Sei Gakuen
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« Dépêchons, dépeçons ! » [PV Lilith]

Invité
« Dépêchons, dépeçons ! » [PV Lilith] Icon_minitimeMar 2 Oct - 9:03
Akahiko n'était pas d'humeur à terrasser quelqu'un aujourd'hui. Il n'avait pas envie, comme ça aurait pu être le cas, de déambuler dans le QG des groupes ennemis pour y foutre un bordel monumental. Non, en cet instant, le jeune homme aux cheveux rouges sang était serein. Allongé sur son lit, les yeux fermés dans un calme parfait en vue du silence que conservaient ses camarades de chambre, il réfléchissait à ce qu'il pourrait bien faire pour se divertir. Il avait d'innombrables possibilités, mais parmi toutes, l'une d'elles était en tête de sa liste de préférences, et ce de très loin. Quelque chose qu'il n'avait aucune honte à énoncer, et qu'il ne manquait pas de faire, d'une façon claire et directe, même si le fait que les autres soulignent la présence de plaisir en lui l'énerve, paradoxalement. En cet instant, cette seule action aurait pu trouver le moyen de l'agacer, lui qui avait prévu de se divertir.

Se redressant lentement, il ouvrit les yeux et balaya les alentours du regard, constatant que l'endroit était vide. Parfait, tous semblaient être partis de bon matin, ce qui lui évitait de se prendre la tête avec ses camarades de chambre - et en d'autres mots, d'avoir à les agresser pour qu'ils aient enfin le bon sens de le laisser en paix. Après tout, une autre expression n'aurait su qualifier ce qu'il désirait en ce moment : un calme parfait, baigner dans la tranquillité et le silence du fait de son humeur spéciale. Ses réactions n'auraient pas changé de d'habitude, mais pour la première fois, le Bastards préférait ne pas avoir à les montrer. Prenant une grande inspiration, Akahiko se réveilla totalement et partit en direction de la douche. Pour une fois, il n'y avait ni jeu, ni dispute pour savoir qui passerait en premier et quand bien même, le jeune homme n'aurait pas négocié.

Après vingt-cinq minutes de questions existentielles sur l'univers et sa création ainsi qu'environ trois minutes passées à se laver, le garçon sortit enfin de la douche. Habillé plutôt simplement, d'une chemise surmontée d'une veste ainsi que d'un pantalon, il avait cependant encore sa serviette sur la tête, ayant les cheveux mouillés. Sans gêne, il sortit habillé de cette façon, comme s'il se trouvait chez lui - une remarque qui n'était pas dénuée de sens, au fond. Il traversa les couloirs, ses yeux à la double teinte brillant sous l'ombre de sa serviette en dissuadant quiconque de venir l'emmerder. Enfin, il arriva devant le Grenier, un endroit calme mais souvent fréquenté par les pires filles de Sei qui soit. Les Amazones, le groupe qui correspondait au sien chez les femmes, le genre de personnes qu'il détestait : qu'espéraient-elles, à tenter de se hisser à son niveau ?

Cela importait peu le garçon. Lorsqu'il vit deux filles pointées devant l'entrée du grenier, comme s'il s'y passait quelque chose d'important, il se contenta de leur jeter un regard d'avertissement. Il murmura un « Dégagez », ce qui n'eut bien évidemment aucun effet : l'une d'elles voulut mener l'assaut, mais le garçon lui lança sa serviette à la figure, en profitant pour lui empoigner la gorge. Il se tourna vers l'autre fille, qui l'interpella d'un ton colérique et hautain : lorsque la reine reviendrait, il se ferait tabasser. Ainsi donc, elle n'était pas là. Le garçon fit un geste de bras pour lancer la jeune femme et fit volte-face rapidement, s'éloignant au plus vite. Il avait bien évidemment agit sur un coup de tête et n'avait pas réfléchi à un critère bien simple : son téléphone portable. Il le sortit et galéra un peu à trouver les fonctionnalités de sms, mais y parvint après pas mal de difficultés.

