Sei Gakuen
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Strange meeting during the night ( Pv Jill Great )

Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeDim 16 Juin - 2:34
Allô maman bobo !
 
Le passé, le présent et le futur? Trois choses bien compliquées à assimiler. Le passé est la base de tout, le commencement raconté avant ce qui se passe maintenant. Il est la richesse du présent et du futur. Le présent lui, c'est le résultat, la conséquence du passé. C'est lui qui nous forge, nous fait vivre au jour le jour. Quant au futur, il est la possible suite du présent en plus ou moins pire selon les actes qui s'enchaîneront... Malgré tout ça, tout n'est pas figé, tout n'est pas écrit et destiné jusqu'à la fin. Bien des gens arrivent à prendre en main leur propre personne. Ils refusent tellement fort le présent et/ou le futur, qu'ils arrivent à prendre en main ceux-ci. Pour ma part, je fait partit de ce genre de gens tout en faisant partit de ceux qui se laissent aller. Pourquoi est-ce que je dit ça ? Simplement car je veux échapper à mon présent et futur, tout en le cachant et en n'y arrivant pas totalement. Depuis tout petit j'ai refusé ce que j'étais. Je voulais changer les choses qui ne changeraient jamais, comme le fait de ne pas avoir de famille. Et même encore aujourd'hui, je voudrais avoir la mienne, pouvoir de nouveau revoir ces personnes qui m'ont faites et leur dire que je les aiment. Mais non, ça, c'est impossible.


Soupirant, je vins à créer une légère buée devant cette fenêtre. Posté devant celle-ci, je regardais le jardin. Attendant patiemment, je regardais dehors pour admirer certaines conneries humaines. Après tout il était 22h désormais et il n'était pas rare de voir quelques... personnes s'amuser à vouloir nuire à d'autre le soir. Sûrement à cause de la guerre. Quelle blague... Une guerre des sexes. Pourquoi faire ? Pour rire ? S'amuser en tapant des filles ou des garçons ? Sincèrement, il y en a de belles parfois. Quand j'apprends que x ou y c'est fait retrouvé violé dans un coin, ça me désole. Devoir en arriver ici et là. Qu'est-ce que cela apporte ? Sincèrement ? Ces gens qui se croient maître du monde. Les « leader » de groupe... Qu'est-ce qu'ils sont ? Ils se sentent puissants ? Invincible ? Invulnérable ? Ces Raven, Norio, Lith ou Taito ? Intérieurement, je me le demande. Comment finiront-ils ? Personnellement, j'ai ma petite idée. Et rien que l'imaginer cela me met en joie. Comme on dit, leurs têtes finiront sur un pique...
Bref, je guettais depuis ma vitre sans rien voir. Ce soir visiblement, il n'y avait pas d'escapade spéciale pour nuire à untel ou untel. La nuit s'annonçait plus ou moins tranquille et ça, ça me mettais du baume au coeur. J'avais les mains libre pour aller marcher un coup. Aucun risque de tomber sur un con x ou y ce soir si personne se baladait. Je vins donc à prendre mon casque pour mettre de la musique et je m'isolais phonétiquement parlant. Le casque ayant des vertus acoustiques, je n'entendais QUE ma musique. Même un beauf en colère, je ne l'entendrais pas venir aussi loin ou non soit-il.

«  … Réfléchir ne me fera pas de mal pour une fois... »

Mettant les écouteurs sur mes oreilles, je commençais à écouter la musique qui tournait. J'avais presque envie de chanter en même temps, mais ça ferais trop drôle pour ce petit monde qui peut être dans les couloirs.
Quelques bruits de percutions pouvaient se faire entendre quand on était très proche de moi, mais là, j'étais coupé du monde. Marchant tranquillement, habillé d'un de mes tee-shirt habituel, je me dirigeais vers la sortie pour aller à l'entrée du lycée et aller faire un tour en ville. Une petite sortie nocturne ne me ferais pas de mal. Mais la vie, elle, elle sait se jouer de nous. Et ce soir, elle allait se jouer de nous
Alors que j'étais en paix, voilà qu'une petite lueur vint attirer mon attention. Une porte était entre-ouverte et voilà que je m'approchais de cette porte intriguée que l'infirmerie soit ouverte à cette heure-ci. C'est donc à pas de chat que moi, j'approchais pour alors regarder dans la baillure de la porte. Hm ? Une silhouette que je ne distinguais pas bien à cause de la luminosité de la pièce. Je restais là, jusqu'à poser ma main qui poussa quelque peu la porte et qui laissa entendre le petit bruit « boom boom » sortant de mes écouteurs. Était-je repéré ? Qui était-ce ? Étrangement, quand je captais la couleur de la chevelure, j'avais comme un haut le coeur. Une sorte de hic cardiaque. Comme si ça m'étonnais.

