Sei Gakuen
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle}

Invité
« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeMer 29 Aoû - 11:27

S'il y a bien quelque chose que j'ai appris en commençant à fumer, c'est que ça défonçait les poumons d'après les médecins, mais aussi que ça rapprochait les gens qui en ont besoin. Et ça, on vous le cache, car on préfère que vous soyez associable plutôt que vous soyez malade. D'un côté, c'est un peu le paradoxe de la société, nous sommes hués d'un coté mais si l'on passe de l'autre, ce sera toujours la même situation. Tout ces mots, cette mini-thèse pour dire : que la cigarette peut rapprocher des gens, quels qu'ils sont. Je le découvre encore aujourd'hui. Comme vous le savez probablement, James Thundereagle de chez les piques adore me faire des ... "farces" ... Et ce depuis un long moment. Et pour tout vous avouez, je ne me laisse pas trop faire moi, alors on a prit l'habitude de se faire des crasses de plus en plus salopes. Et c'est en partant d'une crasse à lui que j'ai ouvert les hostilités à un nouveau degré. Donc je lui ai piqué son paquet de cigarette qu'il adore tant en croyant que ça allait m'assurer une victoire. J'AVAIS UN OTAGE ! Sauf que ce joyeux luron l'a écrasé avec un grand sourire sadique genre "moi aussi je t'aime ❤" ...Comme si l'argent poussait sur les arbres, comme si les clopes étaient indestructibles, comme s'il allait les faire apparaître dans sa main en me disant tour de magie ! ... Connard, va. Tu m'as trompé, elles sont pas réapparues ! Enfin si... Mais écrabouillées après que t'es enlevé ta chaussure en gros. C'était ma seule chance d'avoir un nouveau paquet pour cette semaine ! J'ai pas l'argent pour m'en racheter un en ce moment... Et puis j'avais vraiment pas envie de bosser, pourtant c'est pas les travaux d'été qui manque ici, surtout avec autant de touristes dans les rues. Je crois même qu'ils doivent recruter en ce moment. Je ferme les yeux, assise contre mon banc. Aaah, ce paquet c'était mon idylle parfait... Crétin de James. J'ai beau repenser à toutes les tournures, à tout les scénarios possibles si j'avais pris telle décision, quelles conséquences auraient suivis et ainsi de suite ... Mais bon ça ne changeait en rien la réalité du présent : je voulais mon tabac que je n'avais pas ! C'était pour le moment, ma plus grosse priorité, ce que mon envie me guidait de chercher. Non je suis pas en manque, voyons... Pfff ! ... J'suis juste un tout petit peu désireuse. Rien qu'un tout petit peu hein ! Je soupire. Faut être honnête, j'ai besoin de ma dose pour me sentir bien. C'est pas que le tabac est devenu ma drogue, non, juste que ça m'a beaucoup aidé à combattre ma paranoïa. Et oui, il est toujours question de ma maladie, mais ça fait partie de ma vie, de moi... De Jill Great quoi ! Donc il fallait absolument que je me trouve un pigeon pour me filer ce que je voulais. Bref. Je me lève et je m'étire, replaçant avec précaution les volants de ma robe fleurie. Il est en été, alors je peux m'autoriser le port d'une robe à fleur sans que cela ne fasse retourner les passants. Enfin c'est pas qu'on risque de voir ma culotte au moindre coup de vent si je ne fais pas attention? NOOON... (MYTHO !) Enfin quoi qu'il en soit je dois absolument taxer quelqu'un... C'est une question de vie ou de mort !! Je soupire et commence à marcher dans les petits chemins de terre du parc. Il fallait aussi que je prenne l'air... Depuis ma sortie à l'hôpital, je ne rêvais que de ce moment de communion avec la nature ! Où je pourrais effleurer l'herbe de mes petites mains de naine ! (oui, j'ai tout de suite compris vous savez, vous êtes plutôt prévisibles les lecteurs ! Je suis petite, et alors ?!) Bref, d'une alliance profonde avec dame nature. Oui c'est beau ce que je dis. Enfin aujourd'hui comme la plupart des autres jours à vrai dire, la majorité des gens avait plutôt l'air d'être aller à la plage vu le temps radieux qu'il faisait et la chaleur qui pesait sur l'île ce qui faisait qu'il n'y avait vraiment pas beaucoup de monde dans ce parc. Il semblerait que la tâche allait être plus difficile que prévue. Je continue mes recherches, passe un long moment assise contre un banc à observer les passants, sans distinguer un seul fumeur. Je soupire. Cela fait au moins une bonne heure que je m'occupe à les regarder curieusement, surtout leur poches, certains doivent penser que je suis une voleuse à force ! Décidément j'ai pas de chance alors... Je commence sérieusement à désespérer quand je vois le énième couple de papi et de mamie passer... J'aurais jamais une cigarette à cette allure ! Surtout pas avec des papi et des mamis, les gens du troisième âge ne peuvent pas fumer, on leur interdit ! Rhaaa ! James... Tout ça c'est de ta faute, si t'avais pas écrasé mon -enfin le tiens techniquement- paquet j'en serais pas là à attendre une apparition du bon petit dieu pour me sauver moi et mon envie de tabac ! Et pendant que je galère à trouver une personne aimable et généreuse, qui puisse me servir comme il se doit sans rechigner, toi tu la coule douce, devant moi, à fumer tranquillement ! Hein ? Devant moi ? Fumer ? AH ! Il est devant moi en train de fumer ! Je cligne des yeux. Attends c'est une blague, il était là depuis combien de temps ! Je ne l'avais même pas remarquer le sagouin ! Je me lève, réajuste ma robe avant d'aller vers lui ! Oh toi ! Je vais te taxer le pique ! Oh oui ! Redoute mon plan machiavélique ! Ma vengeance ! MOUHAHAHAHA.... Bon ok, j'arrête c'est pas crédible. J'arrive devant lui et me met au dessus de sa tête vu qu'il semble dans les nuages. Je le regarde, l'analyse, de mes grands yeux dorés, légèrement plissés, sourcils froncés et légèrement moue vexée sur le visage. Tout ça pour bien attirer son attention bien évidemment sinon quel intérêt j'aurais à faire ça, me diriez vous ? Je pense bien mettre fait remarquer... Je continue de l'observer de la même manière pendant un moment tant qu'il n'aura pas dit un mot quant à ma présence. Je veux qu'il me demande ce que je fiche, perché au dessus de lui, à le voir fumer comme un pompier, même si je pense que la raison il l'a connais déjà sans même que je lui dise. Quand il daigne enfin m'adresser la parole -enfin "enfin" je ne sais pas combien de temps il a mit pour m'adresser un mot-, je place ma moue légèrement sur le côté comme on le ferait avec une moustache avant de soupirer et de poser mes mains sur mes hanches avec un visage plus apaisé, un peu plus souriant que d'habitude en sa compagnie. Il doit bien se douter de quelque chose maintenant, je n'agirais pas comme ça si je n'avais rien dans la tête et ça il est assez futé, même s'il tape sur tout ce qui bouge pour le deviner.

« Tu me passe une cigarette... S't'eu plaît...? »

Pour la première fois de l'histoire du monde entier et au delà... -hé oh, c'est pas rien.- Je lui dis s'il te plaît. C'était un peu comme dire tu veux être mon ami, juste pour une journée ? Je le regarde, un peu plus méfiante dorénavant. Je ne savais pas s'il allait accepter ou plutôt se foutre de moi... J'en avais aucune idée. J'espérais juste, pour être honnête qui veuille bien et qu'on fasse la paix rien qu'un après-midi. J'espère. Mais bon, vous connaissez les mecs, ils sont aussi imprévisibles que la tempête -pour le vieux jeu de mot, remerciez ma mère.-
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fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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Invité
« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeSam 1 Sep - 4:44

Aujourd'hui ni Guerre ni Paix c'est la Trève.




▬ play it
Les journées passent sans vraiment de changement à part peut-être c'te foutu temps qui s'amuse à passer de pluvieux à ensoleillé orage par-ci orage par là. Bon sang dans le genre temps merdique et versatile à Sei ça se pose là. Enfin même s'il n'y a pas qu'à Sei que ça change souvent je pense. Comme chaque jour et chaque matin une femme de nicotine et de goudron venait embrasser mes lèvres avec amertume. Et oui malgré que cela fasse pas mal d'année que je fume ce bâton de mort en brin, je savais très bien qu'il puisse être l'une des causes de ma mort, tôt ou tard. J'aurais beau être le plus force le plus robuste et le plus brutal ça n'empêcherait pas mes poumons de crever. Tel deux vieux raisins sec sous ma cage thoracique tel deux vieilles chaussettes usées par le temps et les toxines. Après avoir donc une nouvelle fois mit ce goût acide agressif et terne dans ma gorge et avoir craché un truc répugnant et noir je m'habillais. Le temps semblait ne pas vouloir faire son chieur pour une fois. Il ne faisait pas moche, mais par contre la température avait quelques peu baissée. En sortant ma tête par la fenêtre je sentais un vent pas si frais. J'étais étonné mais osef après tout je n'allais pas changer mes bonnes habitudes hein. J'enfilais donc un jean mes chaussures, un marcel et au-dessus une chemise bordeaux ouverte et comportant quelques tâches de sang. Bah quoi se battre fait parfois saigner et le sang sécher bah aller vous faire foutre pour le virer quand vous n'avez pas de lave-linge. Et non je n'ai pas la tronche du mec qui fait sa lessive souvent. La plupart du temps c'est une victime qui me le fait c'est plus pratique. Étant maintenant habillé je prenais les clefs de la chambre et commença à sortir. Ayant à peine fait un pas j'entends un crac sous ma chaussures la soulevant je vis un morceau de paquet de clope. Les souvenirs d'il y a quelques temps me revinrent assez vite.

J'avais il y a quelques jours, réduit à l'état de miette mon paquet de clope. Cela aurait pu être un acte stupide et incontrôlé, mais même pas. C'était cette mioche chiante et collante de chez les Coeurs. Jill Great plus exactement. Un mètre cinquante-six de chiantise et de talent à me faire chier. Autant vous dire que quand elle m'emmerde ce n'est pas un peu. Elle avait donc de sa petite taille si drôle voulu me piquer mon paquet de cigarette pour bien évidemment me déranger une nouvelle fois. Elle n'avait pas cessé faut dire de regarder le paquet comme si c'était le Saint Graal. Hey ce n'est qu'un putain de paquet de clope pas la septième merveille du monde ? ! Pourtant, après m'avoir à moitié grimpé dessus pour avoir le paquet, elle s'était barrée. Avoir une coeur sur les genoux n'a rien de gênant pour moi, une gamine âgée de seize ans si. La raison est qu'une coeur adulte je peux me la taper sans problème, mais pas une si jeune. J'aime les femmes le sexe, mais je ne suis ni un gars qui dépucèle les gamines ni un pédophile sortie de prison. Je ne me tape pas une gamine qui pourrait être ma soeur bordel ! Après, elle est partie cinq mètres plus loin avec mon paquet en gloussant comme un dindon j'avais dû me lever. Elle m'avait obligé à bouger mon cul de ce banc tranquille, alors j'avais agi. Ni une ni deux, en quelques enjambées je l'avais rejoint et reprit le paquet. Elle s'était alors mis à gueuler dans tous les sens. Alors, pour la faire taire définitivement, j'avais écrabouillé le paquet sans aucune difficulté. Après tous les clopes dans ce paquet étaient des vieilles roulées et en plus j'avais d'autre paquet de clope dans la chambre. Donc les réduire en miette en fait j'en avais rien à foutre.

Je devinais pertinemment que depuis cet événement la gamine m'en voulait un peu, mais après tout c'était mes affaires donc j'en faisais ce que je voulais non ? Je sortais du couloir en provoquant quelques élèves Joker et en castrant littéralement un Carreau voulant me barrer le passage Dehors j'avais enfin la liberté. Liberté plus ou moins vu que je restais tout de même dans le bahut. Oh puis non Sei pouvait bien se tenir tout seul pendant que j'en sortais, après tout je n'étais pas un de ses « piliers ». Traversant la place en face du lycée je continuais ma route vers le parc. Malgré qu'une chiée de gosse, de mère de familles toutes gaga devant leurs enfants et de clodo se baladaient là-bas j'aimais bien m'y poser. Primo parce que personne ne venait me déranger pendant que je somnolais dans l'herbe, secundo parce qu'il faisait souvent beau donc je pouvais sortir les lunettes et en plus il était vaste. Rien de tel qu'un vaste endroit pour courir se vider la tête et oublier un peu sa life. Ce n'était pas le beau paradis du monde qui puisses exister, mais il suffisait a pas mal d'élève de Sei pour se détendre après les cours. Je trouvais après avoir écrasé quelques doigts de pieds de boulets endormit, bousculé deux trois vieilles et limite shooté un chien ; une place assez accueillante pour moi. À côté de moi se tenait deux demoiselles plutôt bien gaulées, étrangère au vu leur accent à couper à la hache et en haut de bikini. J'hésitais à les aborder, mais à cause de leur accent je me résiliais assez vite. C'était bien dommage, car l'une d'elle avait un balcon à en faire baver bien des melons de potager enfin bref. M'allongeant en leur tournant le dos je retirais ma veste et sorti une clope. À ce moment-là je ne su pourquoi je pu sentir que quelque chose allait arriver. Et bizarrement mon ressentit n'était pas si débile. À peu près cinq minutes après avoir sorti et allumé ma cigarette quelque chose vint me cacher le soleil. Levant la tête je vis une Jill Great aux yeux plissés. Elle possédait des yeux dorés assez beau je ne pouvais pas le nier, mais là on aurait dit un Babouin. Oui voilà un babouin qui me regardait avec un air d'abruti et dont le regard me faisait ressentir toute la débilité de son cerveau. La débilité du cerveau je parle de Jil hein, on ne va pas se mettre les babouins à dos en plus.