« Tu aimes les animaux ? Viens au zoo, on doit se dépêcher pour dépecer. »

Et ça s'arrêtait là. Lorsqu'on reçoit ce genre de messages, on préfère s'éloigner le plus possible de la personne qui vous l'a envoyé. Pourtant, Akahiko savait que le récepteur allait faire tout le contraire de ce que quelqu'un de normal aurait choisi de faire : soit, venir le rejoindre. C'est donc de cette façon que le Bastards se retrouva devant le zoo, portant un pantalon et une veste, adossé contre un grillage, les yeux fermés, les bras croisés. Personne n'aurait voulu aborder quelqu'un qui ressemblait à ça : cheveux rouges, aura effrayante et une expression des plus sérieuses. Il ne savait pas quand est-ce qu'elle allait arriver, mais ce moment changerait totalement son comportement. Il avait déjà averti le portier de ne pas faire quoi que ce soit pour emmerder une fille correspondant à la description qu'il avait donné : longs cheveux roses, yeux roses, et sourire sadique.
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« Dépêchons, dépeçons ! » [PV Lilith] Icon_minitimeDim 14 Oct - 7:52

Rencontre au zoo ❞
.....



Sei. Ce nom autrefois réputé pour être une grande école formant de jeunes espoirs s’est vu devenir un lycée où règnent la terreur et l’angoisse. Où chaque élève se retrouve confronté à une guerre sans fin, le menant parfois à sa perte. Où chacun de vos gestes peut entrainer de lourdes conséquences qui influent votre futur. Alors quand on vit au quotidien cette haine, comment rester sain d’esprit ? Selon vous, est-ce possible ? Concevable ? Peut-être qu’en effet, ça l’est. Mais quand on est Lilith, peu importe dans quel environnement vous êtes, vous n’êtes pas sain d’esprit. Elle est étrange, cette fille aux longs cheveux roses et aux pupilles perçantes. Un peu folle, un peu violente, un peu sadique. On la traite régulièrement de psychopathe. Sociopathe. Folle furieuse. Elle les écoute, les regarde, les torture, les abandonne sans se retourner. Elle marche sur le rebord d’un toit, à la recherche intense d’une occupation. Ses pieds effleurent à peine le bitume. Allume une cigarette qu’elle fait tourner entre ses doigts longilignes. Expire la fumée qui s’élève en volutes. Soupire d’ennui. Laisse tomber sa cendre qui s’effondre au sol, en bas. Il fait encore jour, le temps est clair. Mais rien ne bouge. C’est encore et toujours la même chose. Rien ne se passe. Absolument rien. Comme si on avait stoppé la scène pour un temps indéfini. Alors que faire pour que quelque chose se produise ? Espérer ? Lith a perdu l’espoir depuis un sacré bout de temps. Depuis que… Depuis cet évènement. Mais on s’en fout. Ce n’est pas ce qui compte, ça ne comptera jamais. Les gens s’en contrefoutent. Ils préfèrent provoquer sa fureur, s’amuser de sa colère. Celle qui la ronge depuis tant d’années. Celle qui la pousse à frapper quiconque qui s’oppose à elle ou qui lui manque de respect. Elle a tout fait pour se protéger de quoique ce soit. Mais elle a oublié le plus important, protéger son cœur. Et depuis qu’elle a rencontré ce jeune homme, on peut dire que quelque chose a changé en elle. Elle se souvient encore de ses yeux vairons, qui la scrutaient alors que du sang se mettait à coaguler sur sa peau diaphane. De cette chevelure couleur sang en bataille qui retombait sur son front en quelques mèches rebelles. De combien le silence était oppressant alors qu’ils n’étaient plus que deux à tenir encore debout. De tous ces corps qui jonchaient le sol, inconscients. De cette altercation avec ces mecs au sang imbibé d’alcool qui les a réunis pour mieux les séparer ce jour-là. Si cette rencontre n’avait pas eu lieu, les choses n’auraient jamais changées, n’est-ce-pas ? Laissant sa cigarette entamée glisser le long de ses doigts, elle sent quelque chose vibrer dans sa poche de jean. D’abord, elle ignore. Sûrement de la publicité pour un quelconque produit. Puis elle se laisse tenter et succombe. Numéro qu’elle reconnaitrait entre mille. Envie irrésistible de lire ce SMS. Ses yeux ne suivent que la phrase, ni trop longue, ni trop courte, mais assez intéressante pour daigner lui arracher un sourire, discret mais sincère.