* Jil... Jill ? *


(c) fiche par ocean lounge
Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeLun 24 Juin - 8:45

Ce soir, je compte faire un coup digne d'un roman d'Agatha Christie. Depuis que j'avais commencé à lire ses enquêtes policières, j'étais bourrée d'inspiration pour de petits coups de maîtres. Donc aujourd'hui encore, j'en ai et je compte bien utiliser cette petite part d'imagination que me procure ces romans. Je m'étais donc habillée pour sortir, chemise en lin blanc, pantalon en jean à motif et je m'étais même mise du rouge à lèvre rouge pétant qui ressortait sur mon teint blanc. Opération séduction ce soir. J'avais rejoins une bonne amie à moi qui fait elle aussi partie de notre petit groupe, les mermaids. Le but était simple : on allait à l’infirmerie, on prenait des somnifères utilisés en médecine discrètement à la catwoman et ensuite on allait au bar et on en mettaient dans tout les verres des mecs, qu'ils soient bastards ou aristocrats et ensuite, on allait profiter de la nuit dans un autre bar. Si ce plan est légal ? Absolument pas. C'est pour ça qu'on se doit de rester discrète sous peine d'avoir quelques petits soucis. On était donc allé à pas de velours chercher ce dont on avait besoin. Malheureusement, même avec toute l'envie du monde, être discrètes en talons, c'était... Complexe. Mais quand enfin nous sommes arrivées dans l'antre d'Ali baba -oui c'est l’infirmerie-, vue nos têtes, on était assez fières. On avait donc commencés à chercher ce dont on avait besoin, et ... on cherche encore. L’infirmier range trop bien, ou pas assez, enfin bref, il range ses médocs et les retrouve s'avère assez dur. Pour tout vous dire, normalement, selon mon plan, on aurait dû trouver les somnifères en ... cinq minutes, là ça en fait quinze. On est concentrées, on est prêtes à toutes éventualités et on a confiance en nous, donc on va trouver ce qu'on chercher quitte à rester ici la moitié de la nuit ! Au pire, on planque les pilules dans nos chambres respectives et la nuit d'après on met notre stratégie à exécution, ce n'était pas si grave. En tout cas, je suis décidé à les trouver. Quitte à y passer la nuit, on va pas laisser le bordel de l’infirmier nous stopper, n'est-ce-pas ? Je baille un coup, et je soupire. Non finalement, je sais absolument pas où il a bien pu les foutre. Je regarde mon amie, déconcentrée et puis on se met à parler. On choppe des chaises et on fait stand-bu en plein milieu de l’infirmerie. Soit dit en passant, un mec passe et nous choppe, nous sommes fichues... Plus on reste le cul assis sur notre chaise, plus on a la flemme. Personnellement, j'ai les bras croisés et les jambes étirées, totalement avachie, donc finalement j'ai pas du tout envie de poursuivre mes recherches. Mon plan à la Agatha Christie s'envole, mais c'est pas grave. J'suis pas déçue. On le recommenceras un autre jour. Et cette fois-ci il marchera. On parle donc de tout et de rien en attendant que le temps passe. On ira sûrement boire un coup mais sans aller se bourrer la gueule. Oui, ce sera plus sûr. Je baille et je commence à fatiguer. Finalement discuter c'est bien, mais on s'ennuie vite. Puis d'un coup mon ami se met à buguer. Je la regarde et j'arque un sourcil, à moitié endormie. Qu'est-ce qu'elle a celle là à me faire sa tête de quelque chose de grave arrive. Je fronce les sourcils et elle finit par me dire de ne surtout pas regarder la porte. Ok, là je commence à avoir peur. Y'a quoi derrière, un zombie ? Un surveillant ? Un fantôme ? Un tueur en série ? Plus le temps passe plus mes yeux s'écarquillent... Puis j'en peux plus, et je tourne le regard vers la personne... Et j'affronte le plus gros bug de mon existence. Je fronce les sourcils. Kimi ? Je suis hyper surprise. Depuis quand il est là ? Enfin je veux dire depuis quand il nous observe ? Je commence à avoir le cœur qui bat à la chamade comme si je venais de voir un revenant. Enfin nuance, je vois un revenant. Mais vous savez, mon histoire avec lui a plutôt été complexe et depuis j'en ai mal au cœur, donc ma réaction ne va pas être comme des retrouvailles romantiques, mais plus comme... Un combat de boxe entre un fantôme et une fille à la Cendrillon comme moi. Je me lève soudainement et j'attrape par le col ce con, avant de le jeter contre la table. Mon amie écarquille ses yeux tellement c'est rare de me voir péter des câbles. Elle juge même nécessaire de nous laisser entre nous. En amoureux... Pff c'te blague. Je dis au revoir à ma collègue avant de m'approcher. Je me demande ce qu'il pense là. J'aimerais bien l'entendre, rien que pour sourire de satisfaction. Je suis changée n'est-ce-pas ? Oh mais c'est grâce à toi. Et oui Kimi, grâce à toi qui est parti sans même me dire quoique ce soit, tu sais ce que j'ai sacrifié pour toi, moi ? Est-ce que tu le sais ? Ma rancoeur se lit sur mon visage comme on lit les pages d'un livre avec aisance. Mes yeux le fusillent du regard, j'ai des revolvers à la place des pupilles. Je pense qu'il doit avoir peur, car c'est vrai que j'ai plus l'air d'une amazonne en colère qu'une mermaid. Je grogne et je finis par l'attraper par le col et de le relever, mon corps faisant office de barrière contre la moindre tentative de fuite et mes yeux comme une sorte de dissuasion aux maigres excuses qu'il allait me faire. Je compte pas le passer à tabac, ou même lui donner la moindre importance. Je compte juste savoir pourquoi, putain mais pourquoi, il est parti comme ça, en m’abandonnant comme un lâche.

