Sei Gakuen
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 
Un jour peut-être ...

Invité
Un jour peut-être ...  Icon_minitimeDim 7 Fév - 23:00
Le ciel était aussi bleu que dans mes rêves, et je ne pouvais pas dire qu'aujourd'hui, il ne faisait pas beau. Les nuages flottaient doucement dans le ciel, ces nuages voyageaient librement sans qu'aucune personne ne vienne les déranger dans leur course. Moi aussi, je voulais devenir un nuage où personne ne viendrait me gêner et me déranger dans l’évolution de ma pauvre vie. Si je devais mourir prochainement, j’aimerais me transformer en petit nuage blanc et voyageait encore et encore sans m’arrêter dans ce monde. Je mis mes mains sur mes yeux pour me dire comment j’en étais arrivée là au juste. Je ne comprenais rien de ce qu’il se passait dans cette université de malheur. J’avais essayé de comprendre par des brides conversations la guerre des sexes, mais finalement, je n’avais rien appris de grands choses depuis que j’étais là dans cette école. Dans l’université qui n’était pas encore très bondé, tout le monde me parlait avec le titre de « Vénus »… Mais franchement, je n’aimais pas quand on appelait comme cela, j’avais un prénom et un nom de famille, mais au final, tout le monde m’appelait Vénus. C’était un titre ou une étiquette pour mieux m’identifier dans ce grand établissement de Sei. Tout ce que je voulais maintenant était une vie paisible et que personne ne vienne m’embêter pendant ces longues années d’études.

Mais je savais bien que ce vœu ne serait pas possible, un vœu impossible pour le moment. La plupart des étudiants connaissait mon passé et ce qu’il s’était passé pour que je haïsse les hommes autant que cela. Je me touchais mon bras droit, où se trouvait mon tatouage, ma fleur de lotus. Je l’avais bien caché sous un bandeau blanc sous mon pull bleu. Je stressais beaucoup par rapport à mes parents, ils ne savaient rien du tout ce qu’il s’était passé durant la première semaine avant les cours et vaut mieux pas que je leur dise, sinon cela allait finir devant la justice… Enfin, bref … je n’avais pas envie de cela, et donc je me tue… C’était ma faute si j’avais failli de me faire abuser par un homme inconnu mais séduisant. Je chassais ses pensées de mon esprit pour le vider ensuite dans le beau parc de la ville. Oui, j’avais décidé de quitter les cours pour aller me reposer un peu dans le parc de la ville. J’aimais bien ce parc car il n’y avait pas que des étudiants dans cette zone et peut-être que je me ferais d’autres amis… Qui ne m’appellerait pas Vénus.

Je m’étais allongée dans une zone où personne ne pouvait me voir. J’avais encore mes livres de cours de langues dans mes mains, je n’avais pas pris le temps d’aller à mon appartement pour les déposer. J’avais bien trouvé un endroit où me longer pendant mes études et ce modeste appartement me convenait parfaitement et je me sentais très bien. Je savais que cette vie allait me plaire si je n’avais pas eu ces problèmes avant de venir dans cette université. Enfin, bref, je me reposais dans l’herbe tendre, le soleil chaud me réchauffait sur mon visage et je ne pensais à rien d’autres qu’a ce moment présent. Ma philosophie était de vivre au jour le jour et rien de plus. Prévoir le futur n’était pas dans mes habitudes sincèrement. « Ahahahhhh, qu’est que je voudrais que ma vie soit comme aujourd’hui … Juste comme cela et rien de plus… »
Midori S. Lewis
Neptun
Midori S. Lewis
INSCRIPTION : 29/10/2015
MESSAGES : 76
LOCALISATION : Ta tête! Mes pieds! Séance de nettoyage! Tu fais le rapport?
EMPLOI / LOISIR : Briseuse! Broyeuse! Destructrice d'organisme masculin!
HUMEUR : Mon poing! Ta tête! Le sol et ton sang qui déborde! Tu fais le rapprochement?
Un jour peut-être ...  Icon_minitimeSam 13 Fév - 0:38
Un jour peut-être ...  Tumblr_mdpxlhvDko1rl1inqo2_500

