Sei Gakuen
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you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.)

Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeLun 20 Mai - 6:43
bouffer ou se faire bouffer.
BOYS MUST DIE
She told me not to step on the cracks, I told her not to fuss and relax. Pretty little face stopped me in my tracks. But now she sleeps with one eye open, that's the price she'll pay.
Je regarde le ciel, la nuit, les étoiles. Des nuages gris cachait la lune, qui tentait tant bien que mal d'éclairer cette immensité de ténèbres. Cela faisait vraiment cliché, mais accessoirement il n'y avait rien d'autres à faire par ici. Cette endroit puait la pisse, la crasse, à vrai dire je ne savais pas vraiment comment je m'étais retrouvée ici. Je me tenais non loin de bars et restaurants, dans une ruelle carrément louche et pas rassurante du tout. En temps normal, je me serais bien vite barré de cette endroit plus que douteux, mais disons que je n'étais pas d'humeur à bouger. Depuis ma rencontre avec Lith, qui m'expliqua se qui se tramait dans cette asile de fou nommé Sei Gakuen, je n'arrêtais pas de craindre cette école et d'essayer de m'en éloigner le plus possible. Comme si je voulais me cacher, fuir cette guerre des sexes qui risquait bien d'anéantir le peu de sagesse qui résidait encore en moi. Après tout, je n'haïssais pas les mecs. À part l'épisode avec Hajime qui m'avait brutaliser durant un bon moment de mes années de collégienne, il ne me posait pas plus de problème que ça. Cependant, les garçons n'ont pas l'air tendre ici-bas. Peut être devrais-je prendre mes positions, arrêter de fuir les problèmes ? Pensive, je jouais avec une canette vide à mes pieds, fixant le vide. J'avais intérêt à me décider rapidement, avant de me retrouver à l'hôpital, défigurée avec un ou deux os brisés. Soit tu manges soit tu te fais manger. Là-bas c'est la loi du plus fort et je ne voulais pas finir parmi ceux qui se font bouffer.

Et puis, un homme, qui devait avoir une quarantaine d'année environ, m'interpella avec une bouteille de vodka à la main. Son haleine puait l'alcool, je devinais tout de suite qu'il ne devait pas avoir de bonnes intentions.

« Dites-moi mam'zelle, ça vous dirait de venir faire un tour 'vec moi ? C'n'est pas très r'commandé de trainer par ici, surtout lorsqu'on est une p'tite jeune fille comme vous. »

Il ria. D'un rire sale, gras, qui voulait tout dire. Mes jambes ne daignaient pas de bouger, mais dès qu'il fit un pas vers moi, je le repoussa plutôt violemment et m'élança dans une course folle afin de fuir le plus loin possible ce gars douteux. Au début, il se mit à me poursuivre en me lançant toute sortes d'insultes mais l'alcool l'empêchait de tenir correctement, alors il s'affala par terre à mon plus grand bonheur. Cependant je ne m'arrêta pas, mieux vaut m'éloigner de lui le plus loin possible. Je freina lorsque je me rendis compte que j'avais atterrit au parc. La nuit, il fallait avouer qu'il était bien moins accueillant et beaucoup plus flippant. Pas une seule personne, pas un seul oiseau. Seulement le souffle du vent s'engouffrant dans ma chevelure d'ébène pour me tenir compagnie. De plus, il faisait un peu frisquet et je n'avais pas pris de veste. Jetant un coup d'oeil circulaire autour de moi, je m'assieds sur le banc le plus proche, pas rassurée du tout. Je sortis mon portable de ma poche et chercha l'application google map, car je ne savais pas du tout comment rentrer chez moi à partir d'ici. En même temps je frottais mes mains l'une contre l'autre pour essayer de me réchauffer car mes membres étaient frigorifiés.

Dès que l'application sur mon cellulaire m'indiqua le chemin à prendre, je me leva et commencer à marcher sur le chemin censé me faire sortir de ce maudit parc. Il faisait vraiment sombre et ma peur grandissait. J'entendis même un bruit louche provenant d'un buisson derrière moi, ce qui me fit sursauter. Voulant à tout prit partir d'ici, je commença à courir, pour quitter cette endroit le plus rapidement. Mais, en fonçant comme une folle sans regarder devant moi, j'heurta quelque chose ou plutôt quelqu'un. Un mec. Avec un autre mec. Je ne fis pas tombée celui dans qui j'avais foncée, juste une petite bousculade. Cela me rassura de voir d'autres personnes, garçons ou non. Pourtant, j'aurais mieux fait de ne pas l'être et de me barrer en courant.

« Ah. Euh. Désolée je ne regardais où j'allais. » disais-je suivit d'un rire gênée.

UN TRUC A DIRE ?

et vualaaaa en éspérant que vous soyez inspirés. d'ailleurs même si sur l'image elle porte un cache oeil, dans notre rp elle n'est pas censé en porter un. >BD
Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeVen 24 Mai - 0:59
I’m in a very bad mood, so don’t mess with me.



J’suis où là exactement ? J’regarde à droite, à gauche. Tiens, pourquoi tout est à l’envers ? Ah, ch’uis allongé sur un lit avec la tête en bas… J’vois un peu trouble d’ailleurs. Devant moi, y a des bouteilles d’alcool vides. Ne me dîtes pas que j’ai bu… Et merde. Je me redresse tant bien que mal et. À côté de moi, Kiyosawa. On doit sûrement être dans mon appartement. On est tous les deux en calcif. Y a un bruit strident. Erf, c’est lui qui ronfle. J’essaie de m’assoir et tombe en arrière, m’écrasant sur le sol. Fait chier. Ma chute l’a réveillé apparemment. Tant pis pour lui. Je me relève, m’fous à poil et pars me doucher. En passant, je regarde l’heure. Gosh, déjà le soir. Sérieux, on a foutu quoi aujourd’hui ? Non, en fait, le trou noir remonte même à hier soir. Je n’aime pas ça du tout.

