Sei Gakuen
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No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma)

Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeJeu 14 Fév - 8:03
Elle est là, elle me r'garde... J'ai envie d'la flinguer... Si j'avais l' matos sa cervelle gicl'rait déjà par terre...Cool...Ne pas s' laisser mener par le Rouge ou là elle crève pour de bon. Elle voulait r'joindre les Mermaid celle là, merci l'indic son info valait l' déplacement! Je l'immobilise, un couteau sous la gorge, j'en profite au passage pour tracer un collier ras cou du bout de la lame. Elle va chialer...Oh oui vas y, tu crois que j'vais avoir pitié d'une... connasse immonde et insupportable comme toi!!!!Je te hais! Me supplie pas bordel tu fais que m'foutre trois fois plus les nerfs! Ta gueule putain! Ferme la! La haine monte, une vague, pas d'flote mais de feu, d'acide... D'un truc qui détruit tout sur son passage...Je vais...! Elle crie quand je lui r'tourne le bras jusqu'à entendre l'os craquer, une insulte au passage: t'as des tendances suicidaires ou quoi? J'la frappe, une gifle, les traits de son visage changent. Voilà enfin: la peur... Elle commenc'rait à piger la merde dans laquelle elle s' est mise?! Pas trop tôt!

Elle tente de s'libérer? Attends tu rêves là! Bouge pas Pouffiasse! Elle s'débat, s'agite... Kay, tu l'auras cherché....la lame de rasoir se fiche direct dans la main, sans la transpercer, j'maîtrise, j'dose un minimum pour pas gâcher l'plaisir, sous la surprise elle s'arrête de remuer trop occupée à vérifier la gravité d'la blessure: moment parfait. J'sors mon briquet après l'avoir poussée un grand coup, son dos percute le mur, pas fort, mais une de c'genre ça suffit à la mettre KO. De nouvelles larmes, pauvre Chérie

!Et si j'expliquais un truc, hein que tu captes bien où tu t'embarques? Houai, j'te accorde ça, profite en.
- Ecoute, j' me répéterai pas: là c'est rien du tout à coté de ce qu'on te f'ra si t'entre chez les Mermaids... Alors tu f'rais mieux d'utiliser c'qui te sers à réfléchir et t'barrer en vitesse... Tu voudrai pas l'croire mais j'ai été super sympa là...Tire toi si tu veux vivre. Ho la tronche! Putain: poisson hors de l' eau sur l'point d'y passer... Elle se relève tenant limite sur ses jambes, si j'étais vraiment sadique je l’achev'rais pour de bon sauf qu'j'ai pas la tête à m'charger d'elle, pas maint'nant... Ma dernière rencontre avec Kazuma m'reste en travers de la gorge: il m'a littéralement engueulé au sujet d'la flambée des dortoirs...Venant d'quelqu'un d'autre dans ce bahut j'aurais rien dit, laissé passer, j'aurais même envoyé chier probablement. Sauf que là j'avais Kazuma d'vant moi et face à lui...Rien s'passe pareil qu'avec l'reste du monde, fin l'monde pour ce qu'j'en ai vu en gros quasiment rien. Pire, ses r'pproches, ses accusations m'ont fait mal, j'me suis senti coupable, un truc totalement nouveau pour moi.

J'me colle contre l'béton froid, j'entends pas la grognasse s'tailler, l'bruit de ses talons aiguilles frappant contre le carrelage m'parvient après un temps...Il semble v'nir de loin...très loin...Si loin...Sans l'réaliser je m'retrouve avec mes écouteurs sur les oreilles et j' reste là, en mode demi conscience. Les Geek diraient sûr'ment que j'suis en veille ou en pause, genre une conn'rie d' ce style. En plus la musique ça a jamais été mon trip. Dessiner, houai à la rigueur, des espèces de monstres qui s'font charcuter ou empaler, décapiter, dépecer, puis encore plein d'aut'es tortures toutes plus gores, plus hards. Jamais d'humains, encore moins des femmes ou des filles, pourtant c'aurait été logique vu c'qu'elles m'inspirent. Non, toujours ces machins sortis d'nul par. Les démons non plus ça m'éclate pas, mais ceux là oh bordel plus ils en bavent sur papier mieux j'me porte; bizarre nan?! Ca doit avoir un rapport avec c'que les pros des traumatismes, de c'bordel dans la tête appellent la catharsis. J'ai déjà entendu c'mot, incapable d'me souvenir où par contre et ma mémoire déconne rarement, quand j'vois flou j'sais qu'ça veut dire: oublie, dirige tes souv'nirs ailleurs, tu vas t'faire du mal sinon. J'lécoute presque à chaque fois.

