Sei Gakuen
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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3

Invité
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeJeu 5 Sep - 11:35
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« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]


« Cette cuisine est un monde dont la cheminée est le soleil. »


    J’observais le plafond, pourtant si terne, si fade, sans aucun intérêt. Mes mains étaient jointes derrière ma tête. J’étais affalée, dans ce qui me servait de lit dans ce pensionnat. Les couleurs restaient toujours dans le même thème, du gris, du blanc, et une légère touche de noir. Rien de bien gaie en somme. Le soleil avait tiré sa révérence pour laisser place à cette lune, pour être exacte, à ce croissant de lune qui laissait planer une lumière tamisée sur cet océan de noirceur. Il n’y avait pas un bruit, pas un chuchotement. Le silence absolu, cette mélodie si rare à entendre, celle que personne ne peut reproduire, ni même Bach ou Beethoven. Quelques étoiles apparaissant dans ce ciel bleuté. Je ne me suis jamais posé la question de savoir si j’avais une bonne étoile, qui veillait sur moi, coûte que coûte. Mais je ne crois pas, ma vie n’aurait pas été aussi pitoyable si j’en avais une. Comment une boule de plasma pourrait-elle chaperonner quelqu’un ? Tant de questions sans réponse. Je me levais lentement, pour m’approcher de cette ouverture en face de laquelle se trouvait l’immensité terrestre. J’y accoudais mes coudes limpides, prenant bien soin de pouvoir caler mon visage entre mes deux mains. Un soupire s’échappait d’entre mes lèvres rosies, je me demandais bien comment la vie pouvait elle se passer ici. Mais je ne préfère pas m’y attarder, j’aurais bientôt la chance, ou le malheur, de le découvrir vraiment, je n’ai eu qu’un simple aperçut lors de mon arrivée chez les mermaids. Soudain, quelque chose d’obscur traversait la lune, cet animal pourtant invisible, et pourtant tellement juger. Persécuté en Occident, soi-disant, elles étaient considérées comme des êtres maléfiques, avec la connotation de la mort, et du malheur. Pauvres bêtes. Si discrète, est pourtant si abominé.

    Soudain, un bruit sourd mit fin à ce silence apaisant, mon ventre s’exprimait. Il était désireux d’être rempli à son aise. Je n’avais pas eu le temps d’acheter une quelconque cochonnerie, ni même mon si précieux chocolat. Mais mon ventre n’était pas capable d’attendre jusqu’au matin. Un nouveau soupire, je tapotais sur ma robe noire pour y enlever des quelconques poussières, avant de me diriger vers la sortie de la chambre. J’étais vêtu simplement d’un fin linge noir, avec de la dentelle dans le dos, masquant le strict minimum. Tes pas se succédaient, mais tu veillais bien sûr, à ne pas faire trop de bruit, il ne valait mieux pas que l’on te remarque. Tu étais hésitante au fur et à mesure de ton parcours, tu ne savais pas exactement où se trouvait le réfectoire. Et je faisais totalement confiance à mon instant, même si selon les préjugés, les femmes n’ont pas le sens de l’orientation. Quelques instants plus tard, j’avais trouvé le saint Graal. Tu te souvins aussitôt, qu’il y avait des horaires pour y accéder. Et tu n’as pas un brevet dans le crochetage de serrure. Au petit malheur la chance, tu tentas l’impossible, tu poussais avec douceur la porte, cet alors qu’un filet de lumière se dessina sous tes yeux verts. Il y avait quelqu’un, il n’y avait pas de doute à avoir. Tu priais silencieusement pour que ne sois pas un membre du personnel. Tu ne connaissais pas les réactions de cet établissement pour l’instant, mais dans tous les cas, tu pouvais bien sûr user de tes charmes pour ne pas avoir de sanction.

    C’est alors, qu’avec une curiosité infinie, tu passais un œil dans l’ouverture, pour enfin être soulagée, ou pas. Quand soudain, tu aperçus cet homme. Aux allures d’albinos, mais sa peau n’était pas assez limpide pour qu’il en soit vraiment un. Donc je supposais qu’il avait fait ça pour se rendre intéressant, purement et simplement. Cette pièce renfermait un géant, il devait faire presque deux mètres, et sa musculature était telle, qu’il pouvait me broyer en moins de deux. La curiosité est un vilain défaut, mais tu ne pouvais t’en empêcher. C’est alors que tu rentrais dans cette cuisine éclairée, à pas de loup. Je n’avais pas peur, jamais j’aurais peur d’un homme, d’un déchet de la société en quelque sorte. C’était une salle spacieuse, avec une multitude de chaises, et le nécessaire pour se préparer à manger. Mais je n’étais attirée que par une seule chose, lui. J’entourais l’une de mes mèches de cheveux rousse, autour de mon index. C’était une sorte de réflexe, un toc. Je ne savais pas s’il m’avait remarqué, j’étais à une distance raisonnable de lui. Pourtant, ma crinière de feu n’était pas des plus discrètes. Tu esquissais un faible sourire, l’observant de haut en bas, tout ça dans un silence presque gênant.


eden

Invité
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeSam 7 Sep - 3:09

Délicieuse rencontre en cuisine.




▬ play it
Une fumée se dégageant d'une fenêtre, une chevelure blanche comme la neige et une respiration rauque. Ce n'était autre que l'aigle de foudre, James. Oui c'est moi. Au détour d'un bâton de nicotine on peut dire que je me faisais chier. Bien des départs nous avaient tous touché. Les conflits avaient été différents, mais pourtant la guerre était encore là. Elle me hantait comme un vieux démon nous hanterait. Je ne pouvais pas m'empêcher d'y penser, car je ne comprenais pas, même si j'y participais le but de tout cela. La lune était pleine ce jour-ci et ressemblait à l'œil d'un titan qui observait la décadence de Sei. Une décadence dont je faisais bien évidemment parti. Je ne pouvais pas nier que mon comportement avait changé depuis la première fois que j'avais mise les pieds là-bas.

Je ne trouvais plus le viol aussi amusant qu'avant. Je me battais encore de façon aussi impulsive, mais les affrontements étaient bien plus brefs qu'avant. Je préférais sécher les gens que de les rouer de coup. Je devais m'impliquer dans mon groupe bien plus malgré mes occupations. J'avais proposé d'enseigner l'art que je pratiquais aux élèves qui le souhaitaient. J'avoue que cela n'était pas toujours de tout repos, mais je survivais à ça. J'étais un loup solitaire enfin c'est ce que je pensais...car avoir perdu Shiro m'avait plus abimé que je le pensais. J'avais beau être musclé et sportif comme les Bastards ça ne m'empêchait pas d'avoir un cœur qui lui était plus fragile. J'avais montré ma face sensible à quelqu'un et je l'avais regretté. Je préférais soupire et me lever.

Mon ventre montrait des signes de mécontentement au fait que je n'avais pas mangé depuis un moment. Avec la flemme qui me caractérise si bien j'enfilais un jean simplement au-dessus de mon caleçon et sorti de la chambre. Je me fichais bien qu'on puisses me voir torse nu ou pas à cette heure de la nuit. De toute façon j'emmerdais le monde alors pourquoi les gens s'intéresseraient à un mec qui va bouffer à 2h du mat passé ? Je traversais donc le couloir aussi furtivement que possible. Ce qui ne signifie pas très discrètement. En passant devant plusieurs chambres, je réveillais les gens dedans et leur gueulante eu comme réponse un « aller vous faire mettre » ou un « vos gueules j'ai la dalle ». Ce n'était pas dans mes habitudes d'être diplomate, surtout quand j'avais la dalle ainsi.

Je continuais le long du couloir pour me faufiler dans les escaliers parce que bon sang j'avais faim. Je crois que j'aurais pu manger un sanglier tout seul tant j'avais faim. Plus mes pas se faisait proche du point de la satisfaction de mon estomac plus la faim me poussait à me magner. Oui, mais un mec qui court torse nu comme un con pied nu à 2h du mat ça pouvait aussi être suspect. Or ce n'était pas comme si j'étais dans les grâces des surveillants. J'étais connu pour foutre la merde et ce n'était pas comme si j'allais arrêter aujourd'hui.

Cinq, quatre...plus que trois pas. Je me trouvais enfin dans le réfectoire ! Lâchant un soupire après avoir mis autant de temps pour aller bouffer j'allumais la lumière. Je crus prendre un éclair en pleine face, comme l'écran d'un téléphone en plein nuit voyez ? Le genre de truc qui te ruine les yeux plusieurs minutes et te fait passer pour un débile. Une fois que mes yeux s'habituèrent à la lumière je contournais les meubles pour aller voir dans les frigos. J'avais faim, mais je me doutais je n'étais pas le seul à avoir cette idée. Pourquoi ? Puisque nous avions souvent des âges assez proches, l'idée de venir bouffer à morceau à 2h du matin était assez commune. Je sortais de quoi me faire un bon sandwich voyez ? Genre pain, viande, salade et tout le toutim. Je fermais les yeux quelques instants, regrettant de ne pas avoir pris de tee-shirt ou même mes rangers. Y faisait pas chaud dans ce bordel et en plus le carrelage je ne vous dis pas.

Bref arrêtant de faire des simagrées pour pas grand-chose je commençais à faire mon sandwich quand la porte grinça. Je n'étais effectivement pas seul pourtant je continuais mon sandwich sans rien dire. Je pus entendre le bruit de pas léger sur le sol et je jetais un regard discret, sans rien dire. Instinctivement un sourire vint sur mon visage. Je n'étais plus seul ici, c'était une jolie compagnie qui s'était pointé. Je sentais son regard sur moi et ne put m'empêcher de me dire qu'elle devait être plus Mermaids qu'Amazons. Je ne sais pas pourquoi cela m'est venu, pas l'habitude autre chose, mais je ne saurais dire quoi. Bon revenons à mon festin plus ou moins. Je terminais mon sandwich et me tourna vers la demoiselle et dit avec charme.


« Vu que tu te pointes en légère tenues et vu l'heure tu dois aussi avoir la dalle. Tu as qu'à te servir ma belle y a de quoi bien manger. »

Je lui fis un clin d'oeil et me décala pour lui laisser le plan de travail et aussi de la place. J'inspirais rarement au premier regard, la confiance alors autant ne pas brusquer quelqu'un que je ne connaissais pas. Je pris place sur une table de la cantine et mangea mon sandwich en patientant. J'ignorais comment elle allait réagir ou si elle allait m'envoyer bouler ou me chauffer en tout cas je l'avais invité à se servir sans aucune arrière-pensée.

Si un sandwich permettait de faire connaissance pourquoi pas. Je n'avais rien à perdre sauf sans doute de la dignité...hum non en faites je n'avais rien à perdre. J'étais à moitié à poil comme elle, affamé et vraiment pas en mode « je veux faire chier mon monde même si tu es jolie » j'étais plutôt dans un stade de détente et de dalle. Dans ces moments-là j'arrivais à être humain, chose rare chez moi. Je mangeais mon sandwich sans un mot puis je dûs me rapprocher du plan de travail et sans aucun doute d'elle. Bah oui parce que souvent avec la faim vint aussi la soif. Je sortis deux verres en prit un, me versa de la flotte et dit à la demoiselle sans la quitter des yeux ce coup-ci.