« bon retour à Sei, Kimi. J'espère que t'as une bonne raison de t'être barré sans même avoir daigné tenir une amie au courant. Enfin on n'était plus qu'amis n'est-ce-pas ? »

J'vais pas déballer ma vie, il sait très bien de quoi je parle. Et justement, on peut sentir toute la colère, toute ma rancoeur à son sujet tellement mes poings sont fermés sur son col. Je n'ai pas beaucoup de force, mais j'ai l'air tellement haineuse que je pourrais faire peur à ceux qui me connaisse. C'est bien la première fois que je ressent une telle hargne en moi, une telle envie de faire du mal à quelqu'un. Et le pire dans tout ça, c'est pas ce qu'il a fait, c'est son regard incompréhensible là. Cette tronche de cake comme s'il ne voyait absolument pas de quoi je parle. Mon visage se crispe d'autant plus. Que je hais ce visage, que je hais cette expression... Et rien que pour ça je lui montre limite les dents. Je finis par le lâcher, mais je retiens mes poings et je les cache dans mes poches histoires qu'un n'aille pas se perdre dans une certaine mâchoire. J'espère qu'il a des explications à me fournir et un truc de crédible car sinon je crois que je l’expose. Et cette fois-ci bien. Qu'il disparaisse pour de bon cette fois.
picture mermaid
être un revenant, c'est pas cool
© darren criss
Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeLun 24 Juin - 11:14
Le début d'une drôle d'histoire !
 
Pas un mot, pas un bruit, j'observais de manière peu discrète. Je ne voyais pas grand chose outre deux personnes qui semblaient quelque peu... s'agiter. Que manigançaient-elles à cette heure-ci ? À l'infirmerie qui plus est ? Étaient-elles en train de changer un médoc x avec un médoc y, histoire qu'un mec fasse une crise en pensant prendre le bon médoc ? Voulaient-elles faire un cocktail de-la-mort-qui-tue ? Tant d'idées farfelues émanent de moi au point de me demander si participer à cette guerre ne serait pas une bonne chose ? Enfin bref, j'observe comme un voyeur admirant des sirènes ( qu'elles étaient étant mermaids ) danser dans un coin d'une pièce de manière sensuelle. Cependant, l'une d'elle vint à agir étrangement. Oups, démasqué ? Trop tard, ni une ni deux, la porte s'ouvre, une main m'agrippe et VLAN... Me voilà sur une table comme si j'avais subis le coup d'une catcheuse pro. Non mais sans être macho, depuis quand une meuf est capable de retourner une personne comme moi d'un coup comme ça ? Mince, s'en était humiliant. Mais aussi déstabilisant, puisque quand je re-ouvris les yeux, j'eus l'agréable surprise de tomber nez à nez avec celle qui était incapable à mes yeux de faire ça. 
Là, mains sur mon col à croire qu'elle allait me secouer comme une prunier, j'avais une demoiselle à forte poitrine, à la chevelure colorée de manière étonnante qui m'agrippait de manière violente. Jill Great, une miss qui était l'innocence même de l'innocence à sa plus pure définition. Devant moi, la belle n'était plus la même. Amour, haine, frustration, dégoût, rejet, tristesse, colère... Tout ça ne faisais qu'un dans ce regard qui me transperçait de ses lames froides. Pourquoi ? Pourquoi ce regard envers moi ? Moi qui te revoyais presque il y a si longtemps... Moi, assis dans mon coin, en train de te regarder avec... intérêt ? Ou autre ? Quoi qu'il en soit, ce regard n'était plus là, tu n'étais plus la même qu'avant cela se sentait fortement. Ouvrant grand les yeux, je me mis à écouter sincèrement ses dires, ceux-ci me donnant la solution de la situation pour le moins... forte en émotions.
Kimi ? Keuuuuuuhwa ? De qui parlait-elle ? Moi c'est Shiki Yuki Saito... Alias Shiki tout court. Dit aussi, le petit jeune qui a vécut une année dans le même receuil pour enfant et qui a rapidement vu ta personne dans le passé... Mais pas Kimi l'inconnu en qui tu semble vouloir tant en découdre... C'est donc de manière naturelle que je gardais ce regard déconcerté. Oui, je ne comprenais rien. Absolument rien. Et donc, ma phrase ne fut que plus naturelle...
«  … Euh.. Jill... Moi c'est Shiki... Pas Kimi... Ok, ça finit avec un ' i ', mais quand même... Au point de me retourner comme un vulgaire pancake, quasiment me secouer comme un prunier et limite me choper comme LA bonne affaire lors des soldes d'avant heure... Faut pas déconner... »
Mon regard s'assombrissait doucement. Non je ne lui en voulais pas, mais maintenant, j'allais devoir m'expliquer avec elle de manière bien plus profonde. Après tout, elle m'avait limite attaquée pour rien et je ne comptais pas rester assis les bras croisés. Quoi que... Me redressant comme il faut, je vins m'asseoir à califourchon sur la table laissant une jambe pendouiller dans le vide. La fixant dans les yeux, on pouvait dénoter un regard comme... chercheur. Non, je ne cherchais pas l'endroit qui me permettrait d'ouvrir son haut de la manière des plus rapide, mais je cherchais des explications. La belle était candeur, gentillesse et douceur à mes yeux et oreilles... Pourtant là, elle n'était pas une fille douce et gentille. M'avait-on mentit ? Non... On ne change pas comme ça, à moins d'être... L'évidence était là et ça me ravissais que très peu. Le nouveau papillon était-il entré dans cette histoire de guerre des sexes ? Si oui, alors je me devais de trouver la raison, car elle, elle est vraiment celle que je ne permettrais pas de participer à cela... C'est stupide. Inutile comme le ' h ' de Hawaï... 
«  Bref... Tu m'expliques ? Ce qui se passe, ce que tu fou ici dans l'infirmerie... tu as besoin d'un soin ? Tu t'es blessée ? Puis, pour la suite... Hm... ça faisais un bail hm ? … Du moins, si moi je me trompe pas... Tu es bien... Jill Great... n'est-ce pas ? Tu... étais dans un foyer dans ta jeunesse non ?  »
Au moins, si s'était pas elle, je le verrais tout de suite. Attendant sa réponse, je la dévisageais me demandant bien des choses. Puis la répercution de tout ça. Oui, elle avait changé il faut le dire. Passant de nain roux raplapla... Désormais, elle était normale, rousse et généreuse... Cependant, même si ça me faisais chier de penser à des truc à l'eau de rose... Je n'aimais pas ce fond peu plaisant dans son regard. Un côté malsain, haineux qui ne me disait rien de bon. La chose qui n'aurait pas du se trouver là en elle. Qui avait cassé quoi en elle pour qu'elle devienne ainsi hm ?
J'en oubliais presque que les discutions youpi, on se repose ça me las rapidement. Pourquoi pas jouer simplement au mec la trouvant sexy, hey lady, tu veux dormir avec moi ? … Simplement car de un, je ne suis pas le pseudo-cliché de mec de cité malgré mon caractère de merde et de deux, même avec mon caractère de cochon, je lui dirais pas ainsi... 
Bref, assis, l'air impérieux et tout aussi énervé qu'elle, quoi que largement plus faible si on compare, j'attendais mes réponses. En tout cas... Une chose est sûre... La nuit allait être mouvementée et pas forcément dans le sens jouissif du terme.Quoi que.. Au final, ma langue fourcha et je lui lançais. 
" Si possible, aujourd'hui les explications, car les retournements sur table, tu es pas la seule à savoir faire et jte cache pas que toi... J'aimerais pas..." 
(c) fiche par ocean lounge
Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeSam 17 Aoû - 12:35

