Quand deux larves se rencontrent ... | Le poisson Koï ▬ Terminé.
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Mar 24 Juil - 6:51
Fuck I'm so tired
Pretty Happy, Pretty Drugged
Journée détente. Aujourd’hui, je ne fous rien. C’est le week-end, j’ai bossé toute la semaine durant, enfin… On peut dire ça, ouais. Mais aujourd’hui, c’est grasse matinée et larvage. Puis, regardez-moi cette chaleur. On est qu’au printemps et on se croirait déjà en été. Maudit temps. Surtout que moi, je crains particulièrement la chaleur. Et voilà que si je sors, faudra que je me pose quelque part pour comater. Je n’aime pas quand il fait chaud. Je n’aime pas non plus quand il fait froid d’ailleurs. Je suis compliqué, hein ? Mais c’est ça qui fait mon charme, n’est-ce-pas ? Mais, en plus qu’il fasse chaud, je n’ai pas réussi à dormir de la nuit. Attendez, vous imaginez ça, vous ? Ne. Pas. Dormir. C’est juste l’enfer. Le sommeil, c’est quelque chose de sacré. Si je ne dors pas … Je suis juste une larve. Et si je ne dors pas, la nuit je m’emmerde. Et là, pour le coup, j’ai fumé pour m’occuper. Mauvaise idée ? Je ne sais pas. Mais ça fait que je fus dans un état second toute la journée durant… Déjà qu’on me prend pour un taré, mais alors là… Je ne vous dis pas…
Je sors de ma chambre, il est déjà treize heures passées. J’ai les yeux légèrement embrumés tellement je meurs de fatigue, et je ne sais même pas où aller. Putain, je ne veux voir personne que je connaisse. Quelques affaires avec moi, en route pour.. Une direction au hasard. Je longe des couloirs, je marche pas très droit. Faut dire tous les joints que je me suis enfilés. Non, je n’ai pas bu. Je ne bois pas. Et c’est même pas en rêve pour que cela arrive. Surtout aujourd’hui. Vas-y que les gens me dévisagent. Ils ont jamais vu un gars défoncé ? Faudrait qu’ils sortent plus souvent, t’sais. Youhou, c’est la vie. Vous vivez, alors profitez un peu bande de pignoufs. J’ai plus envie de voir leurs sales gueules. J’avance, un large sourire béat trônant sur mon visage et je tombe dans les escaliers. Si si, je vous jure. Je suis vraiment tombé. Et. Il n’y avait personne ! Je rigole comme un gros con, juste parce que je suis content que personne ne m’ait vu me croûter aussi lamentablement par terre, et je me relève enfin l’air de rien pour continuer à tracer mon chemin. Je peux vraiment être niais parfois. Vomitif, hein ?
Et je quitte enfin le bâtiment. Quelle heure qu’il est ? Il doit être quatorze heures, non ? Je sors mon portable pour regarder et. Merde. C’est qui le gars qui vient de me le prendre, là ? Je lui cours après comme un dératé et le rattrape. Il n’a vraiment pas de chance ce mec. Il s’attaque au mauvais. Surtout vu dans l’état où je suis. Je m’occupe bien de lui et je reprends mon téléphone. Le pauvre. Je ne le reconnais même pas. Il ressemblait à quoi déjà quand il a pris mon cell ? Non, je ne sais plus du tout. Je repars en sifflant et en riant. Je marche toujours un peu au hasard. Ma main vient se perdre dans mes vêtements et sort un autre joint que j’allume avec un peu de mal. Tiens, mauvais sens. Ce n’est pas le filtre qu’il faut allumer. Bref, je retourne et j’y mets donc le feu, crachant bien la fumée de la première latte. C’est juste bon de se pourrir la santé. Franchement, j’adore ça. Je regarde tout autour de moi et lève ensuite la tête vers le ciel. Le Soleil brille trop. Je suis obligé de plisser les yeux pour fixer les quelques nuages répartis dans ce drap bleu clair. Puis, tous ces oiseaux qui chantent. C’est dérangeant. N’est-il pas possible de tous les tuer ? Ce serait une bonne idée, non ? Non ? Bon, tant pis alors.
Je reprends ma lente marche, parce que si je marche plus vite, je sens que je tomberai, et me retrouve, par je ne sais quel miracle, dans le jardin. Genre je savais pas du tout où j’allais, vous voyez. Et là. Le pire drame de ma vie. Il y a du monde. Mais, quand je dis du monde, je ne mens pas. Tous les bancs sont pris quoi. Si c’est pas une journée de merde, ça. Bon. Que faire. Je tourne un peu sur moi-même, pas pour voir partout, juste parce que ça m’amuse, m’voyez. N’oubliez pas que je suis légèrement dans un état second. Et j’aperçois un gars allongé sur un banc, qui semble dormir. Comme attiré par lui, je commence à m’approcher et je tapote sa joue du bout du doigt, le joint toujours à la bouche. Il réagit pas. Il est mort ? Mort par la chaleur peut-être. Putain on dirait trop une larve. Je regarde à droite. Je regarde à gauche. Et je jette le joint par terre en prenant bien soin de l’écraser avec le talon. Non, en fait je le piétine carrément, mais on s’en fout des détails. Avec ma main, je tape gentiment le ventre de l’inconnu, comme pour les coussins t’sais. Puis je me retourne et je m’assoie sur lui. Ouais, t’as bien lu. Je fais de lui mon fauteuil. Alors qu’il dort tranquillement. Je me penche légèrement en arrière en tendant les bras sur les côtés et. Boum.
« Putain de merde. Hé mec. Viens m’aider au lieu de pioncer comme une grosse larve. »
Je reste sans bouger, les jambes toujours sur lui, le cul contre le banc et le dos par terre. Quelle jolie position. Je tends mes bras sur le sol et je pousse un long bâillement qui montre bien à quel point je suis crevé. Puis j’attends. J’aurais pu me relever tout seul. Ouais. J’aurais pu. Mais non. Allez, mec. Debout.
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Mar 24 Juil - 8:24
Bon, pour une fois je ne vais pas vous décrire en long, en large et en travers sa journée. Vous commencez à comprendre, depuis le temps que vous me lisez, que ses matinées jusqu'au petit déjeuner sont absolument automatique. Et bien, finalement vous vous trompez. Je vous ai toujours décrit des journées où il devait se lever ou bien il s'obligeait à le faire pour une raison bien particulière. Alors que là, aujourd’hui, pour une fois il ne fait rien, absolument rien. Le réveil ? Inexistant, du moins il l'avait espéré mais ses camarades de chambres n'avaient pas l'air du même avis. Du coup un petit réveil vers huit heures trente, nous pouvons faire pire tout de même, ensuite il allume son pc et commence à mettre de la musique, tranquillement installé dans ses coussins et sa couette. Du coup, il se rendort ou plutôt somnole. Puis, à son réveil tête dans les vapes il s'assoit sur son lit pour …Jouer. GEEK !