Douche terminée, je reviens en serviette. Et il s’est rendormi. Ce fainéant, j’vous jure. Je m’habille vite fait, m’coiffe… Vite fait. Et mange un truc… Vite fait aussi. Puis j’lui fous un gnon. Ahah, ça l’a réveillé en sursaut. Marrant, tiens. J’devrais faire ça plus souvent. En attendant qu’il se prépare, je m’allume une clope et vais la fumer sur la terrasse. Ouais, même un connard comme moi a des règles du genre « On ne fume pas à l’intérieur ». Et y en a plein d’autres d’ailleurs. Si vous voulez, j’vous ferai la liste un d’ces jours. J’me pose sur une chaise dehors, donc. Il fait si sombre. Et le fait de ne pas me souvenir de toute cette journée me stresse horriblement. Faudra que je demande à Kiyo s’il se rappelle de quelque chose. Ce qui m’étonnerait. Pourquoi ? Parce qu’il boit toujours comme un trou. Il ingurgite de l’alcool jusqu’à être complètement naze. J’me suis toujours demandé comment il faisait. Moi, rien que boire, ça ne m’donne pas envie. Bon, ça ne m’empêche pas de le faire de temps en temps quand même ...

Non, pas ça. Pas ça non plus. Tiens, c’est celui-ci. Je prends deux paquets de clopes tandis que Kiyo prend des packs de bières. On paie le tout, puis on sort de la boutique. « Sérieux, pourquoi tu prends encore de l’alcool ? Tu crois qu’on n’a pas assez bu ? » Je soupire longuement. On va direction le parc. De toute façon, on n’a pas trop le choix. C’est par là qu’il faut passer pour rentrer à l’appartement. Mon regard se perd vers le ciel. La Lune est timide cette nuit, se cachant derrière chaque nuage passant à proximité d’elle. Il faisait un peu frisquet. Enfin, c’est ce que je me suis dit quand j’ai vu les quelques personnes présentes dans la rue précédente avec des habits un peu chaud. Moi, j’ai juste un pantalon de treillis, des rangers, un t-shirt et une veste. Presque comme d’habitude en fait. Surtout en ce moment. J’étais un peu en mode inexistence totale. Si Kiyo n’était pas là, j’pense que je me laisserai complètement crever.

Clope à la bouche, j’avance un peu à l’aveuglette, les yeux rivés vers le sol. Kiyo est en train de siffler d’un air un peu guilleret. J’crois qu’il est encore légèrement ailleurs. Ça ne m’étonnerait même pas. Puis… J’sens quelque chose qui me bouscule. Ma cigarette tombe par terre. La personne venant d’arriver l’écrase sans s’en rendre compte et j’entends sa voix bafouiller des mots. « Ah. Euh. Désolée je ne regardais pas où j'allais. » Je l’écoute même pas. Tout c’que je sais, là, c’est que j’ai perdu une clope que je venais tout juste d’allumer. Je respire profondément et lève mon regard vers… Ce qui semble être une jeune fille, tiens. J’vous l’dis, elle va prendre cher.

Souriant quelque peu, je m’approche doucement d’elle. « Voyons, il ne faut jamais courir quand il fait noir comme ça. Ça évite ce genre d’incidents. » Je rigole légèrement et lui caresse doucement la joue. « Puis, trainer à une heure pareille dans un tel endroit… C’est dangereux pour une jeune fille. Vous voulez peut-être qu’on vous aide ? Vous avez l’air d’avoir eu peur en plus. » Je fais quelques pas de plus. Je me montre doux et gentil. Et quand je suis assez proche, je la pousse contre un arbre et l’attrape à la gorge. « Crois-moi qu’être désolée ne suffira pas. Tu vas payer cet affront. Personne ne me bouscule. Si j’avais été toi, j’aurais regardé où je mettais mes pieds. » Un large sourire éclairant mon visage, je me mis à lentement serrer ma prise à sa gorge.


PAIE L'POST DE MEEEEEEERDE. Bon, c'est le départ aussi. J'me rattraperai sur les autres, promis. Et, Hika, ENVOIE-MOI LE MP. Histoire que je te la fracasse pas trop. Sinon, j'te l'dis, j'me défoule à mort dessus. Bwahaha. ♥
Code by Anarchy

Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeSam 25 Mai - 7:00



S'il devait résumer la soirée qu'il avait passé, le seul mot qu'il dirait, ce serait noir. Ses rêves et ses souvenirs n'étaient qu'une succession d'image noire avec des tâches psychédéliques dont les couleurs variaient entre le jaune, le orange, le vert pomme et le bleu turquoise. Même en y repensant à tête reposé, il ne comprenait pas ses images. Il fallait dire que niveau subconscient, il ne comprenait rien. Pour lui, le subconscient était comme l'anglais : une langue que tout le monde parlait, mais dont lui, il n'y comprenait rien. À première vue, cette comparaison pouvait paraître bizarre, mais en apprenant à le connaître, vous le comprendrez un jour...