« Tu aimes les animaux ? Viens au zoo, on doit se dépêcher pour dépecer. »

Parmi six milliards d’êtres humains, un seul aurait une idée aussi atroce. Enfin, deux. Elle et lui. Ce fameux jeune homme qu’elle a rencontré lors de cette bataille opposant Lith et ces foutus alcoolos. Qui aurait cru qu’un jour des liens se tisseraient entre une Amazon et un Bastard. Et surtout, entre celle qui jurait détester les hommes par-dessus-tout et ne voulait aucune relation de n’importe quel ordre avec eux. Les temps changent autant que les gens. Même si Sei est désormais réputée pour la haine entre les deux sexes, il y a parfois des exceptions. Mais Lith se méfie toujours autant. On l’a déjà blessée une fois, elle ne refera plus l’erreur d’aimer. Surtout si c’est à sens unique. Trêves de pensées, la jeune demoiselle laisse sa cigarette consumée tomber dans le vide et s’empresse de rejoindre les escaliers menant à l’extérieur du pensionnat. Elle sait qu’il l’attend devant le zoo, patiemment. Est-ce qu’il est dans le même état qu’elle, à la limite de l’euphorie ? Son cœur bat il aussi vite que le sien dans sa poitrine ? Son souffle est-il saccadé et court ? Elle refuse de croire que c’est de l’amour. C’est juste un sentiment étrange y ressemblant. Mais jamais elle n’avouera ce que c’est. Personne ne doit savoir, il en va de l’avenir des membres du groupe. Qui sait comment les filles réagiront si jamais elles apprenaient que leur Reine est sur le point de succomber à un homme. Perdue dans ses pensées, elle coure vers le zoo, se mêlant avec dégoût à la foule compacte qui se presse autour d’elle. Elle finit par déboucher sur l’entrée du zoo, cherchant activement du regard celui qui l’attend. Et elle finit par le voir, adossé contre un grillage, les paupières closes. Le portier semble effrayé et la laisse passer sans lui demander quoique ce soit. Elle range son portable dans son slim noir et accoure vers lui. Ses lèvres roses esquissent un second sourire, beaucoup plus présent et sa voix fluette s’élève. Des frissons la parcourent lentement et ce n’est parce qu’elle à froid. Sous sa veste en cuir et son top à bretelles fines, son cœur semble prêt à bondir hors de sa poitrine. Comme si il allait imploser de l’intérieur et briser sa cage thoracique. Si elle perds le contrôle maintenant, c’est foutu. Respirant à peine, elle aligne les mots sans en comprendre réellement le sens.

« Je me suis dépêchée ! »

C’est stupide, hein ?