Vous allez me dire qu'il va passer sa journée à jouer dans son lit, mais je vous rassure non, tout de même il n'a pas que ça à faire. Parce que oui, monsieur fais des plannings non officiels de ses journées lorsqu'il ne veut rien faire. En fait c'est simplement l'organisation des activités les moins contraignantes aux meilleurs heures. Bon il y a aussi la partie cuisson au soleil, même s'il n'est pas un adepte de la chaleur, la fait sans trop de mal, surtout si un si beau temps maintenant est la prévision d'un temps immonde dans les mois suivants. Il regarde l'heure pour descendre prendre un petit truc à manger, mais il est trop tard, du coup il sort de sa réserve personnel. Des ferreros acheté à sa dealeuse et autres biscuits qui le rempliront assez pour le début de journée. Lors de son petit-déjeuner il va se poser sur la fenêtre dont il ouvre les volets qu'il avait gentiment fermé ce matin pour mieux se 'reposer'. Une lueur accablante l'attaque, une bouffée de chaleur lui arrive dessus, les rayons l'aveugle. Il fait vraiment beau. Quelques nuages viennent parfois se mettre entre le soleil et lui, mais très vite il reparte. De plus ils ne sont pas très gros, donc quoi qu'il se passe, il sent une douce chaleur sur sa peau. En vue du temps, il se précipite sur les ferreros qu'il a sorti pour éviter qu'ils fondent. Un bon petit-déj' !
Il reste finalement sur cette fenêtre le reste de la matinée à lire sans aucune réel perturbation. Peut être un ou deux passages dans la chambre, mais rien de bien troublant. De toute manière quand il lit, il peut oublier le monde extérieur sans aucun soucis du coup, il s'en fiche un peu de ce que font les gens. Sauf s'ils lui gâchent la lumière. Après quelques heures de lecture sans relâche, il relève la tête, aperçoit l'heure et s'en va déjeuner. Alors qu'il se lève, son ventre lui annonce son approbation non dissimulée. Quel bonheur de se remplir la panse après un petit temps de jeûne (et ne faîtes pas de commentaire sur le fait que pour lui c'est un jeûne de ne pas avoir petit déjeuné). Et qui dit se remplir la panse, dit digestion, donc sieste. Cela paraît logique non ? Si c'est pas le cas, dommage pour vous, mais pour lui. C'est même plus dans l'ordre du logique, mais de l'obligatoire, c'est un devoir de s'allonger, comme une larve, sur un endroit confortable un peu au soleil, mais qui profite ou profitera de l'ombre d'un arbre. Et c'est ainsi qu'il se retrouva sur un banc, allongé sur toute la longueur, en plein milieu du jardin.
Alors qu'il c'est endormi, une odeur caractéristique se fait sentir, enfin il la sent, en vue de ses mouvements de narines et son sourire. Du joint, il y en a pas loin, mais après un shmilblick qui lui donne à peu près l'heure il ne se relève pas pour en quémander, pas durant la digestion tout de même ! Ensuite ne me demandez pas le pourquoi du comment, il sent quelqu'un le toucher. Alors je dois vous avouer que la personne en question à l'air un peu louche avec ses cheveux verts. Ça j'en suis sûre. Toujours est-il que le pauvre jeune homme allongé se fait toucher, par ce fou. La joue puis le ventre et, comme le ferait tout le monde bien évidemment, le jeune homme se pose sur Tetsuo. Par réflexe, lorsque nous appuyions trop sur ses abdos, il redonne un coup pour faire voler la personne sur lui ou qui appuie. Et en effet il le fait, mais ça à pas l'air de trop déstabiliser l'inconnu.
A en fait … a non, c'est juste qu'il a pas d'équilibre. Le Sieur Koyama, bien entendu, imperturbable ne bouge pas et ne fait que sourire lorsque le point s'en va, enfin un peu libéré. Du moins c'est ce qu'il pensait, puisque l'autre lui parle maintenant, et est toujours un peu sur lui, rien que les jambes, mais ça suffit. Au son de la voix, Tetsu' ouvre les yeux, tourne la tête et le regarde avec un air indifférent. J'oserais dire comme d'habitude quand il rencontre quelqu'un dans ce pensionnat. Il se relève un peu sur les coudes pour mieux voir le type louche. Puis un grand sourire s'étire sur ses lèvres. « Rhooooo t'es vraiment chiant quoi ! Qui aurais l'idée de se foutre sur moi de base, et puis là j'ai réellement la flemme de me bouger pour te relever. Fais un petit effort quoi ! » dit-il en tendant sa main vers la tâche qui est tombé sur le sol un peu avant « Non mais sérieux, faut que tu m'expliques pourquoi tu t'es foutu sur moi parce que là, je me pose des questions.Et puis dégage tes jambes du banc tu vas pas remonter comme ça ! De toute manière je ne supporterais pas que tu restes sur moi, t'est trop lourd. » cette fois, il replit les jambes et tire sur le bras du mec par terre pour se redresser sur le banc et le relever après « Puis t'es qui en fait ? Parce que j'veux pas dire, j't'ai jamais vu en fait ! Et Relèèèève toiiiiiiiii » là il tire sur le bras pour relever le type aux cheveux verts. Il reste ensuite planté là, en le regardant et là sans raison « Sympa tes cheveux ! T 'as de la chance ils te vont bien, j'ai essayais de faire un test, perso c'était une cata ! »
Et c'est ainsi que Tetsuo eu … un dialogue dans sa journée alors qu'il n'avait pas prévu de dire un seul mot.
Invité
Mar 24 Juil - 8:33
Guck mal diese Droge !
UNE LARVE + UNE AUTRE LARVE = DEUX LARVES
Étendu sur le sol de tout mon long, les jambes posées sur le corps du garçon allongé sur le banc, je ne bouge plus. Mes yeux rivés vers le ciel, la bouche quelque peu entrouverte, les bras tendus par terre, le vent poussant de la poussière sur mon visage béat, je reste là à attendre que quelque chose se passe. J’ai l’impression que le temps s’écoule au ralenti, mais c’est sûrement un effet de la drogue prise. Merde, je n’aurai pas du fumer tout ça. Ce que je peux être con quand même. Je ferme les yeux, j’ai la tête qui tourne un peu. Je trouve le sol particulièrement confortable. Je sens même que je pourrai très bien dormir dans cette position pour le moins insolite. Mais ce serait très irrespectueux envers l’inconnu qui doit subir le poids de mes membres inférieurs sur lui. J’espère qu’il ne me demandera pas la raison pour laquelle je me suis si soudainement installé sur lui. Ce serait plutôt bête de répondre que je n’en ai pas la moindre idée. Il avait juste l’air de faire un excellent coussin. Et j’ai tout simplement eu l’envie de vérifier mon impression. Ouais, j’aurai vraiment l’air con à lui dire ça. Puis, il pourrait le prendre mal aussi. Enfin, je lui ai demandé de m’aider à me relever, mais. J’en ai pas du tout envie en fait. Je veux rester couché comme ça jusqu’à la fin de la journée. Est-ce possible ? Ah non…
Je sors enfin de mes pensées lorsque j’entends sa voix. Je pose mon regard sur lui. Il me fixe avec un air totalement détaché, appuyé sur les coudes pour mieux me voir. Il me tutoie, comme je l’ai fait précédemment. Sans m’en rendre compte d’ailleurs. Sa main est tendue vers moi, mais je ne la prends pas. Je reste toujours immobile. J’imite une statue. Je pouffe stupidement de rire. Je trouve ça drôle de faire la statue. Je la fais bien, non ? Il veut savoir pourquoi je me suis assis sur lui. Il ne manquait plus que ça, putain… Tout en continuant de déblatérer tout un flot de paroles assez rapidement, il m’aide à me relever et me complimente même sur la touffe verte qui me sert de cheveux. Sympathique le type. Je le fixe, ne pensant à rien et, juste parce que je ne réponds pas, un long silence s’installe. J’explose soudainement de rire. Ma main vient se poser sur son crâne et je la lui tapote gentiment, comme ferait un maître avec son chien, puis je lui adresse de nouveau al parole, mais de manière plus ou moins … Bizarre.