Le réveil fut dur, très dur même. La gueule dans le cul, son éveille fut provoqué par la douce voix de son colocataire et aussi ami d'enfance : Flippy. Ce mec – aux yeux de Kiyo – était son univers et son néant à la fois. Il savait très bien, qu'en acceptant d'habiter avec lui, il allait détruire ses chances de devenir un homme digne aux yeux de sa mère. Qu'une fois en colocation avec lui, il enchaînerait les conneries sur conneries. Une situation dont il connaissait déjà l'issue et dont il en acceptait d'avance les conséquences. Le premier réveil venait du fait que cette grosse larve de Flippy tomba du lit. Comment le savait-il ? Parce qu'il avait regardé la scène. Il avait vu son pote tombé du lit, mais l'effet de la fatigue l'empêchait d'agir. Une fatigue qui le fit se rendormir aussitôt. Quelques minutes, ou quelques heures plus tard, il ne sait plus, un second réveil, mais celui-ci, plus douloureux : son connard de colocataire venait de lui foutre un bon poing dans la gueule pour qu'il puisse lever son cul du lit. Grognant sur le coup, il vit l'heure. Sa vue était tellement trouble qu'il n'arriva pas à lire. Qu'est-ce qu'on pouvait être con... quand on se réveillait d'une longue cuite. Bref, après son grognement, il partit à la douche. Au moment de quitter le lit, il tomba comme une grosse larve sur le sol : il avait une douleur au niveau des hanches. En sentant cette sensation, il se rappela de sa soirée avec Kimoo, son meilleur pote. La cuite avait-elle réveillé la douleur ou est-ce que Flippy l'avait – lui aussi – pris pour une catin gonflable ? Il ne voulait pas savoir. Il ne voulait pas connaître la réponse à cette question. Il préférait penser que cette douleur était juste un réveil de l'ancienne soirée. Ensuite, il partit sous la douche. La texture de l'eau sur sa peau lui fit du bien. La fraîcheur de l'eau lui remit les idées en place et surtout, en douceur. Maintenant laver, il se maquilla et s'habilla. De toute son adolescence, il n'était jamais sorti de chez lui dans maquillage. Non non, Kiyo n'était pas gay. Du moins, c'était ce qu'il croyait. Il aimait seulement avoir un super look que seul le maquillage pouvait lui apporter.

Après un repos bien mérité et une gueule pâteuse, les deux hecklers sortirent. Ils allaient profiter de la douceur de la nuit pour aller faire des courses. Le taïwainais savait très bien ce qu'il allait prendre : un pack de bière. Niveau alcool, il était un dieu. Chaque soir, il buvait quasiment la moitié de son poids. Chaque soir, il buvait jusqu'à avoir des trous noirs. Un rituel qui lui valut plusieurs problèmes dans le passé et surtout, plusieurs abus sur sa personne ou sur d'autres personnes. Bref, quand ils sortirent de la boutique, flippy en profita pour l'engueuler : « Sérieux, pourquoi tu prends encore de l’alcool ? Tu crois qu’on n’a pas assez bu ? ». Une remarque qui faisait sourire Kiyo.

Kiyosawa - « Chacun son truc... toi c'est la clope, moi c'est l'alcool. » dit-il en ouvrant une première bière. Après une cuite, il adorait commencer sa journée, ou sa nuit, avec un petit-déjeuner alcoolique. « Pis bon, tu me sors ça chaque soir et chaque soir, on boit ensemble... » finit-il.

Alors qu'il se dirigeait vers l'appartement du garçon aux cheveux verts, ils firent des drôles de rencontre dans le parc. Personnellement, il adorait passer par là. Le parc était le troisième lieu préféré du garçon après la boite de stiptease et l'appartement de son colocataire. Pendant qu'il marchait, il siffla l'air d'une pub qu'il avait entendu une fois à la radio. De temps en temps, il observait son pote : il regardait le ciel comme s'il demandait de l'aide à dieu. Une expression qu'il n'avait jamais compris. Il détestait ce genre d'expression. Pourquoi regardait-on le ciel de cette façon alors qu'aucun être supérieur n'existait ? Des questions philosophiques qu'il se posait seulement quand il n'avait pas encore décuvé. Sans s'en rendre compte, il continuait de marcher tandis que son pote s'était arrêté : il était en train de discuter avec une jolie demoiselle aux cheveux bruns. Quand il se rapprocha d'eux, Flippy s'amusa à attraper cette même demoiselle par la gorge et lui parla. Il n'avait pas spécialement envie de tabasser des filles à cette heure-là. Il se rapprocha jusqu'à être au niveau de la demoiselle quand il entendit son pote parler : « Crois-moi qu’être désolée ne suffira pas. Tu vas payer cet affront. Personne ne me bouscule. Si j’avais été toi, j’aurais regardé où je mettais mes pieds. » à la vue de la réaction du mec, cette fille avait du faire une sacré connerie avant de s'apercevoir qu'il n'avait plus sa clope dans la bouche. Un détail qui fit tilte dans la tête du drogué.

Kiyosawa – « Encore une pauvre demoiselle en détresse qui n'a pas fait attention où est-ce qu'elle marchait... » dit-il en regardant la demoiselle. Contrairement aux filles qu'il croisait dans les bars, celle-ci n'avait rien à son avantage : aucun charme et aucune poitrine. Deux arguments qui l’incitaient pas à rester en sa présence. « … Bon flip', tu viens oui ou merde ? La bière et la vodka ne vont pas se boire toute seule ! »

