Sei Gakuen
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C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori]

Invité
C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeSam 22 Juin - 4:46



« Surprise », voici le mot qui pouvait résumer au mieux cette nuit. Il n'avait pas encore vécu une nuit aussi farfelu et amusante que celle-ci depuis qu'il était arrivé à Sei. Sa soirée avec Kae lui avait redonné le goût des conneries. D'ailleurs, comment ne pouvait-il pas être heureux et fier avec ce qu'il avait fait au QG des aristochats ? Pendant toutes une nuit, il s'était tapé d'énormes barres avec son pote à dessiner des conneries sur le mur du gymnase. Une activité aussi puérile qu'amusante. Une activité qui avait ramené Kiyo à un âge mental très peu évolué. Une activité qu'il comptait bien recommencer avec lui un autre soir. Le parcours entre le gymnase et l'appartement fut plus facile qu'à l'aller : cette fois-ci, il connaissait le chemin à prendre et surtout, il connaissait aussi les obstacles qu'il y avait dessus. Une connaissance du terrain qui le fit arrivé peu de temps après le coucher de son colocataire. Entrant discrètement, il se cassa la gueule à l'entrée quand il trébucha sur une de ses chaussures que Flippy lui avait demandé de ranger la journée-même. Une action qu'il regretta de ne pas avoir faite. Bref, maintenant dans l'appartement, il se déshabilla, en jetant ses fringes un peu partout pour aller se coucher le plus vite possible : il ne lui restait que deux heures pour dormir avant la sonnerie du réveil pour se préparer en cours. Quand la sonnerie du réveil se fit remarqué, Kiyo était toujours joyeux. Même si Flippy l'engueula au réveil, parce qu'il avait fait du bordel à son arrivée, il ne répliqua pas. Il n'avait pas envie de gâché sa bonne humeur. Après une heure de préparation, il était prêt à aller en cours.

La matinée se passa normalement. Il assistait en cours, même s'il faisait plus acte de présence qu'autre chose. Il n'aimait pas rester assis sur sa chaise alors que le temps lui disait de sortir. Il regardait plus par la fenêtre qu'il n'écoutait le prof ou qu'il regardait en direction su tableau. Ce comportement lui valut quelques réflexions du genre : « M. Shinaha ! Je suis bien heureux que vous nous faites honneur par votre présence en mon cours, mais si c'est pour ne pas écouter mon cours et regarder par la fenêtre, ne vous sentez pas obliger de venir, la prochaine fois ! » ou encore « SHINAHA ! MAIS QU'EST-CE QUE TU FOUS BORDEL!? ARRÊTE DE DORMIR ET VA BOUGER TON CUL SUR LE STADE ! » et aussi une heure de colle par le prof de sport. Quand il entendit cela, Kiyo ne mit à rire. Pour le heckler, il était inutile de donner des heures de colle. Pourquoi ? Parce qu'il n'y allait pas et pour le peu de fois qu'il y allait, il s'amusait comme un con avec les autres élèves et les surveillants. Donc quand le prof le colla, sa réaction fut tout à fait normal. Après cette altercation, il partit du cours et passa sa fin de matinée dans les jardins de l'établissement pour attendre l'heure du déjeuner.

Après l'heure du midi, l'après-midi passa encore plus rapidement que la matinée : il n'avait qu'une heure de cours et ensuite, il devait subir son heure de colle. Sa dernière heure fut une heure de japonais. Vu qu'il était assez doué en cette matière, il en profita pour avancer sur son jeu : Final Fantasy IV. Il avait réussi à le craquer, avec l'aide d'un de ses potes, et à le mettre sur une cartouche vide de Nintendo DS. Il joua une heure à son jeu. L'avantage qu'il avait dans cette matière, c'était que – même s'il n'écoutait pas – il suffisait de lever les yeux deux minutes pour comprendre ce qu'il y avait de marquer au tableau. Une capacité qui faisait qu'il faisait parti des favoris du professeur. Quand la sonnerie retentit, il arrêta son jeu : il n'avait plus beaucoup de batteries. Il rangea sa console et ses affaires dans son sac, salua le prof' et partit vers la salle de retenue. Dans le couloir, il croisa quelques connaissances qu'il salua d'un signe de la main et d'un sourire. Malgré la guerre stupide qu'il y avait dans cet établissement, il avait autant de pote fille que garçon.

Arrivée dans la salle, il salua les deux surveillants et les autres élèves qui étaient – eux aussi – collés pour une raison aussi stupide que la sienne. Quand il les salua, les deux surveillants rigolèrent à la vue du taiwanais : cela faisait tellement longtemps qu'ils ne l'avaient pas vu qu'ils pensèrent qu'il avait quitté l'établissement. 

Surveillant 1 : Bah alors Kiyo, pourquoi es-tu ici ? Dit-il sur un ton un peu amusé. 
Kiyo : Pour rien, c'est ce connard de Mashiro... dit-il avant de se faire couper.
Surveillant 2 : M.Mashiro ! Répliqua-t-il. Pis, s'il te colle, c'est pas par pur plaisir... continua-t-il.
Kiyo : Ouais, ouais, souffla-t-il d'un air « je m'en fous ».