Un sentiment de liberté Partie 1
On a tous besoin d'un peu de liberté, ce sentiment de n'avoir aucun compte à rendre à personne. Je commençais à sentir mon besoin de m'évader. Entres les cours, les gens, les réunions des Neptunes. Je sentais ma tête se gonflait, celle-ci en était arrivé à un stade, où le besoin de s'aérer été devenu vital. Afin d'éviter un burnout ou de péter les plombs, il me fallait m'évader de l'établissement quelques heures. Je me réveillais donc ce matin avec la ferme intention de sécher mon après-midi de cours. Le réveil fut difficile, j'avais eu en effet, un accrochage avec un mec, celui-ci ne voulant pas me lâcher. Nous en arrivions rapidement aux mains. Je grimaçais à cause des quelques bleues qu'ils me restaient sur le corps. Soupirant amusé, je repensais à mon arrivée à Sei qui ne s'était pas fait sans moindre mal. Cette école avait bien quelque chose d'intéressant, mais plus j'y songeais, plus je me demandais si cet établissement conviendrait à Andréas. Lui qui a toujours détesté la violence, je me demandais si mon frère serait en sécurité chez ce groupe de pacifiste. Puis en y repensant, je me souvenais d'un nouveau président de conseil des élèves. J'entendais beaucoup de rumeur à son sujet ces derniers temps. Ce président semblait vouloir avoir la main ferme. De ce que je comprenais par la rédaction du lycée, des rumeurs concernant ce type se voulaient être novatrices et marquantes.

Il me fallait encore un peu de temps pour y penser. J'aurais aimé en parler à Maya, mais celle-ci était pas mal préoccupée ces temps-ci. Je me mettais à penser à Faye, ma deuxième meilleure amie, elle aurait su me conseiller pour Andréas. Malheureusement celle-ci ne semblait pas encore pouvoir répondre. Une confidente, c'est ce dont j'avais grandement besoin en ce moment. Mais cela ne se trouve pas ainsi, comme l'on trouverait une pièce par terre en pleine rue. Je me décidais à me lever, prenant des vêtements propres, ma trousse de bain et filait vers les douches me réveiller sous l'eau. Après une douche qui fut rafraîchissante, je repassais dans ma chambre pour ranger mes affaires. Je me fichais d'arriver en retard aux cours du matin. Je ne tenais pas à me faire voler, il me fallait donc planquer mes biens les plus précieux. Après avoir mis en lieu sûr mes affaires, je me décidais à m'habiller. J'attrapais un soutif noir à balconnet puis un débardeur sans manche noir à col plongeant. Et enfin un pull à manche longue blanche à col plongeant également. Il ne me manquait plus qu'à retirer ma serviette et me saisir d'un tangua noir, ainsi que d'un jean vert et enfin mes doc martens noir. J'attrapais au passage une écharpe à la couleur, noir et vert foncé. Même en dehors du lycée, je tenais à montrer mon appartenance pour les Neptunes.

Il ne me manquait plus que ma sacoche et mon sac pour les cours. Je vérifiais d'un dernier regard, si rien d'important qui m'appartienne ne traînait par terre. Ne remarquant rien, je me précipitais jusqu'à arriver en classe. Avec 30 min de retard, je pris évidemment un savon par le professeur, heureusement que mes notes étaient correctes. J'aurais eu sinon le plaisir d'aller en retenue pour toute la matinée. Je m'avançais jusqu'à ma table et m'y installais, ne pensant qu'à une chose. Mon évasion à l'air libre cet après-midi, mon unique échappatoire même si je devais me faire violence pour subir chaque heure de cours. Je me débrouillais à chaque fois pour rattraper autrement mon retard. J'avais la chance d'avoir fraternisé avec une moon qui, en contrepartie de mes services, me prêter ses cours pour me permettre d'être presque toujours à jour. J'étais tombée sur une pacifiste sympathique, je n'avais même pas eu à la menacer pour obtenir son aide. Midi sonnait enfin, c'était l'heure pour moi de partir d'ici, je fonçais vers la cafétéria, m'acheter un sandwich pour ne pas mourir de faim. Heureusement pour moi j'avais réussie à m'émanciper financièrement d'une certaine manière. Mon âge me permettait de gérer mes comptes sans que ma mère puisses faire quoi que ce soit pour m'emmerder. Pouvoir gérer mes comptes en banque était primordial pour moi, si je ne voulais pas manquer de rien.