« Moi c’est Flippy, mec ! Quand j’t’ai vu en mode larve, dis-je en pointant le banc avec mon index, je me suis dit que tu ferais un super booooooooooooooon coussin ! Hé ben t’sais quoi ? T’es vachement douillé ! On te l’avait déjà dit ça ? »
J’ai soudainement l’impression que je perds l’équilibre et que je suis sur le point de tomber, je m’assois donc sur le banc en tirant l’individu à côté de moi, sans pour autant lui en demander son avis. Je sors un nouveau joint de la poche de ma veste et lui montre, un sourire bête ornant ma face. Je ne sais pas le moindre du monde si ce bougre à l’âge de fumer, mais je vais quand même lui en proposer. Après tout, fumer et larver, c’est cool non ?
« Dis, t’en veux ? » Puis, j’enchaine sans attendre la moindre réponse de sa part et en sortant mon briquet de mon pantalon. « Au fait, t’es qui toi ? C’est la première fois que j’te vois ! » J’allume le joint, lentement. « Faut dire aussi que je suis pas ici depuis des lustres non plus. » Je tire une latte et le regarde. « T’as dit que t’avais quel âge déjà ? »
J’arrête de parler tout d’un coup et reste à le fixer. Mon comportement n’est vraiment pas habituel. Je veux dire, d’habitude, même quand je suis dans un état second, je ne suis pas si sociable que ça. Enfin, sauf quand je bois. Mais là, c’est une toute autre histoire. Et je n’ai pas envie d’en parler. Je regarde autour de moi. Il y a vraiment trop de monde ici. Vivement qu’ils partent tous histoire de faire des conneries. Quoique. On peut en faire même s’il y a plein de gens, non ? Il ne répond toujours pas. Il doit se dire que je suis taré. Et il a raison. Je le suis. Pauvre de lui, être tombé sur moi.
« J’ai envie de grimper dans un arbre et d’imiter un oiseau. Tu crois que je peux chier sur un passant moi aussi ? »
Je le fixe. Je suis tout ce qu’il y a de plus sérieux. Et c’est bien ça qui est horrible. Je suis juste. Trop bizarre. J’ai l’impression que je me sers de la drogue comme excuse pour agir comme ça. J’espère qu’il n’a pas trop peur. Je me mets soudainement accroupi sur le banc et commence à siffler comme un oiseau. C’est clair. Je suis fou. Quelques personnes me regardent en rigolant, mais je n’en ai rien à foutre. S’ils me cherchent, je leur referai tout simplement le portrait. Je mets mon joint dans la bouche de mon voisin.
« En fait, j’m’en fous de ton âge. Fume ! »
Code by Anarchy
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Mar 24 Juil - 8:34
Alors je veux pas dire, mais cet hurluberlu ne prend pas la main dès le début. Une grosse enflure, j'ai l'impression qu'il se fout de la gueule du monde, oui je sais mon monde est restreint à deux personnes et alors ? Vous allez pas me faire chier pour si peu non plus. Puis de toute manière si vous êtes pas content ne me lisez plus rhoooo. Oui je sais, je me tape une crise au moins une fois par article que j'écris, même si je sais parfaitement que je serais la seule à relire tout ça parce que jamais je n'autoriserais quiconque à le connaître aussi bien que moi. Et puis on parlait pas de ça, enfin, je parlais pas de ça au début alors toi, là bas au fond, qui fera un commentaire, tu la fermes ! J'en était au fait qu'il ne lui prenait pas la main. Cet enflure. Non mais je vous assure, les jeunes de nos jours, aucune sympathie avec les autres, faudrait que l'on règle ça un de ces jours. A non, c'est bon j'ai rien dit il lui a pris la mains pour se relever.
MAIS QU'EST CE QU'IL FAIT ?? Depuis quand on se permet de lui tapoter la tête comme ça. En plus là il nous sort la tête en mode blasé V.2000.4.3 soit en gros, une expression des plus louches et assez compréhensible. Il est presque près à lui sauter à la gorge s'il continue, j'en suis sûre, il doit avoir les yeux injectés de sang à cause de sa haine. Ça ce sent à travers les caméras (comment ça moi aussi je fume trop de joint ?). Enfin le petit homme vert répond, pas trop tôt non plus ENFLURE, mais tout ça pour dire que … c'est une larve. Ba ça va enfait. Qu'il est douillé ? Je le méprise, même moi je n'ai pas eu le droit de profiter de tout son confort. Alors que lui, il en profite, mais ne plus il le fait bien remarquer … Non mais vas y enfonce le couteau un peu plus profond, tu as encore dix bon centimètres de marge. Et bien sûr que non on lui avait pas dit ! Enfin si peut être une personne un peu plus intime, mais elle est partie alors on ferme sa gueule et on continue à parler de ce fou.
A oui, pendant que je m'énerve gentiment, lui, enfin mon homme, le nombre de réaction avoisine le zéro à part ses têtes louches. Pas une seule fois il essaye de le faire partir, taire ou autre. Mais là, le summum …. Le best. La flèche dans ma personne. Il s'assoit à côté de lui en le tirant. Alors je dois dire que quand je faisais ça, déjà c'est moi qui bougeait, mais en plus, il me laissait partir voir l'autre côté de la rue avant que je revienne de mes propres moyens. Et puis que voilà ? Oh merde un des péchés mignons de ce petit con. Pourquoi il a fallu qu'il en est encore un, en plus à cette heure là ? Non mais franchement quoi ! Enfin, voilà un spliff quand ça va de la poche du cheveux verts pour aller dans sa main. Et bien entendu, dans la suite, il propose. En même temps, un spliff ça se propose ou ça ne se fume pas. Mais passons là le détail.
Heureusement il a pas le temps de répondre qu'il enchaîne connerie sur connerie. Et au fait, même si tu m'entends pas, c'est normal que ce soit la première que tu le vois, il passe inaperçu quand on lui parle pas. Et c'est un peu un asocial aussi quand il le veut. Et en ce moment il le veut. Et pis dans toutes tes questions, tu auras le droit au nom peut être. S'il est en forme, mais d'un autre côté tu as un bel argument. Enfin il se tait, enfin on peut lui répondre, enfin … j'en avais presque marre de ses intrusions, enfin essais, dans la petite vie tranquille de mon petit Koy'. Comment dire qu'après toute c'est question il reste un petit peu dubitatif ? En même temps, vous avez vu le cas en face de lui ? Personnellement je serais parti du banc pour avoir autre chose en vue que cette personne totalement folle. Bon et comment dire que que … Il vaut mieux pas trop se taire parce que sinon il dit des conneries. Ouais ouais, encore pire qu'avant. Je vous assure c'est possible, apparemment lui il en a en réserve et les stocks par millier.
Franchement de ce point de vue la je pourrais presque le respecter, presque j'ai dis ! Alors que l'autre commence à faire le piaf sur le banc, Le-petit-homme-aux-cheveux-normaux-qui-n-est-pas-un-petit-être-bleu se relève un peu et avant qu'il n'est commencé de faire une autre connerie essaye de ne pas se montrer trop discourtois en répondant au moins à certaines de ses questions.-J'suis qui ? Mais qu'est ce que tu peux en avoir à faire ? On s'en fout du nom de la personne en face non ? Bon, ok c'plus beau que machin, truc ou schtroumph. Pour la peine …. Je vais te le dire, j'aime pas trop être assimilé à des petits êtres bleus surtout eux quoi … Et pourquoi tu veux connaître mon 'âge ? Pour la légalité ? Regarde ce que tu as en main et on en reparle plus tard tu seras gentil Verty. À ouais, point de vu surnom à la con tu viens de chopper Verty, j'sais pas Flippy pour moi c'est un dauphin enfin même si c'est Flipper, mais rien à branler un asticot quoi !