A ce moment-là, il n'écouta pas et alla directement s'installer dans un coin tranquille de la salle où il allait pouvoir jouer en paix avec sa console. Pour l'emmerder, quelques élèves de la salle essayèrent de lui prendre sa nintendo, mais arrêtèrent rapidement quand il se leva pour cogner l'un des mecs. Il était pas pour passer le temps et il ne voulait pas qu'on l'emmerde pendant cette heure-ci. De plus, il ne savait même pas si sa batterie allait pouvoir tenir toute l'heure. Alors qu'il était en train de jouer, il entendit son ventre gargouiller comme un bâtard : il n'avait quasiment rien mangé le midi et il avait oublié d'acheter des gâteaux pendant qu'il attendait l'heure du déjeuner. La seule chose positive, c'était que comme ça, les gens étaient prévenus : ils savaient que – comme il avait faim – il pouvait être très irritable et de ce fait, très violent avec la première personne qui allait le faire chier pour un oui ou pour un non.
Invité
C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeDim 23 Juin - 4:47
C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé

Moi, je rêve d'aventure et d'amusement



Une journée banal venait de commencer, un peu comme tout les jours en fait, n'ayant toujours pas de chambre, elle devait soit rester à un hôtel pas trop loin de Sei ou alors être chez sa tante, mais vu qu'elle n'habitait pas tout près, c'est plutôt compliqué pour venir, surtout avec le trafic routier de tous les matins vers les sept/huit heures, les routes ont souvent des bouchons. Quant au train c'est cher, donc plus simple, dormir à l'hôtel pendant quelques jours pour ne pas dormir dehors et encore moins sur les trottoirs. Bon d'accord, elle l'avait déjà fait, vu qu'elle avait fugué quatre jours de chez elle, quand sa mère l'avait giflé, mais elle n'avait pas dormit pendant ces quatre jours, elle avait visité les rues, d'autres villes, en usant de son argent pour pouvoir se déplacer. Elle avait même croisé une pauvre jeune fille qu'elle n'avait pas pu aidé, elle était bien débraillé cette demoiselle d'ailleurs, elle avait des cheveux rose, une teinture évidemment, puis ce qu'avait remarqué Sayori c'était pas ses jolies yeux, mais plutôt la grosseur de la poitrine, elle se sentait... comme une planche de surf comparé à elle. D'ailleurs, la demoiselle lui avait dit de l'appeler « Cotton » si ça lui faisait plaisir, en revanche elle ne lui avait pas donné son nom elle, enfin pas Sayori, mais plutôt son second prénom qui n'est qu'autre que Tsukumo. Bref, revenons à nos moutons, en fait c'était bien la première fois qu'elle avait visité des villes toute seule, sinon, la vie de tous les jours, elle n'y connaît rien, mais vraiment rien, c'est pas quelque chose de super en tant que citoyens je vous l'accorde, c'est surtout que vu qu'elle a grandit pendant ses dix premières années entre les quatre murs de sa grande maison, elle ne connaît pas encore les dangers et les risques qu'on peut avoir dans la vie.

Bref, la journée avait commencé comme à son habitude, le réveil de son portable ayant sonné à dix heure pour une fois, vu qu'un de ses professeurs était de mariage. Ayant comme musique de réveil, Smile d'Avril Lavigne, elle avait certes grandit dans une famille riche, elle adorait la musique, ce n'est pas pour rien qu'elle joue du piano d'ailleurs, mais elle adorait par dessus tout cette chanteuse canadienne, elle l'avait bien aidé à gardé la tête haute, ne pas flancher ou encore baissé les bras. Même lors de sa petite fugue de quatre jours, ses chansons l'avait aidé ou même sauvé à vrai dire, car pendant ces fameux jours, au final ce n'était pas la grande joie, car elle avait vu des choses pas spécialement rose, d'autres qui pouvait la dégoûté du monde extérieur, même les femmes, elle était dégoûtés d'elles, de leur façon d'être, de comment elles sont habillés, ces jupes qui montre un bout de leur derrière, même si la demoiselle porte surtout des robes et des jupes, courtes parfois, elle n'en avait jamais porté des si... courtes. Donc après s'être réveillé, elle s'empara de son téléphone portable pour pouvoir arrêter la musique, elle s'était levée du bon pied pour une fois, car oui, la plus part du temps, elle n'est pas très émotive, en fait non, elle l'est quasiment jamais, décroché un sourire c'est un véritable défi, cette fille est un défi, une poupée, tout ce que vous voulez. Ayant laissé ses jambes l'emmené dans la salle de bain de l'hôtel, elle s'empara de sa trousse de toilette, pour ensuite prendre les gels douches qu'elle a besoin pour se laver, le shampoing pour sa couleur et celui de son corps de poupée qui sent la noix de coco.