A deux contre une, la jeune fille n'avait aucune chance si elle essayait de se défendre, si elle essayait un geste désespéré. Kiyo se demandait bien comment est-ce qu'elle pourrait bien se sortir de cette situation qui ne semblait pas à son avantage.
Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeMar 28 Mai - 14:47
coward, problem ?
WHO RUN THE WORLD ? GIRLS
She told me not to step on the cracks, I told her not to fuss and relax. Pretty little face stopped me in my tracks. But now she sleeps with one eye open, that's the price she'll pay.
Elle n'eu même pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait qu'elle se retrouvait plaquer contre un arbre, la gorge emprisonnée dans de puissants doigts qui resserraient leur étreinte au fur et à mesure que le mec en face d'elle parlait. La japonaise ne prêtais pas vraiment attention à ce qu'il disait, seul les dernière phrases parvinrent à ses oreilles : « Tu vas payer pour cet affront. Personne ne me bouscule. Si j'avais été toi, j'aurais regardé où je mettais mes pieds. ». Mais elles lui suffisaient pour décréter que la personne en face d'elle était un taré. Ses prunelles brunes reflétaient de la peur, de l'horreur. Hikari ne savait pas du tout comment se sortir d'une telle situation, auquel elle n'avait jamais fait face. Pour couronner le tout, ils étaient deux contre une. Rien de plus désavantageant. Elle fouilla précipitamment dans la poche de son jean histoire de voir si elle avait son scalpel sur elle, et comme elle ne le trouvait pas elle en vint rapidement à la conclusion qu'elle devait l'avoir très certainement oubliée chez elle. Pile dans le moment où la japonaise pourrait en avoir le plus besoin, cependant elle doutait que même avec elle puisse passée deux mecs. Le plus rapidement possible, elle essaya de détailler les deux inconnus. Un brun et un mec aux cheveux verts assez chelou. C'était ce dernier qui lui avait empoigné le cou et qui lui faisait face en ce moment. Elle n'osa même pas le regarder dans les yeux, ses membres devaient surement être entrain de trembler. Faisait-elle peine à voir ? Sûrement, mais aucun des deux risquaient de la prendre en pitié.

« … Bon flip', tu viens oui ou merde ? La bière et la vodka ne vont pas se boire toute seule ! »

À l'entente de ces paroles la brunette eu un maigre espoir, elle vit une occasion pour elle de s'en tirer indemne. Mais la douleur s'accentuait au niveau de sa gorge et elle commençait à avoir de plus en plus de mal à respirer. Alors Hikari tenta vainement de se défaire de l'étreinte de son agresseur, mais visiblement l'écart de force était trop important. Son visage se crispa et elle se mordit la lèvre inférieur presque jusqu'à la faire saigner, tout ce qu'elle pouvait espérer c'est qu'ils se barrent lui et son pote, qu'il la laisse tranquille. Mais l'étudiante n'aimait pas qu'on la traite comme une moins que rien, qu'on s'en prenne à elle pour une raison stupide. Dans un dernier effort, elle lui couina :

« Mais lâche moi je t'ai juste bousculée ! T'es vraiment taré ! »

Elle aurait vraiment due y réfléchir deux fois avant d'insulter le mec aux cheveux verts, cela risquait seulement de faire grimper sa colère. Mais vous savez Hikari, on la toujours connue pour être têtue et obstinée, alors elle se retrouve bien souvent dans des situations pas possibles, similaires à celle-ci. Mais cette fois là elle avait vraiment un mauvais pressentiment, elle craignait de finir en chair à corbeau, à l'hôpital couverte de bandage. Hajime. L'image de ce garçon risquait de la hantée à vie. Cependant, ce qu'elle avait dut subir en sa compagnie se rapprochait de très près de la situation à laquelle elle était confronté en ce moment même, ces moments où elle angoissait, où elle puait la peur, ces moments où elle se demandait si elle survivrait ou non. Hajime c'était un véritable dur à cuire, un mec qu'on associerait facilement aux Bastards de son école. Le genre de type qu'elle pouvait pas blairer mais qu'en même temps elle n'osait pas confronter, de peur de s'en tirer avec un oeil ou une jambe en moins. Ouais, cela faisait vraiment d'elle une poule mouillée, mais c'est quoi le problème ? Enfin bref, ça ce fut pour la petite histoire, maintenant retour à la réalité. Elle voulait se tirer, là, maintenant, tout de suite. Elle avait peur.

UN TRUC A DIRE ?

enjoy. ah et je suis passée a la troisième personne du singulier, c'plus simple pour moi.
Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeMer 29 Mai - 1:53
I’m in a very bad mood, so don’t mess with me.



Je fixais amèrement la demoiselle que je tenais par la gorge. En même temps de resserrer ma prise, je me mis à la détailler vite fait. La demoiselle était plate. Une planche à pain, j’vous dis. J’étais déçu. Vous vous attendiez sûrement à c’que j’dise ça, hein ? Et non, sachez que les fortes poitrines ne m’intéressent pas le moins du monde. Je préfère largement les petits seins. On peut les prendre entièrement en bouche, v’voyez ? Et complètement dans les mains aussi, pour les écraser. Ça fait toujours bien gémir les filles ça. Enfin bref, je m’égare, là. Elle avait aussi des cheveux mi-longs dont la couleur m’était inconnue à cause de l’obscurité. Il y avait bien un lampadaire non loin, mais sa lumière était freinée par les branches de l’arbre contre lequel je l’avais plaquée. Par contre, je pus distinguer ses yeux bruns. Ils étaient emprunts d’une peur innommable. C’était jouissif. « Encore une pauvre demoiselle en détresse qui n'a pas fait attention où est-ce qu'elle marchait... » Kiyosawa s’était rapproché. Et il fixa la poitrine de la miss. Il devait être déçu. Ahah. « … Bon flip', tu viens oui ou merde ? La bière et la vodka ne vont pas se boire toute seule ! » Ben tiens, il voulait donc que je laisse passer l’affront de la donzelle ? Et puis quoi encore !