Bon … quand je disais avant la prochaine connerie, je ne pensais pas qu'elle allait arriver aussi vite. Alors que l-homme-aux-cheveux-vert-spliff-dans-la-bouche sifflote il perd une partie du nom précédent en foutant le joint dans le bec de l'autre oiseau assis sur le même banc. Je dois vous dire que je ne suis absolument pas fière de ce qu'il fait, mais c'est pour le bien de son insertion sociale. Du moins ce que je me dis. Alors qu'il attendait pas que ça, mais tout de même il louchait dessus depuis un petit moment, Tetsuo tire une latte avec un soulagement non négligeable. Même visible à la caméra pour tout dire, ce qui veut aussi tout dire. Puis regardant l'imitation de l'oiseau il se met à se foutre de sa gueule.
-non mais tu déconnes ! Un piaf c'pas comme ça, et pis, les piafs avec les cheveux verts ça reste pas sur un banc, ça se met tout en haut d'un arbre. Et ça attaque les larves comme moi aussi, mais on va dire que tu m'as attaqué en me réveillant, pas envie de me faire ramener en charpie à l'hosto. » Il se lève innocemment, regarde le jeune homme « Non mais regarde moi ça, toujours en raz-motte, pas capable de se foutre en haut d'un arbre. » Il en trouve un pas trop loin et pas trop chiant pour monter dessus et, en effet, monte dessus « Regarde ! Un oiseau ça part au moins d'ici. Le temps que tu me rejoignes … j'aurais peut être tout fini » dit il en soulevant le spliff « Ou bien je me serais tranquillement rendormi dans cet arbre, qui est d'ailleurs très agréable pour les larves. » Il remonte les jambes pour éviter de ce les faire chopper, puis regarde d'un air amusé l'autre fou. En tirant une latte, j'ai l'impression qu'il a de l'inspiration, là moi je dis 'Oh merde !', toujours est il qu'il se remet sur les pieds, debout sur les branches, il monte un peu plus, tout en vérifiant que l'autre aux cheveux verts ne soit pas reparti, c'est beaucoup moins marrant quand même.
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Mar 24 Juil - 8:36
Ich bin ein Küken ♪
PIYO PIYO ~
Je continue de siffler, essayant tant bien que mal de le faire comme un de ces maudits piafs. Mais apparemment, je ne suis pas du tout fait pour les imitations. Toutefois, je me débrouille bien mieux que si je n’avais pas pris toute cette drogue. Bon, faut avouer que je n’aurais pas osé non plus. Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre de ça. Vas-y que j’entends un rire. Putain et il ose se foutre de ma gueule ? Mais je n’arrive pas à y croire. Alors que je lui ai gentiment prêté mon joint, lui il se moque de moi et de mon imitation pour le moins ridicule et tout à fait médiocre, voire en-dessous d’une moyenne pour le moins inexistante. Comment ose t-il ? Il ne sait vraiment pas à qui il a affaire. Surtout que je suis particulièrement susceptible et que je frappe très facilement. Je vois bien qu’il est content de pouvoir tirer sur mon spliff, mais qu’il n’agisse pas comme ça ou je le lui reprends et me casse. Non mais oh !
Et voilà qu’il se met à parler maintenant. Encore un peu et j’aurai cru qu’il me foutrait un gros vent en plein dans ma gueule. Chose que je n’aurai sans doute pas acceptée. Puis là, c’est le drame. Il se met à m’expliquer ce que doit et ne doit pas faire un oiseau. Comme si je ne le savais pas, t’sais. Si j’étais dans mon état normal, il aurait très mal à l’heure qu’il est. Il se met debout et part. Et pour aller où ? Sur un arbre bien sûr ! Il monte assez facilement et va pour imiter un de ces stupides piafs, mais s’arrête aussitôt. Il attend que je vienne le rejoindre. Parce qu’il croit réellement que je vais grimper là-dessus avec ma flemme légendaire ? Bouarf, pourquoi pas. Je me lève à mon tour, vacillant un peu et je le rejoins en marchant légèrement comme un gosse qui fait ses premiers pas. Ça doit être bien hilarant de me voir faire quand ce qui me sert de cerveau est embrumé par des drogues en tout genre. Sous l’arbre, je lève la tête pour le regarder. Putain, ce con est allé encore plus haut. Ça veut dire que je vais devoir faire encore plus d’effort pour le rejoindre. C’est fou comme il peut déjà me faire chier. Bon, je m’accroche à une branche assez basse et me hisse dessus, puis je monte jusqu’à sa hauteur, m’étalant enfin complètement telle une grosse larve sur une autre branche. Tiens, c’est vrai que c’est plutôt confortable. Puis, avec les feuilles qui donnent de l’ombre, je peux dire au revoir aux fichus rayons du Soleil. C’est cool de faire l’oiseau, non ? Je le fixe en souriant.
Mes doigts se tendent, ma main s’avance, les muscles de mon bras se relâchent et je choppe le joint trônant dans la bouche de ma nouvelle connaissance. Ça y est. Je tilt enfin. Ce gars ne m’a même pas encore dit comment il s’appelle ! Je lui lance un regard de type choc & méchant. Genre encore un peu et je ne m’en rendais même pas compte quoi. C’est toujours un total inconnu pour moi du coup. Bon, je lui demanderai après. Le temps de me reposer à cause de la fatigue provoquée par l’incroyable effort produit afin de grimper dans ce fichu arbre finalement super confortable dans lequel je piquerai d’ailleurs volontiers un petit somme mais pas tout de suite donc plus tard, et je le fais. N’empêche, c’est impressionnant comme ce gamin m’a l’air d’être presque normal. C’est vrai quoi. Déjà, il n’a rien de particulier au niveau du physique. Enfin, rien d’extrêmement voyant en tout cas. Puis, il me semble que c’est pareil pour le mental. Quoique, il est peut-être dérangé lui aussi. Qui sait ? Je tire quelques petites lattes et m’amuse à souffler des ronds de fumée. C’est mon frère ainé qui m’a appris à faire ça il y a quelques années. L’inconnu doit sûrement me fusiller du regard vu comme j’ai repris le spliff sans rien lui dire. Je fais tomber la cendre par terre et crache un ultime cercle de fumée avant de parler.
« Tu sais que je sais toujours pas ton nom ? Tu comptes me faire poireauter combien de temps encore ? » dis-je sur un ton bien moins sympathique. Un léger soupir se sépare de mes lèvres et je continue, mais de manière moins dure. « Sinon, montre-moi comment tu fais un piaf toi ! » Je secoue le joint, puis le remets entre mes lippes pour tirer un coup, relâchant par la suite la fumée avec quelques mots. « Personnellement, j’préfère les poussins. T’sais, les p’tits volatiles tous jaunes qui font piou piou ! C’est mignon, tu ne trouves pas ? »
Je me place debout sur ma branche, me penchant assez pour ne pas heurter celles qui m’entourent et qui sont au-dessus de moi. C’est l’inconvénient d’être grand, hein ? Je redonne le spliff au garnement et sors un briquet avec lequel je commence à brûler les insectes passant à proximité de ma personne. Qu’ils crèvent. Ils servent à rien t’façon. Puis, un ou deux de moins, ça ne se verra pas. Bon, même si là ce n’est pas vraiment qu’un seul ou deux, mais beaucoup plus. Puis merde, qu’est-ce qu’on en a à foutre du nombre de fourmis que je crame, hein ?! Je range le briquet et me hisse sur la ramure se trouvant au-dessus du brun.