J'admire l'couteau que j'ai utilisé ignorant totalement ce qui s'diffuse dans mes oreilles, j'allume juste pour donner un bruit d'fond. Combien d'temps j'ai passé dans la cave? J'connais pas la réponse durant c'tte période mon cahier a commencé à s'remplir de créatures que j'ai kiffé mettre en pièces, des morceaux d'leur corps s’éparpillent partout sur la totalité des pages et mon sourire grandit à mesure que j'augmente leurs souffrances. J'rebouche le stylo plume noir puis me remets debout, j'ai cru entendre la pore s'ouvrir, un filet d'lumière confirme ce que je pensais. J'range mes affaires car j'vais d'voir décoller je pense.
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeSam 16 Fév - 21:40
Espèce de sale connard. Je suis sûr que tu savais que j'étais en manque de consoles et de jeux. Je suis sûr que tu savais, crâneur.
Tu fixais ton écran, captivé par un jeu que je ne connaissais pas encore. Et ça surmontait la jalousie, pour moi. J'étais au bord de la dépression, et toi, que trouves-tu de mieux que de passer ton temps sur ton I-pod les écouteurs aux oreilles ? Je te hais déjà. Ma patience a des limites. Des limites à ne pas dépasser.

Tu l'as fait. A droite, a gauche, personne dans le hall a part toi. On était en heure de cours, alors ça devait être normal. Le noir s'encre dans mon esprit ; le trop plein d'informations me fait basculer. Tu finiras en miettes, salop. Je ne vois plus que toi, cible faussement innocente, qui, assis sur une sorte de fauteuil près de l'accueil, rangeant ton I-Pod, te relevant : tu as des béquilles. De belles béquilles. Je ne vois pas ta jambe blessée, mais qu'importe. Tu t'éloignes peu à peu, tu sais toi comme moi que c'est bientôt l'heure de se pointer en cours. Mais je ne te laisserai pas partir, qu'est-ce que tu crois ? Je viens te bloquer le chemin ; et oui connard, tu me demandes de me pousser ? Sans le s'il te plaît ? Tu ne me connais pas encore, à ce que je vois. Tu dois avoir environ le même âge que moi, mais tes lunettes et tes cheveux blonds me demandent de te foutre une raclée ; et je ne me ferai pas prier.

Tu commences à t'agiter, t'énerver. Un sourire étrange apparaît sur mes lèvres : Celui que Père me faisait avant de me frapper. Des souvenirs envahissent mon esprit, je me laisse valser dans un rythme irrégulier de ce que j'appelle Tabasser. Je commence par ma prise fétiche, celle qui te mets au sol violemment. Tu me regardes, ahuri. Qu'est-ce que tu crois ? Que je suis gentil et que je vais te porter ton plateau ? N'importe quoi. Je te tord lentement le bras a l'envers, puis je te donne des coups de pieds. Je t'en fous un là où ça fait bien mal, puis un dans la tête.

Je ris amèrement, continuant mes coups, de plus en plus aiguisés et forts. Ton nez saigne ; mais tu commences à tomber dans un minuscule coma. Tu ne résistes pas longtemps, dis-donc. Je ramasse ton sac, prend ton I-Pod et m'en vais. Cette fois, j'ai besoin de calme. Je me souviens, il y avait une cave, près de l'entrée à gauche. Je m'y rend, mais dans le couloir, je croise une fillette bien amochée et totalement désorientée...

Je ne la connais pas. Elle me fait des gestes, au bord des larmes, pour essayer de me retenir d'aller dans la cave. J'ai envie d'y aller, j'y vais. Et ma curiosité se fait plus forte ... Je me doute bien qu'il n'y aura certainement pas que moi. Je voulais retourner en arrière, mais cette cave prenait maintenant une raison d'être : découvrir ce qu'il y avait à l'intérieur de terrifiant.

Sûrement un p´tit Bastard qui voulait se détendre. En fait, comme moi sur le mec tout à l'heure. Je m'amusai déjà à m'imaginer la tête de la traumatisée à la vue du mec aux béquilles. Un petit rire résonna, elle me dévisagea et se mît à courir du mieux qu'elle pouvait en criant. Je lui ai ris au nez, un rire sadique et pas très catholique. Doucement, par contre. Je la regardai partir en la fixant comme un psychopathe en attente de chair fraîche. Quand elle était assez loin, j'ai ouvert la porte et je suis descendu dans les escaliers sombres : une respiration dans le noir me fait m'immobiliser ... Qui est-ce ?