HRP
Voilà ♣
© Lith
Invité
« Dépêchons, dépeçons ! » [PV Lilith] Icon_minitimeVen 2 Nov - 22:04
Elle était là. Elle arrivait. Il savait qu'elle allait venir, il savait qu'elle ne le laisserait jamais ici seul, s'il avait quémandé sa compagnie. Il savait qu'il pouvait l'attendre, qu'il ne resterait pas ici bien longtemps. Il avait confiance en elle. Aussi fou que cela pouvait sembler être, c'était le cas : la personne sur qui il pensait pouvoir compter le plus était une femme. Pas n'importe laquelle, qui plus est, c'était la Reine des Amazones, en d'autres termes, celle qui était - ou qui était censée être, sa pire ennemie. Ironie du sort, elle était au contraire sa plus précieuse alliée : à eux deux, ils auraient pu se dresser contre Sei entier, qu'Akahiko n'en aurait pas été touché. Il n'y avait pas vraiment de personnes à qui il tenait, là-bas, si ce n'était elle, justement. C'est pourquoi, en permanence, il avait ses pensées rivées sur elle, en permanence, il voulait la voir, faire des choses pour elles, lui montrer qu'il était là.

Akahiko prit une grande inspiration et extirpa, levant les yeux vers la jeune femme qui venait d'arriver. Ceux qui les connaissaient un minimum pouvaient affirmer qu'ils étaient bel et bien de véritables dérangés mentaux, mais il n'y avait pas que ça. Leur apparence aussi montrait bel et bien leur folie de façon explicite : cheveux roses d'un côté, cheveux rouges de l'autre. Yeux rosés d'un côté, rouge et jaune de l'autre. Rien ne semblait naturel dans toutes ces caractéristiques, tout en eux semblait traduire une folie sans bornes. Regard glacial, expression du visage amusée même dans les pires situations, paroles des plus inattendues et inadaptées, qui auraient fait frémir une personne au coeur de pierre. Seuls, ils pouvaient déjà se montrer assez dangereux, c'est pourquoi, il ne valait mieux pas être près d'eux dès lors qu'ils se rejoignaient - et ce, étant de leur groupe ou non.

Observant la demoiselle dans les yeux, Akahiko resta silencieux. Encore essoufflée à cause de sa course, elle lui adressa des mots simples, correspondant à sa demande précédente. Cette phrase, bien que courte, avait amplement suffit à lui faire comprendre qu'elle avait bien écouté ce qu'il lui avait dit. Même s'il ne ressentait pas avec elle cette irrésistible envie de domination qu'il avait envers toutes les autres personnes, bien qu'elle prenne davantage un sens violent dans ces autres cas, il n'en ressentait pas moins une légère satisfaction, mais différente qu'à l'accoutumée. Ce n'était pas cette fierté qu'il avait, comme celle d'une autre victoire sur autrui qu'il possédait en général, mais une satisfaction toute autre, qui lui mettait une baume au coeur. Le garçon esquissa un léger sourire, pour répondre à celui que la demoiselle lui avait adressé, et lui répondit.

« Génial, on va pouvoir y aller. »

Prononcées sur un ton rassurant, ces paroles voulaient déjà tout dire. Si elles pouvaient laisser à penser une certaine indifférence de sa part quant aux efforts qu'avait fait Lilith, le ton employait traduisait du contraire. Lilith devait le savoir, qu'une telle façon de parler n'était pas dans ses habitudes, et que venant de sa part, c'était à n'en pas douter un témoignage de gentillesse extrême. Il se détourna et lui fit un signe de tête pour l'exhorter à le suivre, un sourire toujours présent sur ses lèvres. S'avançant dans le zoo, il se contenta de tourner à droite sans regarder les panneaux, ayant bien prit soin de visiter le zoo en avant-première. Il savait d'or et déjà où aller, mais que faire, il n'en avait aucune idée. À vrai dire, s'il avait eu envie de venir ici, c'était pour s'amuser. Et désormais, devant la cage de ce qui semblait être des singes, il restait immobile, mais lança un :

« À toi l'honneur ? »

Spoiler:
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« Dépêchons, dépeçons ! » [PV Lilith] Icon_minitimeDim 18 Nov - 10:10

Sorry.
But I can't stay here.