Enfin bref, la regardant je me demandais ce qu'elle préparait encore. Et pour le savoir ne voulant pas lui exploser la gueule devant tout le parc ni abimer une gamine qui malgré sa chiantise avait vécu un passé aussi merdique que moi, je préférais lui demander.


« Jill la fleur fanée tu fous quoi ici ? Enfin à part me regarder tel une demeurée pour avoir une clope ?  »

Elle affichait alors une moue ridicule et posa donc ses mains si chétives sur ses hanches. Elle était si fine c'te gamine la pauvre. Se devait être également une autre raison pour laquelle je ne voulais pas coucher avec. Elle devait à peine faire la moitié de mon poids, hors cela ne représentait pas grand-chose par rapport au mien. En d'autres termes, j'aurais eu plus de risque de lui casser un os que de lui donner du plaisir. Ou alors les deux en même temps ce qui n'est pas plus sympa à imaginer enfin bref. Je ne comptais pas me la taper et je reprenais mes esprits. Elle me dit alors avec sa voix suave de gamine chieuse.

« Tu me passes une cigarette... S't'eu plaît...?   »

Putain de chiotte de cul de lama...c'était la seule expression suffisamment bourrin qui me venait comme réponse. À chaque fois que je la croisais elle en avait après mon paquet de clope et ça sérieusement ça me les brisait net. Mais bon en la voyant me fixer comme une idiote dans sa robe fleurie style hippie, cela aurait dû directement me venir en tête c'était évident. Elle voulait sa revanche après l'autre fois, mais là bordel y faisais beau chaud et j'avais vraiment mais vraiment pas envie de me battre. Me levant alors la toisant légèrement de ma taille je soupirais et fit quelques pas. Voyant un fumiste à moitié stone contre un arbre je vins à sa rencontre. Tout de suite ce débile me repoussa avec violence et se leva. Son regard embrumé, rouge et défoncé montrait son état à cet instant. Il était tout bonnement déchirer à cause des nombreux pétards qu'il avait dû fumer et ne se contrôlait plus. Sans même attendre qu'il bouge de nouveau je lui mis une droite en plein poire. Je pus sentir mon poing s'écraser sur son nez fuyant laissant alors un craquement retentir et du sang gicler. Il était mi-stone mi-pissant le sang, mais je n'en avais rien à foutre. On ne me pousse pas alors que je ne provoque pas c'est tout u_u. Me baissant sous le regard de plusieurs passants qui appelaient le SAMU et les flics je pris le paquet et dit aux trois abrutis devant moi avec leur téléphone.

« Celui ou ceux qui appellent le SAMU c'est bien, ceux qui appellent les flics ont range son tél ou vous avez le même sort pigé ?  »

Je savais toujours avoir une influence et un effet immédiat sur les gens, ceux qui n'étaient pas habitués à ce que j'étais. Une femme se mit près de l'homme et me dit.

« Il s'est cogné je présume vu son état ?   »

Je hochais la tête et partis retourner près de Jill avec le paquet. Lui fourrant dans la main je ne dis plus que quelques mots avant de m'allonger de nouveau.

« Jill, voilà ton paquet de clope maintenant tu t'assois à côté de moi et tu fumes ok ? Je n'ai pas envie de te frapper ni qu'on se fightent aujourd'hui je veux me détendre donc ON se détend. Et peut-être que si tu ne me fais pas trop chier je t'achèterais une glace, petite soeur. »

C'était un surnom que je lui donnais quand elle ne me faisait pas chier. Cela arrivait rarement, mais cela arrivait tout de même. Après tout elle était mon total opposé, mais me tenait tête un peu comme si elle était ma frangine.
Ton codage y gère du poney ♥


© Failara
Invité
« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeLun 8 Oct - 2:18

Je dois quand même avouer que je suis bien chante avec lui. Je peux être toute aussi adorable que désespérante et collante mais avec lui, je sais pas. Je ressentais ce besoin vif et indescriptible de le taquiner... Comme une drogue en gros. Ouais, comme le tabac mais en mieux. C'est un peu un sentiment de puissance qui m'envahit quand il pète un câble. Ouais je sais, c'est chelou, mais bon... J'suis maso, m'en voulez pas. Je souris quand il se leva, un peu étonnée malgré tout je ne vais pas le nier. Mais il avait l'air prêt à me céder une cigarette, après tout, il peut avoir changer durant la nuit hein... Le bourrin toxicoman devenant un bisounours ah si, ça peut être mignon, oui oui. Enfin, disons... Que la plupart du temps où il se levait, c'était souvent pour m'empêcher de faire une connerie, ou juste pour me faire fuir vu que je le faisais trop chier. Bref, quand ça devenait une priorité, mais là... il aurait très bien pu me renvoyer chier, mais il n'en fit rien. Il me toisa juste un moment de sa haute taille (car oui je suis misérablement naine comparée à lui, hein, on va pas se leurrer...) et il soupira. Je perdis mon sourire en le voyant partir, restant sur place, arquant un sourcil. Il me chie quoi là, James ? Je le regarde, étonnée et je ne comprend absolument pas ce qu'il a comme logique pour réagir comme ça. Mais a-t-il une logique ce pique au fond ? ... Bon ok, je garde la réponse pour moi, je vais me faire frapper sinon. Les piques sont souvent illogiques allons dire... NON je ne généralise pas du tout ! MYTHO ! Faut aussi dire que James me scotch un peu là avec sa réaction chelou. Puis d'un coup, il se rapprocha d'un mec qui ne semblait pas très net. Un froncement de sourcil, puis la vision d'une bousculade entre mon chien (c'est comme ça que je caricaturiste James, m'en veux pas, mon chou.) et ce toxicoman. Je me mord la lèvre. Faut dire que ce genre de chose, c'est pas du tout bon, le stone là. Pour tout t'avouer tu risque même de te faire tabasser pour ça ! ... Et merde, ça a pas raté. A peine j'ai pensé ça que je vois James éclaté son genou dans la tronche du pauvre toxico' aux yeux rouges. Son sang se mit à gicler de son nez tandis qu'une horde de passant effarés se cachent les yeux ou s'emparent de leur portable pour appeler la police ou le samu au choix. Moi je suis sidérée à vrai dire... Je ne comprend absolument pas où veut en venir le pique. Enfin pourquoi il réagit d'une telle manière c'est insensé... Je regarde la scène de loin, un peu tremblante. La vision du sang m'effraie, et j'ai beau me donner des images de dure, je ne peux pas le nier : la violence me fait peur. Je suis malade de côtoyer des gens capable de vous exploser la tronche à coup de genou, de poing ou encore de vous mordre jusqu'à vous faire saigner, mais que voulez vous... Ma paranoïa ne peut empêcher mes penchants masochistes. Je détourne le regard de la scène et je regarde autour de moi. Je ne voudrais pas que la police débarque, oh ça non... J'ai tellement peur d'eux si vous saviez... J'entends encore leur sirène au loin, et les cris des gens... Je n'ai pas envie de revoir tout ça aujourd'hui en fait. Je prie au fond pour que James arrange les choses, même si j'ai qu'une confiance toute relative en son sens des responsabilités. Puis je vois une ombre recouvrir le soleil et je lève les yeux. C'est James. Il me file un paquet dans la main, et il s'allonge ensuite à côté en lâchant ces quelques mots : « Jill, voilà ton paquet de clope maintenant tu t'assois à côté de moi et tu fumes ok ? Je n'ai pas envie de te frapper ni qu'on se fightent aujourd'hui je veux me détendre donc ON se détend. Et peut-être que si tu ne me fais pas trop chier je t'achèterais une glace, petite soeur. » Je soupire et je le regarde. Je n'ai pas la conscience tranquille d'un coup, et je ne sais pas pourquoi... A vrai dire, j'aimerais avoir obtenu ce paquet dans de meilleures conditions car j'imagine que c'est ce qu'il a prit au toxico' avec le nez écrasé maintenant. Je dois le remercier, il n'attend sûrement que ça, mais je sais pas... Je finis par m'assoir sur son ventre, et je lui souris timidement, mon regard doré dans le sien avant de soupirer et de demander d'un ton doux et innocent, enfin... pour une fois, un ton qui ne devrait pas trop le faire chier.

« Ok, pour une glace grand frère. Mais pas te faire chier, tu sais c'est très dur ! ♥ »


Je rigole un peu et je lui tire la langue. S'il me demande, j'arrêterais de la taquiner, après tout on est là pour se "détendre". Mais comme je vous l'ait dit, le faire chier, c'est une vraie passion le truc, une drogue, une envie folle ! Enfin voila quoi... Je finis par tomber un peu en arrière, continuant ma cigarette, ma tête et mon buste dans l'herbe fraîche, et mes jambes en l'air, les balançant comme le ferait une jeune fille de mon âge bien contente. J'oublie un petit moment mes soucis, profite du soleil éclairant ma peau et de la chaleur de cet après-midi d'été. Pour une fois, James et moi, on reste tranquilles... Combien de temps avant la prochaine vanne ?
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fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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Invité
« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeMar 30 Oct - 23:38

Malgré ma douceur, je suis un monstre.




▬ play it
Chaque homme à son Némésis, chaque homme à une personne dont il ne peut pas se séparer mais, cette gamine toujours était ni l'un et l'autre à la fois. Je suis et serais toujours franc, elle me les briserait parfois au point de vouloir la faire finir sa course dans un mur de mes propres mains mais d'un autre côté personne ne me ferait plus chier comme elle. Une petite masochiste rousse comme la flamme d'un briquet chieuse à ses heures perdues à qui je me suis attaché. Certains y verraient une faiblesse de ma part dans la muraille que j'affiche et d'autre y verront de l'humanité. Que ce soit le premier ou le second avis je m'en contrefiche vous savez. Je n'agis que comme un bulldozer qui fera de vous des miettes, de ridicule et insignifiante miette si vous jouez au plus fin avec moi. Mais pour l'heure le bulldozer est rangé au placard et il n'y a que l'être vivant de chair et de sang qui mange tout bonnement sa glace. Si j'en revenais à Jill, je dirais qu'elle doit être la seule à avoir les ovaires de me défier aussi simplement et aussi s'amuser à me sautiller sur les abdominaux alors que je suis allongé peinard. Le pire c'est que si elle l'avait pas capté ma chère elle leur avait fait profiter à tous de la couleur de sa culotte, mais vu comment elle sautillait elle s'en été même pas rendu compte. Soit j'avais littéralement pour une gamine comme Jill, défoncé un junkie aussi con que ridicule mais c'était pour la bonne cause de ma flemme. Elle m'avait répondu de façon inquiète.

« Merci mais... La prochaine fois, dis-moi "non" au lieu de tabasser un mec, d'accord ? »


Pourquoi j'aurais dû lui dire non après tout ça m'avait fait du sport, bouger un peu et puis ce con m'avait cherché. Hors qui cherche le vent récolte la tempête et qui me prend pour un con se fait péter la tête. Il était parti avec l'ambulance vue son absence et la réaction de Jill. Petite parano masochiste qui a peur de la moindre sirène et autre, mais qui n'aime pas le montrer. Si elle savait, à quel point je peux voir en elle m'enfin pour l'heure je devais la surveiller comme le rôle de frangin que je m'étais tout seul institué.

Bizarrement que ce soit l'appeler petite soeur ou me présenter en sa compagnie cela n'avait rien de dérangeant vis-à-vis de ma réputation, surtout qu'au cas où des rumeurs circuleraient par la suite ; j'avais de quoi rapidement à l'aide d'autres comparses Piques les faire taire. Je ne suis pas le plus fidèle, le plus simple à vivre ou encore le plus intelligent des Piques, mais pour agir je suis toujours présent. Je suis un violent dans l'âme et pourtant le total contraire de Jill, mais elle me supporte. Je ne sais pas si c'est par pur masochisme profond, plaisir pervers ou simplement parce qu'elle se fait à mon caractère si imprévisible, mais en tout cas elle ne me lâche pas. Sur sa liste de dépendance pure et dure je dois être la seconde après la clope sans aucun doute. Quand je lui avais dit en rigolant que si elle était sage elle aurait une glace je ne m'attendais pas tellement à ce qu'elle me réponde ça en faites.


« Ok, pour une glace grand-frère. Mais pas te faire chier, tu sais c'est très dur ! ♥  »


Je crois que le plus étonnant ce n'était pas son « grand-frère » mais plutôt le ton doux et gentil qu'elle avait pris. J'étais une brute, un sans cœur, mais reste que je savais reconnaitre de la gentillesse où il y en avait. Et Jill savait l'être même en sachant que face à elle se trouvait un homme capable de faire ressortir ses peurs d'un simple geste. Je me demandais bien souvent comment elle faisait pour ne pas voir que le monstre que j'étais, comment faisait-elle pour voir en moi un gars fréquentable.

Actuellement, elle était allongée à moitié sur moi c'est-à-dire le bas de son corps et le haut dans l'herbe. C'était la preuve que l'on n'était pas forcement obligé de la fumer cette herbe pour trouver un intérêt, vu que Jill s'en servait comme oreiller limite. Dans ma tête des tonnes d'idées trottaient comme des aiguilles et je n'arrivais pas à faire mon choix. J'avais de nombreux choix comme me relever brusquement et la chopper par la culotte puis la secouer, ou encore la chatouiller pendant un long moment jusqu'à ce qu'elle se pisse dessus, mais ma meilleure idée fut choisie. Discrètement (si c'est possible) je me suis relevé en l'emportant sous mon bras et je me suis dirigé vers le marchand de glace en la laissant pendre un peu. Je savais très bien que la transporter ainsi n'était pas la façon la plus classe, mais vu son manque de réaction je m'étais pas privé de le faire. Je la posais face au marchand de glace tout en voyant son visage enfin surtout son regard pas des plus tendre, vu que je l'avais transporté comme un sac de pomme de terre. Cela me faisais rire d'avance de voir sa réaction après s'être fait soulever de la sorte clope au bec tout de même. Par la suite, je lui ai répondu d'une voix super détendue.