A vrai dire, je me rend compte que maintenant que je suis là, je m'en tape. Je regarde la porte qui se referme, et je sens une vague source de chaleur grandir dans mon ventre ; je connaissais la solution pour ne pas craquer. Et la solution, c'était de la retarder en me faisant me concentrer sur quelque chose. Et ce quelque chose c'est l'I-Pod que j'ai repris. Tandis que je faisais les manip's nécessaires pour enlever la localisation, la sécurité I-Tunes, tout ça, je réfléchissais à ce que les Oranges m'avaient dit. Enfin surtout ce que Ezechiel était parvenu a me dire avant que je pète les plombs en hurlant que j'étais pas leur chien et que je le serais jamais. Il fallait que je me fasse petit, tout petit. Il fallait que j'intègre le clan. Que je m'intègre dedans. Et ils ont rien trouvé de mieux que de me demander de me débrouiller avec Xi Wang, ce mec qui n'a même pas empêché que ÇA se produise, qu'il me passe les produits qu'ils voulaient.

Impuissant. J'avais une haine folle contre lui. Pourtant, dans toutes les personnes que je m'amusais à haïr, c'est vers Norio et lui que je voulais retourner. Même si Norio avait une aura aussi forte que mon père ; est-ce pour ça que j'étais revenu ? Je ne savais même plus. Je ne voulais pas faire un surplus d'informations, déjà que j'ai engueulé la première personne qui me tombait sur la main, y'a pas très longtemps. Et je m'en rappelle, c'est bien Xi Wang qui a subit ma crise de nerfs, mes pleurs et mes coups inutiles.

Je me suis même retrouvé après dans Le Bar au centre ville, tuant du regard la première personne qui essayait de me parler. Et là j'avais voulu oublier que j'existais. Je voulais rayer Kazuma Satô de la planète. Je voulais le gommer sur les livrets de famille, brûler ses photos, le faire disparaître de chaque vie en donnant un jeu vidéo brûlé à tous ceux qui ont voulu me suivre dans ma carrière de Schtroumpfs grincheux.

Assis sur les marches de l'escalier, j'avais pas l'air con à fulminer un plan pour mon attentat personnel. Ou un suicide, ça revient au même. Faire disparaître les preuves avant de disparaître. Laisser des morceau de jeux vidéos pour les hanter, pour leur dire qu'ils sont totalement aveugle de m'avoir oublié comme Père l'a déjà fait.

Je ne ressentais plus rien. Rien qu'un vide sans limite. Limites dans les quelles les Bleus m'ont fait dépasser. Je devenais un être faible moralement et pitoyable extérieurement. Extrêmement laborieux, n'est-ce pas ?! Je pensais à présent à ce que Xi Wang essaierait pour se faire pardonner : des câlins, sûrement. Dégoût. Je n'aurais jamais de mots pour voir si je comptais réellement à ses yeux. Je pense que non. Je ne veux pas. Je ne peux pas.

Il ne doit pas être attaché à moi. Il n'a pas essayé d'arrêter les siens quand ils ont mis le feu au dortoirs. Il ne m'a même pas prévenu. C'EST LA MOINDRE DES CHOSES ! Juste le temps que je mette mon coffre au trésor ailleurs. Je ne demandais pas beaucoup. Non, je ne demandais rien. Que quelques mots qui cicatrisent les plaies ouvertes. Mais j'allais devoir attendre, pour mes ennuis à moi.

A cause de cette merde de guerre, je me retrouve dans une situation indésirable, demander de la drogue en toute discrétion à un mec que j'ai traité de tous les noms juste après le massacre. Il faut espérer qu'il ne se demande pas des choses sur le fait que je reviendrai comme une fleur pour demander un produit illicite. Je suis retourné dans le mensonge. Je n'arrive plus à m'assumer tout seul.

Je suis pire que pitoyable... Un passant sans importance avec un passé qui s'obstine à se cacher dans sa mémoire troublée. Des bruits de pas ; je relève la tête, je vois l'objet de mes pensées sous mes yeux. Une panique indescriptible me prit. J'avais besoin d'air. Je baisse les yeux, me relève et lui dit d'un air lugubre :