Ne tardant pas trop, après une quinzaines de minutes elle avait fini, prenant une serviette propre pour l'enrouler autour de sa taille, et une autre pour ses long cheveux blanc, elle retourna dans sa chambre, pour pouvoir fouiller dans sa valise, cherchant de quoi se vêtir aujourd'hui, le soleil montre le bout de son nez, autant en profité si il fait chaud. Sa chère tante lui avait encore fait de nouveaux vêtements pour son entré à Sei, elle n'avait pas vu beaucoup de monde d'ailleurs, voir presque personne, cela ne la dérange pas trop étant donné que c'est une solitaire. Cependant elle a entendu parlé d'une certaine guerre entre quatre groupe, dont deux de filles et deux autres de garçons. Cela fait juste quelques mois qu'elle y est et pourtant elle n'a pas rejoint les filles pour autant, apparemment elles renieraient les hommes, alors que Sayori, elle s'en fiche elle. C'est plutôt les filles, qu'elle a parfois du mal à cernés ou même supporter, ce genre de petites princesses pouilleuse, ou encore le genre de gonzesses qu'on peut voir au collège, alors qu'elles ont juste entre onze et quatorze ans pour la plus, à mettre des talons hauts et avoir leur sac longchamp à la pliure du bras.. Puéril.. Tout simplement, des gamines qui se prennent pour des femmes en fait, c'est elles qu'elle ne supporte pas. Bref, elle s'empara d'une de ses robes bleu à carreau, une robe bustier d'ailleurs, avec quelques nœuds sur le devant, bien aligné et centré avec des boutons bleus entre chaque nœuds. Prenant des sous-vêtements plutôt normal, même pas sexy, quoi que si, ils ont de la dentelles, et sa petite culotte étant tenue par de simple rubans noire sur le côté, bref des sous-vêtements accordé à sa tenue ! Elle s'habilla assez rapidement, ayant jeter la serviette autour d'elle sur le sol, enfilant en premier ses sous vêtements, retirant les bretelles de son soutien-gorge pour ne pas que ça fasse bizarre, elle enfila ensuite sa robe qu'elle ferma dans le dos avec des ruban, puis elle prit d'autres petites choses, un collier en tissu assortit, un nœud pour les cheveux en plus du serre-tête en tissu. Ainsi que des espèces de manchettes avec en plus des bracelets en tissu, des bas, et ses chaussures, il ne resta plus que ses cheveux à coiffé en deux couettes basses, et hop elle était prête pour partir. Ah et aussi elle mit ses chères lentilles de couleur bleu, n'aimant pas trop les avoir marron en fait, elle se maquilla rapidement histoire de faire ressortir ses yeux de son visage clair et se brossa évidemment les dents. Une fois tout cela fini, elle ferma rapidement sa valise, la laissant dans un coin, prenant les clés de sa chambre d'hôtel en les mettant dans son sac de cours et sortit rapidement de la chambre car tout cela avait prit au moins plus d'une heure à la jeune fille.

S'empressant de sortir de l'hôtel, elle se mit à courir pour aller jusqu'à Sei, passant rapidement à un café pour prendre un chocolat chaud, avec une chocolatine qu'elle mit en bouche, elle continua de courir jusqu'au lycée pour ne pas être en retard en cour. Mais cours de quoi déjà ? Ah oui, le sport.. deux heures de sport, tout de manière elle était dispensé, elle ne voulait pas transpiré pour sentir la transpiration et puis, elle avait oublié ses affaires de sport dans sa valise à l'hôtel. Pendant les deux heures de sport, elle regarda l'écran de son portable en jouant avec un jeu qu'elle avait télécharger gratuitement, celui d'un jeu de bonbon, candycrash quelque chose où il faut faire des alignement de mêmes couleurs, elle pu boire en même temps son chocolat qu'elle avait acheté quelques minutes plus tôt avant le cour. Elle leva parfois le nez de son écran pour regarder les camarades de sa classe faire le sport qu'avait choisit le professeur, du basket d'ailleurs, mais vu la taille qu'elle fait, elle n'aurait pas été d'une grande aide, elle aime bien le sport, mais surtout de combat, après tout, son sport favoris est le judo. Après le cours de sport, vient la pause du midi qui passa relativement vite, mangeant toute seule comme à son habitude mais dehors, elle s'était préparer un petit bento la veille, histoire de mangé convenablement, déjà qu'elle n'est pas très épaisse, c'est mieux qu'elle mange. Les heures de l'après midi étaient plutôt normal, pourtant, elle arriva en retard dans le cours d'histoire géographie, elle avait croisé un petit chaton dans la cour, et n'avait pas entendu la sonnerie du début de son cours qu'elle arriva bien quinze minutes après. Elle arrivait quasiment jamais en retard, mais cela avait énerver le professeur jusqu'au point de collé la jeune fille.

Elle grogna un peu entre ses lèvres pour les réflexions qu'elle reçu, du genre «  Mademoiselle Ashina, je sais que vos parents sont morts, mais ce n'est pas une excuse pour arriver en retard à mon cours ! ».. Et voilà, le truc qu'il ne fallait pas dire, cela mis en rogne la jeune fille aux mots de la prof, pourquoi parler de ses parents, alors que cela ne faisait même pas un an qu'elle les a perdu tout les deux, elle savait qu'elle n'avait pas le droit de frapper la prof, mais là, c'était vraiment la phrase à pas dire. Elle s'avance vers elle, pour la bousculer et lui faire une balayette en plus de la frappé dans le dos à l'aide d'un coup de pied, cela faisant tombé la femme de l'estrade à côté du tableau, les élèves éclatant de rire à voir cela. Mais Sayori ne se gêna pas pour prendre le fauteuil du bureau pour le poussé d'un coup de pied pour que cela tombe sur la prof'. Vraiment elle l'avait énervé, elle ne lui avait pas fait grand chose, mais assez pour se prendre une seconde heure de colle, comme si elle avait que ça à faire ses heures à la con ? Vraiment elle n'aime pas les femmes, mais cette prof' elle touchait le fond. La belle n'écoutait rien durant tout le cour d'histoire, elle rêvassa en regardant dehors, elle ne voulait pas écouter la voix stridente d'une prof qui avait osé parlé de ses parents devant toute la classe, alors que personne n'était au courant de cela. Mais la réaction qu'elle avait eu, n'avait choqué personne, tout le monde trouvait cela normal, après tout, on ne parle pas d'histoire familiales à des personnes à qui cela ne regarde pas. Une fois ce cour fini, elle alla à ses heures de colles, pas avec la plus grande joie en tout cas, étant allé en salle d'étude pour pouvoir les faire, elle remarqua quelques élèves également en colle, des garçons d'un côté, dont quelques uns essayaient de chopper une console de jeu à un garçon aux cheveux brun et de l'autre côté un groupe de fille qui se faisaient les ongles, le vernis sentant alors dans toute la pièce. Ne sachant pas où s'asseoir, elle prit finalement place devant le groupe de garçon, certes bruyant, mais c'est mieux que d'avoir l'odeur du vernis à plein nez.