« Tiens de l'eau sauf si tu préfères plus alcoolisés, c'est dans le frigo à ta droite, deuxième bacs à gauche. »


Je retournais à ma place, enfin à la place juste devant donc plus près d'elle. Je voulais voir si ma présence dérangeait ou non. Je ne me faisais aucun plan sur la comète, elle avait dû rentrer en voyant quelqu'un et approcher par curiosité et appétit. Après tout je n'étais pas le plus séduisant des Bastards simplement le plus cramé à la limite.


Voili voilou mi amor ♥ © Failara
Invité
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeLun 9 Sep - 4:41
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 4vcfoj11

« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]



« Cuisiner est une activité qui exige d’être aussi créatif et imaginatif qu’une activité telle que le dessin, la sculpture sur bois ou la musique. »


    Cet homme, qui se trouvait face à moi se faisait à manger. Je l’observais dans les moindres détails, aucune parcelle de son corps n’échappait à mon regard. J’ai pour habitude de dévisager les gens, certes, elle peut paraître mauvaise pour mon interlocuteur, mais ça me permet de le juger avant qu’il entrouvre les lèvres pour me dire quoi que ce soit. Honnêtement, je faisais face à un bel homme, même si ça me faisait du mal de me l’avouer. Puisque selon moi, les hommes ne servaient qu’à mon plaisir personnel. Les hommes m’ont tellement déçu, que je ne veux plus rien à avoir avec eux –mis à part leur corps. Je ne bougeais plus, mais je savais pertinemment qu’il m’avait remarqué, rien que par ma chevelure rousse qui était loin d’être discrète, mais j’adore me faire remarquer, de plus, je sais que j’ai un physique plus que divin. Mais bon, nous ne sommes pas là pour parler de mes atouts attrayants. Je le voyais se mettre face à moi, un sandwich entre les mains. Malgré sa carrure assez effrayante en quelque sorte, il me semblant pourtant aimable. Bien que son vocabulaire ne soit pas forcément soutenu, ses paroles étaient tout de même munies d’un bon fond. J’avais oublié ma tenue légère ornée de dentelle, je ne suis absolument pas pudique, mais je ne m’attendais pas à croiser quelqu’un, si tard. Surtout pas un charmant garçon. J’acquiesçais d’un mouvement de tête, c’est alors qu’un petit sourire apparut sur mes lèvres roses.

    Je m’immisçais petit à petit dans la cuisine, grimaçant en sentant le sol glacé sous mes pieds dénudés. Ce qui créa une réaction normale suite au froid, une multitude de boutons minuscules étaient apparu sur ma peau blanchâtre, appelé couramment la chair de poule. Tout se trouvait déjà sur le plan de travail, c’était génial. Je n’avais pas à m’embêter à tout sortir. D’abord je pris du pain, pour y ajouter ensuite la salade et la viande. Je rajoutais un peu de mayonnaise, ça ne pouvait faire du mal à personne. Et ce n’est pas comme si je me souciais de ce qui allait me faire grossir ou non, peu importe ce que je mange, je sais très bien que je ne prendrais pas un gramme. Fort pratique, non . Surtout pour une jolie jeune fille comme moi. Avant que mon sandwich soit terminé, je grignotais par-ci par-là, un morceau de fromage, de viande, un peu de mayonnaise sur les doigts…il ne faut pas gâcher voyons.

    Je vis que le garçon était toujours là, je ne vois pas pour quelle raison il serait parti de toute manière. Je songeais à ce qu’il pourrait arriver cette nuit, dans ce lieu glacial. Est-ce qu’il était comme tous les hommes qui pensent avec leur engin ? Ou bien serait-il plus doux, plus dragueur ? Je n’arrivais pas à identifier encore qui il était réellement, sous cette apparence de bad boy des bacs à sable. Mais avant tout, il fallait discuter. Bien que je ne sois pas très bavarde, il fallait que j’apprenne à le connaître. La curiosité m’envahissait peu à peu, et je ne pouvais pas passer ma soirée sans une réponse concrète. Et puis, nous n’allons pas manger chacun de notre côté tout de même . Ce serait bien trop triste. Alors qu’on a eu la chance d’avoir eu la même idée, au même moment.

    Alors que je réfléchissais, au lieu d’agir. Oui, je suis une personne très réfléchie, de peur de rater mes plans. Ce serait bien dommage. Je l’observais discrètement, du coin de l’œil, voyant qu’il sortait deux verres, un nouveau sourire se dessina sur mon visage. Il pensait vraiment à tout. Peut-être était-ce seulement une bonne attention ? Ou bien peut-être qu’il avait quelque chose derrière la tête ? Je devais le savoir. J’entendais de nouveau sa voix grave qui retentissait dans mes oreilles. C’est alors que pour la première fois, nos deux regards se croisèrent. Mes yeux verts étaient plongés dans ses yeux sang. Je le remerciais d’un sourire, comme d’habitude. Il était clair que j’allais préférer de l’alcool, mon compagnon de tous les jours. Je sais que lui, il ne m’abandonnera jamais au moins. Bien que ce soit un nom masculin, il était toujours là pour moi, pas comme les hommes en général. Tous des faux culs, infidèles, machistes, connards.

    Avant de m’énerver toute seule, absolument pour rien, je cherchais l’alcool là où il me l’avait indiqué. BINGO. J’avais trouvé mon objet de désir. Je ne pris pas le temps de réfléchir à laquelle j’allais choisir, il suffisait seulement de voir whisky pour que ce soit automatique. J’approchais alors du jeune homme, tenant mon sandwich entre mes lèvres, ramenant la bouteille, oui, il ne valait mieux pas que je la range de suite me connaissant, ainsi que le verre qu’il m’avait gentiment passé. Je posais tout ça en face de moi. Ouvrant la liqueur divine pour en mettre dans mon verre. Enfin, je pouvais maintenant m’intéresser à lui. Je plongeais mon regard dans le sien avant de faire s’échapper ma voix douce.

    « Je vois que tu es plein de bonnes intentions. Tu ne veux même pas une petite goutte d’alcool ? »

    Je prenais un peu mes aises, m’accoudant à la table pour manger correctement mon sandwich. Il manquerait plus que je m’en fiche partout, ce n’était vraiment pas le moment de manger comme une truie. Mes seins étaient à peine caché, juste le minimum syndical, ma position les mettait davantage en valeur. Sous aucun prétexte, je ne le quittais du regard. Je voulais tout voir, toutes ses réactions, ses émotions. Mes jambes étaient croisées pour ne pas trop attiser sa curiosité, juste pour paraître un peu plus séduisante. Je suis une Mermaids, il faut bien que joue avec mes atouts physiques pour le bien de tous, n’est-ce pas ?


eden

Invité
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeLun 9 Sep - 11:04

Amour ou déception, délice ou aigreur d'une soirée.




▬ play it
Je dégustais mon sandwich avec calme sans en mettre partout. Je lui avais proposé de l'eau, mais aussi de l'alcool et c'était ce breuvage bourré d'éthanol qu'elle avait choisi. Cela ne m'étonnais pas, car après tout, rien de mieux qu'un verre, voir une bouteille de ce liquide si magique ; pour apprécier une soirée avec la compagnie d'une personne que l'on ne connait pas encore. À vrai dire, je me trouvais en sympathique compagnie même si j'ignorais le prénom de la charmante demoiselle ici présente. Je ne savais que quelques petites choses sur elle. À la vue de son comportement et de son regard sur ma personne au complet, je m'étais dit qu'elle devait être une Mermaids. La raison était qu'une Amazons n'était pas vraiment du genre à jauger la marchandise avant de la frapper. Et dieu sait qu'une Amazons qui vous frappe ce n'est pas vraiment pour vous emmener dans son lit. Sauf exception qui confirme la règle. C'était une Mermaids, plutôt jolie et sexy en une si fine tenue et rousse. Je n'osais pas dire, mais le roux était une couleur que j'avais peu vue dans mon début de vie, mais que j'aimais tant cela me rappelait le feu. Un feu incandescent et vif. En résumé, la couleur de ses cheveux était un bon point pour me plaire.

Comment ne pouvais-je pas avouer être un mec assez difficile surtout pour les femmes. J'avais passé une année de ma vie à comparer les femmes à des objets, vu comment je les traitais. Pourtant, cette époque était derrière moi et je ne comptais pas y revenir. J'aimais les femmes sulfureuses, avec un caractère bien à elle et qui savait me parler sans trop de gêne. Je n'étais pas en mousse après tout et donc on pouvait me faire du rentre dedans sans problème ni peur de me brusquer. De toute façon il en fallait beaucoup pour me brusquer, car j'étais quand même un grand sans gêne. Vous en connaissez beaucoup de mecs, qui fait tomber sa clope par a fenêtre et va la chercher torse nu en jean et pied nu parce qu'il a la flemme de s'habiller, mais pas de fumer ? Maintenant oui vu que je vous l'ai dit. J'étais un énergumène à moi seul et un cas bien étrange chez les Bastards, mais c'était aussi cela qui faisait ce que j'étais. Je ne pouvais pas me leurrer elle me plaisait, mais ce n'était pas en restant ans rien dire et en fixant la jolie demoiselle que cela allait changer.

Et pour sûr qu'elle était jolie face à moi. Oui elle avait un sandwich et un verre de whisky dans les mains mais bon sang elle avait du charme. Elle avait une taille de guêpe bien renforcé par sa tenue légère, mais si divine. Oui je ne pouvais nier que cette fille avait du charme comme personne. J'avais côtoyé en tant que Bastards bien des femmes, mais une comme elle pas encore. Dans mon existence de Bastards je ne mettais jamais senti ainsi. C'était étrange à la fois gênant et agréable. J'observais sans gêne sa poitrine qu'elle mettait en valeur en s'abaissant un peu vers moi. Je les trouvais à mon gout ses deux collines, car même si j'étais un homme je n'avais rien contre une petite ou moyenne poitrine. Les poitrines opulentes je n'aimais pas tellement. Et ne me demandait pas pourquoi parce que la raison est conne. Trop gros cela ne permettait pas que je les caresse comme il se doit ou que j'en prenne soin.

Or celle de la jolie rousse face à l'albinos que j'étais, était parfaite. J'aurais voulu prendre cette femme sur mes genoux pour déposer mes lèvres sur son cou voir tout son corps, mais elle ne me connaissait pas et je n'étais plus aussi rustre qu'avant. Ma mère m'avait appris les bonnes manières à sa façon à moi de les respecter. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder...c'était une déesse cette femme. Elle avait des hanches de rêves et un popotin...qui attisait chez moi l'envie d'y poser mes mains meurtrie pour y ressentir leur douceur. Je secouais la tête pour chasser ses envies quelques temps histoires d'être plus respectueux sans la quitter des yeux. Elle avait embarqué une bouteille de whisky avec elle. C'était vraiment une superbe idée, moins superbe qu'elle, mais tout de même. Elle fit un doux sourire et s'adressa enfin à moi, elle ne semblait pas pipelette mais j'allais arranger ça.