« À toi de voir, plus tu me feras chier et plus tu prendras cher si tu vois ce que je veux dire »


Aurais-je dû décider qu'elle et moi on reste tranquille sur l'herbe à flâner au soleil tout en profitant du bol d'air ? Peut-être que oui, mais sachant qu'elle aimait jouer avec mes nerfs et moi avec ses frayeurs on savait pertinemment que cela ne pouvait pas durer bien longtemps. Je prenais plus de satisfaction pourtant à frapper un gosse de riche, un intello ou une petite racaille insignifiante que de faire chier Jill sincère. Malgré cela je savais que dans mon corps, à chaque vision du visage de Jill effrayé m'apportait une certaine satisfaction et un peu de plaisir. Que voulez-vous je suis un sacré malade et je reste coute que coute sadique donc je prends plaisir à faire cela. Je n'avais sans aucun doute pas été le plus tendre avec mes « proches » mais à vrai dire je n'en avais plus rien à foutre actuellement tout ce que je voulais c'était une journée pénard mais drôle avec une mioche qui n'attise pas les hormones et donc qui ne me ferait pas m'esquinter le dos. Hors Jill était tout à fait cela, si on rajoute le côté casse burnes toxico en mode pompier et sa fragilité. Se devait être un peu un équilibre entre elle et moi. La brutalité face à la fragilité, le sadique contre le masochisme et le côté imprévisible jouant avec la paranoïa. La force contre le poids plume et aucun vainqueur en faites et pourtant ça ne m'étonnait pas. James Thundereagle sera toujours le démon parmi les anges le fauteur de trouble, le serpent agile et agressif qui cherche des proies, mais qui sait être plus social de temps en temps. Jill, tu sais ma petite tu as du bol, car avec toi je suis dans la période temps en temps, chanceuse la mioche crois-moi.

Arrêtant de cogiter un peu et revenant à mes esprits je fixais toujours Jill, puis le vendeur et lui demanda d'une voix calme, mais flemmarde.


« Bon Jill, tu veux quel parfum de glace ? Pas un truc qui va me couter un bras j'ai besoin de blé pour mes clopes ma gnôle et aussi quelques capotes... Enfin vu le peu de cible que j'ai les capote et la gnôle ça peut encore attendre. Bon magne toi de choisir où je te fous une claque au cul pour que tu te bouges. »


Y a pas à dire j'étais parfois aussi raffiné et doux qu'une mitraillette dans une crèche si vous voyez ce que je veux.
J'aime trop ce codage je te roulerais bien une pelle pour te remercier ♥ x')


© Failara
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeLun 17 Déc - 7:15

J'avoue. C'est étrange que je sois pote avec James. Bah, ouais. Disons que lui, c'est le mec le plus flippant de la terre après Shayne et Flippy sur mon échelle. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de le provoquer et de l'emmerder au point de me mettre en danger. Même ma paranoïa n'arrive pas à calmer mes pulsions de chantise ! C'est carrément plus fort que moi ! Et Dieu sait pourtant à quel point je peux me faire peureuse. M'amuser à le faire chier c'est une drogue, c'est addictif oui... Pire que tout. Alors oui, je peux m'hasarder à dire que je suis la meuf la plus masochiste que vous connaissez ! Bah ouais, je traîne avec un mec dont j'ai peur et dont je sais qu'il peut me tuer et me traumatiser à tout moment, et je m'amuse à le provoquer sans la moindre gêne ! NARMOL. Enfin, j'y peux rien, c'est mon caractère... Ouais faudrait peut-être que je prenne rendez-vous chez un psy' oui... C'est bon j'ai compris à vos regards de "oh my gaad !" Vous avez jamais eu ce genre de dilemme ? Genre vous voulez pas traîner avec quelqu'un mais c'est plus fort que vous et vous le faîte ? Bah voila ! C'est pareil ! Bref. Donc, je suis la tête dans l'herbe, tranquille, mes jambes faisant des aller-retours dans l'air comme une petite fille, ma chevelure rousse et l'herbe vive me faisant office de coussin, et James fait office de coussin. Ma cigarette se consume vite, mais j’apprécie énormément chaque bouffée de tabac que je prend. Oui je suis droguée au tabac et alors ? Fuck, hein. C'est la chose qui me détend le plus, et avec cette constante menace qu'il vienne rappliquer à cause de ma taquinerie, je préfère m'assurer de la finir comme il se doit ! Je ferme mes yeux, profite du semblant de calme qui vient de s'installer... J'en viens même à rêver un peu de mon papa, des vieilles connaissances que j'ai eu à l'internat avec Sei. Oui, ça me fait réfléchir de fumer, et faut dire que ça fait pas plus de mal que ça -mais je me détruiiiiis les poumooons HAAAN !-. Tout semble parfait, on entend même les petits oiseaux faire des piou piou dans les arbres. Vraiment idyllique comme calme... Un petit coup d'air qui fait bouger mes quelques mèches rousses sur le visage et je les écarte d'une main, pour éviter qu'elle ne me chatouilles les yeux et qu'encore une fois j'ai mal... AAH... La vie est belle. Oops j'ai parlé trop vite. A peine avais-je songé cela que me voila soulevé du sol et portée comme un sac à patates. J'ai lâché un cri bien évidemment, vous me connaissez, mais étrangement, malgré la situation, je ne lâche pas ma clope. Attendez réflexe vital, au cas où. Donc je la garde entre mes lèvres tandis que je sens le grand gaillard aux cheveux blancs marcher et me porter de la façon la plus ridicule qui soit. Je le tape dans le dos comme une hystérique, et les gens nous regardent comme s'il s'agissait d'un kidnapping. Ah mais je me doute bien que s'en ai pas un... MAIS ME PORTER COMME UNE VIEILLE POMME DE TERRE, NON. Attend, je pend comme une ficelle de pantalon de pyjama et on peut voir ma superbe culotte blanche simpliste à souhait ! On aurait dit du petit bateau, la honte pour une rose ! Le plus comique dans tout ça c'est que je le tape pour me libérer, ok... Mais je n'émet aucun son. Non non, avec ma clope au bec, ou du moins entre les lèvres, je ne peux pas parler, je suis concentrée à correctement la finir : donc je prend une taffe et j'expire ma fumée par les narines comme le ferais un dragon enragé. Grrr ! Je lui griffe le dos comme le ferais une petite chatte, et il finit enfin par me reposer. Quelle étape... Passionnante. Bon faut avouer que la transition entre le calme paradisiaque et la situation du sac à patates, ça m'a foutu un peu le cœur en rogne et il s'était accéléré d'un coup, vu que j'avais absolument rien compris. Je reprend mon souffle, ma cigarette entièrement consumée jusqu'au filtre et je la jette par terre avant de l'écraser en regardant James. REGARDE COMMENT JE L’ÉCRASE ! Je plisse mes yeux dorés tout en observant son joli minois de bastard avant de grogner et de le retaper avec ma vieille force d'autruche ! Et tout ce qu'il trouve à me dire c'est : « À toi de voir, plus tu me feras chier et plus tu prendras cher si tu vois ce que je veux dire. » Saloperie, va ! Je voulais pas de ce genre de revanche, oh ! Y'a encore des pervers qui me siffle pour la jolie vue que je leur ait offerte, PAR TA FAUTE ! Pfeuh. M'en fous je boude. Je croise alors les bras comme une gamine et je détourne la tête, ma chevelure rousse faisant office de barrière face au regard rougeâtre du bleu. J'en ai rien à foutre, c'était PAS GENTIL ! Mais je finis enfin par me rendre compte que s'il m'avait porté comme une conne tout ce temps, c'était juste pour m'emmener devant le marchand de la glace. Je cligne des yeux devant le mec apparemment assez surpris par notre prestation comique et à mon avis, surtout par ma manière de "marcher" -non parce que je vole moi grâce à lui-... Et puis bizarrement, avant j'avais pas faim, puis maintenant... Mon estomac réclame ! Ah aussi, lui proposer tout ces bons parfums et les exposer autant visuellement que par les odeurs ! AAAH, c'est sadique ! Je renifle un peu avant de refaire ma mine boudeuse pour bien faire chier James, tout en cherchant quel parfum prendre, car oui, maintenant que j'ai ça à portée de yeux, j'allais pas passer devant sans rien acheter. NON. JE VEUX UNE GLACE. Après un long moment d'hésitation et de blocage sur différents parfums notre petit bastard, las et impatient, finit par me demander de me bouger les miches avec une délicatesse presque raffinée : « Bon Jill, tu veux quel parfum de glace ? Pas un truc qui va me couter un bras j'ai besoin de blé pour mes clopes ma gnôle et aussi quelques capotes... Enfin vu le peu de cible que j'ai les capote et la gnôle ça peut encore attendre. Bon magne toi de choisir où je te fous une claque au cul pour que tu te bouges » . Ah, j'adore ce mec et son niveau de langage ! Le mieux, ce fut le vieux qui fit une tête de choqué alors et je me mis à rire. Faut dire aussi que balancer ça au public comme ça, tac faut le faire quoi. Mais je finis par le regarder narquoise, et de faire de grands yeux de chatons trop chou :

« Une glace à la pistache et au chocolat, 2 boules en cornet s'iiiil te plaîiiiiit... Et pis si c'est trop cher, fuck, hein ! C'est toi qui a proposé et je t'évite le cancer de la gorge ! »

Je tire la langue juste après. J'adorais le chercher, comme il faut, à chaque fois ! ça ne manquait jamais ! De toutes façons il était prêt à ça, c'est pas comme si c'était imprévisible non plus ! J'ai donc ce sourire narquois au taquet, limite tu peux pas faire mieux ! Je sautille alors comme une enfant en marmonnant des s't'eu plaît, grand frère, s't'eu plaît, s't'eu plaît, s't'eu plaîiiiiit !" comme le ferait une gamine. Étrangement, le grand frère était venu... spontanément. Je ne m'étais pas posé de questions. Est-ce une bonne chose ou au contraire ...? Je soupire intérieurement : d'un côté c'est pas si intéressant que ça de le savoir ou pas... J'veux dire, c'est plus qu'un ami ça c'est sûr, un bon copain de délire... Voire parfois plus sans pousser dans les stéréotypes genre aaah l'amour !... Non je pense qu'on est proche et ce depuis le début, sans vraiment se l'avouer. Je ne sais pas s'il compte me l'acheter, mais en tout cas j'insiste, je le regarde avec de grand yeux, penchant la tête de temps à autre tandis que le mec nous regarde en souriant. On avait vraiment l'air de deux bêtes de foire faut croire ! Et pour lui forcer un peu la main je lui gifle le cul en ricanant. Je sifflote juste après et je montre les parfums que je veux.

« Allez, allez ! »

Un petit ricanement, un petit rire et un pincement de lèvre tout en lui pointant les parfums. Allez James, j'ai faim hihi !
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fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeDim 30 Déc - 4:36

Un jeu interdit auquel on se risque.




▬ play it
Dans chaque guerre il y a un armistice ou alors une victoire d'un des deux camps. Si on devait qualifier ma relation avec Jill se serait une guerre où le plus fort laisse du leste au plus faible. Je pourrais la persécuter lui faire du mal et même en faire littéralement ma chose, mais non. Que voulez-vous j'ai eu et elle aussi, je pense une sorte de syndrome de Stockholm, mais en moindre effet. Elle ne peut pas s'empêcher de venir me faire chier même quand je ne lui fais rien du tout. Comme si dans son cerveau de masochiste se faire martyriser par moi cela a quelques choses limite de bon pour elle. Honnêtement des fois ça me gêne limite, elle est encore une gamine merde. Et sérieux faire limite le bonheur jouissif d'une gosse cela à des côtés quand même malsains mais bon je crois que je n'ai pas trop le choix. Je n'ai aucunement peur de perdre mon âme dans tout cela, vu qu'elle n'a jamais existé. Pour en revenir à Jill, je ne pense pas être la personne qui la terrorise le plus vu que des mecs comme Flippy savent être mille fois plus timbré que moi. En tout cas je dois avoir ma place dans ce genre de classement peut être même top trois qui sait. Une relation basée sur rien, mais alors rien du tout. Elle est une mermaids et moi un bastards en gros le jour et la nuit pourtant le courant passé nickel. J'ai entendu des rumeurs qui parlent que je serais avec elle et j'en passe des plus ou moins soft comme rumeurs mais sérieux je m'en fous complètement. Pendant que certains ou certaines sont occupés à faire courir des rumeurs complètement inutiles ils me lâchent la grappe cinq minutes et ça me va largement. J'arrive limite à m'amuser sans contrainte ni mauvaises pensées. Je pense qu'avec Jill je peux on va dire profiter du semblant de vie que ça m'offre sans trop penser au préjugés. Après tout dans ce parc il n'y a ni bastards ni autre mermaids que moi et elle.