Elle fouilla alors dans son sac, prenant un livre pour lire, cela parlait de vampires et autres, non pas twilight, ce livre elle ne l'aime pas, mais plutôt vampire diaries, une fille qui aurait également perdu ses parents et qui vivraient avec sa tante et sa petite sœur, malgré que dans la série animé, elle a un frère et non une sœur, étrange, mais on s'en fiche, ce n'est qu'une histoire après tout. L'heure de colle passa un peu plus vite que prévu, mais elle s'ennuyait quand même, elle passe ses doigts dans ses cheveux pour passer les mèches blanches devant son visage derrière son oreille, fouillant parfois dans son sac pour prendre son portable qui vibrait, c'était sa tante qui souhait avoir des nouvelles de la jeune fille, elle soupira, et prit la peine d'y répondre, même si cela l'ennuyait. Maintenant que ses parents sont mort, sa tante s'occupe d'elle comme sa propre fille, même si c'était surtout elle qui l'a vu grandir en fait. Elle prit un petit bloc notes, avec un porte mine, pour noter les personnes qu'elle a pu rencontrer, une sorte de petit journal pour répartir ses rencontres en fait, d'abord il y avait Norio, le roi des bastards, elle lui parlait quelque fois, mais assez rarement, juste histoire d'être une bonne informatrice en fait. Oui c'est ça, c'est une espionne pour lui, enfin elle pense que c'est ça, elle va le voir que quand il est de bonne humeur, elle n'a pas très envie de se faire cogner par ce grand garçon, qui a au moins deux têtes de plus qu'elle et qui peut l'écraser comme une vulgaire mouche, qui tourne autour de vous avec son petit bruit strident que produit les ailes, le petit « bzzzz » bien agaçant.

Finalement, elle n'avait que lui pour le moment, les autres, elle ne leur avait pas encore réellement parler, il y en a un qui la taquine en lui plaçant des oreilles de chat sur le sommet du crâne, et la belle duchesse des sirènes qui la prend un peu comme sa petite protégé, elle soupira, et rangea le tout dans son sac. Elle se tourna vers le groupe de garçons qui jouaient avec leur consoles, se caressant la joue, elle repensa un peu à son passé quand sa mère l'avait giflé à propos qu'elle avait acheté sa première console de jeu. Elle fixa ensuite dehors, alors que les filles qui se mettaient du vernis, s'était approchés d'elle, prenant les mains de la poupée, étant toute en fascination sur les ongles de la belle..Et bien, c'est des ongles non... ? Elle récupéra rapidement ses mains, n'aimant pas trop qu'on la touche, elle les fixa longuement, alors qu'elle grognèrent, l'une d'entre elles avait posé sa propre main à sa hanches, et de son autre main, d'un simple revers elle repoussa ses long cheveux noire dans son dos.

« Tu pourrais au moins être agréable ! Tss, non mais vraiment. » Agréable ? Avec ce genre de fille ? Même pas en rêve, elle les ignora, et détourna le regard pour regarder dehors, ne disant aucun mot, cela ne servirait à rien.

Invité
C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeLun 24 Juin - 1:54



La journée avait été chiante. Il n'avait rien fait de spéciale, il n'avait pas envie de faire quelque chose de spécial surtout. Il avait passé sa journée en cours, à plus ou moins écouter comme il le faisait à son habitude. Malheureusement, cette fois-ci, son prof de sport ne l'avait pas supporté et le colla pour lui faire comprendre qu'il n'était pas bon de ne rien branler, surtout qu'il ne venait pas souvent dans son cours. Ensuite, le reste de la journée se déroula plus rapidement: il n'avait qu'une heure de cours et cette heure-ci était la matière où il avait le plus de facilité. Pendant cette dernière heure, il joua avec sa console. Même s'il aimait la matière, il n'était pas disposé à écouter et à participer. Comme il le disait souvent: « Ma flemme me tuera un jour... ». Une citation qui était vraie pour lui. Dès la sonnerie, il s'en alla vers la salle où les gens faisaient leur heure de colle. Pour lui, ce n'était qu'une heure de perm comme les autres puisque les surveillants ne disaient rien quand les élèves ne faisaient rien, quand ils chahutèrent ou encore quand ils faisaient un bordel pas possible. Dès qu'il entra dans la salle, il discuta avec les deux surveillants. Ils se moquèrent un peu de lui. Puis, il s'installa dans un coin pour être tranquille.

Pendant qu'il jouait avec sa console, il vit plusieurs mecs le squatter. Il n'avait pas envie de discuter, ni même d'être abordé. Aujourd'hui, il faisait preuve de misanthropie. Alors qu'ils essayèrent de prendre sa console, il se leva pour les prendre de haut, même s'il était plus petit qu'eux: la taille ne faisait pas la force. Sans même dire un mot, on pouvait lire l'énervement sur son visage. Une rage qu'on pouvait lire rien que dans son regard. À ce moment-là, les garçons partirent en pestant: « Vas-y, même pas drôle ce mec... » à ce moment, il remarqua qu'une demoiselle s'était installé un peu devant lui. Elle était très mignonne dans son genre: elle était habillée d'une petite robe bleue et blanc avec un haut en forme de bustier et... soit elle ne portait pas de soutif, soit elle en avait mis un sans bretelle: dans les deux cas, pour le peu de poitrine qu'elle avait, on ne voyait pas la différence. Bref. Elle avait une tenue assez mignonne. Niveau visage, elle avait le teint un peu pâle avec les yeux bleus et les cheveux blonds très clair: ils étaient limite blanc. Sur le coup, il ne fit attention à elle qu'à cause de son charmant physique. 