J'avais la chance d'avoir pu réclamer et d'avoir pu obtenir une partie de l'héritage de mon père. Sans cela, j'aurais été comme emprisonné, par une chaîne dont je ne pourrais jamais me débarrasser à moins de trouver un travail. Mais fort heureusement pour moi, papa voulait que je poursuive mes études et je tenais à poursuivre sa volonté. Je voulais que depuis le ciel, il soit fière de moi, de ce que j'étais prête à accomplir pour son salut. Bref, mon sandwich et une boisson en main, j'eux la chance d'attraper le bus du midi qui descendait en ville. Je n'ai jamais aimé prendre le bus, mais pour le moment c'était mon unique transport possible pour m'échapper des grilles de Sei. Prenant garde à ne pas tomber près d'un vieux pervers, je menaçais du regard un mioche se trouvant entre deux grands-mère. J'en profitais pour jouer la comédie et prétextais ouvertement un lumbago. Un sourire aux lèvres, j'acquiesçais en regardant les deux grands-mères et m'asseyais entre elles. Le bus arriva après un moment en ville, j'attendais que celui-ci arrive au plus proche pour descendre. Après quelques minutes je me décidais de descendre et marchais en direction du parc. Je sortis mon sandwich que je mangeais en marchant. Je voulais pouvoir profiter d'un petit dessert que je gardais sous le coude depuis peu.

Mâchant le dernier morceau de mon repas de midi, je saisis une bouteille d'eau pour me rincer le gosier et faire descendre le tout dans l'estomac. Mon regard balayait les alentours du parc, cherchant un coin tranquille où je pourrais fumer mon dessert. Je finis par trouver un petit coin à l'abri des regards, ne faisait pas plus attention que cela, je m'appuyais contre un arbre et m'allumer mon petit plaisir du midi. Ouvrant les yeux, mon regard s'écarquilla, surprise parce que je voyais. Une belle fille se tenait allongée dans l'herbe, semblant vouloir profiter du soleil, je profitais de ma place pour la reluquer un peu au loin. Celle-ci se distinguait d'une chevelure originale et d'un visage aux traits parfaitement dessiné. J'essayais de ne pas attirer de trop son attention et tirer sur mon joint discrètement. Prenant garde à ce que la fumée n'arrive pas jusqu'à elle. Mais le sort en décida autrement, un coup de vent emporta ma fumée jusqu'à ses narines. Je me doutais qu'une odeur comme celle de mon joint ne la laisserait pas indifférente. Celle-ci était assez forte pour intriguer toute personne qui pouvait sentir son parfum. Je baissais ma tête et mon regard et me recroquevillais légèrement en espérant que celle-ci ne se retournerait pas vers moi. Auquel cas je jouerais la carte de la séduction pour effacer tout souvenir de mon plaisir.

Invité
Un jour peut-être ...  Icon_minitimeJeu 18 Fév - 1:45
Je me sentais tellement bien dans le parc de la ville, il n'y avait personne qui pouvait m'embêter actuellement, personne qui viendrait m'énerver pour me poser des questions sur le clan des Vénus, mais aussi sur la guerre des sexes qu'il y avait depuis des années. Moi je n'étais au courant de rien et je n'avais pas réellement envie de mêler, mais je pensais que c'était bien trop tard, car j'avais une étiquette sur le front. A cause de cette étiquette, j'étais mêlée dans beaucoup de choses dans la guerre des sexes.  Cela ne faisait même pas une semaine que j'étais dans l'université Sei, que tous les élèves me connaissaient en tant que Vénus et non en tant que Azuria et cela me faisait serrer mon coeur. Je pensais que j'allais me faire de nouvelles amies dans cet nouvel environ, mais mon futur était un peu tombé à l'eau depuis l'agression de cette personne, de cet homme. Je fermais encore plus les yeux pour éviter de revoir cette scène qui passait en boucle dans ma petite tête.

