L'air qui rentre dans ses narines, ces expiration lourdes, de cette hauteur l’atmosphère avait quelque chose de différent, une sorte de pureté étrange, à moins que se ne soit qu'une impression complètement faussée par son imagination. Peut importe, il se retrouve sur ce toit, fixant ce qui se  trouvait devant ses yeux, espérant au loin apercevoir quelque chose qui l'aidera à s'occuper. Regardant divers bâtiment par-ci par là, il douta de sa présence sur ce toi, pourquoi celui là et pas un autre hein ? A cause de ce fameux QG de ce fameux groupe que son les bastards, ce groupe qu'il a rejoint dans l'espoir de satisfaire son envie de se battre mais dont la triste réalité est qu'il ne se bat que très peu, qu'il n'a quasiment pas de contact avec les gens de son groupe, qu'il doit en croisé des dizaine s'en même y faire attention. Une putain d'impression que tous ne se passe pas comme dans son plan. Mais il avait cette espoir d'un jour participer à un événement qui lui permettrait de se déchaîner, de pouvoir se prouver de quoi il est capable, que tout ces entraînement n'étaient pas inutile. Son regard changea, passant d'un regard vide à un regard plus déterminé, concentrer, aussi calme que terrifiant.

Fini les questions, la frustration etc. Il pense à ce qui connaît le mieux, se rappelle et s'imagine entrain de s’entraîner, de répéter encore et encore ce coup, cette enchaînement, ce blocage et celui-ci.... Tant de mouvement qu'il n'a jamais pensé à utiliser, quand bien même il en aurait eu l'occasion. Tout cela est lié à son entraînement et son entraînement est lié a son père et très vite il n'imagina plus des coup mais sa famille, une sorte de nostalgie le parcouru, aimerait bien faire un aller-retour sur Tokyo, histoire de se poser sur un toit et de là, voir sa famille vivre sans lui, avoir un petit sourire satisfait avant de repartir comme il serait venu. Sei à beau être intéressant, il n'a aucune attache vis-à-vis de ce lieu, pourrait partir comme il est venu. Ce n'est pas totalement vrai enfaîte, il a bien rencontrer quelque personne sympas, eu quelque délire, mais tout cela est-il suffisant pour se sentir bien...

Il cligna des yeux, ce qui le coupa dans sa pensée, il prit conscience que son corps, à force de rester immobile commençais à s'engourdir. Alors qu'il bougeait les doigts, il ferma les poings, tourna un peu la tête, mit ses mains devant lui et donna un coup dans le vent. Un mouvement quelque peu misérable si on le regarde de l’extérieur, mais c'est ce genre de truc con qui permet à Buichi de se sentir bien, d'avoir un peu plus confiance, de lui montrer qu'il sait toujours donner un coup de poing. Aurait-il besoin de ça s'il avait des gens à qui se confier, à qui parler et qui le rassuré sur ce qu'il est... En bref , des amis? Mais comment avoir des amis dans ce lieu qui symbolise la violence? Dans ce lieu ou les gens croient qu'ils sont fort car ils ont fais du mal à deux trois personne sans jamais comprendre que la force n'est pas synonyme de violence, que la vrai force est quelque chose de terrifiant qui n'a pas besoin d'être montré pour être perçue. C'est ce décalage qui empêche Buichi de faire le premier pas vers les gens d'ici, à chaque fois qu'il voit des gens se battre, se faire des coups de pute ou autre, il y a cette espèce de sadisme, cette envie de prouver qu'on est un malade capable de faire des choses extrêmement mauvaise et par conséquent montrer au autres que: nous sommes dangereux. Quelle logique... A quoi bon parler avec ce genre de gens.

Les pensés de Buichi commençais à tourner en rond, observant que les choses avait quelque peu changer depuis son arrivé sur ce toit, il se dit qu'il faudrait faire autre chose de sa journée. C'est les mains dans la poche qu'il était partie vers les escaliers pour redescendre, mais il entendit que quelqu'un était entrain de monter, avant de voir une fille apparaître. Il s’arrête, plutôt surpris de voir quelqu'un et la regarde, perplexe, il reste hésitant, ne sachant pas vraiment quoi faire.