De nouveau seul, il continua à jouer. Son jeu était super passionnant. Comment ne pas être passionné par un Final Fantasy ? Comme il était en train de jouer, il n'entendit pas la conversation des demoiselles. D'ailleurs, il ne remarqua que la présence de celle-ci qu'à cause de l'odeur du vernis qui flottait dans la pièce au rythme des déplacements des putes qui le portaient. Jouant à son jeu, il entendit seulement quelques mots : « … moins être agréable … vraiment. » Quand il entendit ses quelques mots, il pouffa à moitié de rire. Ce genre de phrase était le type de réplique des pimbêches qui aimaient ce maquiller comme des camions volés. Non, Kiyo n'avait rien contre les filles en particulier – c'était l'une des raisons pour laquelle il n'était pas chez les bastards ou les aristochats, mais il n'aimait pas entendre ce genre de phrase venant de ce genre de fille. Le style de fille qui ne misaient que sur le physique parce qu'elle n'avait rien dans le crâne mis à part le néant. Suite à cela, il arrêta son jeu et alla voir la demoiselle qui était assise. Enfin, il arriva par derrière et prit les péripatéticiennes dans ses bras. 

Kiyosawa – Alors les filles, on embête une jolie demoiselle qui ne demande rien... dit-il sur un ton amusé. Vous savez que c'est pas bien d'attaquer une brebis seule et sans défense. Continua-t-il sur le même ton. Il aimait bien jouer les bons samaritains pour embêter le maximum de personne. Parce que vous savez ce qu'il arrive aux loups qui attaquent la petite brebis ? Répliqua-t-il en susurrant à leurs oreilles Le berger les tue à coup de fusil, est-ce bien clair ? finit-il sur un ton un peu plus sadique, mais toujours aussi amusé.

Les filles ne pouvaient pas le voir, mais il avait sortit ce petit monologue avec le sourire aux lèvres. Il n'aimait pas spécialement se battre, mais il n'aurait aucun scrupule à frapper des filles en cas de problème. Il trouvait ça hypocrite de dire que les hommes n'ont pas à frapper des filles, sinon ils étaient considérés comme des faibles. Certes, battre une femme pour rien était un signe de faiblesse, mais se défendre en cas d'attaque d'une fille hystérique, c'était une preuve d'intelligence. D'ailleurs, il avait toujours pensé que celui qui avait inventé cette phrase était une femme, une faible femme qui avait trouvé comme seule barrière de défense, cette phrase stupide que toutes les autres femmes de sa même espèce. Idem que pour elles, il ne pouvait pas voir la réaction des demoiselles concernées. Par contre, il pouvait voir la réaction de la petite brebis, même s'il n'avait pas fait spécialement attention. Suite à cela, les demoiselles partirent et pestèrent un truc qu'il n'entendit pas. Cela n'avait aucune importance pour lui. Après tout, il avait réussi à faire ce qu'il vouait faire. 

Kiyosawa – ça va, elles ne t'ont pas trop fait chier ? Demanda-t-il sur un ton assez protecteur. Comme dit plus haut, ce n'était pas le sexe le problème, mais bien le caractère de celle-ci. Sans son consentement, il s'assit à côté d'elle. Voulait-elle ? Voulait-elle pas ? Il en avait rien à foutre, il s'installa. Le garçon la dévisagea du regard avant de continuer. En faite, je m'appelle Kiyosawa, Kiyosawa Shinaha. Dit-il en tendant sa main droite. Mais tout le monde m'appelle Kiyo. conclu-t-il avec un sourire sincère aux lèvres. Au fond, Kiyo n'était pas quelqu'un de méchant. Il n'aime seulement pas qu'on l'emmerde ou qu'on provoque du bruit pour rien près de lui.
Invité
C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeLun 24 Juin - 12:00
C'est lors d'une pétage de câble que le wifi fut inventé

C'est quoi ton nom déjà ?


Elle les regarda, eux, oui eux, ces petits oisillons dans leur nids accroché à une branche d'arbre situé en face de la fenêtre où elle se trouvait, alors que leur mère et leur père partaient chasser des petits vers de terre en les picorant dans la terre, pour ensuite les déposer dans la gorge de leur tout petit. Il faut dire à cet âge là, ils sont incapable de faire quoi que ce soit, même si on recueil un oisillon très jeune, ce sera impossible de le garder en vie, surtout si il a les yeux clos, sans aucune plume, c'est impossible, car on a des doigts maladroit, on aura peur de lui faire mal avec un quelconque objet, et la première fois on ne saura pas quoi faire. On pourra directement pensé à lui donner de l'eau, puis la nourriture, mais le problème avec l'eau, c'est qu'il ne faut pas lui en donner de trop, mais quand on l'ignore, qu'est-ce qu'on peut faire d'autres ? Presque rien. Elle aurait bien aimé être un oiseau d'ailleurs, volé de ses propres ailes pour pouvoir voyager, se déplacer quand l'été est fini et aller dans les pays plus chaud, oui, elle aurait bien aimé être un oiseau. Mais elle préfère toujours être un animal de la famille des félins, ces prédateurs étant soit en groupe ou en solitaire, mais pourquoi elle pensa à ça déjà? Ah oui, pour rien, son attention s'était porté sur ces petits volatiles, alors que les péripatéticiennes la dévisagèrent au simple fait qu'elle avait retiré sa mains des leurs. De leurs mains puants le produit chimique qui n'est qu'autre que le vernis, le chaton en mettait aussi, mais cela ne durait jamais plus de trois jours sur ses ongles, ils étaient jolis les siens d'ailleurs, actuellement elle avait juste du vernis bleu foncé en accord avec sa robe bustier, bien limée, long et propre, aucune saleté sous les ongles, elle avait reposé ses doigts délicats sur la table, en tapotant nerveusement ses ongles sur le bois de cette même table.