Tout était parfait. Que ce soit l’heure qu’il était, l’endroit où ils étaient ou la personne avec qui elle se trouvait actuellement, tout était exactement comme elle l’avait souhaité tantôt. Lith n’avait jamais connu un tel sentiment de perfection. Comme si son rêve devenait réalité. Elle s’en voulait presque d’atteindre une telle perfection. Tout ce qu’elle désirait était à portée de main. En parlant de main, pourquoi est-ce qu’elle n’arrivait pas à glisser la sienne dans celle d’Akahiko ? Elle était pourtant si proche de lui. Mais quelque chose que je ne saurais transcrire par des mots l’empêchait de simplement prendre sa main. Elle se contenta de le suivre sans un mot, cherchant un moyen d’oublier cette foutue main en parcourant les nombreuses cages des yeux. Lith détestait l’enfermement. Quand elle avait dû vivre avec son géniteur, c’était comme enfermer un oiseau en cage. Elle avait haï son père pour ça. Elle avait haï le Monde de lui imposer cette captivité. Elle avait compris qu’haïr valait mieux qu’aimer. Que la haine n’amenait que la haine et que le cœur en restait intact. Elle était donc prudente avec Akahiko. Parce qu’elle s’était déjà fait trahir une fois, elle se protégeait. En observant les divers animaux, elle pouvait comprendre leurs sentiments. Ces derniers n’aspiraient sans doute qu’à retourner dans la savane, et pouvoir gambader comme bon leur semble. La jeune femme n’aimait pas particulièrement le zoo, parce que voir ces tristes scènes où un enfant s’extasier devant une pauvre bête enfermée lui faisait de la peine. C’était pathétique. Les enfants étaient cruels.

Akahiko s’arrêta net et Lith sortit de ses songes. Il lui désigna la cage des singes et lui donna l’honneur de commencer. Son cœur manqua un battement et elle s’empourpra pour une raison la dépassant. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il était le seul en qui elle plaçait une confiance presque aveugle. Elle le savait au fond d’elle-même, qu’Akahiko était un allié précieux. Mais elle se méfiait également. Les hommes étaient aussi imprévisibles que les femmes. Et qu’importe ce qu’il s’était passé ce jour-là, Lith était méfiante. Elle passa la première et sauta aisément la barrière de l’enclos. Les singes se fichaient royalement de l’intrusion de l’humaine. A croire qu’à force d’en voir tous les jours, ils étaient devenus indifférents. Elle avança avec précaution dans l’enclos retenant les captifs et posa son regard sur la dizaine de primates. Ne prêtant pas attention à Akahiko, elle attrapa une pierre sur le sol et brisa un à un les cadenas de la barrière et l’ouvrir en grand, incitant les chimpanzés à s’enfuir. Une panique générale s’empara du zoo et Lith laissa un soupir d’aise s’échapper de ses lippes. Contrairement au message que Akahiko lui avait envoyé, elle préférait les libérer de leur prison plutôt que les torturer. Parce qu’elle savait ce que ressentaient ces animaux. Se tournant vers Akahiko, elle croisa les bras sur sa poitrine.

« Je sais que c’était pas ce qui était prévu. Mais je ne pouvais pas les laisser là-dedans. »

Elle quitta l’enclos d’un pas lent et se dirigea vers la sortie du zoo. Peu importe ce que penserait Akahiko, elle s’en contrefichait. Elle avait fait ce qui lui paraissait juste et s’en contentait largement. Même quand le portier voulut l’arrêter pour l’emmener au poste de police pour ce qu’elle venait de faire, elle lui asséna un coup dans la trachée, le faisant sombrer dans les vapes. Rien, ni personne n’allait entraver sa route. Les visiteurs étaient en proie à la panique, courant dans tous les sens, récupérant leurs enfants sous le bras, quittant le parc dans la folie. Et elle était là, marchant tranquillement, regagnant la sortie calmement, comme si rien de ce qui l’entourait ne l’affectait. Akahiko pouvait bien la laisser partir, elle ne s’en souciait guère. Elle détestait vraiment le zoo.

HRP
C'est nul ;o;
© Lith
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