenirs revenaient à une vitesse folle. Mon regard était tout simplement vide. "-Qui as-tu fait chier encore? Des surveillants ou tes copains les fouteurs de troubles? Sérieusement.. je sais pas comment vous faites pour vous ramasser dans une telle pagaille." Il ose m'accuser... Le con... Il ose les appelait "mes copains"... Je n'ai PERSONNE. CE ne sont PAS mes COPAINS. Je suis seul, t'as capté ? Ne m'inclue jamais dans une bande. J'agis seul. On me touche, je me défend. Et tu vas te rentrer ça vite fait dans le crâne.

« Je n'ai pas besoin d'avoir de “copains” dans cette bande d'abrutis. Ils avaient qu'à pas me chercher, ni me toucher, c'est tout... Hu-uh... » Et c'était vrai. Ma voix lointaine, mon regard perdu, je ne cherchais pas à voir ce qu'il se passait. Je laissais échapper des frissons quand le Rose me touchait, ne parvenant pas à le repousser. C'était tout simplement impossible de le faire... Souvenirs, je me revois à trois ans, laissant les Dames me toucher, comme des porcs. Je les revoyais me tripoter en disant «il est trop mignon » «p´tit chou sexy, va» «c'est le votre ?» «vous êtes mariés ...!?». Et pouf. 3 années et déjà des coups. Encore des coups. Toujours des coups. Des éclats de verre. Des cris. Des larmes. Le couteau. L'hôpital. Le bloc opératoire. Tout. Mon grand père. Père. Elles. Leur contact. Leurs langues. Leur désir, leur plaisir... Je les haïssais tous . Je voulais les égorger, comme un démon. Je voulais faire payer ceux qui avaient dit “ c'est un monstre”. Car oui, je serais leur monstre si ils le souhaitent. Pour toujours je les laisserais baigner en Enfer. J'anéantirais toutes ces femmes sans autre jeu que de faire payer leur corps. Je les tuerais, Elles. Je demanderai à mon père, si il se souvient de moi. Je lui dirai que je lui rend l'appareil. Et je l'assassinerai aussi. Comme tous les autres. Tous ceux qui me touchent. Tous ceux qui veulent me toucher... Bon, pitoyable rêve. Attitude de merde. Je tremblais un peu, assis sur le lit blanc, une main sur mon entre jambe qui me faisait atrocement mal. Deux coups dedans. C'est pas possible aussi !

Invité
Liberté, quand tu m’appelles. [PV Toshi] Icon_minitimeSam 10 Aoû - 0:02














After a little check up...




Toshi continua un instant de regarder ses bras. À un moment donné il devrait bien aussi aller regarder plus bas, mais toutes choses en son temps. Il avait de belles marques bleues sur les bras et des enflures au visage. Il n'y allait pas trop doucement histoire de savoir exactement où il avait mal. Ici. Là. Cela lui rappelait certains autres élèves qu'il soignait dans l'école. La plus part étaient de petits sauvages, qui ne pensent qu'à eux et leur plaisir. "Moi. Moi Moi." Des petits "je connais tout, j'ai tout vécu". Il ce demandait encore pourquoi il avait prit ce job. Pas grave ça paye bien et il a la chance de rencontrer des gens sympas et d'autres moins. De toute façon, tout ce que le petit Kazuma aurait besoin est de repos, donc soit il passait quelques temps ici avec moi, soit il allait dans ça chambre. Mais qui dit un patient avec lui dit aussi qu'il aurait la chance d'en savoir plus sur lui et aussi de peu-être ce mettre un élève de son côté histoire de pas n'avoir que des étudiants chiants et rebelles dans ses jambes. Mais peu importe, il devait trouver un moyen s'il voulait qu'il reste car Toshi savait très bien que Kazuma ne resterait pas que pour discuter. Il devait trouver un moyen.

Tout en examinant à nouveau son visage et l'écoutant parler, Toshi posa ça main sur son torse et le fit ce coucher au complet sur le dos. Il soupira et vint prendre son visage entre ses mains et approcha celui-ci du sien, histoire de voir mieux. Il tourna sa tête quelques fois. Ceux qui lui avaient taper dessus ne l'avaient pas du tout manqués. Un bel œil au beurre noir. Qui lui avaient fait ça? Les surveillants ou encore l'autre élève? Peu importe, on ne lui avait qu'apporter lui, peu-être aurait-il la chance de rencontrer son attaquant plus tard..? Il prit ses doigts et vint écarter son œil au beurre noir, regardant dans celui-ci attentivement.

"Dit Kazuma... tu peux m'expliquer en détails ce qu'on ta fait? Avec la gueule que tas on dirait qu'un bulldozer tas passer sur le corps. Et en passant je crois que tu devras passer quelques temps ici. Avec la tête que tas, tes bras comme ils sont et le reste de ton corps, que j'imagine autant endommagé que les autre parties tu auras besoin de repos et du moins de stress possible."

Il ce leva allant vers son ordinateur, il fit rétrécir sa page mail et ouvrit une page avec les dossiers étudiants. K-a-z-u-m-a S-a-t-ô. Voila, son dossier scolaire. Il ouvrit son horaire et l'examina avec attention, attendant toujours la réponse de son patient.

"Si tu souhaites je pourrais te faire avoir tes devoirs ici directement, tes leçons et tout, ou encore te faire avoir un pc ou un portable histoire que tu puisse suivre le cours live. Tu choisis."

Il fit imprimer son horaire, ce tournant vers l'étudiant encore dans le lit d’hôpital.

"Oh.. et tu dois enlever ton pantalon, histoire de voir mieux tes jambes. Je sais pas pour toi, mais je ne voir pas très bien au travers des vêtements."dit-il avec un ton de sarcasme et d'amusement.

(c) Fiche par Calys de L.Graph'


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