Le grand jour est arrivé, n'est-il pas ? Le premier jour dans son nouvel établissement, Sei Gakuen : que de choses nouvelles, que d'inconnus aux alentours, que de futures aventures ! Cependant, Jan n'est pas enthousiaste. En réalité, il entre, marche, et passe la porte d'un calme tel, un air si reposé, qu'il donne presque l'impression de rentrer chez lui, ou de juste entrer dans un magasin pour faire ses courses. Non, Jan n'est pas inquiet du tout : il est parfaitement sûr de lui; il a confiance en lui. Il sait que tout se passera bien, comme tout s'est toujours bien passé. Il ne sait pas grand chose de Sei Gakuen; il n'y est, en fait, rentré que pour satisfaire son père, et n'a fait que très peu de recherches. L'histoire de son lycée ne l'intéresse pas. Ce n'est qu'un lycée banal, avec des élèves banals, des professeurs banals, des surveillants banals, et probablement des murs banals. Jan sait qu'il se débrouillera aussi bien ici qu'il s'est toujours débrouillé quel que soit l'établissement. Il sait comment agir face à quelque étranger; il sait devenir leur ami, il sait comment leur faire plaisir; il sait comment se faire aimer. Mais il semblerait que lui-même ne sache pas aimer. Ces gens l'entoureront, passeront un bon moment avec lui, le regarderont d'un inférieur, comme ils le sont, ils l'admireront, mais il ne sauront jamais qui ils admirent vraiment. Jan laisse échapper un léger rire, un rire amer, à cette pensée. « Ha ! , pense-t-il, ces idiots me rendent les choses si simples. Oh, ils ne sont pas si bêtes après-tout... mais si facilement manipulables.» Telle va la vie de Jan Lyons : il manipule son chemin au travers d'elle. En est-il heureux ? À moitié. Mais le voilà planté debout au milieu du hall d'entrée. Pourquoi s'est-il perdu dans ses pensées, déjà ? « Ah,oui. » Il ne sait pas où aller. Pourquoi faut-il que tous les établissement fonctionnent différemment ? Certains demandent de se présenter au directeur, ou quelque membre du personnel, d'autres d'aller immédiatement à sa chambre, d'autres encore d'aller directement en classe et espérer y trouver son professeur. Peut-être aurait-il dû faire un minimum de recherche, ou au moins lire les documents, avant d'entrer tranquillement, perdu dans ses pensées... ah, mais quel idiot, quel idiot ! Que faire à présent ? Rien ne sert de paniquer. Quelqu'un va le voir immobile au milieu, et venir l'aider, que ce soit un élève ou un adulte. Cela va de soi. Oui, Jan va juste rester au milieu, et sourire à la première personne venue, en mimiquant un air bête et perdu. C'est ainsi que l'on se fait aider, n'est-ce pas ? Rien de plus simple. Ensuite cette personne le guidera, charmée par son sourire et sa politesse - puisqu'évidemment, il ne peut pas se permettre d'être impoli avec son futur guide ! Haha. Jan, alors, se met à la recherche d'un regard à croiser. Ce ne sera pas long; bien que le hall ne soit pas totalement empli d'élèves (et tant mieux, ce serait étouffant), les gens vont et viennent autour de lui, quelle que soit leur raison.
Invité
Mar 19 Avr - 10:35
♕ KIMI & JAN ♕ Newbie Here!
Une nouvelle fois, je m'retrouve dans le hall. Pourquoi? Pasque. Pasque j'dois également faire un autre job que celui de bras droit pour l'heure actuelle. Que d'ordinaire je me serai calé sur un mur, l'air de rien, à mater et à m'demander pourquoi il n'y a pas de sangliers dans ce pensionnat alors qu'il y a une masse de gland qui s'y trimballe jour et nuit. Nan au lieu d'ça, j'ai aussi droit au recrutement. Ouais, faut bien que j'me bouge le cul, sinan personne ne l'fait. Donc faut que j'trouve de quoi remettre les Oranges sur pied avant qu'on se prenne tout dans la face.