« Je vois que tu es plein de bonnes intentions. Tu ne veux même pas une petite goutte d'alcool ?»

Sa réaction et surtout sa question afficha un sourire charmeur et doux sur mon visage. Je devais avoir l'air d'un sacré ahuri qui souriait devant une rousse au charme dévastateur, mais tant pis. Et oui le Bastards imperturbable était pour une fois troublé et cela de façon assez étonnante. En même je me demandais comment j'aurais pu après bien des déceptions ne pas réagir face à cette divine demoiselle qu'elle était. J'étais en grand manque de présence, de douceur, de femme en résumé. Et même si je détestais l'avouer l'amour avait parfois un avantage grandissant chez moi. Je me sentais plus mature et plus serein qu'avant et cela depuis un moment comme si 'avais passé un cap de ma vie de Bastards et d'homme aussi. Pour ne pas la laisser en plan après sa question je posais mon regard dans le sien et répondit avec un calme étonnant et avec douceur en tendant mon verre.

« Je ne vais pas refuser un verre surtout de la part d'une si jolie jeune femme voyons par contre j'en oublie vraiment mes bonnes manières inculqué par ma chère mère.»

Je me levais d'un coup et me dirigea d'un pas léger vers une pièce non loin de la cantine rapidement. Je trouvais bientôt mon cassier ainsi que mon sac d'affaires propre. Je pris un de mes tee-shirts et revint avec calme dans la cantine en me dirigeant de nouveau vers elle. Elle avait pendant ce temps remplit mon vers à mon étonnement. Oui j'étais étonné, car je m'étais demandé en allant le chercher, si elle allait ou non accepter de me servir un verre ou plutôt me tendre la bouteille. J'avais eu ma réponse. Ce tee-shirt que j'avais été cherché avec hâte n'était pas en faites pour moi, mais pour elle. Prenant mon verre, j'hochais la tête en signe d'un merci, bu une gorgée de ce nectar si délicieux et lui tendit mon tee-shirt sans perdre mon sourire charmeur mais doux et sincère. Au contraire de quand je l'avais remercié ce coup-ci j'ouvris la bouche et lui dit d'une voix toujours aussi rauque naturellement ce que je pensais.

« Tiens prend ce tee-shirt tu dois te les geler je pense. Je pourrais te proposer de venir sur mes genoux et de te coller dans mes bras, mais un minimum de respect s'applique. Surtout que l'on ne se connait pas encore, j'ai déjà suffisamment foiré et fait de connerie pour pas en rajouter une autre...Ah sinon moi c'est James ... Tu es une jolie rousse, mais je ne pense pas que je mérite aussi rapidement de savoir à quel point tu es douce. Enfin laisse tomber je dis de la merde...»

Je soupirais tant je me sentais idiot en lui tendant la main. J'étais faible face à une femme, mais pourtant, cela ne me faisait pas de mal. Non je me sentais idiot, de ne savoir, comment l'aborder. J'avais passé tellement de tant à faire le Bad boy, le killer, le rebel que je n'avais jamais pris le temps d'être un peu romantique et cela faisait chier des macarons voyez ? Or avec cette demoiselle mon petit doigt me disait qu'il valait mieux être délicat. Enfin osef de mon petit doigt, c'était une Mermaids. Tout le monde savait qu'elle avait toutes une vie qui faisait des hommes leurs anciens bourreaux et je n'avais pas envie d'être un bourreau simplement un homme et si possible le sien. Mais bon elle était venue pour manger un morceau et à la limite me draguer pas pour finir avec un Bastards en manque de présence et surtout d'amour. Sans m'en rendre compte je murmurais une chose qu'elle avait dû entendre.

« Comme si une si belle rousse voudrais de moi...pfeuh tu parles…»

Grognant je restais près d'elle, mais baissa ma tête comme dépité de ma propre connerie sans cesser de lui tendre le vêtement pour qu'elle le prenne au moins. Je me disais qu'au moins cela ferait une chose de bonne dans tout cela. Je savais que je n'avais pas beaucoup de chance pour que cette belle demoiselle veuille de moi. J'étais depuis quelque temps encore plus solitaire, désespéré et si elle partageait mon envie de ne plus être seul je saurais être comme il faudrait quoi qu'il arrive. J'étais connu pour être quelqu'un qui était déterminé et qui ne lâchait rien pour les autres et pour elle cela ne faisait pas exception. La seule chose restante c'était qu'elle accepte mes avances ou les rejettes pour que je sois sur de la suite ou que le feeling était là.


Ma rousse rien qu'a moi♥ © Failara
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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeJeu 12 Sep - 3:07
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Tumblr_msd1suFMHr1sdvjhqo1_500

« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]



« Une vraie rencontre, une rencontre décisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin. »


    La rencontre est un événement. Il se présente dans la rencontre un élément fortuit : temporel, social, conjoncturel. Généralement, elle n’est pas maîtrisable, car l’on ne peut pas décider de la personnalité, de la réaction, de l’interlocuteur. On peut parler de rencontre entre deux personnes, avec des événements d’une disposition sociale, et d’un contexte social. Par exemple, une rencontre entre la graine et le sol sur lesquels viennent s’ajouter l’eau et la pluie, qui permet donc à la graine de pousser et de s’élever au-dessus du sol. En conclusion, la graine grandit pour devenir un arbre. Elle prend en maturité et en prestance. Malgré tout, une rencontre provoque ça chez n’importe qui, sans forcément que l’on s’en rende compte. Nous sommes obligés de faire des rencontres durant l’évolution de notre vie. Sinon nous stagnons, ce qui revient à la perte de la découverte de son soi. Dès la naissance, nous sommes déjà entré dans le moule de faire des rencontres, et ainsi, évolué nos rangs sociaux. Mais c’est toujours bâti sur de renouveau, nos rencontres sont toutes différentes, selon la personne que l’on a en face de nous. Nous ne réagissons pas de la même manière selon la personne, nos attitudes changes, mais pas notre personnalité. Ce qui fait que certaines rencontres se terminent par un échec, tandis que d’autres évoluent.

    Cette rencontre paraissait fructueuse. De mon point de vue tout du moins. Cet homme avec ses allures d’albinos, et de bad boy ma plaisait. Je ne pouvais pas me mentir à moi-même. Cette rencontre fut faite par pur hasard, et pourtant, je ne comptais pas remonter dans ma chambre. Au premier regard, je me disais seulement qu’on allait peut-être passer un bon moment tous les deux, mais plus les minutes passaient, moins l’envie de partir se manifestait. Le sourire qui ne cessait de se dessiner sur mes lèvres n’était pas un faux, pas un hypocrite, pour une fois, je souriais naturellement. Il ne me semblait pas particulièrement violent, mis à part les quelques brûlures que je pouvais démasquer sur sa peau blanchâtre. Et ses mots…ils n’étaient pas forcément recherchés hypocritement comme les aristocrats. Peut-être était-ce alors un Bastard ? Le doute m’habitait, je ne préférais pas tirer des conclusions trop hâtives. Son originalité, autant par son vocabulaire, que par son physique, m’attirait. J’aime les gens qui se démarquent des autres, qui ne suivent pas le troupeau des moutons. C’est si…ennuyeux. Un charme fou se dégageait de cet homme, que je ne connaissais pas encore.

    J’avoue que je commençais à me lasser des toutous, qui me suivent seulement pour baiser avec moi. Oui, baiser, parce que je ne considérais pas ça comme faire l’amour. Faire l’amour est censé être l’acte entre deux personnes qui ont la flamme de l’amour qui les consume. Non pas écarter les cuisses pour son plaisir personnel. Certes, je suis du genre à généraliser. Du genre « tous les hommes pensent avec leur engin. ». Mais pourtant, nous sommes tous différents. J’affectionne beaucoup l’acte sexuel, pourtant je ne pense pas avec mon intimité. C’est juste un plaisir, d’autant plus lorsque l’amour fuse entre ces deux êtres. Un peu comme le chocolat, mis à part que ce soit un plaisir personnel. Comme la masturbation. Enfin bref, je m’égare.

    Toujours dans une position d’aguicheuse, je l’observais, finissant peu à peu mon casse-croute. Mon ventre cessait toutes ses plaintes. Mon estomac était enfin rempli. Durant un instant, mon regard se stoppa sur son torse, qui marquait très clairement sa musculature. Je ne put pas m’empêcher de mordiller ma lèvre inférieure face à cette vue divine. Je ne pouvais pas dire l’inverse, je le désirais. Mon corps ne voulait faire qu’un avec le sien. Mais un sentiment venait s’immiscer par-dessus cela. Je ne le désirais pas seulement, mais quelque chose de plus fort, plus intense. J’esquissais un large sourire d’amusement lorsque je vis ses yeux descendre au niveau de ma poitrine, elle semblait lui plaire. J’aurais aimé qu’il ose la toucher, sentir ses doigts d’homme, contre mon corps menu. Je n'en frissonnais rien d’y penser. Mais je me doute que lors d’une première rencontre, il n’ose pas se démarquer. Je ne quittais sous aucun prétexte son regard vermillon, sauf de temps à autre pour l’admirer dans sa globalité. J’apportais le verre empli de ce nectar divin à mes lèvres, en buvant la moitié. L’alcool ne pouvait pas faire de mal pour améliorer la soirée. Bien que l’alcool ait une fâcheuse tendance à monter trop vite chez moi. Mais je resterais toujours de bonne compagnie, enfin, je suppose.

    Je l’admirais troublé par ma question. La seule fois que j’avais laissé le doux son de ma voix se diriger dans les oreilles de l’albinos. Je me demandais bien à quoi il pouvait penser. Ma curiosité me perdra. Mais je semblais lui plaire également, et c’était le principal. Sa réponse me fit sourire, les mots qui retentissaient étaient « une si belle femme ». Je sais très bien que je ne suis pas ragoutante, le nombre de mes partenaires sexuels en est la preuve, dotant plus, j’étais doté d’un ego démesuré. Mais cela me faisait tout de même plaisir de l’entendre, surtout venant de ce charmant inconnu. Lorsqu’il se leva, je ne savais pas pourquoi, mais je ne lui posai pas la question, j’en profitais simplement pour le servir. Je me posais tellement de questions sur cet homme. Mais vu son gabarie, j’étais persuadée qu’il tenait l’alcool –comparé à moi. Mais ça donnait tout de même un ton festif à notre entrevue. Durant sa disparition, je finissais tranquillement mon verre, avant de m’en servir un autre dans la foulée.