« Bonjour, Xi Wang. » Ni froid, ni chaud, ni bienveillant, ni malveillant. Une pur politesse comme si cela faisait longtemps que je ne lui avais pas parler. Des retrouvailles froides d'un "couple" après la plus grosse merde de leur vie. Voilà, je me sentais mal. Je ne voulais pas de lui... Ou si ? Quel est le oui ? Quel est le non ? C'est un être qui s'accroche à moi depuis le début, et je suis même pas foutu de ressentir quelque chose de mieux que le dégoût et l'attirance en même temps. Je me dégoute même tout seul.
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMar 26 Fév - 4:35
Kazuma...Merde...Comme dirait j'sais plus qui "Dieu me hait", juste pour l'style car "Dieu" putain que j'm'en tape... Houai? Ah au moins un bonjour, tu m'en veux encore Chaton, mais écoute tu voulais qu'j'fasse quoi hein, comment avoir la garantie qu'un ou qu'une autre aurait pas entendu et averti son monde?! Si j'avais pu, si j'avais eu les mains libres j'aurais tenter d'te filer l'info, sauf pour c'coup là...Donc ce s'rait cool si tu faisais la gueule aux responsables de cette idée à la con et pas à moi! J'aurais brûlé ces Trucs (filles), pas mêlé tout l'bahut à l'affaire! Ça doit m'venir d'mon miliieu cette façon d'penser. J'compte plus les punitions, les mutilations du Vieux au p'tit déj sur un d'ses larbins quand il atteignait un Civil, comme à l'armée. C'était son mot, Civil.
Vive le ton accusateur, j'me r'tiens d'pas lui répondre, je lâche un "salut" moitié bouffé, j'aime pas c't' espèce d'emprise qu'il a sur moi bordel... Les mots se bloquent...Tes yeux continuent d'me balancer des éclairs; pourquoi tu comprends pas merde! J'avais pas l' CHOIX! Mes doigts s'referment sur la lame, elle était sale avant, je la passe jamais sous l'eau, mon adversaire en plus d'la blessure a des chances d'attraper une infection ou une con'rie qui y r'ssemble. J'me perds complètement: Ami...Ennemi, comment j'dois t'voir?! L'premier mot r'présente rien dans mon monde... J'ose pas parler, d'peur d'm'en prendre plus dans la figure...Ça fait si...Mal...J'ai fait l'erreur d'changer, d'me soucier d'un élève ici: voilà je paye! J'avais confiance en toi... Mon dos s'colle au mur et j'glisse au point d'finir assis sans trop réaliser c'qui m'arrive... Ce Noir... Ce Putain d'regard en mode flingue! Le sang d'ma proie tombe en "ploc" par terre. J'le vois avec la porte ouverte qui donne d'la lumière.

Maybe, why? Porque: no le sé. T'attends que j'l'ouvre, pour t'sortir quoi: des excuses? NO WAY! Puis, rien suffirait, j'm'en doute à ta manière d'me fixer, tu m' laisseras non plus t'serrer dans mes bras, tu r'pouss'ras mes câlins. J'pose ma main sur mon g'nou, j'me r'dresse et tes billes croisent les miennes, tu dois mesurer comme moi ou pas loin. J'baisse la tête, dans l'jour tes poings m'indiquent qu't'as cassé la gueule de quelqu'un pas longtemps avant d'descendre. Ca r'ssemble à quoi c't scène?! Pas un geste, pas un échange, rien, pour un autre ce s'rait flippant. J'tente d'avancer vers lui m'doutant déjà du résultat, gagné il recule...J'vais aller loin. J'commence à avoir mal au crâne, c't histoire m'fatigue, la patience et moi...Tu d'vines hein?! Exactement: vaut mieux pas tirer sur la corde, elle pète ultra vite! Kazuma...Putain tu m'aides vraiment pas...

(Pas encore fini, Sorry Chaton, j'évite les bugs)
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeSam 9 Mar - 10:47
Je sentais déjà la sueur sur mon front, tandis que la Folie envahissait lentement mon Esprit telle une Épine empoisonnée. Le Violet s'appropriait mon champ de vision, qui se mélangeait tantôt avec le Psychopathe de devant. Je ne voyais soudain plus qu'une bouche qui Riait telle un Public face à une blague pseudo-drôle. Un rire Rauque et Sanglant qui absorbait mon Âme comme une Sangsue. Je comparais donc ce rire à un Vampire. Non. À ces Bécasses sans Nom. Des gémissements hantaient mes Tympans qui ne demandaient rien que du Calme. Calme. Calme. Rien qu'un bruit Familier qui aurait pût me ramener sur Terre. Je n'imaginais plus qu'un triste Mélange de ce qu'il y avait dans la Cave et d'une ribambelle de Souvenirs qui resurgissaient en Démons dans ma mémoire. Noir, noir, noir, je restais immobile dans le Noir, qui sans cesse me faisait vivre mes Cauchemars d'Enfance.

Un Murmure s'approche ; je ne l'entend d'abord pas. Mais, Bordel de merde, Pourquoi, l'information n'est pas de suite transmise au Cerveau ? Non ; il fallait que le cauchemar se termine. Alors l'Horrible image vint s'Abattre sur mon écran mental, l'Image de ce coup de pied en pleine figure, ce coup de Pied en arrière pour que la Chimère lui déboutonne sa Chemise, alors qu'il m'envoyait les Affaires à la figure de son Grand pied d'Adulte. Et alors Papa, avais-je dis avec ma Voix d'Enfant, tu te souviens de moi ? Bouteille à la Main, il me l'envoya à la Figure, les yeux remplis de rage : “ Tu m'as dérangé, Sale Gosse. Hic. Tu vas en payer le Prix fort. Hic. Aujourd'hui... Je te.. Hoc. Je te ... Hic. Je te... Hic. Je te hais ! ” Et voilà comment s'achevait ainsi d'une bouteille vide en plein pied mon Cauchemar qui m'Hantait. Enfin, trois minutes plus tard ce Murmure de Bonjour parvint à mes Oreilles comme la Mélodie du Salut.