Non mais franchement... J'avais fait une seule bêtise de ma vie, c'est à dire, de rencontrer cet homme et me voila reléguer en tant qu'une femme qui hait les hommes au plus haut point, voire les tuer. Non, non je n'allais pas tuer un homme s'il ne m'avait rien fait de spécial, bon peut-être s'il m'agressait du regard. Je n'aimais pas qu'on me fixe et en parlant de fixer du regard, je fis une personne qui me regardait depuis quelques minutes maintenant. Je voulais savoir si cela pouvait être encore une fois, j'avais une immense flemme de me relever, de tourner la tête et de voir que c'était des étudiants de l'université qui me pointait du doigt. Non Non, je n'avais pas envie de m'énerver aujourd'hui, je voulais rester calme et cool, et être dans mon coin pendant quelques heures.  Le soleil était vraiment magnifique, j'aimais ce temps pour me reposer et bronzer un peu, tellement que ma peau était blanche comme la neige. Parfois, je n'avais qu'une envie pour quitter ce lieu, de revenir chez mes parents et de prendre une université pour étudier. Mais j'aurais bien voulu avoir mon diplôme dans cette structure et de pouvoir me faire des amis sans que personne ne me juge. Je respirais un bon coup avant d'expirer doucement. Puis je sentis une drôle d'odeur, une odeur qui me taquinait les narines, une odeur amère mais aussi forte.

Cette odeur n'arrivait pas à la reconnaître, et je décidais de savoir ce que c'était. Dans un grand effort, j'ouvrais les yeux, je me levais doucement pour aller à la rencontrer de la personne qui fumait quelque chose d'inconnu pour moi. Après quelques minutes de recherche avec mes yeux, je pus trouver la jeune femme qui n'arrêtait pas de fumer. Cette femme avait les yeux de couleur bleu océan, une chevelure mi-long et châtain, qui lui allait à ravir pour le coup. J'eus un petit coup de cœur pour la jeune femme et je pense que c'était la première fois que j'avais le cœur qui se serrait comme cela. Étais je une personne qui aimait les femmes ? Bonne question, car je ne m'étais jamais posée la question, mais peut-être que j'étais simplement jalouse de sa beauté physique. Je haussais les épaules pour chasser cette idée de ma tête et donc, je me dirigeais vers la jeune femme pour lui demander ce qu'elle fumait exactement : "Bonjour... Pourriez vous me dire ce que vous fumez au juste ? Avec le vent, j'ai senti l'odeur de votre cigarette roulée et cela m'a surprit car je ne reconnaissais pas l'odeur."

Je lui souris tendrement pour ne pas la gêner. Je m'approchais un peu plus d'elle et je ne pus m'empêcher de lui prendre la cigarette roulée pour la goûter un peu. Je lui pris avec un geste doux et tendre, et un sourire décontracté. Je la portais à mes lèvres doucement et j'aspirais une gorgée faible avant de lui remettre la cigarette au bord des lèvres. J'éjectais la fumée et je repris la parole : " Ah oui, je m'en rappelle de la bonne et vieille herbe. C'est la première fois que j'en fume par contre. Désolé de t'avoir déranger pour le coup." Je lui souris tendrement tout en remontant les cheveux vers mon épaule. Le vent soufflait un peu et je n'aimais pas avoir les cheveux en batailles.
Midori S. Lewis
Neptun
Midori S. Lewis
INSCRIPTION : 29/10/2015
MESSAGES : 76
LOCALISATION : Ta tête! Mes pieds! Séance de nettoyage! Tu fais le rapport?
EMPLOI / LOISIR : Briseuse! Broyeuse! Destructrice d'organisme masculin!
HUMEUR : Mon poing! Ta tête! Le sol et ton sang qui déborde! Tu fais le rapprochement?
Un jour peut-être ...  Icon_minitimeJeu 18 Fév - 10:00
Un jour peut-être ...  Tumblr_mdpxlhvDko1rl1inqo2_500