    C’est alors que je le vis revenir, muni d’un T-shirt. Il devait probablement avoir froid, c’est vrai que j’étais aussi frigorifiée dans ce réfectoire. Il ne prit pas beaucoup de temps, j’eut à peine le temps de m’ennuyer, ou d’avoir un manque face à sa compagnie. Dont je me délectais à chaque instant. Je souriais face à son mouvement de tête de remerciement. Mais de rien mon chou, c’est normal. Avec étonnement, je le voyais me tendre son T-shirt. Je ne sus pas comment interpréter cette petite attention, mais j’en rougissais. Puis ensuite, j’eut le droit à sa voix grave. Je ne cessais de lui sourire, chacune de ses paroles me faisait un bond au cœur. Je pris doucement son T-shirt entre mes mains, l’enfilant aussitôt. J’avais l’impression d’être au pays des bisounours. C’était la première fois que l’on m’accordait autant d’importance. J’étais troublée. Mon cœur commençait à battre à une vitesse folle dans ma poitrine, j’en avais si peu l’habitude…

    Quelques murmures vinrent s’infiltrer jusqu’à mon oreille. C’est alors qu’avec un sourire des plus sincères, je m’approchais de lui. Je relevais doucement sa tête, avant de déposer ma croupe sur ses genoux. J’entourais alors mes bras autour de son cou, le serrant avec tendresse contre moi. J’avais l’habitude d’être douce, c’était inné chez moi. C’est alors que je côtoyais dangereusement de son oreille pour le lui murmurer quelques paroles.

    « Enchantée James, quant à moi, je m’appelle Alexie. N’est pas peur de faire quoi que ce soit, d’accord ? »


eden

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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeSam 14 Sep - 5:07

Tu la voit cette rouse et tu veux qu'elle devienne TA rousse.




▬ play it
L'amour était pour beaucoup de monde et moi le premier tout d'abord un terme abstrait. Au tout début de mon existence à Sei je n'avais jamais cru qu'un mec comme moi, puisse aimer. Un homme qui avait vu sous ses yeux, sa mère qui mourrait et qui avait dû tuer son père ne pouvait pas être si bien que cela. Donc en toute logique ne pouvait ressentir l'amour. Pourtant, je m'étais toujours trompé et sur plusieurs choses dont l'amour. Sur moi il avait des effets étranges, tantôt tendre tantôt fougueux. Parfois délicat et d'autres fois assez cru. J'étais fait ainsi dans un moule qui me rendait, je le pense attirant. Oui c'était une pensée, car je complexais encore et toujours sur les deux brûlures visage de temps en temps, comme par exemple à la sortie de ma douche ou en entraînement. Elles étaient mon souvenir du passé, mais aussi ma malédiction. Montrant au monde que j'avais survécu à l'enfer pour le faire subir aux autres. Ce qui n'était pas forcément le cas. Après tout je connaissais des gens à Sei et dont une poignée avait fini torturé. Oui j'étais un Bastards, oui j'aimais la violence montrer ma force et ma rage, mais je n'avais pas que cela à faire aussi. Il était vrai qu'au début de ma plus ou moins scolarité à Sei j'avais bien imposé ma façon d'être, mais plus maintenant ou en tout de façon plus mature. J'entraînais des élèves plus jeunes que moi et en partie des Bastards ou Amazons à devenir plus fort. Les Vertes comme on les appelait parfois si banalement étaient sans aucun doute celle les plus douées pour nous comprendre. Elles vivaient de la même façon que nous sauf qu'elles le vivaient au féminin. Je voyais également l'amour comme un enfermement enfin je le pensais. Même si cela était discret je me doutais que plusieurs couples subsistaient à Sei. À ce que j'avais pu en voir d'eux ils semblaient heureux et libre de leur mouvement ce qui rendait ma pensée fausse encore une fois.

Plus je regardais cette demoiselle plus un sentiment dont je ne me souciais que très peu se répandait en moi comme une onde pure. Oui cela me rendait il faut croire légèrement plus poétique que d'ordinaire, mais fallait pas non plus rêver. Je n'allais pas vous réciter du Verlaine comme un mioche de dix ans non mais oh. Bon ok, mais que seulement si on me le demandait, point barre. Je sentais nos regards se croiser plus d'une fois comme si une infime et invisible connexion entre elle et moi nous faisait agir en osmose. Je ne m'étais pas éloigné d'elle et elle ne m'avait pas repoussé. Ce qui sans faire de plan sur la comète était un point rassurant pour nous deux. Pourtant, je continuais de fixer le carrelage assez blasant de la cuisine jusqu'à ce qu'une fine et délicate main relève mon visage bourru de Bastards. C'est alors que mon regard rubis et le sien entre l'ambre et l'émeraude se croisèrent. Je sentais alors dans mon étonnement sa croupe de déesse et ses fesses à tomber se poser sur mes genoux massif. Vint ensuite ses bras qui s'entourèrent autour de mon cou. Je me retrouvais donc avec cette somptueuse créature sur moi qui m'enlaçais avec une tendresse apaisante. Je ne savais que faire jusqu'à l'entendre me dire avec une douceur sans fin et une voix suave quelque chose d'assez clair.


« Enchantée James, quant à moi, je m'appelle Alexie. N'est pas peur de faire quoi que ce soit, d'accord ? »

Je ne pus retenir un sourire charmeur sur mon visage. Elle m'invitait clairement, mais avec malice et douceur à poser mes mains sur son corps de satin. Je déposais alors avec calme ma main sur sa croupe l'autre se glissant tout doucement sous le tee-shirt que je lui avais prêté. Je ne trouvais pas que mon geste était des plus indélicats, car après tout elle venait de me dire que je ne devais pas avoir peur de faire quoi que ce soit. Je remontais alors lentement le tee-shirt et laissa ma main sur sa poitrine. Elle était parfaite cette demoiselle pas une vulgaire pouf écervelée comme j'avais dû côtoyer mainte fois à Sei. Elle était une Mermaids, mais avec un caractère et une vision différente de moi. Sans doute qu'à ses yeux je sortais du lot enfin c'est ce que je pensais.

Finalement, je retirais délicatement les bras d'Alexie de mon cou et posa le tee-shirt sur le sol. Nous étions à demi nu assit, elle sur moi et nous sommes totalement seuls. Je reposais mes mains sur sa poitrine et embrassa son cou avec douceur et vint même y déposer une légère morsure. Et dans mon plus grande naturelle je lui faisais une légère tape sur son postérieur de rêve. Je me doutais qu'une belle créature comme elle qui plus est Mermaids devait avoir ses petites manies coquines alors autant essayer. Auquel cas si elle n'aimait pas je ne le referais plus. Je savais que comme moi elle n'avait rien à perdre. Pourtant, je sentais que son corps désirait le mien sinon elle ne se serait pas collée autant à moi. Je n'étais pas un rustre, mais je devinais que si elle s'était rapprochée de moi et même si elle s'était assise sur mes genoux et collé autant à moi, c'était parce que je l'intéressais. J'avais appris de mes erreurs et je m'étais changé en quelqu'un de plus adulte.

Je caressais légèrement sa peau du bout de l'index et lui demanda avec une sincérité bien à moi et sans aucune gêne.

« Tu sais Alexie tu peux aussi faire ce que tu veux hein. Après tout on est simplement collés l'un à l'autre à moitié nu et rien que tous les deux. »

Je lui avais dit cela avec un sourire charmeur en la regardant dans les yeux avec détermination. Je baissais de nouveau mon visage pour embrasser le haut de sa poitrine ma main venant frôler et caresser son séant sans jamais être brusque. Je savais moi aussi être doux comme la soie avec les femmes enfin surtout avec une belle créature comme Alexie. Elle n'était pas comme les autres. Elle laissait en moi chaque seconde un sentiment plus grand de ne pas vouloir quitter cette cuisine. J'y étais simplement venu pour y rester au maximum un bon, 30 minutes tout en prenant mon temps pour manger. Pour elle j'aurais pu y rester des années et je ne déconnais pas. Je ne savais pas depuis combien de temps nous étions dans cette cuisine et je m'en fichais. J'étais avec une sublime demoiselle sur les genoux. Je risquais alors un geste qui avait deux réactions ensuite, soit qu'elle se lève et qu'elle parte soit qu'elle l'intensifie. Pourtant, avant cela, je lui dis avec sincérité.

« Tu sais Alexie on ne se connait pas depuis longtemps mais sérieusement tu me fais ne pas vouloir quitter la cuisine. Je ne sais pas où ça va nous amener tous les deux, mais je veux bien prendre le risque. J'ai le cœur en miette et je n'ai rien à perdre, on m'a pris mon honneur de Bastards, ma dignité alors autant vivre ma vie du mieux que je peux. Après peut être que ma vie croise la tienne exprès, on m'a toujours dit que rien n'était par hasard. En tout cas je vais me permettre quelque chose, suivant ta réponse je saurais si mon chemin suit encore le tien ou s'en éloigne »

J'étais d'un sérieux très étonnant et bientôt mes lèvres se déposèrent sur celle d'Alexie. Non pas avec une rage et une brutalité qui me caractérisait si bien en tant que Bastards, non plutôt avec de la douceur et du calme. Je l'embrassais donc avec douceur en la serrant dans mes bras viril avec affection pour essayer du mieux que j'en étais capable de rendre le baiser plus romantique. Je n'étais pas le roi du romantisme mais j'essayais de l'être avec elle. Quittant ses lèvres je la regardais d'un air penaud ne voulant sincèrement pas la voir partir et je lui demandais d'une voix aussi peu rassuré que mon visage.

« Voilà Alexie...c'est à toi de décider si tu préfères rester ici ou laisser le pauvre naze de Bastards en caleçon alone dans la cuisine... »

En cet instant je n'étais pas l'étalon sauvage qui avait écumé les bars et violait à tour de bras au début de ma venue sur Sei. Ni la brute sans scrupule qui pouvait vous briser en miette en moins de deux. Non j'étais James Thundereagle, un oiseau perdu face à une belle colombe pendant une soirée fraiche et imprévisible.


