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« Meeting with a little dog? » ▬ Feat Kazuma ♪

Invité
« Meeting with a little dog?  »  ▬ Feat Kazuma ♪ Icon_minitimeLun 5 Nov - 7:30


The coffee, like this ♥
Meeting with a little dog, ft kazuma.




« Je ne sais pas ce qu'est l'amour, l'amitié, je ne sais pas ce que veut dire "vivre" puisque moi même je me fiche de tout. »
Combien de temps suis-je ici? Je ne sais plus, une semaine peut être? Aucune importance. Je tournais le regard vers mon portable qui se trouvait sur la commode de ma chambre, il est actuellement 19h26. Je soupire, j'avais encore quelques appels en absences, ma mère je pense, elle dit qu'elle se fait du soucis pour moi, tu parles! C'est ce que j'appelles de l'hypocrisie profonde oui! Je serre mon poing, baissant la tête, le regard dépité. « Tu as juste voulu de te débarrasser de moi... » Je referme violemment mon portable puis je m'assoit sur le bord de mon lit. Pour le moment aucune chambre ne m'avait été attribuée, alors je reste dans celle-ci puisqu'elle est inoccupée. D'ailleurs je préférerais rester ici, je n'aime pas la compagnie, surtout que dans cette école ils s'amusent à mélanger les femmes et les hommes alors qu'il y règnent une guerre des sexes pour je ne sais quel raison. Je n'ai pas vraiment à en savoir davantage, ça ne m'est d'aucune importance, tout ce que je veux c'est pouvoir passer le temps et m'amuser à créer des conflits si nécessaire.Je souris, un sourire remplit de sadisme et de haine. « Détruire les hommes hein? » Quel délice subtile. Si je me souviens bien, je suis entrée dans un groupe après mon inscription, quel est t-il déjà? Je me rappelles plus du nom, il était étrange et d'ailleurs je m'en fiche. Je me balance soudainement en arrière et m'allonge totalement sur le drap de mon lit, regardant le plafond gris nacré, les secondes s'écoulent... puis:

« J'ai faim. »

Je m'ennuyais à vrai dire, je n'avais pas mangé ce midi et j'étais restée cloîtrée dans ma chambre à ne rien faire à part lire des livres de fiction. Je me relève doucement, puis je baisse les yeux vers ma tenue. J'étais toujours en pyjama. De toute façon, ça ne servait à rien de s'habiller si je ne sortais pas, en plus c'était les vacances et donc, il n'y avait pas cours. Mes jambes se lèvent d'elles même et partent en direction de la salle de bain, quelques minutes plus tard j'avais enfilé une jupe blanche avec un haut assortie plus des ballerines de la même couleur que mes yeux, c'est à dire violet même si ce n'était que des lentilles de couleurs, je tenais à les mettre le jour comme la nuit. Je me regarde un instant dans le miroir. Tout le monde me trouve jolie et pourtant personne n'a jamais remarqué que je n'ai jamais le sourire ou que mes yeux sont aussi froid que de la glace. J'ai changée... mais pas dans le bon sens du terme.
Après ces instants de réflexion sur moi même, je sors de la chambre, arpentant les couloirs, puis je descend les escaliers. Problème: je ne connais rien à ce bâtiment. J'avais refusé à plusieurs reprises qu'on me fasse la visite, je n'aime pas être traitée comme une enfant, c'est ce qui m'irrite le plus chez les adultes, qu'ils nous ridiculisent à cause de notre visage enfantin ou de notre petite taille.... c'était mon cas. Je passe d'un couloir à un autre, je commence à tourner en rond. Je ne vois pas grand monde dans les couloirs, c'est d'ailleurs mieux ainsi, à chaque fois qu'un homme me toise avec son regard pervers j'ai envie de lui en foutre une pour qu'il regarde ailleurs. « Ils sont écœurant »