Je me mis à serrer encore plus, sans m’en rendre compte. Sans doute parce que la jeune fille commença à se débattre. En vain. Elle ne m’avait pas encore regardé une seule fois dans les yeux. Lui faisais-je donc si peur que ça ? Je vis du sang couler le long de sa lèvre inférieure et de son menton. Mon sourire s’élargit tandis qu’elle décidait de parler. « Mais lâche moi je t'ai juste bousculé ! T'es vraiment taré ! » Elle m’insulta en couinant. Et. Je ne pus m’empêcher d’exploser de rire. Elle était sérieuse, là ? Moi ? Juste taré ? J’étais bien plus que taré, voyons ! Je lâchais sa gorge pour l’agripper plutôt par sa chevelure. La soulevant un peu et me baissant pour mettre mon visage au niveau du sien, je passais lentement ma langue sur son menton pour nettoyer le filet de sang. « Il ne faut pas avoir peur. Je te promets que ça ira très vite. Enfin, si tu te laisses faire, bien sûr. » Empoignant mieux sa tignasse, je la fis trainer derrière moi jusqu’à un banc sur lequel je la balançai. Je posai ensuite mon pied contre son ventre, l’y pressant fortement pour qu’elle ne fuie pas et me tournai vers Kiyosawa. « Navré, cher ami. Mais tes alcools devront attendre. Il se trouve que cette mistinguette désire recevoir une petite leçon de ma part. Mais ne t’en fais pas, toi aussi tu vas t’occuper d’elle. Avec moi. »

Je pris la main de la demoiselle et la baisa sur le dos. Une petite douceur avant la souffrance. Je la regardais fixement. Son regard se plongea dans le mien. Son corps tremblotant m’excitait. Je plaçai son bras à moitié sur le banc, l’autre moitié en l’air et le bloquai, coude posé sur la surface du meuble. Sifflotant doucement, j’approchai lentement mes lèvres de son oreille. « Et. Je t’en prie. Ne crie pas trop fort. HinHinHin. » Ceci dit, mon pied en l’air au-dessus de son avant-bras, j’y mis un violent coup vers le bas. Craquement. Elle poussa un hurlement. Je m’accroupis et repris sa main dans la mienne. Son bras était plié du mauvais côté. Cela me fit sourire. On pouvait même voir un morceau d’os dépasser. Et elle pissait le sang. Ses cris n’arrêtaient pas. C’était si bon. J’étais même à deux doigts d’en avoir une érection. Posant mon front contre celui de la miss, je caressais tendrement sa joue avec mes doigts. « Tu vois, c’est allé vite, non ? » Je lui volais un langoureux baiser, mordant par la même occasion sa langue jusqu’au sang. « Mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas encore fini. Je tiens à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. »

Je me redressais et tournais ma tête vers Kiyosawa. « Bon alors, tu fous quoi à regarder sans rien faire ? » Je pris une seconde fois l’adolescente par les cheveux, les lui arrachant presque par la violence de mon geste. Je m’avançai vers mon colocataire et ami d’enfance, faisant trainer l’inconnue derrière moi. « Tiens, attrape ça. » Dis-je en la lui lançant dans les bras. Je sortis ensuite une clope et l’allumai, tirant un peu dessus. « Et je te prie de ne pas te défiler. Plus vite elle aura compris son tort, plus vite on rentrera boire, okay ? » Je n’avais pas vraiment confiance en lui pour ce genre de choses. Mais je me disais qu’il ferait tout de même comme moi. Enfin, j’espérais.


C’pas long, j’trouve. Mais j’peux pas non plus faire bouger vos persos, donc j’peux pas faire plus. Enjoy !
Et désolé de commencer aussi fort le défonçage. xD
Code by Anarchy

Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeMar 4 Juin - 5:38



La flemme : étrange maladie qui donne envie à la personne de ne rien faire. En ce moment, Kiyo était sous l'emprise de cette maladie. Aucune des activités qu'il faisait en temps normal ne le satisfaisait, même pas celle de coucher avec des filles. Pourtant, celle-ci était – de loin – la préféré de notre taiwanais. Momentanément, il passait ses journées à ne rien faire à part boire de l'alcool et se faire prendre par Flippy quand il était complètement bourré et par kimoo quand il était sobre. Il passait aussi ses journées à dormir comme un ours en hibernation. D'ailleurs, en ce moment, il ressemblait plus à un ours malpropre plutôt qu'à un homme : il dormait autant la journée que la nuit et lorsqu'il n'était pas dans son lit, il s'amusait dans les bars à strip-tease soit seul, soit accompagné. Un vrai mec comme le dirait la plupart des filles de cette école ou même la totalité de la gente féminine.

Dehors, quand ils tombèrent face à face avec la demoiselle, enfin quand Flippy tomba dos à face, Kiyo savait que sa soirée allait être fichu. Il savait que le geste de la fille allait mettre en rogne son ami. Une déduction qui était exacte : dès qu'elle s'aperçut qu'elle avait frappé quelqu'un, elle s'excusa. À la réaction de Flippy, les excuses étaient bien arrivées au cerveau de l'ancien bastard mais n'avaient aucun effet sur celui-ci. Pour aider la demoiselle ou pour sauver sa soirée, il ne savait pas encore quelle raison prendre, mais il lui demanda de venir avec lui. Au même moment que de lui demander de venir, Flippy serra l'étreinte qui le relier à elle encore plus fort. Par réflexe ou pas sadisme, personne ne savait la bonne réponse. Dans tous les cas, il voyait bien qu'il n'avait pas l'intention de lâcher l'affaire, surtout qu'il le confirma de vive voix après qu'elle eut la connerie de l'insulter. Une réponse qui annonçait le tempo de la soirée : « Navré, cher ami. Mais tes alcools devront attendre. Il se trouve que cette mistinguette désire recevoir une petite leçon de ma part. Mais ne t’en fais pas, toi aussi tu vas t’occuper d’elle. Avec moi. » Comment ça « avec moi » ? Kiyo n'était pas comme ces connards de bastards ou ces connasses d'amazones... Lui, quand il frappait quelqu'un, c'était seulement parce qu'il ou elle avait fait un truc qui ne lui avait pas plu, ou alors qu'il était de mauvaise humeur. Contrairement à eux, Kiyo n'était pas né sous l'étoile de la haine, la violence gratuite.