« T’es un jeunot toi, hein ? J’suis sûr tu dois avoir pas loin de quinze ans. Seize ans ? » Je fais tomber de la poussière sur son crâne en souriant. « Quand tu veux tu fais l’oiseau mon p’tit gars. »
Code by Anarchy
Invité
Mar 24 Juil - 8:37
Je ne sais pas si vous vous êtes déjà fais fixé par un fou, mais je peux vous dire que ce n'est pas très rassurant ! Alors une fois qu'il est en haut, à tirer sa latte sur cette branche à rien foutre, je ne sais pas comment il fait pour rester devant le mec, sans trop le dévisager et avoir peur de tout ce qu'il y a autour de lui. À sa place je me serais assurée avec un max de cordes, j'aurais eu peur que tout soit une arme pour l'être aux cheveux verts. Vraiment, je ne me sentirais pas en sécurité dans sa position . Heureusement comme dans bon nombre de cas, je ne suis pas à sa place ! Bon, passons ce que j'aurais fais, on me l'a déjà fait remarquer, je ne sers qu'à vous raconter ce qu'il fait, pas à répandre mes états d'âmes.
Une fois lui aussi perché dans une branche, après une montée que l'on pourrait qualifier de … En fait je n'ai pas vraiment le mot, comique en fait parti, mais ce n'est pas tout, je ne sais pas il y a quelque chose d'autre, une non classe indéfinissable pour ce descendant des primates. Une chose qui serait pas arriver chez lui de leur part, genre un truc qui permet de monter normalement dans les arbres, alors que lui c'est … Pitoyable, comique, monstrueux, honteux, déplorable et encore, je pense que je suis presque gentille. Tout de même, ça se fait pas d'insulter nos cousins génétiques, pas à ce point là ! MAIS EN PLUS IL LUI PIQUE LE SPLIFF !!!!!!! Non mais ça veut dire qu'il ba toucher à sa bave et tout et tout ?
AAAAAAAAAAAAAAAAARG, je le hais, même moi il ne m'a jamais laissé fumer une latte de ses clopes, bon ok, je n'en demandais jamais, mais je le hais quand même ! Si vous n'êtes pas d'accord avec moi taisez vous ou partez de toute manière je ne vous écouterais pas ! Bon toujours est il que je crois qu'il est un peu déçu, je l'ai pas tellement vu dans cet état du coup je ne saurais trop dire, mais pour l'instant il ne lui saute pas dessus pour reprendre le spliff c'est déjà ça ! Et d'ailleurs il lui parle encore (j'en ai marre des gens bavard, il ne s'arrête jamais et je suis oblihgé de faire attention à ce qu'ils disent avec mes micros pas terrible, je déteste faire une mauvaise interprétation, changer un mot). Ce à quoi notre cher et tendre héros daigne tout de même répondre.
- Mais je comprend pas pourquoi tout le monde veut toujours le nom des autres ! Ça marche très bien sans non ? Regarde, je ne t'ai toujours pas appelé par ton nom. Sinon, si tu veux réellement c'est Koyama.
Et pour mieux imiter l'oiseau, le premier qu'il fait, c'est évidemment d'enlever ses chaussure, enfin ça me paraît la base non ? Bon une fois tout ce qu'il avait sur les pieds enlevés, il s'accroupit, met ses bras de telle manière qu'il imite des ailes, et commence à nous faire un joli bruit de corbeaux, enfin, c'est ce que j 'entend, du coup je crains la réalité. Les oiseaux n'ont jamais été sont fort dans les imitations. Et alors qu'il parle des canaris, le Koyama international, le regarde avec un regard stupéfait. Des canaris ? Mais en fait il est réellement fou, nous ne pouvons plus rien faire pour lui. Il pourrait en planquer un dans ses cheveux pendant qu'il y est... Non mais ces gens, ils feraient tout pour se faire remarquer. Du grand n'importe quoi je vous jure !! En même temps, nous parlons de se faire remarquer par un type qui en tient déjà une sacrée couche. Et je dis une mais je suis peut être trop gentille avec lui, encore …
- tu sais quoi, tu pourrais presque en mettre un dans tes cheveux de canari, mais le prend pas trop sale sinon ça fera pas très joli avec tes cheveux. Si tu en prends un qui à une couleur bien vif, ça pourrait aller. (OWII nous avons pensé la même chose, je vais jouiiiiiiiiiiiiiiir, j'ai un orgasme !!!!! oh mon dieu, je ne pensais pas que cela puisse avoir autant d'effet sur moi, je suis toute mouillé maintenant. En passant le joint est revenu entre les lèvres de notre véritable ami) Et oui, je suis assez jeune pour ici, mais bon je suis pas seul !!!
Il arrête d'imiter le piaf au moment où il retrouve le bec pris, et dans le même moment, il se repose tranquillement sur sa branche, tel une panthère, à l’affût alors qu'elle dort, enfin en apparence. Bon, je dois vous avouer qu'avec ce qu'il fume ses réflexes ne doivent pas être ce d'une panthère, mais nous mettrons cela sur le détail. Alors qu'il passe la cigarette qui fait rire à l'homme aux cheveux verts, il le regarde et sort comme si cela était normal.
- dis moi, tu es dans quel groupe ?
Oui, comme ça, sans annonce, sans rien, dans le style PAF dans ta gueule je trouve ça pas mal comme déclaration quand même, en plus je ne sais même pas où cela le mènera, je ne sais pas ,en plus, si une fois qu'il aura l'information il s'en servira et comment. Mais c'est une autre histoire !
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Sam 1 Sep - 12:19
La folie est une douce mélodie ♪
What’s going on ?
J’aime bien ce type. Enfin, pour le moment. Il n’a pas l’air chiant. Enfin, pour le moment. Je regarde autour de moi. La vue est pas mal d’ici. Mmh. Je pense que je reviendrai m’allonger ici les jours où je n’aurai rien à faire. Et les jours où il fera beau aussi. Ouais, parce que si je n’ai rien à foutre et qu’il fait moche, me mettre ici ne serait pas très intelligent. Mais bref, on s’en fout complètement. Je ne sais pas si je l’ai déjà dit, et si c’est le cas bah c’est tant pis, mais c’est fou comme ce garçon donne l’impression d’être totalement inoffensif. Ça en donnerait presque l’envie de lui faire du mal à ce petit. À ce jeunot. Il a toujours la poussière que je lui ai mise dessus. Ne compte t-il pas l’enlever ? Bah, il fait ce qu’il veut de toute façon.
Koyama. Ça sonne plus comme un nom de famille à mes oreilles. Bon, normalement on dit « À mon oreille. », mais je trouve que ça ne fait pas très correct vu qu’on en possède deux. Mmh. Question pertinente. Pourquoi tout le monde veut toujours le nom des autres. Peut-être pour fabriquer un quelconque lien, non ? Banane va. T’es le roi des questions idiotes et sans intérêt apparemment. Mais t’es un p’tit marrant, alors je n’en ferai rien. Koyama. Et si je te trouvais un surnom ? Koyama. Koya ? Non. Koy ? Non plus. Oh. Mais Koy ressemble étrangement à Koï, non ? Et Koï me fait penser à un Poisson Koï. Bon ben, adjugé vendu mon grand. Tu seras une sorte de Poisson Koï à mes yeux à présent.