Faut bien avouer que mon retour a commencé à faire bouger les choses. La peur, la fureur, la colère, la fierté, tout s'est mélangé, et beaucoup chez les gonzesses bizarrement. Il faut croire que notre dernier affrontement qui les a mis au fond est un évènement qu'elles n'ont pas envie de revivre. Quel dommage, une si jolie scène que je pourrai me repasser en boucle juste pour le plaisir... Tant pis, je trouverai bien autre chose pour leur faire comprendre qu'ici, le Roi, c'est moi. Je mène le jeu, je mène les gens, je lead mes camarades vers la victoire.
'Fin bref, j'm'égare. J'sortirai bien une clope mais dans le hall, j'vais m'faire ramasser. J'préfère laisser mes vairons s'octroyer le plaisir d'une jolie paire de fesses avant de s'attarder sur un gamin. Ouais, toi le blondinet dont je croise le regard. Tu sembles surpris, puis rapidement serein. J'entends par là un p'tit côté je m'en foutiste qui me plait bien. Allons bon, pourquoi pas. J'crache pas sur des gens qui peuvent se révéler compétents. Reste à savoir en quoi tu peux être utile et si tu n'es pas là par hasard en te disant que ton acceptation en ce lieu n'est dû qu'à tes performances scolaires.
Je quitte ma béquille de marbre, je m'avance vers ta trombine qui ne parait en aucun cas contrariée de ma venue. J'ai surtout l'impression que tu débarques de nowhere et que tu cherches un pigeon pour t'aiguiller. T'aiguiller, je peux, me faire pigeonner, c'est pas dans mes cordes. Une fois assez proches, je t’apostrophe.
Voilà qui tombe bien. Très vite, Jan croise le regard d'un jeune homme, qui s'approche de lui. Voilà qui tombe bien. Il n'a pas l'air trop bête, le bougre. Mais Jan sent chez lui une certaine agressivité, qui s'accentue quand il lui adresse la parole : « T'as l'air paumé, un coup d'main ? » Voilà une façon bien directe de lui adresser la parole. Oh, rien de bien grave, rien de bien dérangeant; cela ne dérange pas Jan, et d'autant moins que ce jeune homme vient lui rendre service. On ne crache pas sur ceux qui nous viennent en aide, n'est-ce pas ? Bien sûr que non. Jan est bien trop poli. « Effectivement, je n'ai absolument aucune idée d'où je suis, ni et encore moins où je vais. J'aurais bien besoin d'un coup de main. », répond-t-il. Face à un inconnu, jamais il ne se permettrait un langage moins châtié... si la conversation continue, peut-être se décidera-t-il a paraître plus à l'aise, mais voilà le type de phrase dont il se contentera pour l'instant. Il observe son interlocuteur de haut en bas. Qu'en penser ? Il y a cet air agressif sans trop de méchanceté chez lui, que Jan trouve intéressant, mais aussi un air décontracté, dont il ne sait que penser. En effet, il aurait pensé que les élèves d'un lycée à bonne réputation seraient tous fermés, timides, le principe même de l'abruti qui travaille sans cesse pour obtenir les meilleurs notes. Peut-être alors était-il tombé sur un des rares "rebelles" de l'établissement ? Mais cette idée lui semblait peu probable; en effet, ces déchets se proclamant rebelles sont plutôt du genre à t'insulter quand tu croises leur regard que venir t'aider parce que tu as l'air perdu. « Ma foi, se dit-il, je verrai bien. Tour ce qui compte, c'est qu'il m'aide tant que j'en ai besoin. Je m'intéresserai à son caractère plus tard. » Effectivement... le voilà à peine arrivé qu'il pense déjà à voir ce qu'il peut faire des personnes l'entourant. C'est inutile; il vaut mieux d'abord s'installer, prendre ses marques; ensuite viendra le fun. « Je viens d'arriver. Je n'ai pas vraiment fait attention... alors je ne sais pas du tout ce que je dois faire, ou qui je dois aller voir. », ajoute-t-il. Il se sent un peu coupable de ne pas avoir lu ces maudits papiers; tout aurait été tellement plus simple, et il aurait pu rester seul tranquille au lieu de tout de suite commencer à sympathiser avec les gens alentour. Mais il n'a pas d'excuse, alors il fait comme il peut, et jouera aussi bien que toujours, le jeu qu'est sa vie, d'un point de vue sociale en tous cas. « Répond-moi vite, qu'on en finisse.», pense-t-il, mais il sourit d'un air gêné et poli, se grattant la tête.