Pendant qu'il s'occupait d'elle à coup de baiser sadique et de phrase romantique, Kiyo commença à boire : alors que Flippy prenait son pied avec la demoiselle en la faisait hurler de douleur, Kiyo, lui, prenait son pied dans l'alcool. À peine réveiller et pas encore dé-soûler, il repartit dans son monde, dans son subconscient. Malheureusement, il fut arraché à ce monde peu de temps après. En effet, Flippy, dans sa bonté légendaire et surtout parce qu'il avait envie de fumer une clope, lui balança la catin dans les bras. Un geste qui eut comme réponse un soupir de désespoirs de la part du taiwanais. Il le connaissait bien pourtant... il savait bien que Kiyo frappait les filles seulement quand elles avaient de gros nichons et avec sa queue et non avec des poings, surtout quand la nature ne les avait pas gâtés niveau argument. Bref, sans se plaindre, il la réceptionna au même moment qu'il lui annonça : « Et je te prie de ne pas te défiler. Plus vite elle aura compris son tort, plus vite on rentrera boire, okay ? ». Dès qu'on parlait d'alcool, il n'y avait pas à répéter deux fois la consigne : alors que Flippy allumait sa clope pour prendre une petite pause, Kiyo s'amusait avec elle. Dans son malheur, elle avait un peu de chances : vu qu'elle n'était pas au goût de Kiyo niveau poitrine, il n'allait pas la prendre pour une poupée gonflable.

Maintenant aux mains du Heckler le moins sadique des deux, elle allait pouvoir se reposer un peu avant la grande bataille ; il n'avait vraiment pas envie de la battre, mais comme cela concernait l'alcool, il lui chuchota un petit : « désolé darling... » avant de lui mordiller gentiment l'oreille droite et de la foutre à terre. Attendez ! Elle allait foutre sa soirée en l'air. À cause d'elle, il était obligé de commencer à boire dehors, dans un parc et surtout avec une inconnue. Franchement, nan, franchement, lui qu'on pouvait surnommer « bisounours », il n'allait et ne pouvait pas laisser passer ça. Quand elle tomba à terre, il mit les deux mains de l'inconnue derrière le dos de celle-ci et posa son gros cul d'ours malpropre sur ses mains et sur son dos, par la même occasion. Une canette de bière dans une main, il se servit de l'autre pour essuyer le goudron avec le visage de la brune. Son visage n'avait rien d'extraordinaire, il pouvait donc l'abîmer autant qu'il le voulait. Il pouvait s'amuser le détruire autant qu'il le souhaitait. Oui, il ne s'amusait pas vraiment à le faire. Il aurait préféré être dans l'appartement de son pote, plutôt que d'être dehors pour donner une raclée à une femme qui était trop conne pour sortir dehors à cette heure-ci.

Post assez pourris °° je vais essayer de faire mieux au prochain U_u
Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeSam 6 Juil - 19:57
♣ YOU FUCKIN' BASTARDS
I'm just a step away, I'm a just a breath away; Losin my faith today, Falling off the edge today ! I am just a man, Not superhuman; I'm not superhuman ! Someone save me from the hate.
C'était si frustrant de savoir que dans une telle situation, on ne pouvait rien faire d'autre que regarder et de sentir sa peur montée. Elle ne savait pas vraiment ce qui la faisait trembler, en fait. Les pensées psychopathes du mec aux cheveux verts ou son pressentiment sur ce qui allait se passer ensuite ? Surement un peu des deux. Son souffle s'accéléra lorsqu'il lâcha enfin sa gorge (à force d'autant la serrer elle commençais à suffoquer), mais elle n'eu pas même le temps de respirer qu'il empoigna sa tignasse brune. Elle poussa un petit gémissement de douleur et lui tira un peu plus, afin de ramener son visage à la hauteur du sien. Et puis, il passa lentement sa langue sur le filet de sang qui dégoulinait de ses lèvres. Répugnant. Elle lui lança un regard emplit de dégoût et tenta à nouveau de se débattre, mais en vain.

« Il ne faut pas avoir peur. Je te promets que ça ira très vite. Enfin, si tu te laisses faire, bien sûr. »

Ne pas avoir peur ? Aha, lorsqu'on s'appelle Hikari c'est quasiment tache impossible, c'est bien le genre de personne qui se met a paniquer dès qu'on essaye de l'effrayer un peu. Elle cria lorsqu'il la fit trainer au sol jusqu'au banc, gesticula dans tout les sens pour essayer de se défaire de son emprise. Il adressa quelques mots à son acolyte, des mots qui avait de quoi faire encore plus frissonner la brune. Elle tremblait plus que jamais. Ce fut un exploit qu'elle puisse encore retenir ses larmes. Mais avec la peur mélangé à la douleur, elle allait bientôt craquer, cela se lisait sur son visage déjà amoché.

Si elle n'était pas une poule mouillée, si elle faisait partit de ses femmes fortent qui choisissent de se battre plutôt que de souffrir, si elle ressemblait plus à une amazon fière et crainte comme Lilith, peut être aurait-elle pu vaincre sa maudite peur, peut être aurait-elle eu le courage de se relever et se défendre. Que de si belles paroles, pour l'instant Hikari restait encore au stade de la pauvre brebis craintive et fragile. Il plaça son bras dans une position étrange et vint lui murmurer quelque chose au creux de son oreille. Alors qu'elle ouvrit la bouche pour riposter, un craquement se fit entendre. Suivit d'un hurlement, de la brune bien sur. Dans un ultime effort, elle tourna sa tête en direction de son bras et fut horrifié en voyant son sang mais surtout, son os. Elle repoussa un hurlement, mélangé à un sanglot. Des flots de larmes coulaient le long de ses joues, jamais auparavant elle ne fit face à une douleur aussi atroce. L'odeur du sang commençait à lui monter à la tête, cela lui donnait presque envie de vomir.