Je mettais lentement mes mains dans mes poches en soupirant, fixant mon Assaillant avec Mépris. Déjà je voyais Flou, mais il fallait me concentrer sur ce que les Aristocrats -nom pourri, ce que je ne cessais de me répéter- m'avaient demandé. Ou ordonner ? Beurk. Rien que de penser à Ça je me revoyais comme "Un animal Inapprivoisé ". Dégoutant. Pourquoi fallait-il que j'écoute ce Merdique Blondinet qui ne faisait que Répéter plus Gentiment ce que disait "Le Roi". D'ailleurs pourquoi met-on une Majuscule à ce nom précis ? Pourquoi écouter Bêtement des Ordres ? On peut pas tout simplement Être Libre ? Être le Meilleur en restant allongé ? Non. Apparemment, les Trucs préféraient bouger, alors qu'ils ne sont même pas Foutus de taper une Fille. Simplement Déplorables. Je suis tombé dans un Groupe d'Incapables. Et leur Connerie est Telle que c'est à Moi qu'ils demandent le Sale Boulot. Seulement par ce que Moi j'ai un Pot de Colle qui se nomme Xi Wang Santa Cruz et qui est Bastard. J'aurais tant aimé éclater leurs Gueules sur le Mur le plus Proche. Pourtant je me retenais bien. Je revenais sur mes pas, hésitant encore à Obéir à ces Tarés. Non, sans cette partie du Plan, je n'atteindrais pas le Plaisir de les Anéantir. Je m'approche, mes traits s'adoucissent.

« J'ai... Un service à te demander...» Ils croiraient tous qu'à ce moment là c'était un air Mal à l'aise, Tous. Mais même lui se laissera berner. J'en étais sûr. Il me regarde, je baisse les yeux. Tant de Masques, j'en ris encore au plus profond de moi. Si du moins le Rire existait. Ce Rire amer et Profond qui hante mon Esprit tous les jours de mon Existence. Je repris un peu plus tard : «... C'est... Que ... J'aurais besoin que ... Tu ... » Un peu de honte, une pointe de mélancolie, un soupçon de doute, et voilà la recette de l'Innocence. Qu'ils sont cons. Ils me croient de tout leur être, en plus. Je n'étais pas habitué à demander des choses, raison de plus pour accentuer mon Masque. Mais vraiment, pourquoi je me vois embarquer dans une Honte pareille ...?
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMer 13 Mar - 5:13
(Désolée pour ce futur timbre poste Chaton...)

Il est trop mimi! J'ai l'air d'un gosse devant un ours en p'luche quand j'le vois...C'est plus fort quoi moi...Ah merde ça fout total en l'air ma crédibilité sauf qu'j'peux pas faire autrement à chaque fois qu' j'le croise! Oh tu veux un service mais demande mon Chaton tu peux avoir tout c'que tu désires, j'hésit'rai pas une seconde. Personne compte pour moi, les autres j'peux les flinguer sans remords si ça t'branche. M'voilà à t'câliner, comme d'hab tu m'montre à quel point c'est pas ton kiff mes câlins mais pas grave, rien qu'un coup d’œil à ta gueule d'ange et c'est r'parti pour une autre tournée d'câlins... Si tu découvres ça un jour j'ai plus qu'à m'tirer une balle car si tu trouves comment t'en servir sans blem j't'appartiens et même pour TOI j'préfère crever qu de r'tourner en arrière...A c't pensé je gerbr'ais presque...
J'hoche la tête, croise les bras. Sois plus direct Kazuma, dis cash d'quoi t'as besoin, les gens qui mettent trois plombs pour dire les trucs m'donnent envie d'cogner et comme JAMAIS j'lèverais la main sur toi, le mur ou n'import'quoi ici va y passer. Ça fait mal putain d' s'éclater la main contre du béton! Attention je vais REFLECHIR! De quoi Kazuma pourrait avoir b'soin et ne demander qu'à moi? Armes, dope, grosse quantité d' fric, faux papiers... Alcool. Mais j'crois qu'sur ça il est vacciné l'Chaton, il touch'ra plus à un verre avant longtemps. D'un coté ça m'rassure. Je range mon Ipod, j'adore c'truc, sa forme, sa couleur. Le son je m'en fous, j'aime juste bien l'avoir dans ma poche, le seul objet 100% à moi. J'lquitte jamais car j'veux pas l'perdre ou m'le faire chourer.
Je m'écarte de lui pour poser la question cash, autant qu'je sache c'qu'il veut.
- T'faut quoi, Fric, Came, Flingue? Balance maint'nant ça ira plus vite. En lui disant ça j'vois qu'il change d'expression. Limite tu t'attendais pas à c'que j'agisse comme j'l'ai fait, Chaton? Tu t'fous d'ma gueule j'espère... D'ma poche tombe un mini sachet d'poudre qu'je devais livrer à l'extérieur...Sauf que j'pense emmerder l'Vieux en l'balançant dans les chiottes, oh sa tête...Rien qu'd'imaginer j'me marre déjà... La coke a jamais été mon trip, et l'Héro? S'coller une s'ringue dans le bras pour planer? Nan merci. Je m'penche, ramsse la poudre blanche, sans honte, sans gêne. Chez moi y avait presque toujours d'la drogue à table. Soupe d'Extasy qui veut? Trop Con...
La réponse ne tarde pas et mon sourire s'élargit...Pourquoi cette requête si tu m'en disais plus? Qu'j'sache où tu vas
- Hm et j'peux d'mander pourquoi tu veux la Marchandise du Vieu, P'tit Ange? Ma voix monte de quelques crans quand j'finis la question. J'lui laisse pas l'temps d'souffler et grimpe sur la rampe de l'escalier, être hauteur, perché, ça franch'ment je Kiffe! J'm'installe d'façon à pas m'rétamer, ferme correctement mon sac où j'ai mis la White Fairy histoire d'pas la paumer encore. White Fairy, paraît qu'ça s'vendra comme des p'tits pains...J'd'mande à voir...
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMer 20 Mar - 8:56