Dans mes différentes taquineries à son égard ma préférée reste celle de la surprendre sans qu'elle n'ait le temps de régir comme il faut. Venir la chatouiller alors qu'elle me parle sérieusement, mettre mes mains gelées dans son dos ou la porter comme un sac de pomme de terre. Cette dernière taquinerie étant la plus efficace pour la voir s'énerver et cela m'amuse énormément. Pour en revenir à la situation actuelle après l'avoir donc portée vers le marchant de glace en la portant comme un sac de jute je la fixe et la voit s'énerver. C'est si amusant de la voir me frapper avec sa force de mouche. Elle me dit que je ne suis pas gentil et chiant, mais elle n'est pas mieux sur ce coup. Et le plus drôle c'est que l'un comme l'autre on se matte limite sans aucune raison comme si c'était naturel, comme si elle aimait regarder ce que je suis et moi admirer la petite folle qu'elle est. J'ignore si c'est autorisé ou non et les moeurs je m'en fous intégral. Je sens à peine quand elle me frappe à plusieurs reprises sur le ventre. Au bout d'un moment je la vis se stopper net. Elle devait avoir compris que de toute façon elle aurait beau me frapper autant qu'elle voulait cela ne changera rien. Le plus drôle c'est que je sais qu'elle a honte que la moitié du parc ai eu vue de sa culotte mais sincèrement moi ça m'amuse beaucoup. Puis bon blanc neutre ça choque personne donc bon. Je sens son regard doré sur moi et enfin elle me répond quelque chose.


« Une glace à la pistache et au chocolat, 2 boules en cornet s'iiiil te plaîiiiiit... Et pis si c'est trop cher, fuck, hein ! C'est toi qui a proposé et je t'évite le cancer de la gorge !»


Je lui en foutrais que ça va m'éviter le cancer de la gorge non mais oh. Enfin elle n'a pas totalement tort sauf que si je n'achète pas de paquet de clope elle va les taxer à qui hein ?! Elle est des fois un peu conne, mais je lui en veux pas elle est encore jeune. Le pire en repensant à sa phrase c'est que je commence à déteindre sur elle, elle dit fuck sans aucune honte et me prend de haut. À cet instant je me mets net à sourire sincèrement et tendrement. Je ne me reconnais pas, on dirait-moi si je n'avais pas eu une enfance horrible et surtout le rôle de tueur mon propre père. À croire que cette gamine me fait douter sur moi-même. Est-ce qu'elle serait capable de me prouver que j'arrive à avoir un bon fond quelque part en moi. Hum non ce n'est pas possible enfin autant qu'elle essaie je ne vais pas l'en empêcher. On ne peut pas faire de miracle, mais au moins elle aura essayé. Je me tournais enfin vers le vendeur pour lui dire la commande quand la petite Jill se mit à faire sa chieuse invétéré en insistant.

« Allez, allez ! »


Je ricane à son air insistant et commande donc sans lui faire comprendre que pour la claque au cul elle risque de douiller, mais passons. Reprenant un air calme devant le vendeur a moitié crédule je lui dis alors calmement.

« Deux glaces pistache chocolat double en sorbet s'il vous plait. »


Patientant pendant que l'homme à l'air débile nous fait les glaces je regarde Jill. Vu son air elle ne s'attend pas à une réaction nette de ma part sauf que sur ce coup elle va être servie. Pour tester encore et toujours sa patience et surtout à quel point elle peut être gênée je lui prends délicatement le bras. D'un coup sec je la colle contre moi, passant ma main sous sa cuisse collant cette dernière contre ma hanche et lui dit au creux de l'oreille avec arrogance et amusement.

« Attention Jill si tu continues tout le parc va savoir pourquoi certains disent que je suis endiablé. Et crois-moi après, tu pourras dire que tu as fait du sport de façon in-ten-se~ »


Intérieurement je m'amuse à sa future réaction, car après tout elle veut jouer alors je joue avec malice. Reportant mon regard vers le marchand de glace, très étonné à la limite choqué, je pris les glaces qu'il me tendait et paya sans rien dire. Prenant la main de Jill je la guidais vers une table où elle et moi allâmes nous asseoir. Je me demandais en commençant à manger ma glace sa réaction surtout après ma pique.

« On dirais Jill  que tu es dans tous tes états, ne bave pas trop tu risquerais de te noyer enfin au cas où je suis là. Avoue tu aimes jouer avec le feu surtout quand c'est moi qui l'allume et pas que le feu. »


Arrogant, impétueux, imperturbable, mais surtout incontrôlable, imprévisible et désirable à souhait~ tel est-ce que je suis et peu déteste ça.
T'm trop♥


© Failara
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeLun 11 Fév - 12:20

Ce que j'aime le taquiner, c'est fou. Je peux vraiment pas m'en empêcher, c'est limite jouissif ! ... Ahem. Donc on en était au moment où je lui ai claqué les fesses pour qu'il aille plus vite. Non, mais j'aime pas patienter en fait. Surtout que James adore me faire patienter. Oui, il adore me faire chier aussi, c'est quelque chose de réciproque. Je vais pas m'en plaindre, j'ai envie de dire. A chaque fois qu'on passe un après-midi ensemble, j'en ressors super contente : je m'éclate avec lui ! Non sincèrement ! C'est pas juste un bastard comme un autre... C'est vraiment quelqu'un que j'adore... Et cette amitié, elle se renforce à chaque fois que je suis avec lui. Non, mais vous vous foutez de ma gueule, mais je dis la vérité ! ... Bon on dira pas que je suis limite maso ... Noooon.... J'adore un mec qui a la force de frappe d'un psychopathe. C'est quand même ouf ! Non sincèrement, je m'étonne moi même... BON. Je reviens au sujet. Donc après avoir claqué les fesses de notre cher blondinet, je met met à sourire niaisement au vendeur de glace qui nous prend vraiment pour deux trisomiques tout droit sortit de l'asile le plus proche. Le mec se retourne pour nous faire des glaces et alors commence le moment le plus long pour mon estomac. Tu met la musique de Queen derrière avec la vision de tout ses parfums puis ... tu attend comme ça, dix minutes. Non mais je bave, elle me tente tellement toutes ses glaces... Son estomac me le fait bien comprendre en se tordant dans tout les sens dans mon corps.C'est un remake de la chanson mangez moi je vous jure ! Mais ... Ce qui me perturbe le plus... C'est.. Le calme étrange de James. Depuis tout à l'heure je vous parle de bouffe, mais j'en passe pas moins quand à son impassibilité. Oh que oui, que ça me perturbe ! C'est comme si, pour comparer les deux situations, tu foutais deux chatons ensembles et qu'au lieu de s'amuser, ils restent dans leur coin. Ouais on est d'accord, c'est pas du tout approprié comme comparaison, mais on va dire que c'est la même chose. C'est limite oppressant... Normalement il aurait réagit au quart de tour et il m'aurait fait une petite crasse... Mais là rien ! Absolument rien... Tu comprend maintenant pourquoi je suis sur la défensive. Genre je lui lance un petit regard toutes les trente secondes pour m'assurer qu'il me regarde... ou pas ? Puis soudainement, je sens un contact sur mon bras. Mes yeux dorés se posent sur lui, et mon visage passe du sourire niais habituel, à celui d'une surprise ÉTRANGE. Mes lèvres rosées firent un léger haut, tandis que je me retrouve collée à son corps. Alors ça... NON JE NE M'Y ATTENDS PAS ! Mais quand je dis pas, c'est genre pas du tout. Mes joues rougissent d'un coup, mon regard se rétrécit et mon visage témoigne d'une surprise sans pareille ! Jamais j'aurais cru ça de lui... Et évidemment, pour m'achever et me rendre encore plus tomate que je le suis, James trouve rien d'autre à dire que : « Attention Jill si tu continues tout le parc va savoir pourquoi certains disent que je suis endiablé. Et crois-moi après, tu pourras dire que tu as fait du sport de façon in-ten-se~ » Alors, là... Je peux te dire que j'ai rien pu rappliqué. Il me surprend tellement ... Ah non mais là c'est même pas de la surprise, c'est de l'incompréhension... Comment on peut passer du stade James le frère au stade James l'endiablé ? NON MAIS TU M'EXPLIQUE ? Je bredouille, je ne comprend pas, je.... je ... oui bon ok je lâche un truc mais j'en ai honte..

« Euh... euh... Tu... Tu quoi ? »

Réactioon ridicuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuule.... Bon ok ça n'a rien d'une mermaid... Mais bon imagine que le mec que tu considère comme ton meilleur pote voire même à l'égale de ton frangin t'écarte les cuisses et se mette entre et fais bonjour je viens te faire l'amour. Tu vois ? OUAIS bah voila ! C'est la même chose ! Enfin à un stade différent, on est d'accord mais bon... Voila quoi ! Je secoue frénétiquement la tête, et m'apprête à sortir un truc d'intelligent -non parce que j'ai bugué pendant assez longtemps faut l'avouer- quand le vendeur nous regarde avec de gros yeux. Limite il observait James et il s'écriait PEDO d'un coup... J'arque un sourcil et récupéré ma glace... Toujours aussi choquée. Émoustillée ? Non même pas... Je suis juste... En état post-traumatique allons dire. Je ne comprend toujours pas sa réaction... Et ses rougeurs qui veulent pas disparaître ! Maintenant... Chacun de nos gestes, je les analyse. Lorsqu'il prend ma main je le regarde en mode... da funk ? J'ai l'impression d'avoir vu E.T ! C'est... Bizarre. Tout est devenu étrangement bizarre ! MON MONDE S’ÉCROULE ! On s'arrête sur une petite table pour déguster nos glaces. Je dois avouer que l'endroit est bien choisit, à l'abri des regards, du vent... regards... Abri... Intimes... WOH PUTAIN. Azy voila je suis devenue une petite perverse, je vois de ça partout ! MERCI. MERCI JAMES. Je croise rarement son regard. Je n'ose pas le croiser, sinon je rougis. Putain, mais qu'est-ce qu'il lui a pris aussi de faire une chose pareille ? « On dirais Jill que tu es dans tous tes états, ne bave pas trop tu risquerais de te noyer enfin au cas où je suis là. Avoue tu aimes jouer avec le feu surtout quand c'est moi qui l'allume et pas que le feu. » ... GROSSE BLAGUE. Je suis rouge, je te regarde en mode grosse blasée de la vie. Je ne bave pas, je suis juste super étonnée ! Si je m'attendais à ce que tu la fasse celle là... Je plisse les yeux et fait une tête de mamadou pas contente. Non mais sérieux... Le petit arrogant. Évidemment je finis par lécher de nouveau ma glace avec vivacité pour bien lui prouver qu'il avait totalement tort. Puis, je me mis à penser à sa petite pique me fit poser mes yeux d'or sur lui, avant d'articuler :

« Ah ouais, t'es comme ça toi ? Tu sais que les feux, on peut les allumer... »

Je me lève alors, tenant le cornet d'une main pour ne pas tout faire tomber et je me met sur James, mun cul posé sur ses jambes et ma poitrine sur son torse. Attends, il veut jouer, il joue ! C'est les règles non ? Et puis je ne vais pas reculer face à lui. Non, ce serait lui donner une raison en plus de me taquiner et ça ça sera trop chiant à supporter ... Alors je me met commence ça et je continue de lécher mes deux boules de glaces. Il a beau être arrogant, je sais qu'il n'osera rien me faire ! Ce ne sont que des mots... Quoique... J'utilise bien ma langue pour parler mais j'ai jamais vraiment couché avec quelqu'un non plus, donc en gros je suis bien plus timide que lui sur ce point là... Mais je sais pas pourquoi je me sens... en confiance. Et puis pour ce qui est des feux... Il faut peut-être que je songe à terminer ma phrase, non ?

« Mais je continue toujours de les attiser ~ »

Sérieusement, j'adore ces longs moments de défi que nous avons. Et même si la perspective de s'aventurer sur ce terrain me faisait assez peur, je dois avouer que finalement ça m'amuse pas mal ! Suffit juste de faire attention aux conséquences... De toutes façons, je sais que James ne me fera rien. Primo je suis sa frangine, deuxio je ne suis pas à son goût et troisio, c'est pas parce que je suis collée à lui qu'il doit forcément venir en tête des trucs pervers on est d'accord ? Donc je continue à lécher ma glace pour éviter qu'elle ne fonde trop vite. Ah cet après-midi est si mouvementé ~
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fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeMer 6 Mar - 4:03