Un sentiment de liberté Partie 2

La discrétion très peu pour moi, du moins surtout quand je n'étais pas en mission contre les mecs de Sei. Depuis mon arrivée, il s'en passait des choses. J'avais déjà rencontré quelque personne sympathiques. Pour moi cet établissement était le lieu idéal pour continuer ma scolarité et rendre fière mon père. Je n'avais pas encore eu l'occasion de retrouver une de mes amies d'enfance. Maya cette fille pleine de pêche et de joie de vivre. Depuis mon arrivée au Japon, il me tardait de la retrouver. Je savais que nos retrouvailles prendrais une tournure à la fois chargé en émotion, mais également en fou rire. Dans la situation actuelle, je ne cherchais qu'à me faire le plus discret possible. J'avais décidé de sécher les cours de l'après-midi afin de m'aérer l'esprit. Le parc était l'endroit idéal pour me reposer et faire le point sur mon parcours depuis mon arrivée à Sei. J'avais réussie à trouver un peu d'herbes pour me déconnecter quelques heures du monde extérieur. Moi qui pensais avoir trouvé un coin tranquille. J'étais tombée sur une belle jeune fille à la chevelure peu commune, mais originale. La jeune fille possédant une couleur de cheveux bleu océan, je ne pouvais m'empêcher de la reluquer. Le tout en veillant à ne pas me faire remarquer. Mon idée à ce moment, était tout bonnement d'une stupidité dont je ne faisais que rarement preuve.

Il n'y a aucune évidence sur le fait que l'odeur de mon joint attirerait l'attention de la jeune femme allongée non loin de moi. Naturellement, j'espérais qu'en ne faisant aucun bruit, l'attention de celle-ci ne vienne à s'éveiller. Le vent me trahissait comme je pouvais m'en douter, l'odeur était parvenue jusqu'au narines de la belle. Mes yeux fixant le sol, j'esquissais un air sceptique à l'idée de voir la réaction de celle que j'avais dérangé pendant son bronzage. Je remarquais comme la peau de la belle était blanche. C'était à se demander si elle sortait souvent pour bronzer. Si tel était le cas, la pauvre devait en baver pour réussir à obtenir une peau plus mate. Je soupirais légèrement, j'espérais qu'elle ne s'approche pas jusqu'à moi, me réclamer quelques tafs sur mon petit plaisir. Bien qu'en y réfléchissant, j'appréhendais d'avantages cette option plutôt que celle-ci ne cherche pas à joindre les forces de l'ordre pour venir me coincer. Néanmoins, la réaction de la jeune fille ne se fit pas attendre. Elle s'approcha de moi, me salua et me questionna sur ce que je fumais. Comme je l'avais remarqué, le vent avait emporté l'odeur de l'herbe et du tabac en train de se consumer lentement. Je grimaçais en un premier temps avant de déceler un sourire charmant sur son visage. Elle se rapprochait lentement de moi, cherchant surement à ne pas me surprendre.

Surprise je restais bloqué, d'un air interloqué par le comportement de la belle. Nos regards se croisèrent, ses yeux ne me laissaient pas indifférent. Je constatais des lèvres fines qui me mettaient l'eau à la bouche, le joint m'asséchant en plus de cela. Je savais comment me faire payer au cas où les choses tourneraient en ma faveur. Elle saisit doucement mon joint sans m'en demander la permission oralement, à ses yeux, son sourire et ses beaux yeux devaient être suffisant pour se permettre de m'emprunter mon plaisir. A cet instant précis, mon regard fut dirigé droit vers sa poitrine. Je léchais mes lèvres avant de relever mon regard à hauteur de son visage. Elle s'était volontairement aventuré en terrain inconnue et je n'allais pas manquer l'occasion de réclamer mon paiement. Je me mis à sourire d'un air amusé presque joueur, je la laissais goûter au bien qui m'appartenait. L'observant attentivement, elle me rendit mon du après avoir pris une légère bouffé du joint. Elle énonça globalement ce que contenait mon pétard et s'excusant pour la gêne occasionné. De mon côté je ne décrochais pas mon regard et, continuais à la dévisager amusée de voir mon piège lentement se refermer sur ma prochaine victime. L'instant qui allait suivre me comblait d'excitation et de joie. J'allais pouvoir savourer dans ces moindres détails chaque secondes qui allaient suivre.