Ce sentiment s'appelle la haine. La haine pure et dure. C'est la seule chose que je ressens dans cette pièce, quand je suis en sa compagnie, cette rancœur intense. Elle fait battre mon cœur, écarquiller mes pupilles et serrer ma mâchoire, ayant une totale emprise sur mon corps, sur mes expression. Et pour vous dire, c'est plus fort que moi... Dès que mon regard croise le sien, j'ai envie de lui faire mal, de le détruire autant qu'il m'a détruit. Si vous saviez le mal qu'il m'a fait, si vous saviez où j'en suis, rien que par sa faute. Parce qu'il m'a laissé tombé. Quand je le regarde, j'ai qu'une envie : c'est de l'exploser, laisser parler mon impulsivité et ma violence cachée... Car oui, on a tous une petite partie de nous qui est... allons dire, secrète et inavouée. Bon, Kimi sait maintenant que je ne suis pas, que je ne suis plus, cette innocente petite, naïve et sans défense, incapable de faire du mal par peur. Je ne suis plus cette enfant qui pleurait pour ne pas qu'on la laisse, maintenant je suis une femme. Une mermaid. Et je n'ai plus peur des gens comme toi. Je n'ai plus peur de le retourner comme une crêpe, comme je l'ai fait, de dévoiler cet aspect impulsif de mon caractère. J'en ai marre que vous, les mecs, vous me preniez pour une abrutie sans défense, tu sais la meuf à qui on peut tout faire sans la moindre représailles, car elle ne sait pas se défendre ni même se venger. Je compte bien, te prouver, comme à tous, les hommes que vous êtes que vous vous trompez, mais sur toute la ligne. Plus les minutes passent, plus ces pensées haineuses envers lui et envers toute la gente masculine assombrissent mon esprit. C'est plus fort que moi, plus fort que tout ce qu'il y a de bon en moi... C'est la première fois que je ressens une telle haine, une telle ... impossible de mettre un mot dessus tellement c'est fort. Mon corps en tremble, j'en frissonne... Je me perds dans mes pensées, je ne lâche pas son col, après tout, c'est ma défense contre lui, comme pour lui prouver qu'il n'a pas d'échappatoire. Que cette fois-ci, il ne pourra pas s'échapper. Il devra s'expliquer, comme un homme, et un vrai. Je l'observe, je l'analyse, comme une sorte de rat de laboratoire. S'il ne veut rien me dire, ses expressions le trahiront. Je le connais bien Kimi, après tout, on a vécu quelque chose. Après tout, tu es un homme comme les autres. J'ai juste choisit de croire en toi, et de t'imaginer différent. «  …Euh... Jill... Moi c'est Shiki... Pas Kimi... Ok, ça finit avec un "i", mais quand même... Au point de me retourner comme un vulgaire pancake, quasiment me secouer comme un prunier et limite me choper comme la bonne affaire lors des soldes d'avant heure... Faut pas déconner... » ... Quoi? Je cligne des yeux plusieurs fois. Quoi...? Enfin... Tu te fous de ma gueule, là? Je fronce les sourcils et je force sur son col. Non, c'est impossible. Tu... Enfin, il lui ressemble tellement... Oui... On dirait les mêmes. Mes lèvres prennent la forme d'une moue, comme si j'allais lâcher un onomatopée de surprise, ou d'approbation, mais... j'ai du mal à le croire. Kimi m'a bien menti, il peut forcément recommencer. Il peut me mentir, me dire que ce n'est pas lui, essayer de me faire gober un mensonge pareil en pensant que je suis toujours aussi naïve. Il peut bien entendu se foutre de ma gueule, ça ne serait pas la première fois. A cette pensée, je fronce les sourcils. Oui, si ça se trouve tu te fous complètement de ma gueule. Tu es Kimi. C'est impossible que tu sois une autre personne. Impossible. Je finis par le lâcher, mais sans pour autant empêcher les lames de mon regard haineux le transpercer à chaque fois que mes yeux d'or se posent sur lui. Je reste silencieuse et je m'éloigne de lui. Non. Finalement je ne crois pas en son mensonge. Et puis, rien que cette remarque machiste sur les filles et les soldes, ça lui ressemble. Vraiment. Pour être roi des aristocrats, il fallait bien l'être un peu. Et, non seulement, ce petit détail de son mensonge m'énerve, mais en plus, cela prouve encore plus qu'il est Kimi. On ne me fera pas croire le contraire. Il se redresse sur la table et s'y installe confortablement tandis qu'il semble me questionner du regard. Moi, je ne laisse rien paraître. Rien. Rien que de la haine. Si tu crois que me chercher du regard comme si j'allais m'excuser comme une bizue, tu te fous le doigt dans l'oeil. Je me suis endurcie durant ton absence. «  Bref... Tu m'expliques ? Ce qui se passe, ce que tu fou ici dans l'infirmerie... tu as besoin d'un soin ? Tu t'es blessée ? Puis, pour la suite... Hm... ça faisais un bail hm ? … Du moins, si moi je me trompe pas... Tu es bien... Jill Great... n'est-ce pas ? Tu... étais dans un foyer dans ta jeunesse non ?  » Je ris nerveusement, enfin... j'éclate nerveusement de rire sous son nez. Putain, tu crois vraiment que me prendre pour une idiote pareille va t'aider à quoique ce soit? Je pose mon regard sur lui et j'arque un sourcil. Il reste silencieux quelques instants avant de lancer d'un air taquin mais maladroit « Si possible, aujourd'hui les explications, car les retournements sur table, tu es pas la seule à savoir faire et jte cache pas que toi... J'aimerais pas... » Je me remet à rire. Il fait vraiment pitié. S'il croit m'amadouer avec des compliments ou même un plan cul, ça marchera pas. Non.