Et voilà qu’il commence à enlever ses godasses. Et ses chaussettes aussi. Mes yeux suivent le mouvement de ses affaires qui tombent sur le sol. Et si quelqu’un vient s’en emparer ? Il n’en a strictement rien à foutre ? Et là, c’est le drame. J’entends un bruit juste horrible. Que dis-je. Épouvantable. Je le regarde. Il se meut d’une manière étrange en beuglant. Ah. Il imite un oiseau en fait. Je pense que, lui et moi, nous ne sommes pas du tout faits pour imiter des animaux. Et surtout pas des putains de piafs. Mais bon, chacun a sa spécialité, je suppose. Mais faites-moi penser à ne plus lui demander d’imiter un oiseau. Je vous en serai fortement reconnaissant.
J’hausse un sourcil. Mais pourquoi me parle t-il de canaris ? Oh. Je crois qu’il confond canari et poussin.. Je me retiens de lui flanquer mon poing dans sa gueule pour lui apprendre la différence entre les deux, mais je pense que pour cette fois je devrais passer outre, non ? Puis, en mettre un dans mes cheveux ? Mais il est largement atteint ce gars. Comme si je n’y avais jamais pensé ! C’est juste que je n’aie pas de poussin à portée de main, malheureusement pour moi. N’empêche, comment ose t-il faire cet affront. Un poussin est bien plus mignon qu’un canari. Tsh.
Je pousse un long bâillement. Je m’épuise assez rapidement ces jours-ci. Surtout quand il fait un temps pareil. Il me tend la cigarette et je la prends, tirant une longue latte. J’entrouvre mes lèvres afin de laisser la fumée lentement s’échapper, puis il me demande dans quel groupe je suis. Dans quel groupe ? Mais peut-on vraiment dire que je suis dans un groupe ? Je veux dire, je ne suis ni Joker – ou plus, plutôt – ni Carreau – et je ne le serai jamais – ni Pique – plus encore, hein ? – donc on ne peut pas tant dire que je suis dans un groupe. Mais bon, vu que Pion existe…
Je vide ma cavité buccale de toute cette vapeur nauséabonde, puis lui répond enfin. « Je suis un simple Pion. » Je secoue le cylindre nocif se trouvant entre mes doigts afin de me débarrasser de la cendre qui gêne. « Toi, tu n’es forcément pas un Pique. » Un léger sourire paraît sur mon visage serein. Je suis soulagé. Pourquoi donc ? Je ne me sens pourtant absolument pas coupable de les avoir quittés. Mmh. Il va falloir que je cogite là-dessus. Mais plus tard. Ce n’est pas le moment, là. « Tu es dans quel groupe toi ? »
Je lui pose cette question uniquement parce qu’il me l’a posée. J’avoue que le simple fait de savoir qu’il n’est pas chez les Piques me suffit pour le moment. Je passe ma main dans mes cheveux en bataille. Une de mes mèches vertes me gênait. Je lui remets le spliff entre les lippes après avoir tiré un second coup dessus. « J’aimerais bien être – de nouveau – Joker. » Dis-je à voix basse. Je ne sais pas s’il l’a entendu. Et je m’en fiche complètement. Je ferme mes paupières en bâillant encore une fois. Quelle journée absolument épuisante, n’est-il-pas ?
Code by Anarchy
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Jeu 6 Sep - 7:12
Restant bien évidemment dans la position de la panthère sans réflexe, il regarde l'autre profiter du bâton pour rigoler. Rien de bien spéciale quoi. Enfin, j'y pense, si ce con reste comme ça des heures, il va se faire mal non ? Parce que déjà que personnellement je n'arrive pas à rester sur mon lit allonger plus d'une demi heure, comment pourrait-il le faire sur une branche ? ET LE PREMIER QUI ME RÉPOND PARCE QUE C'EST UN HOMME JE LE TUE ! Vous voilà prévenus au moins ! Je ne sais pas trop si vous le saviez mais … Je n'aime pas trop les propos machistes ! C'est souvent ces connards qui nous abandonnent, regardez-moi. Je suis maintenant obligé de le regarder par des caméras. Parce que MÔSSIEUR ne pense qu'à lui ! Quoi ?? Moi faire une crise de nerf ??? NOOOOOON Je vous assure, c'pas ma faute M'sieur l'agent. J'ai rien pris. Comment ? Qu'il faut que je prenne ? Je ne comprend pas ! HAAAAAAA, euuuuh j'en ai pas en stock désolé. Le salop il m'a tellement donné envie avec son truc à la bouche que je fais des hallucinations qui me poussent à en prendre! Je me vengerais un jour, je me vengerais !
Toujours est il que le type que prenait la posture du félin, baaa il est plus dans cette posture. Il c'est un peu redressé. Le dos contre la branche, les bras ballants, la tête juste dans le creux de l'arbre, la vie est belle. En plus il est totalement à l'ombre ! Et il y a un peut de vent ! Tiens, je vais reproduire les conditions climatiques qu'il a … Alors, un peu de vent à 9 Km/h, Taux d'humidité : 10 %, Ensoleillement : je suis au bon niveau, température : assez froid ! Et voilà je me sens plus proche de lui, c'est déjà ça. Alors que l'autre n'a pas l'air de répondre, j'ai un peu de temps pour vous écrire, vous avez de la chance, et moi non puisque ce con reparle ! En plus, je vous assure c'est pour une phrase quoi ! Genre le mec pas chiant. Je peux même pas aller aux toilettes, tout ça pour … Une phrase. Cela sont pas bien parti pour faire de la télé réalité, je vous le garanti ! Et je crois que c'est préférable pour tout le monde d'ailleurs. On connaît maintenant son groupe. Il a daigné nous le donner, il est bon et généreux ce con !
Oh attention, une seconde phrase, affirmation, UNE CERTITUDE ! Et voilà, on dirait que le petit homme aux cheveux verts de l'herbe n'aime pas des masses les Piques. Information à retenir, au cas où s'il nous fait chier, enfin … me. Ou Mon Tetsuo. Je lui donne ma protection quand même, je ne peux pas que râler sur lui non plus. Et enfin … UNE QUESTION, Mais attention mesdames et messieurs quels rebondissements fabuleux, la conversation aurait pu s'arrêter ici, mais non, c'est deux là font un pari osé ! Ils continuent !! J'aimerais entendre le soutien de tout nos spectateurs dans la salle. Voulez-vous qu'ils continuent ? A merde, c'est vrai je suis seule … Donc oui moi je le veux, alors nous n'arrêtons pas la diffusion et NON nous n'aurons pas une page de Pub. Je vous assure, c'est impressionnant, je n'arrive pas à trouver la moindre action palpitante dans ce qu'ils font ! Je crois que je vais déprimer et lui interdire de retourner le voir, ils se disent rien, j'apprends rien et c'est même pas drôle. Bon la le seul avantage, c'est que Le Tetsuo Sauvage va pourvoir attaquer embrouille, ou pas. Mais en gros, il va sûrement vouloir jouer sur le fait qu'il est potentiellement un Piques et voir la réaction de l'autre personnes impliquée ! Je vous assure du grand suspens !! Enfin pas trop non plus, je vais m'étouffer à dire des conneries tout le temps moi !! Et attention … Discours apocalyptique !