Pour toi ma rousse ♥ © Failara
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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeLun 16 Sep - 0:09
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Tumblr_mt5l77OVLS1shfy4zo1_500

« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]



« Le baiser est la plus sûre façon de se taire en disant tout. »


    L’amour, un sentiment étrange. C’est la joie d’être accompagnée de l’idée d’une cause extérieure. La personne qui aime s’efforce nécessairement de se rendre présent, et de conserver la « chose » qu’elle aime. L’amour « humain », était, par le passé, seulement accordé aux divinités. Mais avant, l’amour désignait seulement le plaisir corporel, le péché, et de concupiscence. Mais l’amour a été davantage exploité dans la littérature, et plus tard, cinématographiquement. « Vivre d’amour et d’eau fraiche », ou encore, « Peace & Love » signifient un idéal, le plaisir de la non-violence, de la séduction, de l’érotisme, et des divertissements sexuels. L’amour représente un sentiment fort, et positif, on l’oppose généralement à la haine, la neutralité, ou bien encore l’apathie. Quand il est ressenti avec une grande intensité et qu'il exerce un fort pouvoir érotique (ou une attirance sexuelle), on parle d'amour « passionnel » ou de « passion amoureuse », utilisant souvent l'image de la flamme ou de la brûlure pour décrire l'effet qu'il exerce sur les sens et l'esprit. Quand cette passion provoque une identification si étroite avec une personne qu'elle tend à unifier les deux amants, on parle d'amour « fusionnel ». L'apparition plus ou moins subite de l'amour passionnel est décrite dans la langue courante comme un dessaisissement (« tomber amoureux », « coup de foudre »), provoquant chez celui qui l'éprouve des comportements destinés à séduire l'être aimé et visant à obtenir la réciprocité de cet amour, qui s'exprimera le cas échéant par des actions et des gestes amoureux – parmi lesquels les caresses, les baisers et les rapports sexuels, ces derniers étant désignés dans plusieurs langues par l'expression « faire l'amour ». Après il y a différents types d’amour, mais je ne vais pas épiloguer. Je pensais à tout ça, à cet instant précis, puisque c’est ce que je pensais ressentir pour cet homme, pour James. Il paraît également, que ce sont les parents qui guident nos relations amoureuses, au fur et à mesure de notre éducation. Je suppose que c’est pour cela que je n’ai jamais pris ça, réellement, au sérieux. Sachant que je n’ai pas vraiment eu de présence, autant paternel que maternel. J’ai dû me forger mon caractère moi-même, ainsi qu’apprendre à vivre.

    J’avais appris l’art de la séduction. Puisque, comme nous le savons tous, nous vivons dans une société où tout n’est que séduction ou force. Je suis une fille très menu, donc la force ce n’était pas pour moi, mais la séduction était bien plus intéressante. C’est ainsi que nous montons en grade. C’est un jeu, et dans mon âme d’enfant, c’était plus facile que je ne le pensais. Le but le plus simple de la séduction consiste à obtenir un avantage de la part de la personne séduite, par exemple des rapports sexuels, des cadeaux ou de l'argent (lorsqu'elle est effectuée de mauvaise foi et pour abuser de quelqu'un, il est question de manipulation physique ou psychologique). Mais son but peut être plus complexe et détourné : reconnaissance, estime de soi, narcissisme ou simple satisfaction du désir de vaincre. On a pour habitude de dire que les femmes sont le sexe faible. Mais seulement par leur force physique, les hommes sont mentalement plus faibles. Et je m’appuie sur des expériences personnelles. Je ne me permettrais pas de juger, sans savoir. Mais être séductrice est, je l’avoue, lassant au bout d’un moment. Se taper n’importe qui, n’importe quand, n’est pas franchement glorifiant. J’avais essayé de séduire cet homme en face de moi, mais selon ses réactions, j’avais réussi à faire bien plus. Et je ne sais pas si c’était voulu, ou bien, totalement hasardeux, mais je ressentais la même chose.

    Beaucoup trop de choses se sont passées en un instant, ça tourne trop vite je ne sais plus où donner de la tête. Je n'ai jamais reçu le mode d'emploi des sentiments et ça me fait peur, beaucoup trop peur. J'aurais aimé que cette peur n'existe pas, que le monde ne soit pas rempli de peur constamment. Foncé dans un mur sans avoir à se dire qu'il y a un risque, qu'on ne laissera aucune blessure, qu'on n'aura pas mal et qu'on ira de l'avant sans n'avoir rien espéré ou attendu. Tu m'as fait perdre la tête, tu me chamboules toi et ton sourire dévastateur. Tu as fait dérailler mon chemin et je ne sais même plus comment le remettre droit après ton passage. Je crois que je n'ai jamais eu peur de toute ma vie, j'ai peur de détruire le semblant de bonheur que je tiens entre mes mains. Je pensais que le coup de foudre n’existait que dans les films, mais tu m’as prouvé l’inverse. Je ne voulais pas m’attacher, je ne voulais pas dépendre de qui que ce soit, mais il est trop tard.

    J’avais de nouveau pu entrevoir se sourire dévastateur sur son visage, qui faisait soudainement accélérer mon petit cœur. Je désirais sentir ses doigts sur mon corps limpide. Mais pas comme les autres, pas une simple partie de jambe en l’air. Non, je voulais bien plus. Un léger sourire se dessinait sur mes lèvres roses, enfin, il se lâchait. Rien ne pouvait me faire plus plaisir. Un léger soupiré s’échappaient de mes lèvres, en sentant cette délicatesse. Je m’offrais à lui, sans aucune hésitation. Le T-shirt qu’il m’avait donné par galanterie, se retrouvait maintenant au sol. Tandis que peu à peu, nos corps se réchauffaient. Le temps s’était arrêté, nous étions seuls, dans cette immense cuisine. Cette morsure qu’il m’infligea avec malice me rendait toute chose. J’adorais ce genre de chose, de nature masochiste. Et il semblait l’avoir bien vite compris lorsque je reçois une petite tape sur les fesses. Je me mordillais la lèvre inférieure avec désir. Le moindre de ses gestes me faisait frissonner, et me donnait d'avantage envie de lui. À ses paroles, je ne put m’empêcher de sourire, comme seule et unique réponse.

    Avant que j’eus le temps de faire le moindre soupir, il me parlait de nouveau. Je l’écoutais avec attention, la moindre de ses paroles me faisait voyager. Mon cœur battait à la chamade. C’est alors qu’avec une tendresse infinie, je sentais ses lèvres se déposer sur les miennes. Nous étions liés de la manière la plus tendre qui soit. Nos deux souffles se mêlaient dans ce geste tendre et passionné. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Dans lequel on atteint ce qu'il y a de plus intime chez l'autre. Je me blottissais contre lui, ne désirant plus jamais le lâcher. J’avais son torse viril contre ma poitrine, mes bras autour de son cou. Mes yeux étaient clos durant cet instant magique. C’est alors qu’il cessa le baiser pour me compter quelques mots. C’est alors qu’avec un large sourire, je pris ses lèvres en otage en guise de réponse. Me frayant un chemin, pour caresser avec passion, sa langue de la mienne. Pendant quelques instants, je ne quittais pas ses lèvres, je ne voulais pas les quitter. Mais par manque de souffle, j’y fus contrainte.

    Je le regardais d’un air coquin. C’est alors que je décidais de descendre un peu plus bas, et d’enlever avec douceur son jean. Le mettant alors au sol, avec son T-shirt. Puis, avec un peu d’hésitation, j’enlevais la dernière couche de tissu qui masquait l’objet de plaisir charnel. Je lui jetais un dernier regard, avant de prendre les devants. Je le tenais de ma main droite, et peu à peu j’approchais mes lèvres. Qui s’entourait autour de son membre. C’est alors, qu’avec délicatesse, je flattais son entre jambes. J’espérais que ça lui plaise, pourtant, je ne m’étais jamais posé cette question. Mais à ses côtés, je m’en posais beaucoup trop. Si je n’étais peut-être pas un peu trop rapide avec lui . Peut-être qu’il ne voulait pas que je prenne les devants . J’espérais une réponse positive à cette caresse. Je voulais lui procurer tout le plaisir que je pouvais, autant que l’amour que je portais pour lui.




eden

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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeDim 22 Sep - 23:09

Cette passion, limite de la folie pour sa Alexie.




▬ play it
Mon corps tout entier bouillonnait d'un magma incandescent emplit d'amour. Oui voilà d'amour et je ne pouvais le cacher. Je me sentais chose, à la fois fort comme un roc, imperturbable et à la fois gêné et envoûté. Cette fille devenait de plus en plus indispensable au fil des secondes et minutes à ses côtés. Je ne portais même pas mon regard de rubis sur l'horloge, car je n'avais que faire du temps, avec elle c'était un moment intemporel. Je sentais sa peau si délicate sous les doigts qui avaient subi tant d'effort. C'était comme si la brutalité, la rage et l'étalon sauvage avaient fait la rencontre de la tendresse, de la finesse et d'une si belle rousse. J'étais subjugué par son regard, j'étais lié à elle, comme on se lit peu souvent. Je n'avais pas envie de faire mon beau ni de montrer ma fougue bestiale. Non je voulais simplement lui apporter en retour autant de passion qu'elle m'offrait en retour. Par ce baiser à la fois tendre et hésitant je lui avais clairement montré la situation. Situation qui a mon étonnement devint encore plus intense. Je ne pouvais rien prévoir du tout avec cette femme et c'était justement le piment de la chose. Je ne pouvais ni deviner ce qu'elle allait faire, ni elle, savoir ce que je pense. Or cela nous arrangeait tout autant tous les deux.

J'étais un des mâles dit alpha chez les Bastards. J'imposais bien souvent mon caractère, mon état d'esprit et mon avis sur bien des sujets. Quand bien même il ne me concernait pas je rajoutais mon grain de sel coute que coute. Oui j'étais et serais toujours un mec des plus bornés. J'étais une tête de mule qui préférait faire ce qu'il pense que réfléchir. Alors que pourtant c'était quand justement je me questionnais, m'interrogeais ou réfléchissait longuement que les meilleures idées et initiatives se présentaient. Je ne le faisais pas exprès croyez-moi, j'avais simplement passé les trois quarts de ma jeunesse à foncer sans cogiter. Il fallait pourtant que cela change. Je ne me forçais pas à réfléchir, car après tout cela faisait des choses bénéfiques. J'étais une brute épaisse, un membre des Bastards comme pas deux, mais j'avais aussi ma part d'humanité. Vous savez, cette part de vous qui, même quand vous êtes à bout, quand la colère monte, vous empêche de lever la main sur les gens qui vous sont chers. Depuis que ce baiser avait fait communiquer mon coeur et celui d'Alexie, cette rousse faisait partie de ces gens-là. Elle était même plus, elle était celle avec qui je voulais partager mon existence. Je savais que même dans les pires moments où tout va mal, elle sera ce rayon de soleil dans l'obscurité qui m'attaquait. Je l'aimais cette fille, j'aimais Alexie et je comptais lui dire avec passion.

Je devais avouer que la situation actuelle n'avait pas été sous mon contrôle, mais bien le sien. C'était elle qui avait décidé de me dévêtir aussi simplement que le vent fait voler une feuille. Elle me flattait avec douceur en me regardant de temps en temps pour savoir si justement cela était plaisant pour moi. Effectivement pour l'être ça l'était. Je me mordillais la lèvre sans dire un mot dans une respiration rauque et saccadée. Je la laissai faire puis immisçait mon membre un peu plus entre ses lèvres fines et délicate en caressant sa chevelure de feu. J'étais un mec brutal, comme pas deux, mais là je ne faisais pas le malin je prenais simplement et totalement l'extase du moment. Elle était différente comme les gestes qu'elle faisait. J'avais vu et revu des demoiselles dans Sei avec qui au début de mon existence là-bas avait été des partenaires récurrentes. Alexie me prouvait à moi James Thundereagle qu'une partenaire se choisit bien et surtout qu'elle doit partager votre amour. Après un léger moment je ne pus me retenir. Bientôt mes bras musclé prirent la belle Alexie par les hanches et la recolla sur moi au-dessus de ma virilité. Sans tarder je lui retirais alors sa légère tenue et mes lèvres ainsi que mes doigts firent le reste.