J'entend des rires un peu plus loin, je m'avance vers ces voix et arrive devant une salle dont la porte était déjà ouverte. Victoire! C'était cette foutu cafétéria que je cherchait depuis au moins dix minutes maintenant. Je soupire de soulagement, puis m'avance à l’intérieur de la pièce blanche. Je fronce les sourcils, des hommes... de tout les côtés. Je m'immobilise en voyant tout ce monde qui squattait l"intégralité de la salle. Mon regard impassible les fixait avec dégoût. Il n'était pas question que je mange ici, à leur côtés... je remarque quelque chose d'autre. Il n'y a même pas une seule fille. Ah oui j'avais oubliée qu'il y avait des sortes de clans ici et qu'ils se battaient contre nous.
Après avoir remarquée mon arrivée, ils se retournèrent vers moi ou il y eu un grand silence général. J'arque un sourcil, ils me veulent quoi putain? Quelques-uns me toisent avec un regard pervers associant un sourire qui va avec, et d'autres me regardent comme si j'étais une extra-terrestre ou alors, certains m'ignorent. J'avais envie de leur gueulés dessus afin qu'ils arrêtent de me regarder comme un vulgaire morceau de viande, mais au final, je décide de faire profil bas et je me tourne vers une machine à café près de la porte où je me situais. Ouf, au moins je pourrais m'hydrater et ne pas repartir comme si j'avais fuit ces porcs sans hygiène. Je m'avance vers la machine, il y a toujours ce silence qui m'irrite profondément même si quelques chuchotements le couvre légèrement. Je ne dis rien, je prend juste une tasse de café que je rempli à ras bord avant de me retourner vers eux, j'en peux plus je vais sortir une connerie, tant pis pour ma nouvelle intégration dans cette école. Je ne peux pas supporter leur chuchotements davantage. Je m'avance vers une de leur table et leur lance un regard meurtrier, haussant le ton:

« Si vous avez quelque chose à dire dîtes le putain! »

Ils me fixent encore, l'un prend subitement ma main et la serre aussi fort qu'il le pouvait, faisant craquer mes phalanges. J'émit un crie de douleur, ce gars... il avait les yeux rouge sang et un sourire qui en disait long. Un sadique!

« Tu ferais mieux de dégager avant que ton joli visage ne soit défigurée, gamine. »

Je rugis intérieurement, comment osait-il me parler comme ça?! Il lâche soudainement ma main, je voudrait le frapper, répliquer, lui cracher au visage mais je me retient. Ils étaient nombreux et je ne voulais pas avoir d'ennuis, je décide de quitter la salle sans rien ajouter, serrant les poings. Je me retourne une dernière fois avant de disparaître et je lance un fuck bien placé au gars qui venait de me péter les doigts. Je repart aussitôt avec ma tasse de café à la main. J'entend au loin des « Ooooh » que les autres garçons criaient dans la salle. « Je les hais. » Je pense qu'il vaut mieux que je revienne dans ma chambre, je n'aurais pas du sortir et j'ai encore plus faim maintenant. J'enrages, ils me le paieraient un jour. Je serre le poing, ma main gauche me faisait atrocement mal maintenant. J'ai un corps frêle, fragile et rien que ça pouvait me détruire. Je suis si pathétique. J'arrive au hall d'entrée, je jette un rapide coup d'oeil à l'intérieur. Personne. Des canapés étaient à disposition, je pourrais sans doute être tranquille ici, personne pour me déranger ni pour me bousiller les phalanges. Je m'assois donc à un de ces canapés en velours rouges, il faisait frais ici mais c'était agréable, j'aimais la tranquillité, j'aimais la solitude.
Je mentais à moi même en disant cela, je n'ai jamais aimée être seule, disons que j'ai su m'y faire à cause de mon passé. Je suis froide et arrogante avec tout le monde, j'aime être impulsive et provoquer les gens, je les blesse et souvent, je me prend des coups ou alors on me détruit mentalement. Je soupire en fixant le liquide marron flottant dans ma tasse de café que je porte ensuite à mes lèvres. Amer. Si ma vie était un mot ce serait bien celui-ci, l'amertume que je porte dans mon coeur, mes faiblesses qui deviennent un handicap. Je ne suis rien d'autre qu'une aguicheuse qui aime seulement voir les autres s'entre-tuer, je trouve ça plus divertissant. D'ailleurs, je me souviens enfin du nom du groupe dans lequel je suis entrée: "mermaids" il me semble. Je souris en me demandant à quoi pouvait bien servir un nom pareil et je reprend une gorgée de mon café amer. Je l'aime ce café, il est comme moi, on se ressemble, seulement: je n'ai jamais aimée le café. Je me mens toujours à moi même, je fais semblant d'être forte alors que je n'ai fait que me haïr parce que je retrace le passé de mon père, mais j'ai appris à aimer ce jeu, c'est pour ça que je déteste les hommes, ils se ressemblent tous. D'ailleurs, les seuls hommes que j'ai apprécier se sont retrouvés dans mon lit puis je les jetait ensuite, ça ne servait à rien qu'ils restent avec moi j'aurais finit par les détruire davantage.