Invité
Mer 18 Mai - 9:34
♕ KIMI & JAN ♕ Newbie Here!
Tout dans la finesse et le style. Tu dois me prendre pour un type assez sec, le genre qui ne sait pas aligner une phrase correcte si ce n'est en démontrant mes intentions par les poings. Rassures toi, je ne suis pas une bleusaille près à te briser une côte si tu me brises les couilles. Et pis de toute manière, je pense différemment. Faut dire que les Oranges sont loin d'avoir des effectifs très présents en ce moment dans la bataille qui nous oppose aux pétasses qui se prélasse dans ce pensionnat.
Voilà pourquoi je profite de l'occasion pour venir te... filer un coup de main comme tu dis avoir besoin. Un léger sourire se dessine sur mon visage alors que tu m'expliques clairement que ton arrivée est tout ce qu'il a de plus frais en ce moment même. Je tends la main et me présente.
▬: " Kimi No Kakera. Pour les premières formalités, j'te conseille de pointer à la loge du concierge, au moins le temps de récupérer ton dossier et de choper ta piaule."
Je pointe du doigt le bureau où un type légèrement bourru semble grogner derrière son comptoir. De toute façon, je crois que je n'ai jamais vu cet imbécile sourire, exception faite d'une paire de nibards et d'une jupe aguicheuse. Mais passons, je te laisse t'atteler à cet noble tâche, attendant patiemment, adossé au mur, les bras croisés que tu aies terminé ta petite discussion avec ce blaireau. Cela me permet aussi de brasser un peu ceux qui passent par le hall et d'en retirer quelques infos de passage. On sait jamais, ça peut toujours me servir. Après tout, ici, une simple erreur d'appréciation peut coûter bien plus cher qu'on ne le pense.
Je redirige mon attention vers toi une fois ton échange terminé. Du coup, je te questionne sur ton affiliation.
▬: " Alors? Ils t'ont foutu dans quelle chambre du coup?"
Un sourire semble se dessiner sur le visage de son interlocuteur lorsque Jan lui indique être nouvel élève. Intéressant. Il lui tend ensuite la main, lui répondant : "Kimi No Kakera. Pour les premières formalités, j'te conseille de pointer à la loge du concierge, au moins le temps de récupérer ton dossier et de choper ta piaule." Jan lui rend cette poignée de main, le remercie brièvement et poliment, et se dirige vers le bureau dudit concierge. Voilà qui était rapide et efficace; Jan est bien heureux de ne pas être tombé sur un de ces affreux bavards qui l'auraient fait patienter des heures, à poser des questions, et donner des informations inutiles. Le concierge est un personnage à l'air mésympathique, et qui l'est visiblement. Il donne à Jan quelques informations et surtout papiers d'un air grognon, et le laisse partir sans plus de courtoisie. "Voilà une rencontre fort peu agréable", pense-t-il, tout de même heureux d'être rapidement débarrassé de sa tâche. Une fois sorti, il lève la tête, pour voir son bon samaritain adossé au mur lever la tête vers lui. Cela laisse à supposer que l'échange n'est pas terminé; mais cela ne dérange pas plus Jan que ça. Peut-être même que malgré son ennui, cela l'arrange. Le jeune homme lui demande alors : "Alors? Ils t'ont foutu dans quelle chambre du coup?" "Excellente question, Jan répond-t-il immédiatement, je n'ai même pas encore regardé." À vrai dire, le concierge était un personnage si rustre qu'il s'était empressé de sortir sans même poser de questions, ou lire le tas de papiers qu'il lui avait donné. Aussi patient qu'il est, Jan ne supporte pas les personnes malpolies - soit il en profite, soit il les évite. Quoiqu'il en soit, il ponctue sa phrase par un sourire. Il fouille alors dans la pile enfouie sous son bras, et trouve rapidement un papier indiquant son dortoir et sa chambre. Sans plus d'informations, évidemment; Jan ne saurait même pas dire si il est mixte, bien que ça l'étonnerait, ou combien de personnes il y a dans chaque chambre. Encore moins où elles se situent. "Alors... Dortoir C... Chambre 3. Ça te dit quelque chose ?", dit-il en levant la tête vers son interlocuteur. Tant qu'il y était, il pouvait bien le guider vers les dortoirs; peut-être même sa chambre serait-elle proche de la sienne, pour accentuer le côté cliché de la situation.