Un jeu sans limite ni frontière~




▬ play it
Ce petit jeu du chat et de la souris ne date pas d'hier avec Jill. Depuis le premier jour de notre rencontre on ne cesse de s'emmerder non-stop. Souvent l'un de nous commencait en début de journée et ça va crescendo au fil du temps. Une boulette de pain dans le soutien-gorge, une claque sur les fesses ou encore des chatouilles. Anodine, gamine voir puérile ces taquineries, mais toujours efficace. À quoi bon chercher longtemps des choses compliquées quand la simplicité suffit amplement à faire chier Jill. Cette mioche est autant ma soeur qu'une amie. Bon, ok c'est vrai que bien souvent à deux on fait baliser pas mal de gens qui pensent que la miss aime se taper des mecs plus vieux qu'elle et que je suis un pédophile à bloc alors que non. Même si elle et moi on étaient à pwal dans une pièce...chose qui ne risque pas d'arriver, jamais on s'enverrait en l'air ensemble. Non pas que la miss aux petites fesses ne soient pas à mon goût, mais j'ai des principes dont celui de ne pas me taper quelqu'un que je considère comme ma famille. Y a pas écrit incestueux sur ma gueule et même si ce n'est pas ma VRAIE soeur cela ne change rien. Elle fait partie de ce petit monde pour qui je donnais pas mal de choses dont ma life. Oui je ne déconne pas si un pauvre connard essayait de tuer Jill je lui ferais la peau jusqu'à ce qu'il crève s'bâtard... Et puis bon même si je la taquine je ne compte pas déballer l'engin pour lui carrer quelque part. Je tiens à ma vie à mon amitié ambigüe ou pas avec elle, surtout je tiens à une autre femme. Je ne suis pas la preuve même que le romantisme perdure, je sais bien, mais je tiens à Shiro je l'aime et je ne compte pas foutre la merde d'une quelconque façon. Pour en revenir à Jill vu que je parlais de la concerné avant de parler de mon idylle. J'aimais bien la faire douter totalement de la situation et voir qu'elle perdait tout contrôle. Elle était maso, paranoïaque comme pas deux et BORDEL ce que je pouvais en profiter~ Voir ce petit bout de femme pas plus haut que trois pommes qui tentait parfois de sa force de mouche de me frapper, être perdu et n'avoir comme seul repère que moi c'était très drôle. Bien sûr elle savait retomber sur terre et me renvoyer la balle et c'était aussi pour ça que j'aimais l'avoir dans mon entourage. Elle avait l'affront et surtout les ovaires de me prendre de haut alors qu'elle ne dépassait pas en hauteur mon cou. Elle était David et moi Goliath enfin, elle n'a pas avec un pagne et moi je suis loin d'être aussi moche et velu. Quoi ma comparaison pue sévère. Mais je vous emmerde et je rentre à ma maison si c'est ça. Non plus sérieusement et contredisez-moi et je vous latte, Elle était mon opposé en bien des choses pourtant c'était comme si cette énorme différence permettait de mieux se comprendre. Je n'avais ni sa finesse ni ses atout pour charmer, mais elle n'avait pas ma musculature ni ma virilité à toutes épreuves. Et l'un comme l'autre on savait user de cela pour avoir des légers avantages. Il était arrivé plus d'une fois que la petite Jill se fasse emmerder et tel un chevalier sur son cheval blanc j'arrivais quand y fallait. Bon chevalier c'était simplement pour le sauvetage parce que pour le reste c'était plutôt barbare berserk toutes catégories vous voyez. Je déboîtais la tronche de ceux qui la dérangeaient et en contrepartie elle usait de ses petits charmes pour m'avoir des trucs plus facilement. Rien de mieux que cette petite pour avoir des clopes aussi simplement qu'un bonjour. Au passage elle m'en piquait la petite peste mais bon je lui rendais bien la pareille. Bah quoi vous pensiez que je lui sauvais le boule gratuitement ? Non à chaque fois elle me devait une clope ou deux. Le plus drôle c'était qu'elle payait toujours. Puisque qu'elle avait besoin de moi, mais aussi parce qu'elle m'adorait énormément. Non pas que cela ne soit pas réciproque, mais je n'ai jamais été connu pour être très tactile et expressif.

Pour en revenir à la situation actuellement après avoir fait poiroté la petite en étant très calme voir trop calme ce qui avait dû l'inquiéter, j'avais répliqué à sa boutade de me mettre une claque au cul. À en voir son visage jamais au grand jamais elle n'aurait pensé que je la prendrais contre moi aussi étrangement. Quoi elle voulait jouer bah je jouais non ? Le pire pour elle c'est qu'elle était terriblement embarrassée. Primo parce que ses grands yeux dorés me regardaient choqué, ses joues étaient devenues rouge écarlate et sa bouche toujours souriante était gêné et à demi ouverte. De plus sa seule réplique fit le constat même de son embarras.


« Euh... euh... Tu... Tu quoi ? »


Si j'avais pu à l'instant même de sa phrase me marrer aussi fort que possible pour me foutre d'elle je l'aurais. Sauf que le trou du cul de vendeur de glace me regardait en mode *Da Fuq ce gars va se taper une gamine devant moi et sans aucun problème ? ! * Or jamais je ne ferais cela avec Jill ni aucune autre gamine. Il était gros, moche et sans aucun doute con ce vendeur donc bon il ne devait pas avoir un jour sortit son saucisson pour autre chose qu'aller au WC. Il ne fallait pas lui en vouloir à ce boulet. En récupérant nos glaces il continua à nous regarder. Je le fixais avec rage assez longtemps pour qu'il se chie dessus et détourner les yeux. Brave bête tout de même ce gros débile. Je guidais Jill vers un banc tranquille loin de l'autre abruti la voyant toujours rougir. J'étais sûr que la petite se faisait des idées bien perverses et c'était drôle. J'avais réussi à rendre folle une Mermaids simplement en faisait un geste. J'avais prouvé qu'un Bastards avait encore et toujours la main mise face à une Mermaids même farouche. Bon, ok ce n'était pas le cas de Jill, mais cela marchait pour bien d'autre. Ma Pique avait fait réagir Jill, car elle répliqua à ma plus grande joie avec un peu de charme.

« Ah ouais, t'es comme ça toi ? Tu sais que les feux, on peut les allumer... »


Sans même être étonné je la vis m'utiliser tout bonnement comme Siège. Elle &était pas un peu gonflé la petite Jil je n'avais rien d'un siège, mais je savais qu'elle voulait me chauffer et m'emmerder un peu et à ce jeu elle avait vite déchanté encore une fois. Elle léchait pénard sa glace en mode aguicheuse, mais je ne la quittais pas du regard. Elle ajouta même peut être pour se donner plus de consistance une fin de phrase hâtive.

« Mais je continue toujours de les attiser ~  »


Je vais lui en attiser du feu. Elle était marante, mignonne, mais un peu ridicule de penser qu'elle réussirait à m'avoir. J'étais connu comme un ancien coureur de jupon à Sei, un étalon sauvage qui avait fait la joie ou non de bien des Mermaids et qui maintenant était le pur-sang de Shiro. Alors, en quoi toi, ma petite frangine, ma petite Jill, tu pensais gagner à ce jeu ? Je n'allais peut-être pas te prendre sur la table ou encore te mettre nue devant tout le monde, mais je savais comment reprendre de nouveau le contrôle sans problème. Sans la quitter des yeux je passais une main sur sa cuisse en remontant lentement pour la faire bien chier. Je mangeais ma glace bouché par bouché ne voulant pas la lécher, car cela ne me ressemblait pas. Je n'étais pas un Bastards pour rien. Dégustant toujours ma glace lentement je pris un morceau dans ma main et la collant contre moi je lui laissai le morceau bien dans le décolletée et aller 1- 0 pour moi et ce n'était pas fini. Ma main bien gelé d'avoir tenu un morceau froid de ma glace je la posai bien contre son postérieur de petite Mermaids pour bien lui jeter un froid en ricanant et dit avec mon arrogance habituel.

« Alors, on continue de jouer cocotte ? Ok, alors à moi de reprendre la main tu ne sens pas un léger froid ? Moi non bizarre hein~ De plus le froid ne se termine pas tout de suite~ Tu veux jouer alors on va jouer pour de bon et ce n'est pas cette abruti de vendeur puceau qui me contredira vu qu'il a refait son slibar tellement il a eu peur. C'est ambiguë c'est très fun, mais c'est notre vie Jill et on va jouer autant que possible~ »


Avec un affront je laissais le dernier morceau de glace qu'il me restait sur mon cône dans le dos de Jill au niveau de son sous-vêtement si avec ça elle n'avait pas froid je ne comprenais pas. Pour bien faire chier je la plaquais contre moi écrasant la glace dans son soutien-gorge et plaqua ma main sur ses fesses pour finir mon travail en me marrant. Elle n'aura aucunement l'envie de jouer après tout cela ou en tout cas aura l'idée de devoir retourner se changer à Sei. J'étais sadique parfois et là pas qu'un peu~
Frangine d'amour na mwa ♥


© Failara
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeDim 21 Avr - 10:19

Se tenter encore et toujours, c'est ça que j'aime. Notre amitié est basée sur ce petit jeu du chat et de la sourie. Oh mais moi ça me plaît. J'adore faire ma petite chiante auprès de mon petit monde, vois-tu. C'est même une de mes activités favorites. Alors faire chier mon frangin, James en l’occurrence, pour moi ça relève limite de la normalité ! Attends, tu sais pas combien de fois je lui ai fait péter des câbles parce que je lui traînais trop dans les pattes ! Non mais c'est assez exceptionnel ! Le pire c'est qu'il pourrait me frapper et me faire peur jusqu'à me traumatiser, mais non, il ne fait rien. Je crois qu'il m'adore, donc ça me fais bien plaisir hihi ! Mais au delà de ces moments de taquinerie intense, que certains peuvent prendre pour, soi-disant, un petit jeu sexuel (parce que oui, à Sei, les gens sont assez pervers ! moi ? non. Pas du tout.) on passe de petits moments tranquille ensemble. C'est à dire qu'on peut rester calme tout simplement et faire les affectueux. Tout dépend de notre envie de déconne donc, c'est le hasard qui décide. Mais je m'amuse bien en sa compagnie, et il suffit juste d'une petite lueur de défi dans les yeux d'un de nous pour qu'on se lance dans un délire bizarre ! Et qui dit délire bizarre dit la situation actuelle. Je suis sur lui, ma poitrine contre son torse, sa glace gelée entre mes lèvres comme une petite salope, et je le regarde de mes yeux dorés en l'aguichant. Euhh... Je vais pas cacher que je suis pas bien à l'aise. Attend on dirait que je veux baiser avec mon frangin ! Mais pas le choix. Il m'a cherché, il m'a trouvé ! Et je me dois de tenir mon rôle de mermaid et de réagir en conséquence ! Attends, je suis une rose, pas une verte, alors la séduction c'est censé me connaître. Disons qu'en fait je me sens même limite puissante sur lui. Ouais je me sens de toi comme coussin, hein James, hein ! Donc cette situation est plutôt... Ambiguë. Mais bon ça change pas. Alors je continue de léchouiller ma glace comme le ferrais une petite fille en manque, cherchant à le rendre mal-à-l'aise. Lui qui a des principes, ça doit pas trop lui faire du bien d'avoir une gamine sur les jambes. Ah non mais j'ai confiance en ma stratégie tu vois, pour moi c'est normal ce qui se passe, enfin il va pas continuer plus loin. Je le connais voyooons ! Puis un long frisson commence à monter le long de ma cuisse. Mes cheveux roux s'hérissent sur ma tête et mes yeux s'écarquillent. Euh, Da funk ? je relève mes yeux sur lui. Puis soudainement je fais une tête à demi choquée avant de lâcher un petit gémissement dû au froid soudain qui m'envahit. Oui j'avoue je comprend rien à ma vie. Puis finalement je comprend bien vite quand je pose mes yeux sur mon décolleté. Ah d'accord. Il m'a foutu sa glace dans les seins. Ah l'enfoiré. C'est comment dire ...

« AHHH C'EST FROIIIID ! »


Ouais voila c'est gelé. Donc tu vois, je me met à sautiller comme une demeurée sur James tandis qu'il continue de m'étaler de la glace partout sur le postérieur. Ah mais je l'aime ce James. Moi qui croyais en ma défense, qui me disait non il n'osera jamais j'l'ai dans le cul là ! Je gémis une seconde fois. Ahhh bon dieu c'est horrible ! t'imagine, c'est l'été et il faut qu'il me foute un truc atrocement gelé digne du froid russe de pingouin sur la peau ! Non mais c'est inacceptable ! Je le griffe alors comme pour me protéger du froid. Non mais attends, là c'est atroce, j'ai des frissons de partout et je commence à retomber à la température corporelle 0 ! Et heureusement, James, enfin heureusement ... James a le malheur de me coller à lui et donc la petite boule de glace que j'avais dans le décolleté s'étale et commence à me dégouliner sur le ventre. AAAAAAAAAH ! Je lâche un cri cette fois-ci ! Et sa petite phrase après me fait littéralement péter un plomb : « Alors, on continue de jouer cocotte ? Ok, alors à moi de reprendre la main tu ne sens pas un léger froid ? Moi non bizarre hein~ De plus le froid ne se termine pas tout de suite~ Tu veux jouer alors on va jouer pour de bon et ce n'est pas cette abruti de vendeur puceau qui me contredira vu qu'il a refait son slibar tellement il a eu peur. C'est ambiguë c'est très fun, mais c'est notre vie Jill et on va jouer autant que possible~ » Sincèrement j'ai cru que j'allais le tuer. Primo j'ai froid, deuxio je me sens pas à l'aise, troisio je rougis. Et j'aime pas rougir. Je déteste ça ! Donc tu vas retirer tes sales pattes James ! Je commence à le frapper avec ma force de mouche comme une vraie gamine en lâchant des petits cris d'enfants. Bon dieu ! J'ai beau avoir la force de frappe d'un bébé j'en ai rien à foutre je frappe quand même ! Lâche moi ! J'ai trop froid ! JE BOUDE ! AHAHHH ! Je pète un câble, moi ? Nooon. Loin de là. J'sais pas le froid ça fait déconnecter les liaisons nerveuses et donc mon cerveau bug légèrement. Non pour de vrai ça m'a vraiment saoule. En plus je suis en robe quoi, si encore j'avais la consolation que je sois en short j'aurais pu retirer mon bas et me servir de mon tee-shirt pour cacher mon sous-vêtement petit bateau, mais là... j'ai rien ! Enfin je peux pas me change et j'ai pas envie de me trimballer à Sei toute tâcher et frigorifiée ! Je continue donc de frapper James en guise de boudage. Ah non mais là ça m'énerve. Oui je me répète et alors ? Je continue de lâcher des cris chelou avant de m'arrêter et de le regarder avec de grands yeux. je fais une tête de smiley pas content en le regardant, sourcils froncés pendant bien une minute avant de me jeter sur la table et de retirer ma robe et de l'envoyer sur James. Non mais j'ai pas trop peur encore de faire ma nudiste, mais fuck quoi ! J'ai froid ! Et quitte à faire honte à tout le monde je vais me foutre au soleil et je vais attendre que je réchauffe !