Alors qu'elle rêvassa, les demoiselles étaient prête à frappé la jeune fille, mais elle les ignora, c'était peut être des mermaids qui sait ? Elles ressemblèrent bien à la description de ce groupe, ces filles qui usent de leur charme pour faire tombé les hommes dans leur filet, en papillonnant leur yeux maquillé comme un camion, enfin il n'y a pas que les yeux, tout leur visage l'est. Alors que l'adolescente à la chevelure blanchâtre, s'était simplement mis du crayon noir et une légère couche de mascara. Il y a une grande différence tout de même, elles avaient presque tout sur leur visage elle, du font de teint mal étalé, ne s'accordant absolument pas avec la peau de leur cou, elles avaient le visage orange alors que la peau de leurs cou était blanc, au pire si elles veulent ressembler à des carottes pourquoi pas, au mieux, elles devraient plutôt en mangé, il paraît que ça rend aimable. Quant au reste, les lèvres recouvertes de gloss, quelque chose de bien visqueux et collant si on vous dépose un baiser sur la joue, c'est très désagréable, et on ne sait jamais ce qu'elles ont fait avec cette bouche. Vaux mieux pas avoir de baiser venant de leur part en fait, puis même si elles en font, ça finit toujours mal pour elle, enfin mal, soit violé, ou alors on les retrouves au fin fond d'une ruelle à moitié bourré et surtout drogué. Mais après comme autre maquillage sur leur visage ayant plusieurs imperfections, il y avait du blush, également du crayon noir, du mascara et voir même des faux cils, puis du fare à paupières, hmm elles se croient au cirque ? On ne s'étonne pas que les filles sont mal traité, et qu'après on les retrouve en train de pleurer, ou tout du moins, cela dépend des filles, il y en a des plus calmes, comme la demoiselle. Elle ne peut pas se vanter de la poitrine généreuse qu'elle n'a pas, après tout, c'est ça que les hommes aime en premier chez une femme,donc de ce côté là elle n'avait aucun soucis à se faire, si quelqu'un serait attiré par elle, ce serait sûrement par son joli minois. 

Pendant ce temps, un garçon aux cheveux d'ébène était arrivé derrière les petites prétentieuse, il avait l'air amusé et sortit des phrases plutôt surprenante pour la jeune fille assise. Le seul mot qu'elle avait retenue dans ses dires, fut « brebis ». Alors comme ça Sayori est une brebis sans défense ? Ben voyons, mais vu la couleur de ses cheveux, c'était plutôt bien trouver, elle passa doucement une main dans ses cheveux en le regardant parler aux filles, en parlant de « loup » également, cependant, elle ne put entendre ce qu'il leur avait dit à l'oreille, c'était murmuré, et il était trop loin d'elle pour qu'elle entende. Enfin « trop loin » juste à un mètre à peine, mais cela suffit de ne pas entendre surtout si c'est doucement. Elle le voyait elle, contrairement à ces filles, oui elle le voyait ce sourire, un sourire amusé presque satisfait. Tandis que les demoiselles grognèrent des choses dans leur moustaches qu'elles n'ont pas, elles s'en allèrent bien sagement, sortant même de la salle d'étude. Bon débarras, elle ne les aimes pas ces filles, tout du moins ce genre de filles, elle les déteste, parce qu'elles ont eu l'amour de leur parents elles, et voilà ce qu'elles sont devenues, des pimbêches hypocrites n'ayant rien dans la cervelle. Quoi que si, un petit pois chiche peut être..

Sombrant légèrement dans ses pensés, elle entendit vaguement un « ça va.... pas trop fait chier ? ». Son regard se releva sur lui, se doutant bien qu'il parlait de ces filles, en fait non elles ne l'ont pas trop fait chier, elles lui ont juste polluer l'air. Non c'est pas faire chier ! C'est juste... En fait si elles l'ont fait chier, elle ne souhaitait pas leur parler, mais elles sont venues de leur plein gré en l'ayant touché -oui c'est grave si on la touche, elle n'aime pas trop ça, surtout si genre elles ont touché on ne sait trop quoi-. Bon d'accord, peut être pas quand même, elle n'est pas en sucre. Elle n'eut même pas le temps de répondre, qu'il avait prit place sur la chaise libre à côté d'elle, étant donné qu'elle avait posé son sac sur la table, la chaise était libre. Elle le fixa longuement, observant toutes -ou presque- les parties de son corps, ce qu'elle remarqua en premier, fut la couleur de sa peau, elle était plus bronzé que la sienne. En même temps, elle est pâle comme un petit coton, enfin un coton c'est blanc, elle a quand même un peu plus de couleur qu'un coton, disons plutôt une poupée. Oui c'est ça, une poupée en porcelaine, elle ressemble à une poupée trait pour trait. Bref, pendant ce temps, il s'était présenté, Kiyosawa, Shinaha.. Mais tout le monde l'appelait Kiyo, en même temps qu'il parlait il lui avait tendu sa main. Mais pourquoi il l'a lui tendait ? Elle s'interloqua toute seule, ses yeux ayant rapidement cligné, car sur le coup, elle n'avait pas comprit. Il lui fut quelque secondes pour se rappeler de ce que lui avait dit sa chère tante, que c'était un signe comme quoi il fallait prendre la main de son interlocuteur, pour en gros dire « enchanté » et répondre en se présentant aussi. La moindre des politesses en fait, c'est se présenté. 