-" Bonjour belle inconnue, la politesse veut que l'on se présente avant de demander d'emprunter un bien à autruie. Chose que vous n'avez d'ailleurs pas faite, certes votre sourire est tout à fait charmant. Mais cela n'est pas suffisant en guise de paiement, je remarque néanmoins quelques choses chez vous qui m'interpelle. Et je serais bien d'avis, en y pensant, pour venir vous le voler.."

Je me rapprochais pour atteindre l'espace vitale de la belle, m'avançant d'un pas félin vers elle, je posais mon joint sur mon cendrier de poche avant de poser une main sur le visage de mon interlocutrice. D'un sourire narquois, je réduisais l'écart entre nos deux lèvres jusqu'à venir voler un baiser à la jeune fille. J'étais en extase, ses lèvres me rappelaient le parfum des fraises fraîchement cueillit au début du printemps. Je ne me gênais pas à l'embrasser tendrement, mais ne manquais pas non plus d'éviter un "french kiss" qui dans la situation présente aurait été exagéré. Décollant mes lèvres des siennes après quelques secondes, je gardais sur mon visage, ce sourire que je montrais depuis plusieurs minutes. Dieu que ses lèvres sont délicieuses. Je passais une dernière fois ma langue sur mes papilles avant de me reculer du périmètre de la belle. Je reprenais mon joint en main pour prendre une bouffée de celui-ci et, en expulser la fumée un sourire amusé au visage.

-" Chelsea White, c'est mon nom, maintenant que j'ai pris mon paiement, je peux me présenter. Cette petite surprise semble avoir fait son effet, d'après l'air sur ton visage que montre. Pas trop choqué beauté? Je me suis juste permis de prendre le paiement de ce joint que tu t'es permis de m'emprunter. Tu peux t'estimer heureuse que cela me suffise. De l'argent aurait, en règle général, était réclamé si tu étais tombé sur autruie. Mais voilà, avec moi, tu as eu la chance de ne pas connaître ce malheur. Ta bouille me plait bien, je dois avouer que l'envie me brûlait les lèvres depuis que j'ai vu ton visage..."

J'avais encore frappé, détaillant à nouveau la demoiselle du regard, je réfléchissais. Elle est rudement bien foutue et, il ne me déplairait pas d'accueillir dans mon lit une fille pareille. Le seul problème était pour moi l'endroit où je résidais, cela sonnait à mon esprit comme un énorme frein. Je ne pouvais pas ramener cette fille jusqu'à l'établissement. Au pire des cas, je pourrais toujours l'emmener une nuit à l'hôtel. J'avais suffisamment d'argent sur mon compte pour me permettre un plaisir de la sorte. Continant de réfléchir, une chose parvenue à mon esprit. La belle semblait aussi âgé que moi, je n'avais aucune confirmation pour le moment qu'elle ne fasse partie de Sei Gakuen. Il me fallait trouver une réponse à cette question. Je tirais donc quelques tafs sur mon joint et lui en proposant de nouveau, un sourire sincère au visage cette fois-ci. Je lui avais tout de même voler un baiser de plusieurs secondes, je pouvais bien rééquilibrer les choses en lui permettant de goûter d'avantages au joint que j'avais eu plaisir à rouler. L'herbe me montait doucement à la tête, j'en profitais pour préciser à la belle de ne pas trop tirer dessus. Non pas que je sois radine, mais ayant compris qu'il s'agissait de sa première fois. Je ne tenais pas à devoir la ramasser, complètement défoncé à cause d'un simple joint.