Invité
Mer 25 Mai - 21:57
♕ KIMI & JAN ♕ Newbie Here!
Je te laisse tranquillement faire tes marques... Ou du moins commencer à remarquer que ton second interlocuteur est aussi ouvert que l'hymen d'une vierge. Et encore, j'ai beau te voir hausser les sourcils, prendre à la légère ses réflexions des plus agréables...*ironie inside*, dis-toi seulement que c'est un avant goût de ce qui t'attends. 'Fin bref, passons les pensées parasites, la réponse que tu m'offres quant à ma précédente question me fait sourire. Le dortoir C, piaule 3 hein? Quelle bonne surprise... pour moi en tous cas, pour toi, ça reste à voir.
J'laisse échapper un rictus avant d'acquiescer.
Kimi ▬: " Ouaip, c'est là où j'pieute. Du coup, j'te ferai l'tour du propriétaire si ça t'tente."
Nul besoin d'obtenir ton approbation, c'est déjà tout vu. D'ailleurs, pensant que tu vas devoir squatter ma chambre, il va falloir que j'me rencarde sur ta personne. J'me décolle du mur, sereinement, pointe du doigts les escaliers et te fais comprendre que le chemin jusqu'au dortoir est bien devant toi. Je prends le pas, te laisse le temps de remettre en place tes documents puis t'interroge à nouveau.
Kimi ▬: " So mister, qu'est-ce qui t'amène ici?"
D'ailleurs, j'y pense. J'connais même ps ton prénom. Bah, si ça te dérange pas que j't'appelle mister, c'est toi qui vois...
L'interlocuteur de Jan sourit... et répond, en acquiesçant : "Ouaip, c'est là où j'pieute. Du coup, j'te ferai l'tour du propriétaire si ça t'tente." "Sérieusement ?!", se dit Jan. Il avait pensé ironiquement que la situation ne serait que plus cliché si leurs chambres étaient voisines... mais être carrément dans la même chambre ? Jan était habitué au hasard, mais sur ce coup là, il allait fort. Le concierge l'avait fait exprès, il n'y avait pas d'autre possibilité... Quoique... À en juger du personnage, il ne l'avait pas vu arriver, et se moquait bien allègrement des élèves pouvant l'entourer. "Fantastique..." , pense amèrement Jan. Lui qui pensait se débarrasser de ce type au plus vite... Pas qu'il ne l'aime pas; à vrai dire il avait l'air d'un personnage au moins assez sympathique pour donner des indications à un nouvel arrivant, et sa compagnie n'était pas des plus horribles, du moins pour l'instant; mais il était tellement préparé à être seul et tranquille pour son arrivée dans l'établissement et dans les dortoirs, que ce changement de plan le rendait mécontent. "Relativisions, se dit-il, au moins celui là a l'air sympa, et ça te supprimera le malheur d'être défiguré en arrivant dans une chambre emplie d'inconnus." Le temps que Jan réfléchisse à tout ça, son interlocuteur s'est levé du mur contre lequel il était adossé, et pointe du doigt sa direction, qu'il suit très vite d'un air serein. Voyant son air tranquille, Jan le regarde simplement dans les yeux et ne ressent pas le besoin de rajouter quoi que ce soit. Il remet ses papiers en place, et lui emboite le pas. "So mister, qu'est-ce qui t'amène ici ?", demande l'autre. "Excellente question, qu'est ce que je fais là ?" pense de suite Jan, gardant cependant son air calme et content. D'ailleurs, "Mister" ? Maintenant qu'il