« tu te fous vraiment de ma gueule... Tu crois vraiment que faire passer pour ton doppelgänger va marcher comme mensonge ? »

Je retrouve mon air glacé. Tu sais ce visage froid et haineux de tout à l'heure. Là j'ai le même. J'étais adossée contre le mur, bras croisés et maintenant je m'avance dangereusement vers lui, pour l'intimider. Il faudrait vraiment lui apprendre le respect, à respecter les petites, les filles ayant du caractère. Parce que sincèrement, sa technique pour détendre l'atmosphère, ça ne marche pas. Je pose mes deux mains sur la table et je le colle contre celle-ci. Malgré que je fasse une tête de moins que lui, je ne détourne pas mon regard du sien. Je le dévisage, je le méprise. Tout simplement.

« écoute moi bien. J'en ai assez de jouer au chat et à la sourie avec toi. Dis moi ce que tu fais ici. Pourquoi tu es revenu ? T'as entendu à ce qu'il m'est arrivé à cause de toi ? Non, bien entendu, tu étais trop occupé à prendre la fuite comme un lâche... Réponds moi!!! »

J'avais hurlé ces derniers mots, frappant une de mes mains contre la table. J'en suis malade de ses mensonges, de ... de ne pas savoir pourquoi ? J'en suis malade de le voir esquiver les explications comme ça. Ma paranoïa reprend le dessus rien qu'en sa présence, je ... je ne suis pas la Jill que tout le monde connaît, même moi, au fond de mon être, je me ne reconnais pas. J'ai envie de pleurer, j'ai envie de m’effondrer... J'ai envie de frapper tout autour de moi, de détruire des bocaux encore et encore, que le verre se répande sur le sol et qu'il me fasse un tapis pour mon corps. Je n'ai plus envie de souffrir comme je souffre. Tu ne vois donc pas le mal que tu me fais, Kimi? C'est satisfaisant? C'est cool de me voir comme ça? En fait ce que tu voulais, c'est une petite fille fragile à briser... Si ça se trouve j'ai été la pigeonne, et tu continues de me prendre pour cette abrutie en me mentant... Si mal en fin de compte. Quoi je ne vaux pas la peine d'un beau mensonge ? Je ne vaux pas la peine que tu invente une histoire rocambolesque ? Un truc digne d'un roman ? En fait... T'en a rien à foutre c'est ça ? Les larmes me montent aux yeux sans même que je puisse les arrêter. Je sniff un peu pour essayer de garder mon calme. Non.... Non je ne veux pas repleurer pour toi. Je ne veux plus repleurer pour toi...
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être un revenant, c'est pas cool
© darren criss