-" Vas-y tu peux tirer un peu dessus si tu veux, mais molo quand même, je l'ai un peu chargé, donc tires pas dessus comme pour une clope. Ce genre de choses, ça monte vite à la tête si tu en abuses. Profites, je l'ai payé cher, elle est bonne mais un peu puissante. Au faite, sympa ton prénom j'aime bien, ça me rappelle mes vacances en Grèce. J'avais rencontré une fille avec le même prénom que toi. Dis-moi, t'es du coin? Tu vis dans le centre-ville où t'es dans un internat? Moi je suis dans un bahut où l'on se marre bien. Euh dernière question après, je m'arrête. Tu as quel âge au juste? Non parce que tu sembles aussi âgé que moi."

Invité
Un jour peut-être ...  Icon_minitimeJeu 25 Fév - 6:45
Je m’étais avancée devant une jeune femme très belle, avec des yeux magnifiques et une chevelure incroyable. Ce n’était pas souvent que j’ai éprise par une jeune femme, mais franchement, elle m’avait coupé le souffle subitement. J’avais rencontré beaucoup de jeunes femmes pendant des années, puisque j’en étais une aussi, mais jamais d’aussi belle et mystérieuse qu’elle avec ses yeux bleus océans. Mon cœur avait fait un bond énorme dans mon corps et il n’arrêtait pas de battre comme une voiture de course. J’avais bien du mal à me calmer même si je respirais doucement par le nez pour expirer par la bouche. Au bout de quelques secondes, cela allait beaucoup mieux. Je fermais les yeux avant de les rouvrir afin de commencer une conversation qui allait me plaire et qui allait se graver dans ma mémoire.

Je lui avais pris son pétard pour savoir ce qu’elle fumait et je pouvais dire que ce n’était pas de la petite herbe, mais de la forte… Tellement forte que cela me piquait les yeux et que j’avais mal à la gorge. Je toussais un bon coup croyant que j’allais m’arracher les poumons à force de trop tousser comme une malade. Pourtant, j’avais pris l’habitude d’en fumer lorsque j’étais en dernière année de lycée, j’avais d’excellentes notes et presque première de ma promotion et mes parents ne pouvaient rien me redire sur mon comportement dans la société, donc j’avais un peu plus de liberté. C’était comme cela que j’avais pu rentrer dans l’université Sei pour apprendre de nouvelles langues et approfondissements de l’histoire de certains pays de notre monde. Je respirais une nouvelle fois l’herbe avant bien de lui redonner à ses lèvres. Après quelques secondes de silence entre nous, je pus entendre, pour la première fois, sa voix. Elle me demandait de me présenter avant de prendre le joint et que ce n’était pas bien polie de faire cela à une inconnue. Elle n’avait pas tort, mais je décidais de jouer mon rôle de solitaire et de froide jusqu’au bout de ma vie, ou bien jusqu’au bout de mes études dans ce lieu bizarre.

Elle me parlait de voler quelque chose pour payer le joint que j’avais pris tout à l’heure. Mais de quoi elle me parlait au juste ? Je la fixais réellement, yeux dans les yeux et j’essayais de comprendre ce qu’elle me voulait. Et elle ne tardait pas à le montrer … Elle s’approcha de nouveaux comme une féline et elle prit mon visage pour m’embrasser tendrement. J’étais tellement surprise par son geste, que je ne savais pas quoi faire pour l’arrêter. En plus, c’était mon premier baiser avec une femme … Wouah ! J’avais le cerveau qui me mettait devant les yeux des panneaux de danger. Mon cœur allait exploser à cause de ce baiser, et je me laissais aller à ses lèvres. Elle embrassait vraiment très belle et j’avais envie d’aller plus loin. Une fois qu’elle avait fini de m’embrasser tendrement, elle se retira et me donna sur son prénom : Chelsea White. C’était un beau prénom et facile à retenir en plus. Oui, je n’arrivais pas du tout à me rappeler des prénoms des personnes que je rencontrais, même si je les connaissais depuis des années. « Tu fais cela souvent aux personnes qui ne font pas ce qu’ils veulent avec toi ? Ou bien qui sont irrespectueux envers toi, principalement ? Ou bien toutes les femmes qui se présentent à toi ? »