Je parcourais alors avec délicatesse les courbes de ses flancs, suivant les formes de ses hanches du bout de l'index. Je continuais en agrippant plus sauvagement ses cuisses et ses fesses. Pendant ce temps mes lèvres embrassèrent les siennes puis les mordillèrent. Je descendis aussi lentement que possible vers son cou sur lequel mes dents se refermèrent légèrement. Puis, je continuais ma descende avec calme et j'arrivais bientôt à ses deux douces vallées. Ma bouche les flatta de nombreuses fois par de tendres baisers avant de caresser de ma langue leur extrémité. Je la désirais cette femme, bien plus que mon corps ne saches le supporter. Pourtant, j'arrivais aisément à retenir une bonne partie pour elle. Je ne voulais plus être une bête sauvage qui se jette sur les femmes comme un vulgaire carnassier sur sa proie. Non, je voulais offrir à ce divin corps qui était le sien tout l'amour que je voulais l'offrir qu'à elle. Si bien que mes caresses se poursuivirent encore et encore sans relâche. Mes mains calleuses remontèrent le long de son ventre en la chatouillant et en la faisant frissonner légèrement. Ils arrivaient bientôt à sa douce poitrine que je caressais de mes doigts meurtris avec tendresse. Elle était une oeuvre d'art contre moi, un chef-d'oeuvre que je ne pouvais qu'admirer encore plus étant donné qu'elle était mienne.

Mon corps, mais surtout mon envie de partager avec elle un moment unique dans ce lieu et mon coeur battant la chamade me rendait bouillant comme le feu. Je voulais cette femme. Oui Alexie je te voulais de chaque parcelle de mon corps et bientôt sans me retenir je lui avoue mon envie.


« Alexie, toi douce Alexie je te veux... Je ne te veux pas comme si nous étions un coup d'un soir, non. Je ne te veux pas pour que nous baisions comme dit vulgairement. Non, je veux partager avec toi un moment charnel rien qu'à nous. Quelque chose d'aussi intense que la passion qui nous animent, mais seulement si tu le veux aussi...Je ...rhô puis zut... Je t'aime Alexie. Tu m'envoûtes m'attire et me passionne comme personne, j'espère que cela est réciproque... »

Après m'être tus, je ne pu m'empêcher de reprendre toutes mes caresses sur son corps dont j'étais accro en frottant nos bassins respectifs l'un contre l'autre, mes morsures reprenant sur son cou avec fougue. Je la collais contre moi, la preuve même que j'étais un homme aux portes de son jardin secret. La suite des évènements me dirait si oui ou non je méritais d'être dans ce dit jardin secret et surtout si je méritais de faire partie de sa vie comme d'être dans son lit. Pour être son oreiller, son oreille quand elle va mal, ses bras puissants qui la réconfortent quand elle avait froid ou peur et surtout son homme. Celui dont elle serait fière, pour qui elle pourrait frapper avec rage une éventuelle dragueuse qui n'aurait pas compris mon refus. Oui moi le grand et musclé Bastards, je voulais qu'elle me défende, qu'elle se montre farouche avec les femmes, froide avec les hommes et douce et aimante avec moi. Bizarrement j'eus un sourire en me disant qu'elle était ainsi et si elle me voulait dans sa vie elle resterait avec moi et accepterais de me tenir la main et de m'aimer si je la méritais par mes efforts.


Ce que je peux t'aimer...:$ © Failara
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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeDim 29 Sep - 23:24
[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Tumblr_msmdhzRWa91r0gva9o1_500

« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]



« L'étreinte est le plus haut langage du corps et de l'âme. »


    Je suis une mermaid. Le but d’une mermaid est de séduire, pour avoir ce qu’elle désire, ce que j’ai toujours fait depuis que j’ai des formes. Mais je savais que là, aucun retour en arrière n’allait être possible, non. J’entendais nos deux cœurs battre à l’unisson, je savais que je voulais rester le plus longtemps possible dans les bras de cet homme. Je ne dis pas pour toute la vie, parce qu’on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve. Cet homme était un voleur, il avait volé mon cœur pour en faire le sien. Sans que je ne put m’en rendre compte, un lien invisible nous unissait. Maintenant, je n’aurais plus le droit de séduire autrui, et je n’en ressentirai plus le besoin. La science à raison, l’on dit que les deux opposés s’attirent, sachant que lui est un bastard et moi une mermaid. Le moindre de ses mots, ou de ses gestes, me rendait dans un tel état, si bien que je pouvais me briser en un million de morceaux. Cela faisait quelque minute seulement, et j’avais l’impression que c’était une éternité. Les aiguilles de l’horloge s’étaient figées, je ne voyais plus le temps passer. J’étais une poupée de porcelaine, dans des bras qui semblaient être ceux d’un tortionnaire, alors qu’au final, il était doux comme un agneau. C’était la première fois que je ressentais un sentiment aussi fort, capable de vous dévaster en quelques secondes. Je me sentais faible, fragile, mais c’était un mal pour un bien. Je voulais que l’on soit comme Bonnie & Clyde, Tom & Jerry, Robin & Batman, je voulais qu’il soit indispensable pour moi. Me lever le matin, et le voir, que ce soit mon oxygène, ma raison de vivre.

    Lorsque je l’ai vu, je m’étais seulement dit que je ne dormirai pas seule ce soir, et maintenant, je veux beaucoup plus. C’est étonnant comme une rencontre peut changer votre vie, n’est-ce pas ? Comment quelqu’un peu nous faire changer notre vision des choses. Était-ce par pur hasard que tous deux nous nous sommes rencontré ? Je ne sais pas, en tout cas, c’est un heureux hasard. C’est marrant lorsque nous ne pouvons rien prévoir, de ne pas réciter juste un texte, et de pouvoir improviser. Ce baiser m’avait montré ce que je n’étais pas capable de voir. Que l’amour pouvait être beau, que le coup de foudre existait vraiment, ce n’était pas un mythe. Je le voulais ce bastard, et pour moi et moi seule. Je ne le partagerai sous aucun prétexte, et bien que je sois une mermaid, je torturais celle qui ose le toucher. J’avoue que je suis quelqu’un de nature jalouse, mais cela prouve bien que je tiens à lui. Que je ne voulais pas le perdre, même si une pétasse venait foutre son grain de sel là-dedans. On s’était séduit dès le premier regard, mais ce n’était pas seulement un jeu de séduction entre lui et moi, non, c’était beaucoup plus. Quelque chose de bien plus intense, et bien plus passionné.

    Je désirais lui procurer le plus de plaisir possible. Non pas seulement lui faire juste une fellation, mais lui montrer toute l’importance que je lui accordais. Quel homme n’aime pas ce genre de choses ? Je flattais alors son membre durci avec passion, et tendresse. Glissant le bout de ma langue le long de sa virilité, pour ensuite le rentrer entièrement en bouche. Ce qui me rendit vraiment heureuse, c’était de voir que cela lui plaisait. Quel soulagement. C’est alors que je continuais avec plus de fougue, petit à petit, le désire s’accumulait en moi, je voulais que l’on ne fasse plus qu’un. J’avais envie que l’on fasse l’amour dans ce réfectoire vide. Je sentais son membre rentrer davantage dans ma bouche, je le laissais faire avec plaisir. De nombreux pénis étaient déjà passé entre mes lèvres, mais c’est bien la première que je pris un grand plaisir à le faire. C’est vrai qu’avec de l’amour, tout notre quotidien bascule, et devient soudainement plus enchanté. Je n’avais jamais pu voir le bonheur d’aussi prêt, il suffisait juste que je tende la main, pour pouvoir le toucher. Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents. C'est un état normal, lié au mécanisme du désir et de la pulsion, que nous devons apprendre à satisfaire dans les contraintes imposées par la vie en société. Le bonheur est la satisfaction de toutes nos inclinations. … évidemment ce programme est irréalisable ! Mais le bonheur ne demande en réalité que de satisfaire nos besoins, c'est-à-dire nos seuls désirs naturels et nécessaires. Mais est-ce que l’amour est nécessaire ? Je pense que cela dépend des personnes, mais l’amour nous fait ressentir des choses que l’on ne peut pas contrôler. Tout dépend des points de vue, mais je trouve que d’avoir besoin de quelqu’un est important à la mise en place du bonheur.

    Je sentais toute sa chaleur s’infiltrer en moi, ses bras puissants entouraient mon corps menu. Je me retrouvais alors, en quelques instants, j’étais nue comme un ver. Mon corps était maintenant à la vue de tous, surtout à celle de James. Je sentais toute cette fougue qui s’émanait de lui, chacune de ses caresses me faisait frissonner de toutes parts. Ses lèvres se lièrent aux miennes, profitant d’un moment si intime. Je prenais un plaisir fou à tout ce qu’il me faisait. Je ne savais pas qu’il était possible qu’un homme me fasse autant de bien sans me pénétrer. Ses lèvres venaient saluer les formes qui faisaient de moi une femme, sa langue les titillait. Je ne pus pas masquer des soupirs d’aises qui fuyaient mes lèvres. Mes bras entouraient son cou, caressant quelques-unes de ses mèches blanchâtres avec envie. Plus les secondes passaient, moins je pouvais retenir mon envie pour cet homme. Je voulais que l’on fasse l’amour, isolé dans ce réfectoire. Ne faire plus qu’un avec lui, avec son corps, comme avec son âme. Cet homme était remarquablement bien battit, et doté d’une douceur inouïe. Et maintenant, j’avais la chance de l’avoir rien que pour moi. Le réfectoire pourtant si froid normalement, était devenu bouillant. Nos deux corps réchauffaient cette pièce morbide. J’attendais avec impatience qu’il ne puisse plus me résister, qu’il ait envie de moi, tout comme j’avais envie de lui, qu’il me désire autant que je le désirais. Je n’eus même pas eu le temps de m’impatienter, que sa voix grave répondait clairement à mes envies.