Ce fut de sa main droite dont ses ongles tapotait le bois de la table quelques minutes plus tôt, qu'elle avança vers la sienne en douceur. On pouvait clairement voir l'hésitation qu'il y avait, c'était une petite main frêle, timide et bien évidemment hésitante, mais elle le fit, oui elle mit doucement sa main dans la sienne, dont la taille était totalement différente, celle du jeune homme était beaucoup plus imposante que sa main de demoiselle. Elle la serra doucement en regardant leur mains, puis en levant son regard, elle prit enfin la parole. «Sayori.. Sayori T. Ashina... T, pour Tsukumo. Enchanté..» dit-elle d'un ton plutôt doux, mais distant, on pouvait remarqué qu'elle n'était pas quelqu'un qui parle beaucoup d'elle, et oui c'est une vrai poupée... « Mais, tu peux simplement m'appeler Sayori, on ne m'appelle pas autrement. Tout du moins je pense... ». Reprit-elle simplement, elle était distante, oui elle l'est, cela se voit, dans son comportement, dans sa façon de parler, dans sa façon d'agir, dans tout en fait. Elle retira doucement sa main, pour ensuite incliner sa tête sur le côté, cela avait un air mignon, mais elle avait vraiment l'air d'être quelqu'un qui garde tout pour elle, mais également, quelqu'un qui ignore un peu tout ce qui l'entoure. Il pouvait le remarquer, elle n'affichait aucun sourire, cela n'arrivait pas comme ça pour elle, elle n'y arrivait pas et dû à cela, elle détourna simplement le regard en soupirant simplement. Fermant doucement ses yeux, elle posa son coude sur sa table, en posant son menton dessus. C'est en rouvrant ses yeux qu'elle le regarda, l'air interlocuteur. Puis lui demanda finalement.

« Pourquoi, tu m'as aidé ? C'est gentil, mais il ne fallait pas, mais merci. » dit-elle sincèrement, le merci était sincère, tout était sincère. Elle ne cache jamais ce qu'elle pense, faut qu'elle le dise, mais le fait qu'elle ne sourit pas, est dérangeant, ou tout du moins pour la personne en face d'elle qui se donne la peine de sourire sincèrement et de l'avoir protégé. Mais au final, elle ne lui avait rien demandé, oui strictement rien, il était venu de son plein gré et voilà ce qu'il en est. Il est là, assis à côté d'elle, alors qu'elle n'a rien à dire. Entendant une nouvelle fois le vibreur de son portable, elle le prit doucement dans sa main pour le déverrouiller et voir de qui provenait le message, encore sa tante.. Ne se donnant pas la peine de répondre, elle le jeta dans un long soupire à l'intérieur de son sac. S'affalant légèrement sur le dossier de sa chaise, elle le regarda finalement de nouveau, elle ne se donnait plus trop les bonnes manières qu'on lui a tant apprise. Elle en avait marre, elle voulait être quelqu'un d'autre, pas une pimbêche, mais juste histoire de se décoincer, découvrir la vie d'une autre façon, d'en profiter tout simplement. Mais elle se redressa quand même, c'était plus fort qu'elle, après tout, elle est bien élevé, le dévisageant du coin de l'oeil, elle se demanda qu'est-ce qu'il pouvait bien faire à ses côtés. Juste lui taper la discute ? Oui peut être, en même temps, pourquoi s'était-il donné la peine de s'asseoir à côté de la fille la plus discrète de tout Sei ? On en sait rien, seul lui le sait, mais pas dieu, juste lui, ce jeune homme se prénommant Kiyosawa. Et c'est dans un petit soupire, qu'elle posa ses petites mains sur le bas de sa robe en la froissant légèrement entre ses doigts, tout en regardant sur le côté, elle dit légèrement.

« Désolé de ne pas être bavarde, je ne suis pas habitué à avoir des personnes qui viennent me parler, que ce soit fille ou garçon. Mais je préfère quand c'est les hommes, je n'aime pas trop les femmes... » dit-elle simplement, mais elle reprit rapidement pour le regardé de ses deux yeux, et non du coin d'un. « Mais, pourquoi tu leur as dit que j'étais une brebis et elles les loups.. ? C'est plutôt inhabituelle, enfin je suppose.. » elle s'arrêta là, ne sachant plus trop quoi dire, son regard se baissa sur ses mains qui froissèrent nerveusement le bas de sa joli robe.
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C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeDim 7 Juil - 0:09



Le heckler n'avait jamais l'habitude de faire des rencontres dans les règles de l'art, comme par exemple, en demandant l'autorisation de l'asseoir auprès de la personne au-quelle il voulait discuter. Un manque de savoir vivre qui lui valut de faire de belles rencontres, comme maintenant. D'ailleurs, il avait toujours eu la mauvaise habitude d'être un peu brusque avec les gens, que ce soit des filles ou des garçons. Une défaut qui, en contre-partie, lui valut quelques problèmes avec des personnes dont la force était supérieur à la sienne. Ce fut grâce à ces deux caractéristiques qu'il alla voir la petite brebis qui se faisait embêter par des salopes qui s'amusaient à faire chier les demoiselles qui voulaient se différencier d'elles en restant à l'écart des autres, ou encore en ne s'habillant pas de la même façon qu'elle. Bref, il alla l'aider. Pourquoi avait-il dit « la brebis » en parlant de la jolie demoiselle qui se trouvait non-loin de lui? Parce que, dans un premier temps, la blancheur de sa peau et de ses cheveux qui faisaient penser à une petite brebis. Même s'il n'avait pas trop d'attachement pour cet animal, il le trouvait mignon. Puis, la seconde raison fut parce qu'il la trouvait aussi innocente et fragile que cet animal, même s'il savait que les apparences étaient souvent trompeuses dans cet établissement.