- J'vois pas pourquoi tu dis que je suis pas piques. C'est pas parce que je suis en ce moment un peu fatigué et drogué, donc pas violent que je ne le suis pas habituellement. Je pourrais avoir envie de toujours régler mes problèmes à coup de Machette tu n'en saurais rien. Tout ça parce que je ne suis pas agressif avec toi ? Pfffffff les gens ont une vision de la chose bien restreinte ! J'ai l'impression que tout les pions pensent que les piques sont juste des grosses brutes sans cervelles, mais c'est faux ! Enfin tu n'en sais rien ! Pas un drame ! Je dois dire que fut un temps je connaissais un pique et en fait peut importe ce qu'il m'a fait … Euuuuuh A fait, toujours est il que c'est pas parce que je ne te saute pas à la gorge et que je m'étale comme une merde que je ne le ferais pas si tu me fais chier !!!!
Et heureusement, là, intervention, pendant qu'il s'arrête de parler, LE SPLIFF EN BOUCHE ! Ouais, entre temps il regardait en penchant sa tête dans le vide l'autre jeune homme. Du coup, maintenant il reprend son souffle. Et écoute ce que dit l'autre ou ne dit pas d'ailleurs. A non encore mieux il marmonne.
- Hein quoi ? J'ai pas entendu ce que tu disais ?
Invité
Jeu 6 Sep - 8:17
La folie est une douce mélodie ♪
I'm God. CQFD.
La fumée malsaine quitte lentement mes lèvres, rejoignant la petite brise qui nous arrose de sa douce fraicheur. Je fouille mes poches et attrape une sucette goût pomme. J’enlève le papier gênant que je mets dans ma veste, parce que le jeter par terre serait polluer la nature et que polluer la nature c’est pas bien, parce que si on pollue la nature ben elle meurt et si elle meurt ça fait qu’y aura plus de plantes ni plus d’animaux ni plus de végétaux mais je crois que je l’ai déjà dit ça, et que ben si y a plus ni d’animaux ni de végétaux les Hommes pourront pas survivre du coup ils mourront tous, du coup y aura plus rien sur Terre et du coup ce sera vide, mais comme je fais attention à la nature ben ça lui donne une chance de survivre, donc grâce à moi l’Homme survivra donc je suis Dieu. CQFD.
Mais bref, je m’éloigne un peu trop là. Donc je range le papier de la sucette dans ma veste et planque ma sucrerie dans ma bouche pendant que l’autre sinistre individu qu’est mon interlocuteur me sort un discours plus ou moins long qui se veut apparemment apocalyptique. Résultat ? Je lui ris complètement au nez. Vas-y que je me mets totalement sur lui et que je le choppe à la gorge en mode ch’uis-trop-d4rk-pour-toi. Mon sourire s’élargit, je lui montre presque mes dents blanches, trop Colgate quoi, et mon regard de psychopathe totalement détraqué venant juste de sortir d’un foutu asile. « Crois-moi, je sais reconnaître un de ces fichus Piques quand j’en croise un. Ce n’est pas comme si je ne les avais pas côtoyés pendant un certain temps, tu vois l’genre ? Alors essaies pas de me faire gober un mensonge pareil si t’as envie de rester entier et en vie surtout. »
Je le lâche. J’ai très légèrement perdu mon calme, mais je me ressaisis plutôt vite. Faut dire, depuis ce qu’il s’est passé, je me suis un peu calmé par rapport à avant. Je croque violemment la friandise qui se rompt sous mes crocs. Je crache le bâton dans ma main. Direction la poche de ma veste. Ouais, parce que vous vous souvenez, la nature, bla bla bla, il ne faut pas polluer, bla bla bla, pour les Hommes, bla bla bla je suis Dieu, bla bla bla. CQFD. Je reste cependant sur lui un petit moment. Mmh. Et si je m’amusais un peu ? Je lui souffle légèrement dans l’oreille, puis lui lèche grossièrement la joue. Je me recule et remonte sur la branche où je me trouvais juste avant de venir à lui.
Je bâille une nouvelle fois. Tous ces gestes me fatiguent. J’aurais bien aimé dormir tout l’après-midi tiens. Mais bon, pourquoi me suis-je levé déjà ? Je ne m’en souviens même plus du tout. Sans doute pour faire quelque chose d’important, non ? Quoique, je ne fais absolument rien ces derniers temps. Vivement que je me trouve quelque chose à faire. Parce que je vais finir par moisir dans l’ennuie si ça continue comme ça. Mmh. Je relève la tête. J’ai oublié de répondre à sa dernière question. Le pauvre, je l’ai laissé. Et j’ai même laissé un vide s’installer. Il a dû sentir le vent passer, c’est sûr. Mais bon, je suis tête en l’air et je n’y peux rien. Et je n’y changerai rien surtout. Jamais. Jamais. Jamais. Comme je le dis toujours, C’est aux autres de s’adapter à moi et non le contraire. Et puis quoi encore, hein ? Comme si j’allais faire le moindre effort. Faut pas rêver non plus !
Je me redresse un peu afin de me retrouver assis sur ma branche et je regarde dans sa direction. « J’ai dit que j’aimerais bien être Joker. » Je soupire légèrement. J’aimerais bien l’être encore serait mieux à dire. Et ouais. J’ai presque tout fait moi. Pique, Joker, Pion. Mais je ne serai jamais Carreau. Plutôt crever. Et j’ai fait tout ça en un temps record. À cause d’une seule et unique personne. C’est fou ça, hein ? « Et, du coup. » Je penche ma tête sur le côté, quelques mèches de mes cheveux verdâtres venant se poster devant mes yeux couleur émeraude. « Je sais toujours pas dans quel groupe tu es toi. » Je laisse échapper un petit ricanement. « Tu sais esquiver les questions en tout cas. » Je me recoiffe d’un geste de la main et de quelques souffles assez répétitifs et assez inutiles. « Je t’en félicite d’ailleurs. »
Je tends mon bras vers le haut et attrape quelques feuilles que je serre violemment dans ma main. On est bien dans cet arbre, mais en fait, c’est vite lassant de s’y trouver. Je regarde autour de moi. Puis je jette le feuillage sur un passant qui ne remarque même pas ce qui vient de lui arriver. Les gens ne sont vraiment pas drôles ces derniers temps. Mais faut faire avec. C’est clairement dommage je trouve. « En tout cas, tous tes stratagèmes pour esquiver mes questions ne fonctionneront pas à chaque fois avec moi. » Je lui offre un large sourire. Je dis ça mais je n’en suis même pas sûr. Je fais genre. J’espère que ça passera.
Code by Anarchy
Invité
Sam 8 Sep - 9:57
Alors que le sieur Koyama fait son discours, l'autre tâche, qui est au dessus de lui, prend une sucette sans lui en proposer, ce que je trouve honteux tout de même. Je n'ai pas le temps de la voir, mais je crois qu'elle est verte, un peu plus clair que ses cheveux. Je crois que vous vous en foutez de la couleur de la sucette non ? Moi en tout cas je trouve ça révélateur. Après sa non-proposition de sucrerie je me suis dis qu'il allait sûrement lui jeter le papier à la gueule. Bon nombre de personne aurait pu faire ça, rien que pour montrer le non-intérêt porté à la chose de son discours. D'ailleurs je ne sais même de quoi il parle, et pourtant … Je dois l'écouter assez attentivement pour ne pas faire de fautes à la retranscription. Surtout que je n'ai pas le droit à une rediffusion, parce que là je suis en direct et je préfère économiser la place sur mon serveur pour les nuits et les heures où je ne peux pas le voir.