hrp ♥:
Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeMar 3 Sep - 7:45
Quand le coeur parle !
Drôle d'histoire que voilà. La miss que j'avais vu dans le passé était devenue une vraie boule de nerf. Elle me maltraitait en usant d'une force qu'on a que lors d'un seul moment... quand on est désespéré. Quand la haine nous possède. Unique, ravageuse, puissante, cette force pouvait nous détruire ou nous rendre aussi puissant qu'une loque. Bref, la miss n'était plus elle même. Habité par la colère, elle n'était pas lucide. Celui qui a causé ce mal doit vraiment avoir fait quelque chose d'horrible. Lui briser le coeur vu comment elle semblait en vouloir à ce " Kimi ". Drôle de vie quand même... être rongé ainsi par la haine, par la souffrance. Comment pouvait-on en arriver là alors qu'au fond, elle n'avait même pas la vingtaine ? Ce genre d'histoire sérieuse, ça arrive tard, pas tôt. La guerre des sexes ? Cette connerie semblait l'avoir tué indirectement. Mais peut-être me trompais-je.
Alors que je parlais, voilà qu'elle se mis à rire. Pas un rire amical, mais un rire stressant. Comparable à celui quand on est fou. Elle explosait un câble là. Comment pouvait-elle en arriver là ? Qui était ce gars qui l'avait rendu comme ça ? Intérieurement, je me le demandais. Pour l'heure, la miss continuait de m'accuser de menteur. A ses yeux, j'étais Kimi et non Shiki. Dieu que ça me lassais. Les blagues allaient bien cinq minutes, mais là, j'allais m'énerver à mon tour, quoi que contre elle... étrangement, je ne pensais pas y arriver malgré ma détermination. Continuant de la regarder, j'écoutais son flot de colère se déverser sur moi telle une marée de venin.

Alors qu'elle usait de toute son énergie, je cru apercevoir quelque chose. Sa manche s'était légèrement baissé lors du coup et j'avais cru voir une sorte de marque imposante. Du moins, suffisante pour que je la vois. Qu'étais-ce ? Et que voulait-elle dire par " ce que j'ai fait " ? Qu'avait-elle fait au juste ? Avait-elle vendu son corps ? Ou quelque chose de plus sérieux ? Je fit un rapprochement entre la possible marque et ce qu'on peut faire et j'en devins blanc. Avait-elle osé ? Avait-elle tenté de ? ... Secouant la tête, je repris mon calme bien que j'allais vite le perdre dans ce genre de situation. Le genre de situation qui était sulfureuse, chaude au point de péter à chaque instants. La regardant avec insistance, je finit par me redresser passant mes mains sur ses bras recouverts.

" Hey... Tu vas te calmer oui ? Regarde comment tu es là... On dirait une hystérique. Reprends toi merde... Et explique moi au lieu de me prendre pour ce Kimi machin. Dit moi ce que tu as fait bon sang... Là tu t'énerves pour rien et tu me casse les oreilles... Moi je suis Shiki Yuki Saito... Du moins, Shiki ça c'est sûr. Je suis ici depuis peu et on c'est croisé dans la maison où se trouvait les enfants dit orphelin. Ca, j'en suis sûr... Dit moi tout. Qu'as tu fait ? C'est quoi aux bras ?"


M'énervant, je serrais au niveau de ses bras sans m'en rendre compte. La violence était mon fort, pourtant contre elle, je ne voulais pas l'être. La situation me faisait perdre mon sang froid. La regardant avec un air sérieux, je démontrais à ma façon que je n'étais pas ce Kimi. Mon regard ne mentait pas. Je ne voulais pas lui mentir de toute façon.

" Tu vas parler ou encore tenter de me retourner comme une crêpe ? Non car à la longue, moi aussi je vais le faire... Putain.. Moi qui voulais te parler tient, super quoi... Jme retrouve à t'engueuler alors que je voulais être sympa... Pourquoi tu réagis comme ça, dit moi tout bordel...."

Je me retenais de montrer un quelconque signe de faiblesse. Une larme ou autre, mais mes mains tremblaient démontrant que je n'aimais pas la tenir comme ça. Pour moi, avoir vécut un an proche d'elle, s'était déjà un possible lien réalisable, car les liens... C'est ce pour quoi je vie. Mais ça, je ne le disais pas....
(c) fiche par ocean lounge
Invité
Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeDim 13 Oct - 10:11