Je lui pris encore une fois, son joint, mais pour moins le tirer. En même temps que je tirais un peu, un sourire se dessina sur mes lèvres quelques secondes avant de disparaitre. La jeune femme n’avait peur de rien ni de personnes et cela se voyait dans ces yeux bleus. Peut-être que je devrais me méfier de cette femme, qui pourrait bien me tuer dans la nuit avec un couteau ou bien de m’humilier en public. Ses yeux ne me disaient rien de spécial, mais je sentais quelque chose de particulier chez elle, mais quoi ? Je lui redonnais son joint avant de me présenter : « Je m’appelle Azuria Kayla, ravie de te rencontrer pour la première fois, Chelsea White. Et non je ne suis jamais allée en Grèce, je suis désolée ! Et oui, je suis du coin, je suis à l’université Sei, ayant comme discipline principale les langues étrangères. Et j’ai un appartement modeste dans la ville, qui est non loin d’ici, à quelques minutes. Tu as de la chance d’être encore bahut. A ton âge, j’aimais tellement allée au lycée, pour voir et m’amuser avec mes amis. Ici, à l’université, ce n’est pas trop le cas … C’est différent depuis … Enfin bref, passons. »

Je n’avais pas envie de commencer à parler de ma vie privée et du fait que j’ai failli me faire violer lorsque je suis arrivée dans la ville. « N’inquiète pas, si je te mange tout, je te donnerais de l'argent quand même pour te dédommager de ma gourmandise. » En disant cela, je me léchais les lèvres doucement car la jeune femme était vraiment très belle et à mon gout. Mais je décidais de me calmer en respirant doucement. Le joint était vraiment dur et commençait me faire penser des choses un peu inhabituel. Elle me posa la question de l’âge … « Oh mais tu es une curieuse toi, dis donc ! Bon ça va que c’est toi et que j’ai pris un peu, voire beaucoup de ton joint, donc je vais te le dire. J’ai 20 ans et tu as à quel âge ? Je pense fortement que tu es beaucoup plus jeune que moi, dans tous les cas. Les jeunes femmes comme toi, devraient faire attention à ce qui sort de leur bouche… Un jour, tu pourrais mal tourné, tu sais… »

Je m’approchais de Chelsea pour caresser son visage avec douceur et sensualité avant de lui poser à son tour des questions : « Et toi alors ? Aimes-tu tes années de lycées et tes amis ? Et surtout, cela fait longtemps que tu fumes de l’herbe toi ? Quoi que je peux te dire que j’ai commencé en fumer lorsque j’étais en dernière année de lycée. » Je fis une pause dans ce que je disais, car je ne voulais pas l’assagir de questions pour l’instant. Je lui posais une dernière question avec une voix un peu plus froide et sérieuse : « Dis donc, comme tu es au lycée, pourrais-tu m’expliquer ce que c’est cette guerre des sexes ? Car je pense que tu l’as bien deviné, je suis nouvelle depuis une semaine à peine et beaucoup de personne ne parlent que de cela. Et franchement, je suis bien perdue ! Cela te dérangerait de m’expliquer rapidement cet histoire de folie ? »
Contenu sponsorisé
Un jour peut-être ...  Icon_minitime
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Juichi Ideka - Un lien avec un connard peut-être ?
» « Etre à l'heure c'est déjà être en retard. » PV Aoba
» Jour de pêche. ♣ Hanae
» Un goukon peut en cacher un autre [PV Takeru Niwa]
» On aime d'amour ceux qu'on ne peut pas aimer autrement.- Andy G. Thompson

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sei Gakuen :: Archives RP-