Après la petite discussion entre les demoiselles et lui, elles partirent en pestant sur lui et sur la petite brebis. Pendant ce temps-là, il s'installa sans même demander l'avis de la concernée: il n'aimait pas faire dans le conventionnel. Quand il s'installa, il se présenta en donnant son prénom et son nom. Quelques secondes plus tard, elle se présenta: la jeune brebis s’appelait Sayori Tsukumo Ashina. Elle transpirait la douceur et la timidité. Elle semblait aussi assez distante: était-ce un genre qu'elle se donnait ou est-ce qu'elle avait vraiment ce trait de caractère? Il se posait la question, mais en réalité, il en avait strictement rien à foutre. Pourquoi se poserait-il vraiment des questions comme celle-ci pour une fille qu'il ne connaissait pas ? Franchement, certes, il n'était pas méchant, mais ce n'était pas un bisounours non plus. Puis, alors que l'ambiance entre les deux personnes allaient se détendre, elle posa la question – certes, que tout le monde aurait posé – mais qu'il ne voulait pas entendre: « Pourquoi, tu m'as aidé ? C'est gentil, mais il ne fallait pas, mais merci. » Il ne voulait pas entendre cette question parce qu'il n'avait pas de réponse à donner. Il ne savait pas pourquoi il l'avait aidé: chose stupide. Il esquiva la question en la surprenant en train de regarder son portable. Pour lui, c'était l'occasion parfaite pour ne pas répondre à cette question dont il avait aucune réponse :

Kiyo – Tu es spamé par plein de prétendants? dit-il sur un ton amusé. Avec sa petite blague, il essayait de détendre l'atmosphère. Il ne savait pas pourquoi, mais elle ne semblait pas... heureuse.

Puis, elle s'excusa de ne pas être bavarde. Pourtant, pour lui, avec cette qualité, elle montait dans son estime: elle ne semblait pas aussi chiante et barbante que les mermaids. Ce groupe de filles était pourtant très gentille, mais tellement chiante avec leur envie de persuader les hommes en leur proposant des parties de jambes en l'air, qu'il commençait à ne plus les supporter sauf peut-être une exception. Malheureusement, il ne connaissait pas son nom. La seule chose dont il savait d'elle, c'était qu'elle était très bonne au lit et surtout, qu'elle avait les cheveux roses: un détail qui rétrécissait le champ des recherches. Bref, alors qu'elle s'excusa, elle lui demanda pourquoi il avait utilisé le terme « brebis » pour la désigner et « loup » pour parler des autres pimbêches qui, maintenant, étaient parties. Quand elle posa cette question, une autre se déposa dans la tête de Kiyo: est-ce qu'elle connaissait la particularité de cet établissement? Et surtout, dans quel groupe elle était? 

À ce moment-là, il ne sut pas vraiment quoi dire. Il était en face d'une demoiselle, qui ne connaissait rien aux lois de cet établissement et qui, surtout, détestait plus les filles que les garçons. Il eut un peu de peine pour elle: pour survivre dans cette école, les gens devaient s'entourer d'autres personnes du même sexe. Sinon, il donnait peu cher de leur peau. Surpris par cette annonce et par sa position, plus décontracté, il mit sa main dans ses cheveux et souffla d'un air blasé. Lui qui jouait avec cette pseudo-guerre des sexes, il allait devoir expliquer à cette petite brebis le pourquoi du comment. 

Kiyo – Euh... comment dire... avant de te répondre, est-ce que tu connais la particularité de cet établissement? dit-il en ne sachant pas quoi dire. Il n'était pas facile – pour lui – d'expliquer de façon objective cette guerre des sexes qui régnait ici depuis la création de l'établissement. Les filles que tu as croisé étaient – sans doute – des mermaids ou des hecklers. Elles viennent souvent embêter les demoiselles, comme toi, qui semble sans défense et surtout, elles essaient de les taquiner un maximum. Il commença à donner les explications de l'utilisation des deux termes tout en évitant de lui dire trop de choses sur cette guerre. Ce mec était vraiment un boulet. Pour elle, tu n'es qu'une victime de plus à embêter ou une amazone à faire chier. continua-t-il. Quoique... vu le physique que tu as... elles doivent te prendre une nouvelle dans l'établissement et elles voulaient seulement te taquiner un peu. finit-il avant de bailler fort et sans mettre la main devant la bouche. Il était réellement sans gène et ne le cachait pas aux autres. 

Maintenant, il attendait une réaction de la part de la jolie blonde qui était assise à côté de lui. Il la voyait en train de regarder ses mains, comme si elle attendait des réponses de celle-ci. Malheureusement pour elle, les mains ne parlaient pas.
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C'est lors d'un pétage de câble que le wifi fut inventé. [Feat. Sayori] Icon_minitimeSam 13 Juil - 5:33
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