Le jeune homme lui au contraire, semblait se régaler de ce spectacle. Il prit de nouveau sa main dans la sienne et plaça son front contre le sien, avant d'ajouter.

« Tu vois, c'est allé vite, non ? »

Puis, il l'embrassa langoureusement. Elle tenta de le repousser, mais avec son bras cassé et le peu de force qu'il lui restait, tout ce qu'elle réussie à faire s'était d'intensifier la douleur présente partout dans son corps. Un gout de sang dégueulasse dans la bouche, un bras fracturé, de la fatigue, la japonaise devait vraiment faire peine à voir. Ses pleures redoublèrent lorsque son agresseur lui annonça que ce jeu sadique n'avait toujours pas pris fin. Et sans vraiment comprendre comment, elle se retrouva dans les bras de l'autre. Ce dernier lui chuchota un désolé, qui eu un pauvre gémissement de douleur en guise de réponse. Encore une fois, son visage rencontra le sol. Là, maintenant, tout de suite, elle avait vraiment l'impression d'être une sorte d'objet, un truc qui vaut pas mieux que deux sous qu'on peut casser et malmener à sa guise. C'était un sentiment d'infériorité, en quelque sorte. Après avoir passer ses mains derrière son dos, le mec posa son sale postérieur sur Hikari et essuya une canette contre son visage. Les hommes étaient tous des sales chiens, en fin de compte. Ils devraient tous crever.
HRP ⎢ Ce retard de fouuuu. Pardon pour ma lenteur, en plus jvous pas pondu un truc si bien que ça. Et je suis désolé de faire presque rien, mais en tant que victime jpeux pas faire grand chose a part pleurer et crier. xD
coded by RESCUE RANGER ! of ATF
Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeLun 19 Aoû - 10:20
I’m in a very bad mood, so don’t mess with me.



Je tirais sur ma clope, m’éloignant légèrement pour me dégourdir un peu les jambes. Puis, je jetais un coup d’œil à Kiyosawa. J’avais essayé de le motiver, mais ça ne semblait pas avoir parfaitement bien fonctionné. Bah, de toute façon, s’il ne lui faisait rien, je ferai tout moi-même. Cela ne me dérangeait pas, bien au contraire. « Désolé darling... » Dit-il avant de lui mordiller l’oreille de manière gentillette. Il ne lui ferait pas de mal. C’était évident. S’il n’avait pas de réelle raison de frapper quelqu’un, il ne le faisait pas. Surtout si c’était une fille. Et c’était le cas, même si ses arguments étaient moindres. D’ailleurs, le fait qu’elle soit plutôt plate la rendait encore moins intéressante pour Kiyosawa. Et ouais, l’autre alcoolique aime les gros obus. Chacun ses goûts, dira-t-on. Mais il faut avouer que les siens sont particulièrement très mauvais. Spécialement comparés aux miens. Toutefois, le fait qu’il soit apparemment désolé m’énerva assez. D’où qu’il était désolé ?! Elle n’avait que ce qu’elle méritait ! Durant mon énervement intérieur, l’éponge rouge en profita pour mettre la demoiselle à terre et s’asseoir dessus. Gosh, ce poids qu’elle se recevait en plein dessus. Finalement, il ne me décevait pas tant que ça. En plus de se servir d’elle comme d’une chaise ▬ ou d’un canapé ? Un divan ? Un fauteuil ? Une causeuse ? Un sofa ? Un siège ? Une banquette ? Un banc ? Une couche ? Un pieu ? Un lit ? Un matelas ? Un trône ? Un tabouret ? Bref. ▬ il l’usa comme d’un torchon ▬ ou d’un chiffon ? ▬ afin d’essuyer sa canette de bière.

Mais ça n’était pas assez. Je m’approchais d’eux, une fois ma cigarette presque terminée, et me mis accroupi à leur côté. Zieutant la jeune fille, tout sourire, je pris mon cylindre goudronné entre mes doigts. « Dis, t’as déjà vu une clope de très près ? Attends, ne réponds pas. C’est non, n’est-ce-pas ? Puis, quand bien même c’est oui, je vais te montrer la mienne de près. Non, ne me remercie pas. C’est gratuit. Alors faut profiter. » Après lui avoir sorti ça, j’écrasai brusquement ma cigarette contre sa joue. Elle lâcha un cri de douleur. Tellement excitant. Je poussai Kiyosawa par terre, faisant renverser sa bière sans vraiment le vouloir. Et sans le remarquer. Parce que je n’en avais rien à foutre, en fait. Je la mis sur le dos, me mettant à cheval sur elle. Prenant en suivant ses poignées dans mes mains, je posai mon front contre le sien. « Ne tire pas cette tête, voyons. On dirait que tu n’es pas heureuse de toute cette attention que je te donne. Pourtant, je suis doux, là. C’est sûrement dur à croire, mais c’est la vérité. Je suis extrêmement gentil avec toi. » Tout en parlant, je frottais tendrement ma joue contre la sienne. Je ne faisais même plus attention à Kiyosawa. Et je ne savais même pas où il était et ce qu’il faisait en ce moment-même. Tout ce qui m’importait, c’était cette fille, là. Allongée sur l’asphalte, en-dessous de moi. Seule elle existait pour moi, en cet instant.