    Je ne pus m’empêcher de rougir en entendant ses douces paroles. Mes yeux scintillaient de bonheur. Il savait faire craquer les filles lui, enfin, j’espère que ce n’était pas juste un texte apprit et répété. Mais je n’avais pas besoin de me poser la question, il était sincère, ça se lisait clairement sur son magnifique visage. Il reprit ses diverses caresses qui me rendaient dingue de lui, chacune de ses morsures m’excitait davantage, sachant que je suis masochiste sur les bords, et il semblait l’avoir compris par des petits bruits indécents qui s’échappaient de mes lèvres. Mais puisque je ne suis pas de nature à faire de long discours, c’est alors que je pris de nouveau ses lèvres en otage. Pour lui prouver tout l’amour, et tout le désir que j’avais pour lui. Son membre durci se frottait contre mon intimité, j’étais folle de désir pour lui. Son corps viril contre le mien. Je ne puis résister davantage, empoignant avec tendresse sa virilité pour l’immiscer en moi avec passion. Nos deux corps étaient maintenant unis, pour notre plaisir. Je ne pus retenir un long soupir d’aise en sentant l’homme que j’aimais en moi. J’entourais mes bras autour de sa nuque, commençant à bouger timidement mon bassin. Je plongeais mon regard empli d’amour dans le sien, pour ensuite venir mordiller fougueusement son lobe. Les portes du paradis s’ouvraient à moi, grâce à cet homme, ce James, qui m’avait retourné la tête.




eden

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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeSam 5 Oct - 2:44

Quand la passion vit, un geste, un acte suffit.




▬ play it
La fougue de l'amour entre elle et moi nous dévorait comme un feu impitoyable, mais je m'en fichais. Elle était devenue une drogue, une dépendance, l'oxygène de mes poumons et le sang de mes veines. Ma vie sans elle revenait à errer sans savoir ni pourquoi ni comment. Je n'avais pas le profil de l'homme idéal ni par ma façon d'être, ni mon comportement et encore moins par mes réactions. Sans elle je savais que je me sentirais comme bouffé de l'intérieur jusqu'au dernier souffle qui emporterait ma vil carcasse, ni plus ni moins. Le pire dans tout cela c'est que c'est ainsi que je me voyais. Un égoïste de première, dont la vie n'avait jamais été ni plus ni moins qu'être une déception ambulante. Je ne comptais plus le nombre de fois où je m'étais dit que la perte de mes parents était entièrement ma faute. Si j'avais été parfait ils seraient sans doute encore en vie. Pourtant, ce n'était plus le cas j'étais simplement là, moi, James Thundereagle avec une femme que je ne pensais pas mériter, mais qui pourtant régnait dans mon corps comme personne. Alexis C. Peter... une femme si aimante si envoutante que je ne voulais même pas me débattre même pas nier que j'en étais totalement accro.

Elle se trouvait sur mes genoux de nouveau à cause de ma folle envie de rendre aussi délicatement la passion et les flatteries qu'elle m'avait offertes. Je tenais son corps de reine, de muse, de déesse dans mes bras. Je me sentais comme un vulgaire insecte face à la plus grande des merveilles. Mes doigts passèrent plusieurs fois dans sa chevelure rousse si incandescente que j'en étais fasciné. J'étais fasciné par elle, de son tempérament à sa beauté en passant par sa passion et sa façon de parler. Rien n'était comparable rien, tout était différent en mieux. Pourtant, je ne voulais pas être seul à profiter et surtout à aimer cela. Nous étions deux et c'était surtout à elle de vivre ce que je lui offrais, elle passait avant moi-même. Après tout elle m'avait tapé dans l’œil accepté mon caractère et ce que j'étais sans un mot alors que je n'étais pas parfait. Sauf à ses yeux. Des yeux qui instillaient tant d'amour dans le cœur qu'il en avait un peu de mal mine de rien. Je vivais un amour vorace puissant, mais si intense. Je voulais vivre ses joies comme ses peurs, comprendre ses douleurs comme ses bonheurs. Je voulais vivre pour elle et avec elle. Elle méritait bien que je sacrifie ma fierté quand bien même j'en aurais eu un rien que pour qu'elle soit heureuse. Je n'étais pas le roi des discours ni doué pour exprimer ce que je voulais dire. J'étais quelqu'un de physique en amour. J'avais besoin d'embrasser, de frôler et d'enlacer pour exprimer ce que je voulais avec elle. Ce qu'elle voulait, serait ce que je voulais aussi, c'était aussi simple que cela. J'avouais même en tant que Bastards qu'elle aurait pu me traiter comme du poisson pourri que cela ne m'aurait pas empêché de l'aimer. J'aurais pu subir son courroux, recevoir mille et un surnoms méchant dû à ma connerie que cela ne m'aurait pas empêché de vouloir la voir. Je l'aimais cette femme, cette muse, cette rousse comme pas deux. Pourtant, j'avais peur, peur de ruiner sa vie comme j'avais toujours fait. Je pensais que faire entrer quelqu'un dans ma vie c'était la condamner. Or je ne voulais pas cela pour elle. Je voulais qu'elle vive, un rêve éveillé dont jamais elle ne voudrait partir. J'aurais pu m'arracher le cœur sans hésitation sur sa demande. Ma plus grande addiction était maintenant Alexie et rien ni personne n'égalerait cela.

Nos corps se frôlait l'un, l'autre en faisant bouillir notre envie mutuellement de ne plus faire qu'un. Et ce fut elle qui ne put plus contenir cette si grande envie. Bientôt je me retrouvais en elle. Dans la plus belle rousse que je pouvais avoir vu dans ma vie. Il est vrai que je n'avais jamais abordé une rousse, mais après tout, qui n'essayait pas ne pouvait savoir et je voulais faire plus qu'essayer je voulais être le sien. Ma peine pour une autre m'avait fendu le cœur comme si cela avait été fait avec une lame tranchante et assassine. Elle m'avait recousue ce dit cœur pour qu'il batte plus fort encore. Ma cage thoracique avait du mal à contenir cette passion dont elle m'animait. Je posais alors mes mains massives sur sa peau si douce et si divine et commençait à lui offrir ma fouge pour elle. Je sentais ses petites morsures sur moi, je sentais l'envie partagée entre elle et moi se mélanger pour ne former qu'un acte charnel, fusionnel et éternel. Même ainsi j'avais peur de perdre une perle si rare. Une femme si unique. Il n'y avait pas deux Alexie dans ce bas monde comme elle. Pas une aussi belle, aussi vivante, aussi aimante et qui me rendait si docile. Je me disais que cela aurait pu être un tort, mais pourtant non. C'était mon envie d'être docile avec elle d'être plus doux. J'agissais non pas en me forçant, mais avec amour. Je voulais son bonheur, qu'elle partage sa vie si elle acceptait avec moi. Sentir ce contraste entre la brute albinos que j'étais et la fougue rousse qu'elle était. Je tenais fermement ses hanches en lui donnant toute la fougue que mon corps pouvait lui offrir dans ce réfectoire. La rencontre, mais aussi l'amour et la passion avait rendu le lieu aussi chaleureux et accueillant que possible. Il n'y avait pas un bruit simplement nos gémissements, nos souffles dans le cou de l'autre et nos corps si bien l'un contre l'autre. Je pouvais avouer que mêle dans la plus grande douleur je n'aurais jamais pu lui refuser cette preuve d'amour, jamais. Malade, blessé ou même triste je m'en fichais c'était avant tout pour elle et ensuite pour moi.

J'aurais voulu, a cet instant, voyager dans des lieux mythiques, fascinant ou simplement féérique pour lui offrir chaque parcelle de mon corps diligent sans relâche. Je voulais m'envoler avec elle sur un lieu qui n'appartiendrait qu'à elle et moi. Un lieu qui serait un paradis sans personne d'autres que nous. Cela pouvait bien me couter de nombreuses choses je me fichais du prix de ce sacrifice je voulais Alexie et cela pour toujours. J'aurais mordu la poussière pour elle et même laissé de côté ma dignité. Cela pourra vous étonner, mais sans elle je n'étais, bon à rien du tout. Je 'étais ni drôle ni attachant et encore moins fréquentable selon moi. Pourtant, elle avait trouvé chez moi des choses qui lui avaient plu et j'espérais du plus profond de mon coeur que je ne la perdrais jamais... je ne savais pas quoi faire sans elle...ni mon moral ni ma vie n'aurait de sens...car je voulais offrir ma vie pour son bonheur. Chaque seconde de ma vie, 3 mots étaient dans ma tête » Je t'aime Alexie. J'aurais voulu la remercier de me vouloir à ses cotes de me supporter et même de ne pas vouloir de quelqu'un d'autre que moi... et si par ma passion j'arrivais à lui offrir ce remerciement d'être la femme parfaite à mes yeux alors je lui donnerais chaque coup de reins , souffle et parcelle de mon amour jusqu'à tomber de fatigue. Cela valait le coup, cela valait toujours le coup avec Alexie.


For you my love...♥© Failara
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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeLun 28 Oct - 5:41
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« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.]



« Le coeur gouverne la raison. »


    Je n'ai jamais pu voir de beauté intérieure chez les hommes. Ce ne sont que des vils hypocrites, des beaux parleurs qui n'ont rien dans le pantalon. Ils m'ont apporté plus de souffrance que de bonheur, mais je ne semble toujours pas avoir comprise la règle. Je me fais toujours avoir par ce sentiment que l'on nomme l'amour, il paraît si beau, mais au final on finit toujours par chuter. J'ai un caractère en béton, mais un cœur bien trop sensible. C'est pour cela que je n'ai pas pu m'empêcher de m'éprendre pour cet homme. Un bastard qui plus est, la pire des races. J'ai malheureusement eu toujours un faible pour les bad boys, sinon, je ne les considères même pas comme des hommes, mais plutôt comme un raté. Pourquoi mon cœur s'est-il emballé en le voyant ? Je ne le connais même pas. Je ne sais pas encore si c'est une bonne chose, mais pour une fois, je vais l'espérer. Qui ne tente rien n'ont rien comme on dit.

    Mon corps était uni au sien. Je ne pouvais plus m'enfuir, je ne voulais pas m'enfuir. Son corps faisait le double du mien, et s'il le souhaitait, pouvait me briser en mille morceaux. J'étais devenu sa marionnette, il m'avait rendu docile. L'amour combattait mes pensées rationnelles, ne désirant pas les laisser briser cet instant magique. Mes ongles vernis glissaient le long de sa peau blanchâtre s'y enfonçant avec fougue. Des bruits inconvenants s'échappaient de mes lèvres laquées de rouge. Incarnant ainsi le plaisir que m'offrait cet homme. Mes phalanges remontaient lentement pour venir caresser sa chevelure extraordinaire avec douceur. Mes lèvres quant à elles, venaient mordiller son lobe avec passion. J'ai toujours baigné dans la luxure, mais ce n'était pas un simple acte charnel comme un autre, mais bien plus, cela venait du cœur. James avait réussi à mettre le doute en moi, mais aussi un bonheur inconditionnel. Je souhaitais rester ainsi à jamais, que l'horloge s'arrête et ne redémarre jamais. Sentir ses bras protecteurs autour de moi, sentir sa fougue en moi, je ne voulais pas m'en séparer. Je veux encore rêver. Il me permettait de respirer, de me sentir vivre après tout ce temps où je n'ai faits que me prostituer gratuitement. Je ne pensais pas que le sexe changeait autant lorsque l'on a des sentiments, maintenant je le sais et c'est juste fantastique.