« Il fait vraiment frais ici... » murmurais-je à moi même comme pour changer de sujet.

Mais en attendant, j'ai toujours la dalle moi!

Spoiler:



Invité
« Meeting with a little dog?  »  ▬ Feat Kazuma ♪ Icon_minitimeMer 7 Nov - 10:58
« Don't Wake me up »

Ça correspondait si bien à notre acolyte... Affalé dans ses draps, recouvert d'une épaisse couette de coton, une jambe dépassant du lit, le NEET plongeait paisiblement dans les rêves anciens de son enfance. Rêves ? Plutôt un cauchemar incessant qui se répétait à chaque fois que ses paupières recouvraient ses yeux rouges à force d'avoir trop jouer. Une respiration régulière cassait le silence lourd de la pièce. C'était une chambre assez petite, avec deux lits superposés, une salle de bain, et deux armoires, remplies entièrement de fringues, dossiers et autres, auxquels le jeune homme ne touchait jamais. Pourquoi ? Par ce que ce n'est pas à lui. Ses affaires étaient entassées sous son lit, dans deux malles distinctes, l'une comportant ses vêtements, l'autre des affaires de cours et bien entendu, ses jeux vidéo. D'ailleurs cette malle-là était fermée à triple tour, enchaînée par des anneaux métalliques reliés à de lourds verrous. Pas touche à ses précieux jeux ! Des frissons lui parcouraient l'échine, tandis qu'il bougeait maladroitement sur son matelas. Les minutes passaient, et pourtant, rien ne semblait le réveiller... À part... 
« Driiiing ! Vous avez seize nouveaux combats en attente. » dit alors le haut parleur de son ordinateur portable, qui était resté allumé toute la nuit précédente... Dans l'élan, alors que Monsieur ouvrait soudainement les yeux, il tomba à la renverse accompagné de sa couette. Classique, me diriez-vous. Les yeux explosés, des cernes de trois centimètres en dessous de ceux-ci,  le Geek commença à jouer sur son ordinateur, déposé sur son lit, alors que lui était en caleçon, assis sur le sol, avec sa couette sur les genoux.  Ça avait beau être les vacances, personne ne s'occupait de savoir si son ordi allait bien, sauf lui qui le chouchoutait tout les jours, sans manger ni boire, ou très peu, juste pour vivre. Il ressemblait à rien, mais ça il s'en fichait royalement. Sa journée allait être d'une normalité habituelle et ennuyante. Passionnante, mais tout de même ennuyante. Un mal de tête le prit, vers midi. Soupirant, quand cela devenait totalement insupportable, le jeune homme s'apprêta à sortir de sa chambre. Hum... S'arrêtant en plein milieu du couloir, il se rendit compte qu'il était en caleçon... Et c'était le même depuis deux jours. Et merde. Ni une, ni deux, il rebroussa chemin avec la lenteur d'un escargot. Arrivé de nouveau à son dortoir, il alla dans la salle de bain, prit une douche -enfin-, se brossa les dents, avant de s'habiller d'un maillot de basket rouge, et d'un bermuda en jean. Il enfila ses godasses, en prenant soin de mettre des chaussettes, bien sur. Son freegun dépassait légèrement de sa ceinture trop large, ce qui donnait un style populaire. Ses cheveux encore mouillés, il prit la route vers l'infirmerie, en se disant « Tout ça pour un mal de tête...» Le Geek poussa la porte de l'infirmerie, grillant toute la file d'attente, sans gêne. Pas de reproches à se faire. 

« Cachet Please Thanks. » Et sans en attendre plus, il arracha une boite de médicaments à l'infirmière. Elle le regarda, stupéfaite par les longues cernes et les yeux rouges du jeune homme. Kazuma ne s'y attarda pas, et prit un cachet. Pas plus difficile que ça. Pour certaines personnes, rentrer dans son dortoir pouvait s'avérer simple et rapide. Sauf que le Geek, lui, s'attardait sur trop de choses. Il se lit à compter les carreaux sur le sol, jusqu'à ce que ses pas le conduisent à la bibliothèque. Rien à y faire, décréta-t-il que bien plus tard, après avoir tourné en rond pendant dix bonnes minutes. Décidément, rien ne tournait rond. Arpentant les couloirs en zigzagant en sens inverse des gens, il laissait les autres s'écarter. Et enfin, une bonne heure plus tard, il rejoint son dortoir, en suivant un papillon. Déjà quatorze heures. Pas faim, se mentait-il. Et il retournait dans ses jeux vidéos. Finalement, un sourire sadique aux lèvres, le NEET s'extasiait devant ses propres exploits, laissant l'orgueil l'envahir. Son Irl était totalement déconnectée, et son corps ressemblait franchement à une guimauve, en ce moment là. Les heures passaient, et rien ne bougeait.  