« Non mais vas-y ! C'est gelé putaiiin ! Tiens garde ça ! Non mais tu réfléchis pas, je suis frigorifiée et sale maintenant ! non mais tu peux toujours courir pour que je te reparle tant que je suis pas brulante ! »

Et pour accompagner mes dires, je me fous en étoile de mer dans la pelouse du parc. Non mais attends, comme si j'allais rester gelée ! Bon ok j'exhibe la culotte petit bateau, m'enfin c'est pas la première fois vu comment il m'a porté ce psychopatate, et puis j'suis fière de mon soutif victoria secret alors je m'en fous ! Rien à battre les steaks hachés ! Mais là au moins je pense que James a compris que pour moi la plaisanterie avec ses limites. Je suis encore rouge de sa réaction. Je fait alors une moue. Putain, le froid, j'ai beau être canadienne, je déteste ça ! Je fronce les sourcils. Non mais attends... Je veux bien être gentille mais ça non, quoi ! Je suis persuadée qu'il va en rire et qu'il va venir me faire chier alors que je suis très bien au soleil, mais rien que pour une fois j'aimerais qu'il comprenne que pour moi la plaisanterie c'est drôle, mais à la longue ça devient épuisant... Donc je reste comme une abrutie sur la pelouse verte du parc qui me chatouille les joues, à profiter des rayons du soleil sur ma peau. Bah tiens, ça va être l'occasion de bronzer. J'espère qu'il fait pas des conneries avec ma robe, car malgré tout je tiens à la récupérer pour rentrer à Sei. C'est pas que j'aime pas qu'on me regarde, mais se trimballer à poil c'est pas trop mon trip à vrai dire. Rha, foutu James ! Je déteste ce genre de blague !
picture mermaid
fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeMar 30 Avr - 2:38

Keep cool.




▬ play it
Avec Jill, c'était une partie de ma vie que j'avais toujours mal vécu et surtout totalement raté que je rattrapais avec plaisir. L'enfance ou la période la plus douloureuse de ma pathétique vie. À cette époque je n'étais qu'une sous-merde. Il n'y a pas d'autre mot pour qualifier ce que j'étais. Je me laissais faire tout le temps. Mon père m'aurait demandé de sauter dans le fleuve le plus proche pour me noyer je l'aurais fait. Plus j'y pense à cette époque et plus je me dégoûte. Je n'ai pas fourni à l'époque assez d'effort, de hargne et surtout de force face à tout ça. J'aurais dû frapper ces petits cons qui m'emmerdaient quand j'étais gosse et leur refaire le portrait. J'aurais dû gifler et faire comprendre la vie au gros porc et tonneaux de vin qui me servait de père. Je sais que si je me voyais petit et que je devais agir à ma propre place ça ne serait pas du tout pareil mais vraiment pas pareil. Bien sûr si c'était possible cela changerait également le moi que je suis aujourd'hui et ça je ne veux pas. Enfin bref on s'en fout. J'aurais dû le plomber plus tôt que ça ce gros pochetron mais bon tant pis. Ce qui me dégout le plus dans tout cela c'est qu'il m'a laissé comme souvenir de lui cette chose immonde qui me bafoue le visage et le cou. Oui je parle bien sûr de mes brûlures. En faites, je les sens chaque jour, chaque nuit me tirant de mon sommeil ou me tiraillant comme pas possible. Le seul moment où elles me font pas mal c'est quand je me sens vivre. Quand je profite avec Shiro, rigole avec Addison oui pars en steak avec ma frangine, ma petite Jill.


Elle ne remarque pas forcément à quel point elle m'est utile et surtout indispensable cette gamine. Enfin je pense que si vu le nombre de fois où elle vient me coller comme un chewing-gum pour profiter et s'amuser avec son cher James. Je ne dis pas que je m'en plain bien au contraire. Je pense qu'entre 'elle et moi, notre relation amicale est parti d'un malentendu qui a fait qu'on a trouvé comment contrebalancé les mauvaises choses. Oui je sais on dirait un vieux hippi qui parle. Je veux dire qu'on est toujours dans l'ambiguë un jour ou l'autre, mais jamais on ira trop loin. Jamais elle ou moi on ne pensera à coucher avec l'autre. Déjà ça serait bizarre incongru puis merde on est limite comme un frère et une soeur. Jill est aussi peu pour l'inceste que moi donc ce point restera à tout jamais réglé cassé et rangé. Pour en revenir à la situation, je sais qu'elle cherche et cherchera toujours à essayer d'avoir le dessus sur moi. Je la comprends après tout elle est plus petite et  frêle que moi donc bon. Je ne lui dit pas souvent, mais je tiens à elle et je la protège comme je peux. Oui bah que voulez-vous, même si c'est ma frangine ce n'est pas un laideron elle est bien foutue alors autant éviter qu'elle se fasse violer. Son côté parano étant très souvent le moteur de sapeur ça ne doit pas l'aider. La regardant sans rien dire avec un grand sourire après mon geste de revanche je pus bientôt être amusé par la suite. Je la vis assez rapidement malgré son manque de réaction des fois, vu comment elle sait être amorphe, me regarder avec de grands yeux puis pousser un cri en me disant que c'était froid. Non sérieux une glace est quelque chose de froid. Ah Jill, tu es perspicace c'est bien même très bien, mais y fait froid hein hé hé. Je me délecte de son visage en rogne, du fait qu'elle doit avoir froid, être gêné et surtout se dire qu'elle s'est bien fait niké. Tel est pris qui croyait prend ma chère frangine. Tu oublies bien trop souvent à qui tu as affaire je suis ton cher frangin James, Bastards imprévisible et très sans gêne. Je commence alors à sentir ses petits poings marteler mon torse pour exprimer son pétage de câble sans double et sa hargne. Elle à beau être petite c'est un peu comme du Skip petit mais puissant. Enfin elle ça serait plutôt petite mais nerveuse, très nerveuse. Je ne sais pas si c'est de la voir énervé, en train de sautiller ou simplement de lui avoir renvoyé l'ascenseur qui m'amuse tant.

Je la sentai énervée comme pas deux et son regard rageur sur moi. Bon cela ne m'affectait pas du tout, mais bon vous savez, elle aime se faire la petite méchante et savoir qu'elle me fait peur alors que ce n'est pas le cas. Je la laisse croire pour pas la casser dans son élan de rage post trollage voyez-vous. Bientôt ce fut sa robe qui vint m'atterrir sur la gueule. Oui elle n'avait rien trouvé de mieux pour sécher que de montrer à tout le monde son soutien-gorge et sa culotte. Personnellement, je m'en fous ce n'est pas ma copine hein donc elle fait comme elle veut. J'aurais pu faire le con avec sa robe, mais non. Je l'entendis me dire après m'avoir jeté la robe.


« Non mais vas-y ! C'est gelé putaiiin ! Tiens garde ça ! Non mais tu ne réfléchis pas, je suis frigorifiée et sale maintenant ! Non mais tu peux toujours courir pour que je te reparle tant que je ne suis pas brulante ! »


Là elle était définitivement énervé mais bon cela n'avait rien de vraiment étonnant après ce que j'avais fait. Je la vis en mode Patrick sur l'herbe. Sans rien dire je m'approchais du vendeur de glace et demandait calmement.

« Dites, vous pourriez faire sécher ça dans votre camionnette ? Et je vous conseille de ne pas vous barrer ou de faire des trucs glauques avec. Etant donné qu'en plus de l'avoir sur la gueule ma frangine vous m'aurez aussi sur le dos et je doute que ce soit agréable. »

Confiant la robe pour qu'elle sèche au mec le plus naît du monde, mais apeuré par moi je retournais près de Jill. Je la voyais elle boudait. Elle l'avait cherché, elle faisait la gueule et devait se dire qu'il y a des limites mais c'est elle qui a voulu me mettre au défi. Faut pas pleurer quand on cherche frangine. Elle grelottait même si elle ne voulait pas le montrer. M'étirant je laissais alors mes chaussures et mes chaussettes puis vira ma veste et mon tee-shirt. Sans même lui demande son avis je me calais près elle et la câlina puis murmura en posant ma veste dans son dos.

« Tu boudes et je sais pourquoi tu trouves que la plaisanterie avait ses limites, mais tu m'as mis au défi. Tu devrais savoir que rien ne m'arrête. Ensuite sincèrement Jil je suis désolé, ok ? Je ne fais pas le faiblard, mais faut reconnaitre quand on va trop loin. Je t'aime très fort ma petite soeur chérie alors arrête de faire ta tronche de mérou s'il te plait. »

Je la gardais dans mes bras sans rien dire regardant l'horizon et trouvant le temps un peu trop long. Je n'aimais vraiment pas la voir faire la gueule parce que dans ses moments là on aurait plutôt dit des gens en pleine disputes ou qui se haïssent plus qu'un frère et une soeur de coeur unis dans la folie, le nawak et l'amitié. Là c'était vraiment la met je ne savais pas trop quoi puis d'un coup sans rien dire je lui lâchais un truc totalement dénué de sens et surtout déplacé.

«Dis Jill c'est moi ou tu as pris des seins ? Je les trouve un peu plus gros que d'habitude. Tu t'es pas fait opérer rassure moi parce que bon ça coute un fric fou cela ne sert à rien puis tu étais bien telle que tu étais bien tu ne t'es pas fait opérer ? »

Je ne la lâchais pas et embrassais sa joue n'aimant pas vraiment qu'elle fasse la gueule comme un vieux poiscaille. J'espérais dans un long soupire qu'elle me pardonne ou du moins retrouve le sourire. Elle était au calme à bronzer dans mes bras et pouvait avoir moins froid vu que je lui offrais un peu de ma chaleur. J'avais été con avec elle, mais je ne lui voulais que du bien au final.
Sister♥


© Failara
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeMer 12 Juin - 9:19

Le soleil réchauffe lentement ma peau tandis que mon sourire s'étire sur mon visage. Ah oui, c'est clair la chaleur c'est carrément mieux que le froid. Rien à foutre que je suis en mode Patric, ouaish. Moi j'suis un bonhomme, j'expose mes attributs féminins, j'en ai rien à battre ! J'ai les yeux fermés et je profite du soleil. C'est l'été non ? Enfin, le soleil il est cool, enfin là pour qu'on profite de lui. C'est pas en hiver qu'on va se foutre à moitié à poil sur l'herbe, hein, on est d'accord ? A moins qu'on soit maso de chez maso. Perso, j'aimerais pas me foutre dans la neige et regarder le ciel en attendant que le soleil débarque, couchée à poil comme une étoile de mer. Mais là je crois que je pars un peu trop loin. Je ne sais pas ce que fais James... Si je lui fais la gueule ? Oh non pas du tout ! C'est pas parce que j'ai pété un mini câble que voila je le supporte plus, faut pas croire. Justement! J'ai pété un câble car j'ai trouvé que ça allait un peu trop loin -vu que ma robe y est passée- mais c'est pas pour ça que j'vais le renvoyer chier. James c'est mon grand frère donc, je crois que jamais je pourrais lui faire la gueule pour n'importe quoi... Faut pas exagérer quand même ! J'ai pas trop froid, j'me sens bien. En pleine réflexion intense donc ça réchauffe. Puis je le sens alors se coller à moi et me câliner en m'entourant de ses bras. Je rouvre mes yeux pour le regarder tandis qu'il pose sa veste sur mes épaules. Ohh, qu'il est adorable « Tu boudes et je sais pourquoi tu trouves que la plaisanterie avait ses limites, mais tu m'as mis au défi. Tu devrais savoir que rien ne m'arrête. Ensuite sincèrement Jill je suis désolé, ok ? Je ne fais pas le faiblard, mais faut reconnaitre quand on va trop loin. Je t'aime très fort ma petite soeur chérie alors arrête de faire ta tronche de mérou s'il te plait. » Je souris alors. Mais un sourire, t'sais, un de ces sourires d'anges. Ohhh, c'était trop mignon. Oui. C'est mignon. James tu es mignon ! Je sais à quel point il n'aime pas entendre ça, mais je le trouvais tellement chou que voila quoi. Je finis par le regarder en penchant ma tête en arrière. Je lui lance un de mes beaux sourires. Non mais sérieusement, comment veux-tu que je te fasse la gueule après ce que tu viens de me dire ? Ce serait sadique de faire ah non finalement tu m'as trop saoulé pour que je te pardonne. Et puis même, t'es mon frangin. Pourquoi je t'en voudrais sérieux ? Je finis par me redresser, toujours sa veste sur les épaules et je viens poser mes lèvres sur sa joue en souriant. Il le mérite sur ce coup, c'était bien la première fois qu'il me dit une chose aussi mignonne !