HRP:

Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMer 3 Avr - 5:38


Il croit punir qui avec ces trucs? Oh ton innocence par rapport à ce monde est presque touchante... J'dois vérifier un truc...Non, il pense pas à CA j'espère...Sinon il n'aura JAMAIS mon Aide: NO WAY
-... Ton idée c'est pas d'les faire planer pour les laisser s'faire violer après...Rassure moi... Car sinon... J'veux pas t'suivre...Quoi que... J'te vois pas faire ça mais je DOIS savoir...C'est...important... Histoire d'éviter les emmerdes...
J'dis ça sans grande conviction, je m'tiens à la rambarde pour rester en équilibre, mon corps tangue à moitié. J'ai un Minimum de principes, t'vois, autant j'les hais pour c'qu'elles sont les filles, j'ai pas eu d'éducation...L'Bien...Le Mal pour moi y a difficilement plus flou... Hormis deux trois exceptions mais j'vais pas r'venir là dessus t'as qu'à écouter Connard... J'aime pas ça...Toutes ces merdes m'ont permis de développer une sorte...D'instinct, ou un sixième sens. Ca aide à r'pérer quand on m'ment ou m'dit pas tout. J'le dois à mes années passées dans c'monde où les types fiables s'comptent sur les doigts d'une main. Tu trouves le monde des affaires dur, la pub impitoyable? P'tit Joueur, tu tiend'ras deux s'condes avant d'te r'trouver dans la Baie d'Tokyo... Ah si j'voulais j'en donnerais des réponses, j'en classerais des affaires... Houai juste SI, c'qui arriv'ra pas, j'y tiens à ma vie.
Tout juste, j'suis un Putain d’Égoïste, qui se venge d'façon total'ment conne, et alors? Tout sur les traits de Kazuma indique qu'il se fout radical'ment de moi avec son histoire. Du peu qu'j'ai capté il aid'rait jamais son Vieux, j'dirais qu'il le déteste. Et j'peux comprendre, pourquoi aimer quelqu'un qui vous a balancé sur c't planète pour changer votre enfance en cauch'mar? Les parents ça doit pas protéger leurs gosses en temps normal? Sensés prendre soin d'eux, les aider à s'en sortir sans trop d'casse...J'aurais jamais d'môme moi, j'leur rendrais pas service.

Il m'soutient que j'm' goure..Kay, à d'aut'es p'tit Ange, pourquoi j'te crois pas hein? Histoire d'lui prendre un peu la tête j'descends m'approche de lui et plante mes yeux dans les siens.Il compte jouer à ça longtemps? M'éviter, bouffer ma patience comme si c'était son plat fétiche et que mon resto d'venait un Open Bar? Faut pas qu'il pense que sa belle bouille va tout lui apporter sur un plateau non plus...