Je pressai de nouveau mes lèvres contre les siennes. Je crois bien que j’étais en manque d’affection ces temps-ci. Sans doute qu’un de ces prochains soirs, je sortirai quelque part pour m’chercher une personne avec qui tirer un bon coup. Ouais, je sais que j’aurais très bien pu violer celle-ci. Cependant, je n’en avais pas du tout envie. Enfin, elle ne me faisait pas du tout envie, plutôt. Sans vouloir être méchant, hein. Je me redressai ensuite, dirigeant mon regard vers mon colocataire, et lui tendis une main. « Mec, passe-moi une bière s’il te plaît. Et même s’il ne te plaît pas, d’ailleurs. » Non, ça n’était pas pour boire. Mais pour faire autre chose. Je ne savais pas encore quoi, mais une idée allait forcément me venir à un moment donné. Quand il s’agissait de faire souffrir quelqu’un ▬ que ce soit pour le plaisir ou pour autre chose ▬ j’avais toujours des idées. Toujours.


J’ai mis du temps, je sais… Donc, on fait encore deux réponses chacun, puis je bouclerai le rp. Cela vous va ? Oui ? Non ? Ràf. On f’ra quand meme comme ça.
Code by Anarchy

Invité
you must get out of here before the wolves come ☠ (ft. flippy & kiyo.) Icon_minitimeJeu 22 Aoû - 2:40
[quote="Kiyosawa Shinaha"]


Il était rare de voir Kiyo énerver, même si les événements futurs présageaient le contraire puisqu'il allait frapper des demoiselles, sans défense, pour des broutilles. Depuis un certain moment, il était devenu plus « à fleurs de peau ». Il pouvait s'énerver pour rien. Il pouvait frapper pour rien. Il pouvait torturer pour rien. Il provoquait de la violence pour calmer un mal intérieur dont il ne sentait rien et surtout, dont il ne connaissait pas l'origine. Il ne savait même pas pour quoi il était énervé. La soirée qu'il passait avec Flippy était le reflet du fait que le taiwanais était plus un ours dans happy tree friend que dans les bisounours. Parce qu'après avoir donné un faux-espoir la demoiselle, il participait aux coups qu'elle recevait de la par de Flippy. D'ailleurs, il avait remarqué que ce soir, il était d'une humeur bien exécrable. Peut-être qu'il n'avait pas pu baisé la meuf qu'il voulait... Un de ces jours, il allait devoir lui faire rencontrer Addison ou Kotori, pour qu'il puisse se calmer les nerfs. Parce qu'il savait très bien que, quand il était comme ça avant de boire, le lendemain matin, kiyo avait un énormément mal au cul. Il s'imaginait avec beaucoup de mal les débats des deux locataires de la chambre. Il ne voulait pas s'imaginer ce que Flippy devait lui faire. Mais il savait, à ce moment-là, qu'il allait ressentir cette même douleur. Du moins, il le savait jusqu'à ce qu'il prenne sa place sur le dos de la demoiselle. Kiyo s'amusait à laver sa canette et le sol avec le visage de la demoiselle tandis que l'autre bouffon avait écrasé sa cigarette sur la joue de celle-ci. Le coup de la cigarette était un coup trop vieux. Aussi moisi que son pote. Bref, il lui laissa donc la place pas par plaisir, mais pas force puisque le connard qui l'hébergeait le poussa. Il avait même renversé un peu de bière par sa faute. Pour se venger, parce qu'il savait très bien qu'il allait prendre cher ce soir, il renversa le reste de sa bière sur la gueule de son pote avant de rire et d'en reprendre une autre. La scène le faisait bien rire. Il s'assit en face de la demoiselle pour regarder les deux amants. Pendant qu'il regardait le mec en train de faire du « frotte-frotte » avec les joues de la demoiselle, il l'embrassa. Ce mec devait vraiment être en manque pour pouvoir embrasser cette chose... Puis, sans s'y attendre, il lui demanda de lui passer une bière. Jor, le mec voulait une bière alors qu'il fait tomber la sienne... Ce mec était vraiment un bâtard. Il se demandait bien pourquoi il n'était pas dans ce groupe. Il était parfait pour lui.

En regardant la scène et après lui avoir passé sa canette de merde, il se mit à exploser de rire. Les deux tourtereaux le faisaient bien rire. Flippy faisait croire à un sadisme sans nom alors qu'il n'avait encore rien fait de bien extraordinaire. Une cigarette par ci, un coup dans un arbre par là. Pour Kiyo, ce genre de chose n'était rien, mais comme son ami d'enfance savait, il fallait une bonne excuse – à ses yeux – pour que le taiwanais fasse preuve d'un sadisme sans nom. Il avait déjà fait ressortir ce côté-là une fois, une seule fois à Sei. Il avait frappé une mermaid qui le faisait chier. Il l'avait frappé tellement fort que les seuls moments de répit pour celle-ci, c'était quand  il lui faisait bouffer de l'herbe. Il l'avait aussi abandonné dans le jardin de l'établissement à moitié morte, pissant le sang comme quand on se coupait une extrémité. Une violence sans nom. Alors oui, quand il voyait ça, il rigolait. C'était aussi une façon de dire à Flippy que, s'il pouvait de l'affection, il devait frotter sa queue et non sa joue sur le visage de celle-ci. Pis, qu'est-ce qu'il pouvait bien faire mis à par rire? Il ne pouvait pas la toucher parce qu'elle était trop moche et aussi parce que Flippy était sur elle. Quant il arrêta de rire, il prit une autre canette qu'il but d'une seule traite. Il avait hyper soif. Puis, il en reprit une seconde. L'alcool de la veille, mélangé à l'alcool de maintenant, faisait qu'il se sentait comme sur un petit nuage. Il était heureux de s'allonger sur le goudron. Il en avait marre de voir son pote prendre son pied. Il regarda donc regarder le parc, pour savoir si des personnes allaient venir secourir la demoiselle ou non. 



Parce qu'aucune inspiration et la flemme de corriger les fautes °°
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