    Sentir sa peau contre la mienne m'affamait, j'aspirais à plus, beaucoup plus. Mon corps tout entier brûlait pour lui, j'étais telle une sorcière au bûcher, je l'avais ensorcelé, comme il l'avait fait pour moi. J'étais pourtant glacée il y a quelques instants, mais il avait su me réchauffer comme il le fallait. Son membre durci était dans mon jardin secret, et j'espérais qu'il y reste. J'espérais être à la hauteur de ses attentes, qu'il se souvienne de cette nuit endiablée chaque jour de son existence. Mon corps tambourinait si fort que j'avais l'impression qu'il allait se briser, mais bien au contraire, il était devenu plus fort. Pour pouvoir l'aimer davantage. Ses mains agrippaient mes hanches pour pouvoir me donner tout le plaisir qu'il se doit. Mes hanches bougeaient instinctivement pour lui offrir tout le plaisir que je lui devais. Chacun de ses coups de reins me mettait en extase, je prenais clairement mon pied, et j'espérais qu'il le prenne aussi. Dans ce réfectoire l'on entendait mes gémissements, nos soupirs, et nos corps en adéquation.

    Il me faisait voyager, comme dans un rêve éveillé. Pourtant, nous étions toujours au même endroit, mais j'avais l'impression de visiter le monde entier. Je m'envolais dans ses bras, découvrant le pays imaginaire. Bien que ce soit bien réel, nos deux coeurs liés tout comme nos deux corps. Nous étions seules dans notre idylle. Je le serrais davantage contre moi pour coller ma poitrine contre son torse. Nos deux coeurs battaient en harmonie. Mes lèvres venaient capturer les siennes, le lui mordillant légèrement, y mêlant avec fougue et désir ma langue pour caresser la sienne. Étouffant alors mes gémissements prouvant le plaisir qu'il me procurait. Mes hanches bougèrent de plus en plus vite, mes ongles griffaient de plus en plus sa peau. Je t'aime, James.




eden

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[H]« Man, vas me faire à mangé. » [PV : James Thundereagle.] A archiver. :'3 Icon_minitimeSam 2 Nov - 2:31

L'union de deux êtres au paradis.




▬ play it
Nos corps ne cessaient pas ce ballet intense, divin et fougueux dans ce lieu si glacial. Nous avions changé l'atmosphère, mais aussi la raison de notre venue. Ainsi l'appétit de nourriture avait laissé place à celui de l'acte charnel. Nous ne voulions plus nous quitter, plus partir du réfectoire. J'étais si bien en elle, si bien pour lui donner toute cette passion qui bouillonnait en moins comme du magma. Je voulais que cette soirée soit gravée dans sa tête comme dans la mienne. Qu'elle se dises en me croisant dans les couloirs, qu'elle voudrait réitérer. Qu'elle rougisse à l'idée de recommencer. Je ne pouvais m'empêcher d'agripper son corps de rêve, d'enfouir mon visage contre sa poitrine en remontant son dos avec mes mains calleuses. J'accentuais les va et vient en elle tout en la surprenant allant doucement puis accélérant d'un coup la faisait gémir et sursauter. Je me montrais aussi fougueux, passionné et étonnant que possible. Elle voulait que cette soirée me marques autant que je voulais qu'elle ne l'oublie jamais. Nous nous voulions tous deux, nous le savions que cela recommence. Que cela ne s'arrête jamais. Ma virilité durcie en elle était une sensation qui la faisait se mordre a lèvre, me labourer le dos de ses ongles et gémir comme jamais. De mon côté seul ma voix rauque et mes soupirs d'aise laissaient entrevoir à quel point faire l'amour à cette femme, à cette sirène venue sans prévenir était quelque chose de divin, qui n'avait pas d'égal, oh que non.

Désirant que cela ne change pas, mais qu'elle reste dans un rêve et dans un grand étonnement, je la soulevais et la plaquait contre un frigo avec fougue. Elle se cogna et pendant quelque instant, je la regardais en m'inquiétant de savoir si oui ou non je lui avais fait par inadvertance mal. Pourtant, je lui dévorais de nouveau les lèvres d'un baiser plein de fougue comme pour lui montrer mon amour et à la fois m'excuser que mon enthousiasme me fasses être un peu trop bourrin. Nous étions toujours unis, j'étais toujours en elle et je reprenais alors plus bestialement ma fougue. J'entourais ma taille de ses jambes et plaquait mon visage contre sa poitrine. Je l'embrassais, léchais leur extrémité et la mordillait. Mes mains lui offraient de légère fessées et agrippait fortement ses fesses. Cette fille n'était pas qu'une simple Mermaids. Elle se nommait Alexie, m'enivrait, me passionnait et me prouvait que même sous toute cette couche de crasse, de noirceur que j'avais, se trouvait encore un cœur qui battait. J'étais si brutal que chaque va et vient la plaquait de nouveau plus fortement contre le meuble froid ce qui la faisait gémir et sursautait sur ma virilité. Sur laquelle, elle revenait directement s'empalait avec plaisir après un sursaut. Elle me dévorait des yeux comme si j'étais le plus doux met qu'elle avait pu gouter dans sa vie. Je sentais que je pouvais changer sa vie y mettre ma présence, ma force et ma virilité et que cela lui plairait. J'osais alors sans pour autant arrêter ma fougue dans sa fleur si délicate, mais aussi si brulante d'envie.


« Alexie... je t'aime tellement tu sais... Je ne suis pas un pro des discours je le sais..., mais putain de merde ce que je peux t'aimer... Je pourrais te prendre où tu veux, quand tu veux et même dans un couloir si l'envie nous prend. Rallume ma flamme, enivre moi et hante-moi si tu le veux qu'on ne puisse plus jamais se séparer... »

Je la regardais, à la fois avec charme, malice et amour. La portait, mais sortait de son jardin secret pour lui offrir bien plus encore de toute cette passion qui nous cramait de l'intérieur. Ainsi bientôt nous nous retrouvâmes tous deux à même le sol, ma masse au-dessus de la senne et la preuve que j'étais un homme de nouveau dans ce petit paradis dont elle m'avait ouvert les portes. Je sentais ses mains griffer mon dos déjà meurtrie au fil du temps, ses lèvres parcourir mon cou musclé et mordiller mon lobe. Son regard me dévorait et ses jambes me collaient encore plus contre elle. Tout cela était la preuve qu'elle me voulait au point de tomber d'épuisement après toute cette nuit. Je savais autant qu'elle que cette soirée se terminerait sans doute dans la nudité, l'épuisement et la joie. Nous avions fais cela parce que nous le voulions. Étant donné que nous étions deux âmes vagabondes, perdues et qui cherchait une nouvelle histoire, s'étaient trouvés. Nous avions décidé Alexie et moi de tenter. Nous ne savions ni ce qui allait se passer par la suite, ni pour combien de temps cela serait stable et encore moins si nous allions être assez fort pour l'autre. Pour l'heure ce qui importait le plus c'était d'exprimer de ce qui nous ressentions , l'un pour l'autre. Je ne pouvais nier que j'étais un idiot pour parler, je n'étais pas doué pour les discours. Mes mots avaient plus souvent la dureté d'un coup en plein visage que la douceur d'un baiser. Je n'y pouvais rien j'étais ainsi et Alexie allait devoir me supporter tel quel.

Nos corps continuaient l'étreinte pleine de passion à la fougue de la jeunesse amoureuse, de l'indécence dans un lieu si ordinaire. Intérieurement si j'avais assisté à cette scène de l'extérieur j'aurais été amusé. La cantine, lieu où tout le monde se rencontraient, se battaient s'amourachait ou s'engueulait était devenu un lit doué pour deux personnes dont la rencontre avait été étonnante. Deux inconnus qui finalement avaient fini nu, amoureux et unis. Chaque va et vient était ponctué de nos soupirs, de ses gémissements, d'un murmure de prénom de l'autre. Chaque fois, je sentais ses jambes me faire revenir plus brutalement en elle. Je savais qu'elle aimait ce que je lui offrais qu'elle voulait que cela se passe encore et encore. Pourtant, j'étais un homme fort, un homme virile, mais comme tout homme je ne pouvais retenir indéfiniment les petits êtres en mon membre. Lui offrant un coup de reine violent tout en grognant je viens en elle. Ma respiration était saccadée et je me rendais compte que tout en lui faisant l'amour j'avais grandement bougé. Au début de nos caresses, elle était assise sur moi à demi nue et maintenant elle m'avait en elle à même le sol à l'autre bout de la cantine. Mes yeux fixaient cette muse à qui j'avais offert ma fougue et ma passion si bien cachée. Je l'embrassais et m'adressa à elle.


« Ma Alexie j'espère que cela t'aura plu comme il faut. J'espère avoir pu satisfaire ton envie, si ce n'est pas encore le cas...rien ne nous empêche de continuer. Je suis essoufflé, mais pour toi je serais toujours d'attaque. Pour une femme si exquise, si divine lui offrir le plaisir qu'elle recherche et désire tout autant sera un privilège. Alors, mon amour si tu veux que j'arrête, enlace moi avec tendresse et si tu veux que nous continuions dans la luxure, la décadence entre soupirs et gémissements, griffe-moi le dos. »

Le Bastards fort comme un bœuf, arrogant comme le renard et qui préférait frappait que parler se trouvait au-dessus d'une reine de beauté. Une Mermaids dont les cheveux de feu m'attirait, dont les yeux m'envoûtaient et dont tout le corps me laissait dépendant d'elle. Nous étions devenus en l'espace d'une soirée d'inconnus à drogue l'un pour l'autre. J'espérais de tout mon cœur qui en avait vu des vertes et des pas mur que cette soirée puisse avoir des sœurs, qu'Alexie et moi puissions perdurer notre amour comme nous aimions le faire : dans un mélange de vice, de plaisir et de pas mal de tabou. Trois mots résonnaient ainsi dans ma tête en la regardant. Trois mots qui tapaient dans mon cœur et rendait mon rythme cardiaque encore plus fougueux. Il était devenu aussi enragé qu'un concert de métal dans ma cage thoracique. Un concert provoquait par cette femme avec qui je partageais bien plus qu'une partie de jambes en l'air. Ces mots qui résonnaient était simple, clair et à la fois intense. Ces mots étaient, Je t'aime Alexie. Je ne pouvais ni le nier, ni l'éviter. Elle m'aimait et cela était tout bonnement réciproque. Je voulais que cette soirée soit magique et qu'elle ne veuille plus jamais lâcher un Bastards bourru, peu sociable, mais qui détestait cette solitude qui l'entourait. Je voulais qu'Alexie brise cette solitude et la comble par son amour et sa présence à mes cités. Je ne pouvais nier que c'était égoïste, mais c'était ainsi. Je devinais pourtant que c'était réciproque et c'était normal. Nous voulions une vie à deux et ensemble nous avions trouvé la personne qu'il nous fallait.


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