« Je fais pas la tronche mon frangin d'amour. »

J'avoue, j'ai complètement zappé la partie où il disait comme quoi je l'avais cherché. Je ne garde que le positif de la chose et les trucs mignons qu'il a dit, voyons. Je suis une personne sélective, il ne faut pas l'oublier. Mais c'est bien la première fois que James me sort un truc aussi charmant. Ah si, je suis agréablement surprise. Je finis même par l'entourer de mes bras tellement j'ai trouvé ça mignon. Ah... Il suffit de peu pour retrouver le sourire, c'est clair. Je l'aime, James. Ah oui, c'est bien mon frangin d'amour ! J'ai bien vu qu'il avait peur quand je "boudais". Et justement cette petite peur aussi m'a fait sourire : ça prouve bien qu'il tient à moi. C'est dingue comment une relation de chieurs à chieurs devient limite un lien fraternel. Quand je repense à avant, j'en rigole, mais quand je vois ce qu'on devient l'un pour l'autre, ça me rend heureuse. Je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un comme lui à Sei, avec qui j'aurais pu prétendre m'entendre aussi bien, avec qui j'aurais eu ce genre de délire, ce genre de réactions, quelqu'un que j'aurais bien appeler grand frère sans que ça ne sonne faux. Je souris. Oui, c'était agréable de pouvoir aimer quelqu'un comme ça, sans amour rien que de l'amitié, et de se sentir si aimé en retour. En tout cas, pour moi, ça me donnait la joie de vivre et ça faisait ma journée. On reste comme ça un moment, moi à le serrer et lui à faire de même, puis d'un coup, il finit par dire un truc vraiment bizarre qui me fait froncer les sourcils : « Dis Jill c'est moi ou tu as pris des seins ? Je les trouve un peu plus gros que d'habitude. Tu t'es pas fait opérer rassure moi parce que bon ça coute un fric fou cela ne sert à rien puis tu étais bien telle que tu étais bien tu ne t'es pas fait opérer ? » Je le regarde, étonnée. Euh, non j'ai absolument jamais fait d'opération... J'ai juste grandi. Oui, c'est possible, Jill la petite adolescente prépubère est devenue une jeune femme ! Et attends, je voulais avoir des seins depuis longtemps. Moi qui étais plate comme une limande, j'allais limite prier pour que ma poitrine grossisse! Alors quand mon jour est arrivé et que ça c'est mis à pousser, j'peux te dire que j'ai kiffé, ahh oui. J'étais entrain d'encourager mes hormones pour faire tout grossir. Alors quand le bleu me dit que c'était pas la peine, je fais la moue, me décolle de son corps et j'observe mes seins. Je les prend un peu et les ressert avant de le regarder, sourcils froncés et une moue sur le visage. Hé, moi je me trouve très bien, hein. Enfin j'trouve que ça me va bien. Bon ok c'est un peu lourd et ça fait faire beaucoup de sport, mais sérieux, avoir une grosse poitrine c'est la bénédiction. Enfin pour moi. Je finis juste par rigoler. Non mais je rigole car sa question est un peu déplacée quand j'y pense. Genre y'a trente seconde on était à poil tout les deux à se faire des câlins. Je te jure, y'a un passant qui passait, il aurait cru qu'on allait copuler dans les trente secondes qui suivaient. Enfin bref. Perso', j'm'en fous. Je finis juste par lâcher ma poitrine et poser ses mains sur mes cuisses, en ayant ce sourire qui me caractérise.

« Non, ça a juste grossis... ENFIN. Pourquoi ? ça me va pas ? »

J'commence alors à prendre mon air de pétasse rien que pour le faire chier. Je compresse mes seins avec mes bras et je fais une moue à la Maryline Monroe. Oh, vous inquiétez pas, c'est pas mon genre de faire ça. Tiens en parlant de grossissement, mes lèvres aussi on vachement grossies. Elles sont hyper charnues maintenant... Je ne m'en étais pas rendue compte jusqu'à ce que je fasse cette moue que je fais maintenant lorsqu'on m'a pris en photo un jour. J'ai vu ça j'ai bugué. J'ai des lèvres de mamadou sérieux. On voit bien que je suis pas japonaise, j'ai de gros seins, de grosses lèvres et je suis rousse. Vas me chercher une japonaise rousse naturelle avec de gros nichons et des lèvres comme celle d'une renoie ! Bref. Je le regarde un moment comme ça avant d'entendre sa réponse et de me remettre en mode normale. C'est pas parce que je suis une mermaid que je suis forcément une pétasse. Car non, j'en suis pas une, et je n'aime pas les pétasses, donc en imiter une, ça va bien trente secondes après ça me lasse. Surtout si quelqu'un de Sei me voit à moitié à poil devant mon frangin, ça va être vraiment cool... Non c'est de l'ironie.
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fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeVen 5 Juil - 3:00

Un besoin mutuel de l’autre, inséparable à jamais.




▬ play it
Le soleil était au rendez-vous bien heureusement pour moi comme pour Jill. Cela me permettait de bronzer de pas me les cailler et ça lui permettait de sécher un peu. Tout comme ses fringues faut le dire. Depuis toujours quand on commençait à faire les cons avec Jill fallait TOUJOURS que ça finisse par un frittage en règle. Ça ne durait pas longtemps, mais le frittage était là. Je l'observais sans rien dire en souriant. J'étais toujours en train de l'enlacer et de veiller sur elle quand elle répondit à ma question sur bah ses seins Yep. Oui bah quoi ça saute aux yeux je n'y peux rien.

« Non, cela a juste grossis... ENFIN. Pourquoi ? Ça ne me va pas ? »


Je ne peux m'empêcher de sourire et de rire à sa réponse. On aurait dit qu'elle attendait ça depuis la nuit des temps, comme si c'était le miracle de sa vie qu'elle ait enfin des gros boobs. Honnêtement qu'elle ait des gros seins ou pas sincèrement je m'en fiche, simplement que ça m'avait sauté aux yeux alors autant demander. Oui je sais avec ma délicatesse légendaire, mais on ne parle pas de la première connasse qui passe, ou encore d'une pouf écervelée on parle de Jill. MA SISTER la meilleure des soeurs tu vois, la number one DES number one ! Et non je n'en fais pas trop. Elle m'a permis de trouver une part de moi qui se veut affectueux, tendre, protecteur et agréable. Il y a peu de personnes qui ont le privilège de voir ça. Aller à tout péter je dirais trois personnes principalement. Jill bien évidemment, Addison et Riko. Enfin je suis différent avec les trois pour une chose. Je ne serai pas aussi câlin avec Riko que je le serais avec Addison ou Jill. Je n'irais pas picoler avec Riko et moins avec Jill qu'avec Addison. Ensuite, je me vois en appartement qu'avec Jill. Riko pour moi est la preuve que je peux être un exemple pas pour ce que je suis, mais pour mes convictions et ma façon de vivre la vie aussi pleinement qu'il me soit possible. Bon bref revenons- à la situation actuelle.

Je me trouvais toujours allongé avec la sister assise sur moi, qui se mit à faire un air de pétasse, genre une Marilyne Monroe, mais en rousse. Elle remonte sa poitrine pour la faire paraitre plus grosse. Non mais tu as fini de jouer avec tes airbags ou quoi ? Ce ne sont pas des jouets tu sais ? Bon ok nous les mecs on ADORE jouer avec votre poitrine, mais quand même. De plus, la tronche que tu fais tu as des lèvres pulpeuses genre Mamadou So fun en un sens. Puis je la vois reposer ses miches correctement son dos contre mon torse en profitant que je lui fasse des câlins et sans aucun doute que je lui réponde. Ce que je fis par la suite. Pour la faire chier j'appuie avec mon index sur le côté de sa poitrine genre « pouic pouic » voyez ? Oui je suis un chieur je sais.


« Seulement que ça change, sans être méchant tu es d'accord avec moi au début tu étais plus planche à pain qu'autre chose. Tu es devenue une femme s'tout. Et si je trouve que cela te va bien sont pas énorme et cela n'a pas l'air de te gêner. Bon je pense que tes fringues sont secs je vais aller les chercher attend moi là. »


En finissant ma phrase je stoppe mes « pouic pouic », pose mes mains sur ses hanches sans aucune gêne, la soulève puis me lève sans la lâcher et la laisse sur ses pieds en retournant voir le vendeur de glace. Oui le gros lard de taleur qui avait peur de moi. Me voyant arriver il flippa déjà limite à se pisser dessus. Un vrai minable...'Tain j'vais pas le tuer simplement récupérer les fringue de Jill. Quel con quand même ce mec...en plus il reluquait Jill si je n'avais pas un peu de retenue quand elle est là, il aura déjà fini à terre bref.

«Salut la Limace tu pourrais me filer la robe elle doit être sèche maintenant. Et vite pas que ça à foutre. »


Il me la tendit sans rien dire apeuré et voyant que plusieurs demoiselles s'étaient pointées devant son stand de glace je dis avec sadisme pour bien faire chier mon monde et surtout LUI.

«Faites gaffe les filles... ne lui laissait pas votre adresse ou un numéro il va vous espionner quand vous serez à pwal. C'est un gros pervers qui aime bien les petites filles en plus. »


Je partis en rigolant voyant qu'il reçut plusieurs glaces dans la gueule ainsi qu'un flot d'insulte parmi un merci qui m'était adressé. Oui je suis un gros connard, mais putin qu'est-ce que j'aime ça. Depuis mon arrivée sur Sei, non même avant. Depuis ma naissance, j'avais voulu et j'avais fait chier le monde entier. Je crois bien qu'à part ma nourrice et ma mère les autres y prenaient pour leur grade. Qu4ils soient prof, élève, personnes responsable, junkies j'en avais rien à foutre j'étais sauvage. Quand j'y repense j'en rigole je ne savais vraiment pas m'y prendre pour faire chier mon monde. Maintenant oui. Retournant donc vers ma frangine d'amour, je lui tendis sa robe en lui disant avec un calme olympien et de la douceur dans la voix bien sûr.

«Tiens frangine v'là ta robe pour te rhabiller les miches parce que je doute que tu veuilles rester à moitié à poil toute la journée. Surtout que tu te fais reluquer lourdement, mais bon je dis ça je dis rien. »

Je lui laissais sa robe près d'elle sur l'herbe sèche et avança vers un groupe de mecs bourré qui beuglait des insultes vers Jill. Et comme tout le monde le sait, on parle pas mal de ma sœur. Sinon je ne suis aucunement diplomate. Écrasant avec la plus grande brutalité la main d'un des trois alcooliques tout sauf anonyme, je mis mon pied dans la tronche du second et frappa le dernier en lui crachant à la gueule. On n'insulte pas Jill, un point c'est tout. Je revins vers Jill en attendant qu'elle se rhabille. À force elle devait s'être habituée à ce que je sois violent avec les gens. Enfin sauf avec elle bien sûr. Je patientais en lui demandant tout de même un peu curieux.

«Bon fait quoi dis-moi, frangine, pas que je m'ennuie, mais euh je m'ennuie. »


J'étais chiant je vous l'ai dit et ça non-stop alors autant l'être un peu plus avec elle sans abuser. De plus j'étais avec Jill et sincèrement même une partie de rami entre deux vieux, la course d'escargot asthmatique ou encore le lancer de mouchoir aurait été intéressant avec elle. C'était un rayon de soleil s'te fille elle pétait toujours la joie et la douceur. Et elle me le communiait vachement bien de mon côté je lui offrais ma protection et l'amour mutuel l'un à l'autre..
Voili, Voilou frangine d'amour ♥ je t'ai enfin répondu comme ça tu auras tout le temps pour réfléchir. Je t'aime fort tu sais ♥


© Failara
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« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeVen 23 Aoû - 11:01

Ce que j'adore avec James, c'est que je peux n'avoir aucune retenue. Je peux me montrer à moitié à poil, faire des blagues vaseuses et me ramener en jogging ou déguisée en SDF, ça ne le dérange jamais. Il est un vrai frère, un amour... Quelqu'un avec qui je peux tout faire sans regretter la moindre chose. Si vous saviez à quel point je suis heureuse d'avoir croisé sa route, même si au départ je le fuyais pour qu'il évite de me balancer son verre d'eau à la tronche... Non, avec lui je n'ai aucune gêne. Je m'en fous qu'il me reluque, lui il a le droit, c'est pas comme des abrutis qui passent et qui sifflent. Lui peut me dire n'importe quoi, me faire n'importe quoi j'en rigolerais toujours et je le prendrais toujours du bon côté. Non sincèrement mon frangin d'amour je l'aime, mais je l'aime plus que tout. Alors quand il s'amuse à pointer ma poitrine de l'index comme dans les mangas, vous savez le bruit pouic-pouic, pour voir l'effet que ça fait, je le regarde juste en clignant des yeux. Oh non, il a le droit de tester, après tout, c'est vrai que j'ai pris beaucoup de seins en un an, mais bon, ça m'étonne quand même ! Il finit par me répondre, amusé « Seulement que ça change, sans être méchant tu es d'accord avec moi au début tu étais plus planche à pain qu'autre chose. Tu es devenue une femme s'tout. Et si je trouve que cela te va bien sont pas énormes et cela n'a pas l'air de te gêner. Bon je pense que tes fringues sont secs je vais aller les chercher attend moi là. » J'éclate de rire à sa réponse. Oh mon dieu c'est vrai... Quelle planche à pain j'étais. Pas de cul, pas de seins, et petite qui plus est ! Quelle honte... Heureusement que mon corps a suivit mon évolution, sinon imaginez quelle mermaid je ferais... LA MERMAID BABOUCHE. Enfin l'inutile, la useless quoi... Je plaisais pas aux mecs, alors à quoi ça aurait servit ? Alors, oui, je suis vraiment très contente d'avoir passée cette étape et d'être devenue une vraie femme. Là au moins je me sens un peu plus féminine et un peu plus mermaid. Je souris alors quand il me dit qu'il allait chercher ma robe et je lance un ok gentillet... Avant de me faire soulever par les hanches. Alors, je tiens à dire que je ne suis pas habituée, alors ça m'a fait lâcher un ... cri... Enfin si on appelle ça un cri... On aurait dit un mélange d'appel au secours alien et de.. de gémissement de bébé :

« BWARG ! »