On dit que l'amour rend aveugle, et que la souffrance a parfois le même effet. Je ne pensais pas que la haine, ou la peine pouvait provoquer ce genre de ... d'effets. Je ne pensais pas qu'on pouvait tout oublier autour de soi, mais qu'on n'arrivait pas à stopper les battements de son coeur et à chaque battement, une nouvelle douleur. Je ne pensais pas ... En fait, je ne pensais à rien, jusqu'à ce que ces mots arrivent à mes oreilles : « Hey... Tu vas te calmer oui ? Regarde comment tu es là... On dirait une hystérique. Reprends toi merde... Et explique moi au lieu de me prendre pour ce Kimi machin. Dis moi ce que tu as fait bon sang... Là tu t'énerves pour rien et tu me casse les oreilles... Moi je suis Shiki Yuki Saito... Du moins, Shiki ça c'est sûr. Je suis ici depuis peu et on s'est croisés dans la maison où se trouvaient les enfants dit orphelins. Ça, j'en suis sûr... Dis moi tout. Qu'as tu fait ? C'est quoi aux bras ? » J'étais tellement énervée, tellement oppressée par cette douleur, par ce souvenir de m'être fait prendre pour une idiote finie que ... j'ai perdu le contrôle. J'ai perdu le contrôle de ma pensée, je me suis laissée aveuglée. Et ce n'est pas fini. Mon esprit se remet progressivement en marche, les rouages de mon cerveau reprennent du service, mais ça ne m'empêche pas de partir au quart de tour. Lorsqu'il parle de mes bras je les cache brusquement. En quoi ça l'intéresse ? Qu'est-ce que ça peut bien te faire que j'ai des marques aux bras ? Je suis assez grande, je fais ce que je veux de mon corps. C'est tout. Laisse moi vivre. Je sens sa poigne sur mes bras, je le sens me compresser, comme s'il voulait me faire rétrécir de largeur. C'est bon, mec, les régimes ça existe et ça marche mieux que ça, hein. Mais pourtant il continue, ses doigts se crispent sur la soie de ma chemise blanche et ses yeux ne me quitte pas. Mais malgré ses paroles, mon impulsivité et ma haine, sont toujours aussi fortes, toujours aussi envahissantes... Et même avec toute la volonté du monde, je ne peux m'empêcher de le renvoyer chier une dernière fois :

« Qu'est-ce que ça peut te foutre ? » je marmolle

Mes yeux brillent en regardant les siens. J'ai un sourire nigaux, comme s'il m'avait demandé un truc stupide et que j'en riais. Nuance, j'en ris. Depuis quand tu t'intéresse à moi ? Depuis quand tu t'en fais pour moi, hein ? J'en ai assez. Laisse moi partir. J'ai envie de fuir, de me réfugier dans un endroit sans personne, de m'enterrer et de pleurer. Je force sur sa poigne pour essaye de me dégager. Mais il continue de serrer « Tu vas parler ou encore tenter de me retourner comme une crêpe ? Non car à la longue, moi aussi je vais le faire... Putain... Moi qui voulais te parler tient, super quoi... Jme retrouve à t'engueuler alors que je voulais être sympa... Pourquoi tu réagis comme ça, dit moi tout bordel... » Lâche moi. Lâche moi. LÂCHE MOI. Je pète un câble, je le regarde avec de gros yeux, les sourcils froncés. J'en peux plus, j'ai envie d'exploser en gros sanglots. J'ai envie de le frapper... J'ai envie de ... De disparaître. Je force d'un coup sur mes mucles pour me dégager. Je ne sais pas si ça marche, je suis limite en trance, dans mes pensées. J'en peux plus, mon coeur fait des bons, il martèle ma poitrine comme si c'était un jeu. Je grimace avant de me laisser tomber le cul par terre sur le carrelage froid de l'infiermerie. J'en peux plus. Combien de temps ça fait que je n'ai plus pleurer pour lui ? Longtemps. Mais revoir son visage, c'est juste insoutenable. Je met mes mains sur mon visage pour qu'il ne voit pas mes pleurs. Oui, finalement, ce n'est peut-être pas Kimi. C'est con, mais à cette pensée, j'ai plus de la haine, mais de la peine. Parfois le coeur humain et ses sentiments sont vraiment masochistes. Et moi qui ne peux m'empêcher de pleurer. Pour quelles raisons ? Parce que j'ai frappé un inconnu ? Un inconnu qui semble bien me connaître en tout cas. Ou juste parce que ... J'ai encore laissé passer ma chance ? Oui, ma chance de faire regretter à cette enfoiré de Kimi ce qu'il m'a fait. Si vous saviez combien j'en ai bavé. Si vous saviez ce que je donnerais pour revenir en arrière. Je reste un moment comme ça ancrée dans le sol, mon cul ne pouvant se décoller à cause de la gravité des sentiments. Mes larmes font couler le maquillage que j'avais sur la gueule. Pff. Quelle gueule ? J'ai du mal à me calmer, mais il faut que j'y arrive. J'suis devant un gars finalement qui n'a rien à voir avec mes histoires. Donc en gros, depuis tout à l'heure, je l'agresse, je l'insulte, je le rabaisse, alors qu'il n'a rien à voir avec cette histoire. Je soupire. Je reprend mon souffle. Je resoupire. Je finis par aller mieux. Je ferme les yeux, et je prend une inspiration. Je dégage mes mains de ma bouche pour articuler un simple :

« Désolée. »