« Kiss or fight ? »

L'heure tant attendue et redoutée du gargouillement se fit entendre par delà les bruitages de son jeu favoris. Le Geek dût se lever à peine, en regardant sur l'horloge murale de la chambre : 19 h 03. Soupirant, il se levait, lentement et sûrement, pou aller jusqu'à la cafétéria. Pas de contre sens cette fois ci, car l'appel de la faim était plus fort que la transe où il était constamment plongé. Le jeune homme prit un plateau, se délestant d'une entrée, avant de prendre son plat de résistance, et un fruit. Pas plus compliqué que ça. De nombreux visages flous se dessinaient partout, et la plupart avait de la haine envers lui. Sûrement pour ses actes, en fait. Sans un mot, il s'assit, dégustant son repas avec une rapidité fulgurante par apport à ses habitudes prononcées. Sans trop se soucier du reste, il s'éloigna du Self, en déposant son plateau, sans même remarquer les quelques ombres qui le pistaient. Le jeune homme décida d'aller glander dans les couloirs, avant de retourner dans sa chambre, d'un pas furtif. Sauf qu'arrivé au niveau du hall, quelqu'un le plaqua contre des casiers non loin. 

« Putain sale môme, tu croyais t'en tirer comme ça ? 
- Après avoir renverser ta carafe d'eau sur nous l'autre fois ? 
- C'était sur toi qu'elle était la carafe d'eau... 
- Enfin bref, on va te péter la gueule ! 
- S'pece de connard. »
Le trio de mecs blancs commencèrent à lui donner des coups de pieds aux jambes, puis dans le ventre, ainsi que dans les bras, pour observer sa réaction. Sauf que Kazuma ne réagissait pas. Son regard perdu dans le vide, un demi sourire sur les lèvres, totalement absent, il regardait au loin, comme si il se foutait royalement des coups. 
« Putain sale chien ! Tu nous ignore !? T'essaye quoi là, pourquoi tu réagis pas !!? 
- Ouais c'est vrai ça, connard. »
Kazuma émit un long bâillement, et se frotta les yeux. En fait, il avait même pas remarqué leur présence. Le jeune homme se croyait dans une bulle intergalactique dans la quelle il n'y avait rien. Ce qui l'ennuyait profondément. Les illusions peuvent aller loin, très loin... Du vent à la fenêtre, des élèves qui fumaient dehors. C'est quoi l'arnaque ? Des gens troquaient pour obtenir cette petite drogue douce. Et Kazuma aurait aimé tout démolir. Sauf que 1 contre trois c'était bof. Enfin 1 contre le monde. 
« Tu baille ! Enculé !! Tu vas voir ça, ta mère la pute quoi ! 
- Ouais, tu vas voir. »
L'un essaya de lui foutre un poing sur le nez, sauf que Kazuma s'écartant en s'étirant, et le Bastard se prit le mur, en grimaçant. Le deuxième tenta l'étranglement. Super, magnifique, sauf qu'il se reçu un coup de pied dans les parties intimes. C'était tellement plus drôle... Le dernier lui empoigna les cheveux, pour lui donner un coup de genoux dans le ventre. Celui là Kazuma n'y échappa pas. Mais ça lui était tellement égal... Un deuxième bâillement retentit, et comme si de rien était, le jeune homme poussa son attaquant, d'un simple geste de main, pour aller s'asseoir. Son attaquant, était resté paralysé... Par quoi, me diriez vous ? Par cette absence de tout. Le regard de Kazuma était juste quelque chose de blasé, de vide, d'explosif. Comme une galaxie sans étoiles. Et ça avait suffit pour faire comprendre à l'autre ce qu'il risquait. 
« Ça-ça ira pour cette fois salop... »  

Et dans un ultime bâillement, il s'assit sur un fauteuil de l'entrée, sans même remarquées la présence de l'individu assise à l'autre bout du fauteuil.  
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