Non mais plus naturelle que moi tu meurs je pense. Je le regarde se redresser avant de sortir une tête bizarre comme une grimace pour le faire rire avant de le laisser s'en aller en lui foutant une tape au cul. Allez, plus vite que ça, James, je veux ma robe! Je le laisse alors s'en aller s'occuper de ma petite robe chérie et fleurie oh la rime! ohhhh! pour aller m'assoir sur le banc en souriant. Non sincèrement, je passe toujours de super bon après-midi avec lui, rien a redire. Il est gentil, drôle, sans manière et impulsif. Bref, tout ce qu'il me faut pour rigoler toute la journée. D'ailleurs en y pensant, c'est vraiment étrange l'évolution de notre relation... On est passés de chien et chat craint, à frangin et frangine. Bah oui, vous pensiez qu'on était quoi ? Dorénavant, c'est.. C'est comme si j'avais trouvé un frère à Sei, un soutien. Quelqu'un qui me voudra toujours du bien et qui m'aidera toujours. En tout cas j'ai ce sentiment. Je sais qu'il ne m’abandonnera jamais. Tout comme je ne l’abandonnerais jamais. Je ne le trahirais jamais non plus. James est devenu mon frère... Quelqu'un qui représente aujourd'hui ma famille... Ma seule famille. Oui je sais que c'est beau ce que je dis. Quand j'entends des pervers et autres insultes venant du camion de glace, je redresse le regard et j'observe la scène. Un groupe de fille lance carrément ses glaces fraîchement achetées sur le pauvre vendeur qui se cache derrière sa cuillère. Ouais c'est sûr il avait l'air fin... J'arque un sourcil tout en posant mes yeux d'or sur James. Qu'est-ce qu'il avait encore fait? Oh non pour faire de conneries pareilles je suis sûre qu'il n'y a que lui... Le pauvre vendeur... Non seulement il avait peur de s'en prendre une mais en plus mon frangin lui fait des coups bas. Bon... Je vais absolument rien dire, car... Rien que le fait que le mec se cache derrière sa cuillère me fait rire. Ouais j'ai l'humour facile... Et c'est le bien, l'humour facile! James me tend alors ma robe tandis que je me redresse et me dit avec une délicatesse des plus fines et absolues... «Tiens frangine v'là ta robe pour te rhabiller les miches parce que je doute que tu veuilles rester à moitié à poil toute la journée. Surtout que tu te fais reluquer lourdement, mais bon je dis ça je dis rien. » Ah j'adore. Je le regarde avec un sourire en coin, ma tête légèrement penchée. Ah sincèrement il est vraiment fin quand il veut ce bleu ! Je prend donc ma robe en le remerciant, manquant de rire avant de commencer à l'enfiler. Et je galère. Non mais cherchez pas, Jill Great galère toujours et pour tout. J'vais même pas vous faire le tour de mes étapes galères car sinon j'vais vous écrire un bouquin. Bref. Comme une conne je reste là, à essayer de passer les épaules dans ma robe sans la craquer... La prochaine fois, je prendrais un truc moins serré. Mais pendant que j'ai l'air totalement ridicule à essayer d'enfiler un vêtement pourtant basique, un groupe de mec se met à m'insulter. Je fronce les sourcils et recule légèrement ma tête en les entendant. Hé vos sale pute, chaudasse et conne vous voulez pas vous les gardez ? J'ouvre les yeux, totalement abasourdie par leur insultes à tel point que mon cerveau arrive à analyser la situation... Et à mettre ma robe correctement sans galérer plus. Attends, ça prouve bien que je bug, normalement je trouve jamais la solution. Si, je te jure. Bref. Je fronce les sourcils et je choppe une canette par terre avant de leur lancer dessus comme une conne, énervée.

« TA GUEULE CONNARD. »

Bon bien entendu vu ma force d'attardée mentale, la boîte de converse tombe à ... Quatre mètres d'eux. Bon, j'suis quand même fière de mon lancé parce que j'ai jamais lancé aussi loin, mais bref on s'en fout, j'ai pas réussit à les calmer... Au contraire, ils sont tout excités que j'ai encore fail. Enfin jusqu'à ce que James se charge de les faire terre. Je grimace à chaque coup, puis ferme les yeux, mes deux mains devant pour éviter de voir ce carnage. Les bruits et les gémissements me suffisent. Elle se serait cru dans un dessin animé t'sais... Genre elle ferme les yeux pour éviter de voir les trucs choquant et pas de son âge. Oh mais si, là c'est du interdit -12. Donc je ne décrirais pas la scènes pour les enfants qui m'écoutent. Je suis attentionnée, hein ? Je finis juste par ouvrir un oeil pour voir si la scène était terminée et j'ai eu le droit à cette question «Bon fait quoi dis-moi, frangine, pas que je m'ennuie, mais euh je m'ennuie. » Je rigole en l'entendant. Il vient de frapper un groupe de mec totalement bourrés et ça ne lui fait rien... Personnellement ça aurait marqué ma journée et j'aurais hurlé partout OH PUTAIN JE ME SUIS PETRA AVEC DES MECS AYAYAYA! mais lui non. Non lui, il s'en fout. Donc ça me fait rire. Je passe une main dans mes cheveux en réfléchissant avant de sourire à mon frangin d'amour.

« J'crois que je vais rentrer à Sei là... J'ai des choses à faire... »

Je lui attrape les joues comme une débile mentale et je les tire en faisant agiter sa tête. Comme le ferait sa grand-mère avec son petit-enfant, oui. Vieille Jillou rpz. Mais c'est vrai qu'il serait temps de songer à rentrer. Après tout, je devais m'entretenir avec Raven pour commencer à élaborer des plans pour l'année prochaine. Maintenant que je suis runner de mon groupe j'ai certaines responsabilités à tenir. Dont me soucier des objectifs de mon groupe. Je l'embrasse sur le front avant de le prendre dans mes bras. Allez, c'est le moment d'émotion. Après ce long moment passé ensemble, je peux dire qu'une chose : James est vraiment devenu mon frangin au fil du temps. C'est vraiment quelqu'un qui mérite de sourire et d'avoir de bonnes choses à vivre dans sa vie. Malgré qu'il soit violent, je sais qu'il est quelqu'un de très attachant. J'ai toujours le bisounours et le protecteur sous mes yeux aussi. Je finis juste par murmurer un gros :

« Je t'aime fort mon frangin d'amour, t'es vraiment le meilleur qui soit... »

Je le lâche puis sourit. Oui tu es vraiment le meilleur. Et si je te le dis, c'est que c'est vrai. Je dis toujours la vérité. Mais avant de partir je tiens quand même à m'assurer qu'il va faire quelque chose sans moi, ou du moins ne pas trop s'ennuyer.. Car sinon on peut faire le chemin du retour ensemble ? Bah oui. C'est pas une bonne idée, ça ? Jillou a toujours de bonnes idées, les amis. Et oui, encore aujourd'hui je le prouve, c'est pas beau ça ? Je souris juste et lui tape gentiment sur l'épaule. Je le regarde de mes grands yeux d'or puis lui lâche un beau sourire de jeune et jolie fille.

« Et toi frangin ? Tu veux m'accompagner jusqu'à Sei ? »
picture mermaid
fumer c'est la vie, n'est-ce-pas?
© darren criss


hrp:
Invité
« Have you got a cigarette, please ? » {ft. James Thundereagle} Icon_minitimeVen 6 Sep - 22:33

Toutes les bonnes choses ont une fin.




▬ play it
Toute cette longue journée au parc avait renforcé le lien qui vivait entre Jill et moi. Un lien fraternel sans aucune limite. Un lien flexible, mais qui ne nous privait pas de vivre notre petit bonhomme de chemin chacun de notre côté. Elle était habituée à me voir grossier, violent, désagréable avec les gens sauf avec elle. C'était la petite soeur que je n'avais jamais eu. Qui suivait mes délires, comme en créait, comprenait ma façon d'être pourtant pas simple et me supportait. Elle ne s'immisçait pas dans mes coups de foudre et je ne jugeais pas de qui elle s'amourachait. Je suis frère après tout pas son petit copain. Étrangement cette osmose et ce comportement mutuel c'était imposé de lui-même. Qui aurait cru qu'au fur et à mesure de la rendre encre plus parano, j'aurais fait d'elle ma soeur. Jamais je n'aurais aimé m'attacher à elle comme si elle était de ma famille, comme si elle était la petite soeur qui demanderait de l'aide à son frangin si on la raquette ou on l'agresse. Je savais pertinemment que je n'étais pas un ange, j'étais un Bastards après tout, mais je savais la protéger. Je l'écoutais bien souvent me donner des conseils de femme. J'avais beau être sportif, aucunement timide, je n'étais pas doué avec les femmes. Mon manque de tact, ma franchise blessante, mais aussi mon oubli de cogiter avant de parler étaient des handicaps bien souvent. J'oubliais bien souvent de mettre mon couple quand j'étais avec quelqu'un avant le reste. Pourtant, après la douleur avec Shiro je devais me ressaisir. Je n'avais pas changé d'un violeur compulsif violent et ingérable à un homme plus calme malgré l'impulsivité sans relâche et qui pensait moins avec son entrejambe. À force de côtoyer Jill, j'avais mûrit, sans aucun doute. Il restait du boulot j'en étais sûr mais j'avais déjà avancé c'était un bon point.


En revenant vers elle, après avoir, calmé les trois gusses je l'entendis rire. Il était vrai que mon comportement l'a rendait souvent de bonne humeur. Je passais du coq à l'âne en peu de temps et cela pour n'importe quoi. La preuve, j'avais frappé trois alcooliques avec rage et maintenant je m'ennuyais. Fait ironique j'avais fini au fil du temps par me lasser de ses combats. On se battait tous pour savoir qui serait le ou la vainqueur sans réfléchir à si cela pouvait importer. Après tout, nous étions tous, que nous le voulions ou non élève dans ce bahut. Un bahut qui malgré nos comportements exécrables tenait encore debout et ne nous avait pas viré. Et dieu sait qu'on pouvait faire les quatre cents coups dans Sei. Quand les Amazones ne bottaient pas le cul des Aristocrates, elles se battaient avec nous, quand les Mermaids ne charmait pas nous autres mâles elles se crêpaient le chignon avec les vertes et cela dans tous les sens. Pourtant, même en temps de guerre la paix avait parfois pointé le bout de son nez. La preuve je côtoyais Lith' sans qu'on s'affronte et même la reine des Amazons discutait avec le roi des Bastards. Bilan des courses, la guerre était tout simplement INUTILE. Après tout, on savait tous, que personne ne sortirait vainqueur de la guerre même s'il le voulait. Et puis pour gagner quoi ? Le contrôle de Sei ? Comme si contrôler ce bahut avait une quelconque importance. C'était, comme vouloir conquérir une motte de terre sans avoir de raison valable. La raison de la guerre était les rivalités point barre. Enfin c'est comme cela que je le ressentais.

Je cessais de réfléchir comme un vieux prof de philo en manque et j'écoutais ma soeur me dire d'une voix joyeuse, mais fatiguée.


« « J'crois que je vais rentrer à Sei là... J'ai des choses à faire...»


Nous étions en fin d'après-midi et sincèrement j'approuvais de rentrer. À force de marcher ou de rester assis comme une bourse au soleil j'avais fini par avoir mal au cul et aux genoux. Enfin surtout au cul avec les bancs pourri du parc. J'hochais la tête et la suivi en souriant, jusqu'à ce qu'elle me chope la joue comme si elle était ma vieille tante qui m'appelle mon poussin ou mon bouchon voyez ? Je la vit se mettre sur la pointe des pieds embrasser mon front à la peau pâle et d'essayer de m'entourer avec ses petits bras. Je passais mes bras autour de sa taille l'entourait facilement et entendit le murmure de Jil.


« Je t'aime fort mon frangin d'amour, t'es vraiment le meilleur qui soit... »


Je ne pus retenir un sourire gêné à l'entendre dire que j'étais le meilleur grand-frère qui soit. Je ne me considérais jamais comme le meilleur d'où le fait que je passais énormément de temps à m'entraîner. Je n'étais sans doute pas un mec immonde, mais je ne trouvais pas personnellement la mine d'un apollon, ou alors un apollon bourru et brulé. Pour ne pas laisser un blanc gênant entre elle et moi je répondis de ma voix rauque, mais avec calme et douceur, enfin j'essayais.

« Moi aussi je t'aime frangine, tu es la must s'tout. »


C'était simple, pas des plus gentils, mais c'était suffisant pour Jill. Elle me connaissait assez pour savoir quand j'étais gentil. Elle me lâcha et on se regarda comme deux merlans frits pendant quelques secondes puis elle me fit une tape sur l'épaule et me demanda tout sourire.

«Et toi frangin ? Tu veux m'accompagner jusqu'à Sei ? »


Bien sûr que j'allais la raccompagner. Je n'étais pas un salaud avec les gens avec qui j'avais envie d'être un tant soit peu courtois. Cela étonnait les gens de voir James Thundereagle, bourrin de service aux paroles parfois perverse et sans délicatesse être gentlemen en tenant une porte ou en raccompagnant quelqu'un. Quoi que la vie ait fait de moi je restais le fils de ma mère. Je n'étais pas sa fierté pour rien. J'avais tenu tête à l'homme qui avait fait sa mort même en sachant les risques. Je n'étais pas, des plus croyant, mais je savais que ma mère devait être fière que son fils avait su relever la tête après tout ça sans oublier ce qu'elle m'avait inculqué. Je me pris à sourire comme Jill en repensant à mère et je ne tardais pas à répondre à ma petite frangine.

«Bien sûr que je te raccompagne frangine ! Je ne laisserais pas quelqu'un, tenter de t'agresser dans la rue. De plus, tu m'as trouvé au parc à moi de te ramener à Sei c'est normal. Aller go parce que faut que j'aille ranger mon bordel et discuter avec Norio moi ! »

Je lui mis une tape sur le crâne et commença donc à marcher. Je passais au-dessus des gens endormit, marchait sur quelques mains sans entendre de protestation comme si je leur faisais peur, ça c'était cool~ Sortant du parc je pris une clope en alluma une et en tendit une à Jill.

«Tiens récompense de frangin je te file une de mes clopes sans blague simplement une clope en dédommagement.. »


On pouvait dire tout ce qu'on voulait de moi, me raillait, m'insulter, dire que j'étais stupide, je sais que quoi que l'on puisse dire sur moi je pouvais leur prouver l'inverse avec de la volonté. Je ne lâchais rien et ça n'allait pas être aujourd'hui que cela allait commencer.


C'est un peu cours j'avoue, mais je suis pas en super forme x.x (1234 mots)
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