y pense, Jan ne s'est pas présenté, alors même que son guide lui a donné son nom. Qu'est-ce que c'était, déjà ? Kimi no Kakera ? Voilà un nom facilement reconnaissable. Jan n'en avait jamais entendu de tel auparavant. Bah, il va se présenter. Mais il faut aussi répondre à sa question. Que répondre, alors que Jan lui-même ne sait pas pourquoi il est venu là ? "Eh bien... il me fallait une école, et celle-ci avait une bonne réputation, et avait l'air assez tranquille pour qu'on n'en sache pas énormément. Comme ça, mon père était content, et je ne me forçais pas à aller dans n'importe quel trou.", répond-t-il alors d'un ton serein, presque comme si il s'en moquait. Et de toute manière, ce n'était pas un mensonge. "D'ailleurs, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Jan Lyons. Enchanté."
Invité
Dim 5 Juin - 5:44
♕ KIMI & JAN ♕ Newbie Here!
Le destin, le hasard, les coïncidences... Ce sont là des expressions aussi connes qu'indescriptibles. Elles n'existent que pour les faibles, ceux qui pensent uniquement à leur bonheur, leur malheur ou whatever fortuit. Me concernant, ce n'est pas le cas. Je suis maitre de mes choix, l'acteur de mes gestes. Il n'y a que moi pour décider de ce que l'avenir va me réserver, pour peu que j'y pense... Je ne me projette que très peu, j'ai toujours eu une préférence très prononcée "Carpe Diem", la vie au jour le jour. Surtout quand je ne suis pas sous la botte de mon connard de paternel soit dit en passant.
'Fin bref, laissons ce détail de côté, il est temps pour moi de prêter attention à la réponse que tu me fournis. Réponse qui par ailleurs m'arrache un léger rictus. Hin hin! Sérieusement? Tu penses sérieusement que ce bahut minable a une bonne réputation? Qu'il est aussi tranquille qu'une vierge dans un couvent? Mais t'as craqué ton jeans mec! T'es un grand malade! Ici, c'est le repaire d'un tas de blaireaux prêt à t'en foutre une juste pasque tu vas leur demander ton chemin! Ici mec, une pétasse est prête à écarter les cuisses juste pour que tu sois son clébard jusqu'à la fin de ta scolarité!
J'suis à la fois amusé, mais tout autant interloqué. Je ne pensais pas que tu ignorais vraiment tout de cet établissement. J'acquiesce à ta présentation, réfléchit pendant que mes pas résonnent sur le marbre de l'escalier puis porte mon attention sur ta personne.
Kimi ▬: " J'ai l'impression qu'on t'a pas vraiment mis dans la confidence hein?"
Je t'observe en coin, les sourcils tout de même bien moins arqués que les tiens. Oui, commences dès à présent à te poser des questions, mais ne t'en fais pas, si t'es chanceux et pas trop bête, tu auras toutes les réponses que tu souhaites. Toutefois, il serait mieux de ne pas rester au milieu de la masse d'abrutis qui trainent ici.
Kimi ▬: " Ow'Kay, j'vais t'expliquer deux-trois trucs qu'il faut impérativement que tu saches, mais...Pas ici, on monte dans la piaule."
Mon pouce en l'air, je te fais signe de me suivre jusqu'à la chambre du dortoir afin de te mettre au parfum...
HRP:
So, j'pense qu'on a fini ici, tu peux commencer directement le prochain post dans la piaule ; D
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