J'ai les nerfs à fleur de peau. Il a raison, j'étais hystérique. Et maintenant que je sais que je me suis trompée, qu'il n'est pas ce fantôme à qui je veux la mort, mais rien qu'un gars dans un costume de fantôme. Il n'a que l'apparence. Quand j'y réfléchis, je me demande finalement comment j'ai pu les confondre. A part le physique et la blague machiste, ils n'ont en rien en commun. L'ancien roi des oranges n'aurait pas hésité une seconde à me renvoyer chier comme jamais, alors que lui, il a toujours essayé de me raisonner. Tout comme il n'a jamais porté la main sur moi, or Kimi n'aurait jamais eu la patience de me supporter, moi et mes insultes. Putain, quelle conne. J'abaisse mes mains de mon visage pour le regarder. J'espère que mon mascara n'a pas trop coulé. Je ne saurais dire l'ingrédient principal des larmes que j'ai versé. De la frustration ? De la peine ? De la honte ? J'en ai aucune idée. Je le regarde juste et ... et merde. Ils se ressemblent tellement. Putain, mais dans quelle histoire je suis encore tombée ? Y'a que moi pour réussir à foutre une merde pareille ou juste pour marcher dedans. C'est vraiment insuportable... Je passe une main dans mes cheveux et j'attends sa réaction. Oui, parce que... Parce que je ne sais pas quoi dire de plus. Je cache juste mes poignets et mes bras en général. Je déteste qu'on s'intéresse à ça, c'est juste ... Un truc dont je ne peux pas parler. Même mes meilleures amies ne sont pas au courrant, seule une personne. Une seule. Et je ne veux sous ancun prétexte le dire à qui que ce soit dire. Alors par pitié. Laisse moi tranquille.
picture mermaid
être un revenant, c'est pas cool
© darren criss


HRP:
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Strange meeting during the night ( Pv Jill Great ) Icon_minitimeVen 18 Oct - 1:40
Quand le coeur parle !
La miss était devenu un véritable chien d'attaque. Elle grognait sans regarder qui était la victime de son attaque. Clairement, ce genre de comportement qui m'énerve, même si moi-même je suis adepte de ce genre de coups... Me taisant donc, je l'avais choppé à mon tour espérant lui ouvrir les yeux enfin via mon ton pour le moins sérieux et dur démontrant que si elle voulait en découdre, j'étais son homme. Mais malgré cette mise au clair, j'étais loin d'être comme ce Kimi. Pas au courant de toutes ces histoires qui la hantaient, pour ma part, je ne voyais en elle qu'une connaissance. Une connaissance avec qui je pourrais aisément me lier d'amitié car au fond, on a une partie de passé en commun. Certes, ce n'est pas grand chose que de s'être croisé quand on été jeune sans même se parler ou autre, mais à mes yeux, c'est un début qui change tout. Je sais une chose qu'elle ne semble pas dire à tout le monde à moins que je me trompe et inversement. Elle et moi, nous avons une peine parmi tant d'autre en commun. Soupirant de lassitude, j'attendais donc ses paroles qui une fois de plus m'énervaient.

Ce que ça pouvait me foutre ? Voyons... N'avait-elle pas compris mon message ? Elle était mal à mes yeux et moi je voulais l'aider. Voilà ce que j'en avais à foutre. On ne peux pas aider son prochain sans savoir tout ce qui se passe. A moins d'être un genre de gars qui a un cerveau à la place du muscle pénien et qui de se fait est plus intelligent que le reste du monde. Car oui... On ne peux pas avoir les deux. Ou bien on a un cerveau performant au profit d'une bite apte à le faire... Ou bien on a une super bite, mais généralement... le cerveau ne suit pas. Bref, outre ce raisonnement un peu grotesque, j'en revenais à la miss qui étrangement se mis à.. pleurer ?

La voir ainsi me faisait de la peine. J'avais horreur de montrer de l'empathie, mais là, j'avais toutes mes raisons. Son maquillage coulait le long de son visage et moi, j'étais aux premières loges pour voir ce spectacle attroce. Je n'aimais pas ça. Pas du tout... Elle se retirait d'un coup brusque de mon étreinte et elle semblait se contenter de réaliser les choses. S'était-elle enfin réveillé de son cauchemars ? Jje n'étais pas le fantôme qui la hante, mais un autre. Qui lui voulait indirectement du bien... Elle devrait s'y faire, du moins j'espère. La regardant essuyer ses larmes, je me contentais de la laisser parler et se remettre de ses émotions.

" ... Tu n'as pas à être désolée... Si c'est à cause de cette foutu guerre, jte comprends... Assis toi... tu as dépensé beaucoup d'énergie."


Je l'invitais à s'asseoir pour pas qu'elle ait de mal aise ou autre. Après tout, ses émotions semblaient être encore un peu instable. Il serait dommage de la voir perdre connaissance ou autre. Sait-on jamais... Le corps étant si fragile. La dirigeant vers la table, je l'invitais à s'y mettre avant de repenser à ce que j'avais vu. Son bras avec je ne sais quoi dessus.. Cela ne me plaisais pas du tout. Mais elle tentait d'esquiver visiblement. Insister ou jouer de cela indirectement ? Haussant les épaules, je vins alors à lui souffler l'air las.

" ... C'est la guerre aussi qui t'a fait le truc au bras ? "


L'air sérieux, je voulais simplement savoir. Mon regard se faisant sévère je la regardais dans les yeux. J'allais lui chercher un verre d'eau histoire de la détendre. Je ne tentais même pas de la droguer pour la détendre, juste lui tendre un verre priant qu'elle se calme un peu. M'assaillant à côté d'elle, je me contentais de la regarder en coin. Puis finalement, je détournais la tête.

" ... Pourquoi étais tu dans cet pension ou plutpot ce refuge à l'époque ? Que t'est-il arrivé dans le passé ? ... Toi aussi tu as perdue ta famille ? Ou ... comme moi... abandonné ?"

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