(Fini, minimum syndical, je m'excuse tu n'es pas en cause)
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMer 17 Avr - 7:43
Ta réponse. Oh, mon cher Xi Wang. On a tous les deux une patience limitée. On est dans un noir presque total. La pénombre nous engloutit peu à peu. Je ne sens plus rien... Juste ta respiration qui commence à se douter. Continue, je suis dans ton monde, pour le moment. Avant que je vois des ... Oui c'est vrai ça, pourquoi nous, les humains, on peut pas voler ? C'est pas juste, si j'avais des ailes, je me serais barré depuis très longtemps. Regard perdu dans le vide, je me voyais déjà incarner un aigle, volant haut, vite, étant libre et fier... Ah, que ça devait être bien la vie de rapaces... Long soupir silencieux. Si les hommes pouvaient avoir des ailes... Non, pas tous... Non, juste moi. Juste si je pouvais me transformer en aigle... En faucon... Ou incarner un autre rapace ... Ça devrait me faire frôler le bonheur une fois dans ma vie de mensonges. Mais c'est juste un conte pour enfants. Ça n'existe pas, les rêves comme ça. Le réaliste fait que je suis seul contre tous... Que je suis seul tout seul. Que j'apprend à ne pas m'énerver en restant éloigné. -... Ton idée c'est pas d'les faire planer pour les laisser s'faire violer après...Rassure moi... Car sinon... J'veux pas t'suivre...Quoi que... J'te vois pas faire ça mais je DOIS savoir...C'est...important... Histoire d'éviter les emmerdes...- Pfff... J'aurais des idées pareilles, blondinet ? J'crois pas, Nan. Déjà que j'ai la phobie de tout ce qui me touche, alors J'crois pas vouloir les traumatiser comme ça. Puis en fait, j'm'en tape totalement de ce qui va leur arriver. PAS MES AFFAIRES. Et puis merde, quoi. Je te demande pas la Lune, si ? Je lève les eux vers lui, bien qu'il n'en voit qu'un, brillant sombrement dans la pénombre. Oui Xi Wang, moi aussi je t'aime. Quelle ironie, ma foi. Je le fixe de mon œil innocent, désespéré et pourtant blasé... Non, en fait fait pas s'y fier, mes yeux reflètent n'importe quoi. Et ils reflètent tes yeux, Xi Wang...

J'hausse les épaules, en pensant... Père ? Je l'admirais. C'était ... Enfin... C'était Père. Je le respectais. Je ne lui trouvais seul défaut qu'être rendu dans la ronde infinie d'Elles. C'est Elles les fautives. Les emmerdeuses. Celles qui s'amusaient de son corps quand il était à moitié saoul. C'était mon père. Même si tout le monde le trouvait méchant. Et pour lui, j'aurais fait n'importe quoi juste pour qu'il m'appelle par mon prénom... Juste pour qu'il m'appelle son Fils...

« Tu... Tu n'auras pas d'emmerdes... Je sais pas ce qu'ils veulent faire avec... Mais si j'ai pas ça avant demain... Ils vont dévoiler tout ce qu'ils savent sur moi... Et ils vont appeler la police pour Père... » Petite tête fragile, petite voix. On ne pouvait savoir si c'était vrai ou pas. Et vous savez quoi ? C'est faux. Je me fous de sa gueule. Mais alors totalement. Déjà que j'ai la honte de lui demander ça, alors si EN PLUS, je devais lui expliquer qu'effectivement, mon admission chez les Oranges ne tient qu'à un fil... Non merci. Ma petite bouille de déterré avait l'air tellement sincère ... Tellement ... Faible... Je me tenais droit, face à toi , sans bouger. Pourquoi le faire ? Je m'amusais bien ... Tu me fixais, et j'aimais ça. Non, pas tellement, mais... Rah, une araignée ! Elle est petite, celle qui tisse sa toile sur la rambarde... Bon, d'accord, je vais le regarder en face... Je le fixe de mon œil noir de nouveau, de ma pupille où son reflet se dessinait si bien. J'avais l'air faible, meurtri, à croquer... Au bord du désespoir. Aller, vas-y Xi Wang, crache le morceau, file... Prends pitié du pauvre japonais qui te supplie de son œil de cendre. Donne lui ce dont il a besoin... Plus vite ! Cherche l'emmerde quoi ! Je t'ai avoué tout, tu DOIS me le donner ... J'avais une pose assez meurtrie, une fierté tombée... C'était tout simple. Il suffisait d'accorder les masques. Ça fait un mois que je m'entraîne, donc ça commence à porter ses fruits ! ~ Oui, ça fait un mois que j'essaie de me sortir de mon trou pour éviter de recommencer quelques mésaventures désastreuses... Ça serait dommage de me faire violer sans que je m'en rende compte, vous trouvez pas ? Je sais plus où me tenir, ils sont tous barges ici...


Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeLun 22 Avr - 0:06
Hn? L'monde tangue, la lumière clignote: les souv'nirs viennent s'ajouter à la fête...Putain jamais tranquille merde!
Le froid lui transperçait les os, la pluie mêlée au vent entamaient une danse aussi gracieuse que meurtrière, fouettant son visage sans ménagement. De faibles rayons de lune cherchaient à fuir l'étreinte criminelle de la nuit dont la corde de ténèbres se resserrait autour du cou sélénite. Un meurtre astral avait lieu, son seul témoin demeurerait cependant muet, depuis trop longtemps déjà ami intime du silence, lequel s'invitait régulièrement à son domicile pour y savourer quelques biscuits.
D'écarlates Perles de Vie maculaient la ruelle s'improvisant œuvres abstraites, longues traînées nuançant le rouge devenant d'un rose agonisant là où les Barreaux aqueux s’ablataient le plus fort. Dans l'esprit encore animiste de l'enfant, l'eau s'apparentait aux grilles d'une prison naturelle; de ses doigts fragiles il retraça les quelques mots, derniers résistants des intempéries, vestiges de tag autrefois vifs, vaincus par les éléments.
La voix, le grondement du fauve il l'entendit à peine, absorbé dans la contemplation du spectacle; l'infortuné se vidant par l'énorme entaille à la carotide tranchée net accaparait autant son attention que le décor dans lequel il évoluait. Un autre appel, plus fort, plus sec, plus impatient à demi étouffé par l'averse. Xi Wang saisi d'une curiosité compulsive tendit la main dans l'espoir d'entrer en contact avec l'agonisant. Un poing se referma sur son bras, l'emprisonnant mit fin à ses intentions. Une gifle, la sensation de brûlure contre la joue humide, une douleur dans l'épaule quand l'autre le tirait sans ménagement cherchant à le relever.
L'idée de le faire assister à ce crime venait de monsieur Santa Cruz, estimant que plus vite son seul "fils" découvrait la réalité du Milieu, mieux il l'assimilerait. Retour à la maison...Mot vide de sens: quatre murs et un toit, parfait résumé des choses. Cette nuit là,l'enfant fit un rêve où il rencontra pour la première fois ROUGE, celui qui n'allait plus jamais le quitter.
J'retrouve la réalité, l'était pas trop Hard ce souv'nir ça va. Alors comme ça tu veux jouer avec les Blanches, Chaton... Ok....
- T'as une préférence pour le produit?
]J'hallucine ou la porte s'ouvre?
(désolée j'arrête là, pardon)
Invité
No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitimeMar 2 Juil - 21:36

Oui Xi Wang. Cède. Tu as bien dit que j'étais en quelques sortes ta peluche, non ? Tu es le seul mec à qui j'accepte le contact : limité mais accepté. Et pour ça, tu fais partie de ceux en qui j'ai à peu près confiance. Estime toi heureux et ne va pas tout gâcher. T'as bien cramer les dortoirs sans prévenir... Et pour ça tu vas payer. Mas je pense que ça servait à rien de t'en vouloir à toi. Tu n'as que fait suivre les directives. Donc d'un côté, je peux pas en vouloir à un serviteur de Roi. Si on vivait pas ici, si on avait pas ce passé là, tout les deux, et bien, tu pourrais être certain d'une chose : tu serais un des piliers principaux servant à ma survie. Égoïsme ? Non. Moi aussi, je ferais parti des siens. Enfin bon.

Au lieu de faire de l'uchronie, faudrait peut être que je me concentre un peu... Ou pas ? Images... «Papi, Papi, pourquoi les monsieurs ils t'emmènent dans un camion ? Papi, Papi, est ce que ta maladie se soigne ? Papi, Papi, pourquoi tu dors presque tous le temps ? Papi... Papi, ça veut dire quoi Cancer ? … » Je les hais. Bordel de merde. Et dire que l'vieux va m'quitter bientôt. C'pour ça aussi qu'il m'a emmené là : pour pas le voir crever dans son lit blanc. Ça m'soule. Pas dans les couloirs : on s'approche...  Je n'y fais pas attention pour l'instant. Xi wang venait de céder. Enfin... Et dire que moi aussi j'dois suivre des directives... Pfff... Je venais de dire à mon interlocuteur ce qu'ils avaient besoin. Je ferme les yeux, inspire, expire... Fallait bien le remercier, non ? Je m'avance, tête baissée vers lui. Je grommelle un merci pas très envieux, puis me blottis contre lui quelques secondes : quelques précieuses secondes que je ne recommencerais sûrement pas …  Je me recule. La porte s'ouvre dans un gros rayon de lumière. Une fille nous fixe. Monstre ! S'écria-t-elle en courant vers Xi Wang, couteau à la main... Pitoyable...

Je regarde la demoiselle avec ironie, restant quant à moi dans l'ombre. Je regarde la scène, tranquillement. Elle était déjà maîtrisée et au sol... Alors c'est qui qui a peur maintenant ? Je soupire. Tan de choses à voir... Chaise ensanglantée ? Bon, bah Xi Wang s'est amusé. Et assez pour que cette petite chinoise lui en veuille. Et la compassion n'a pas l'air d'exister. Manger ou être manger...
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No puedo decirte no, y tú lo sabes (Kazuma) Icon_minitime
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