Bien que ce que je dis vous intéresse autant que ce que dit Tetsuo je suis que …. QUOI ??? Mais il est dangereux ce con !! NON MAIS TU … ROULALALA !! On ne saute pas sur mon homme comme ça ! Et pis il aurait pu lui mettre le bâton de sucette dans l'œil ! Il se rend pas compte ce petit con. Je lui apprendrais comment faire le jour où je le verrais. Parce que oui, je compte le voir un jour, faut bien que je me venge de ce qu'il fait non ? Et c'est pas mon petit ange inoffensif qui va le faire. J'en suis sûre et certaine. Lui s'en fout un peu. Bon, en fait, vu sa tête de psychopathe qu'il a je vais peut être l’anesthésier à la carabine de vétérinaire avant de lui parler. Non non, je vous assure, j'lui fais pas confiance. Il a les dents trop blanches et les yeux injectés de sang. Comment ? Un peu comme un loup-garou en manque ? NOOOON ! Plutôt un vampire ! Vous êtes sûr ? Non parce que réellement, le Loup-garou est plutôt sauvage donc pour se soigner les dents pas pratique ? Alors que le Vampire généralement il est en ville, puis il présente bien généralement. Enfin surtout, pour avoir du sang de qualité il est obligé de bien nettoyé ses dents pour ne pas altérer le goût. A non je vous assure. J'ai fais une étude là-dessus ! Quoi ? MOI FOLLE ?? SORTEZ !!!!
Donc je disais, il a des dents de Vampires, blanches, tout comme il le faut pour te déchiqueter comme ça. Alors, la réaction du petit homme ? Heuuuuuu Je suis même pas sûre qu'il est compris qu'il était sur lui ? A si il le regarde et … lui souffle dans la gueule !! Mais … il se fout de ma gueule … ça doit être à cause du bâton qui fait rigoler !! Non jamais il se permettrait de faire sinon. Il aurait trop peur ! Enfin, nous avons comme su, par une petite analyse bête et efficace que ce cher jeune homme aux cheveux verts était chez les piques avant. Ou alors il c'est fais prendre en tant que trou pour foutre. Vous comprenez pas ? Comment dire … Un mec derrière lui, un autre au niveau de sa tête, un mouvement de va et vient … Je sais pas trop moi !! OUIIII un sac à foutre voilà, mais je préférais le trou en fait !!! Mais si vous tenez au sac, je vous l'accorde. Donc en passant il vient de le lâcher et ATTENTION, il casse sa sucette d'un coup de dent ! Un petit coup d'expert ce qui vient rajouter un argument dans mon hypothèse. Genre il fait le grand mec quoi … Du coup il ne jette même pas son bâton à la gueule de mon homme, il le met dans sa poche et … MAIS POURQUOI IL PART PAS ? Un instant de réflexion dans son pauvre cerveau de Piaf ? A ba NON !! MAIS IL A PAS LE DROIT ! IL PROFITE DE LU ALORS QU'IL EST SOUS LA DROGUE !!! LA POLICE !! APPELEZ LA POLICE ! Quoi ? Ce qui vient de se passer ? Ba ça se voit non ? LE PIAF À LÉCHER MON HOMME ! Après lui avoir soufflé dans l'oreille, mais ça c'est quasiment un détail !! MAIS IL L'A LÉCHER ! Et ce con réagit à peine !! C'bien la drogue ça … a si, quand même il se relève et NON PAS DE DISCOURS !! Ouf c'est bon il se tait. Il reste là, choqué, se lavant aussi alors que l'autre remonte à sa branche. Le salopiaud. Je vous assure, je vais le tuer. Il souffrira pour ce qu'il m'a fait !
Le connard baille, en même temps il en a sûrement beaucoup fais, vu comment il était motivé tout à l'heure cela doit être un choc pour lui ! Le pauvre, si je le laissais à croire que c'est un martyre tout seul ? Oh oui, j'espère qu'il pense que c'est un martyre. C'est sûrement à cause d'une de ces réflexions comme ça qu'il se relève. A ba non .. il dit juste qu'il veut aller dans le même groupe que le vrai homme de l'arbre. Et pendant qu'il joue de son visage pour faire peur et avec ses mains pour faire chier un passant, il remarque l'ingéniosité du véritable homme. Pas de réponse sur le groupe.
- Je ne comprends pas comment tu fais pour faire chier les gens ! La technique n'est pas celle-là. Bon ok, tu es haut, mais c'est un détail. Le meilleur reste tout de même de se balancer au but de la branche juste quand la personne passe tu lui mets tout dans le cou. Pas dans les cheveux ça sert à rien, mais dans le cou ça gratte ? Bien évidemment tu choisis bien ton endroit pour rester discret. Et tu regardes tout le monde se gratter. Encore pire, tu prends le poil à gratter ou araignées, fourmis, insectes de tout genre ? Je t'assure c'est pharaonique comme réaction. Et je dois dire que sur les filles c'est encore plus beau. Surtout quand elles se déshabillent en vitesse ! Mais ça ce n'est qu'un détail. Par contre … il faut choisir les cibles j'ai pu avoir quelques soucis !! La dernière fois que je l'ai fait à une trèfle j'ai du courir vite !! très vite !
Mais non je continuerais pas le discours de Môssieur ! PARCE QUE CET ENFLURE EMMERDE LES FILLES POUR LES VOIR SE DÉSHABILLER !!! Et moi ça te suffisait pas ? PERVERS ! Tu aimes pas mes courbes ? A mais merde … j'en avais pas tellement quand il est parti , j'me disais aussi j'suis un peu conne.
- Toujours est il que je vais te montrer comment fait un réel con.
Et c'est ainsi que je vis ce petit con pervers s'en aller au bout de la branche du bat, prendre des munitions au passage, reprendre la position de la panthère. Et attendre. Enfin une fille passa, il n'hésita pas, elle non plus. Elle se gratta, enleva son pull, puis releva son haut. Sans se rendre compte qu'il y avait du monde dans l'arbre. Elle avait tout de même vérifier pour les alentours. Il resta ainsi. Attendant sûrement une autre personne pour s'amuser.
PS : Si le rp est fou, pas ma faute, j'écoutais Fléau le Preux en le faisant !!! (cf synopsite)
Invité
Sam 8 Sep - 12:01
La folie est une douce mélodie ♪
Whut ?
Fuck. Mais pourquoi est-ce que ces feuilles sont tombées sur ses cheveux ? Alors que je détourne mon regard vers le passant qui porte le feuillage sur sa tête, le soi-disant Koyama commence un nouveau discours. Franchement, a-t-il besoin de toujours parler très longtemps ? Ne peut-il pas dire les choses d’une manière simple, courte et précise ? Et non ! Lui il se sent obligé de me faire un truc hyper long ! Et le pire, c’est qu’il se répète un peu le bougre. Comme si ce n’était pas assez chiant comme ça ! Quoique, la dernière partie de son speech piqua ma curiosité. « Par contre … il faut choisir les cibles j'ai pu avoir quelques soucis !! La dernière fois que je l'ai fait à une trèfle j'ai du courir vite !! très vite ! » Ah, non. Moins long en fait. « Et je dois dire que sur les filles c'est encore plus beau. Surtout quand elles se déshabillent en vitesse ! » Ouais, voilà ! C’est ça ! Quand elles se déshabillent qu’il dit ? Mais c’est très intéressant ! J’aimerais bien le voir, histoire d’être sûr qu’il ne me raconte pas de conneries, vous voyez.
Oh my fucking god. Mais il me fait quoi là ? Il va me faire une démonstration de ses dires ? On peut dire que je suis un grand chanceux pour le coup. Mais ces mots me font bien sourire. « Un réel con » dit-il. Au moins, il est au courant de ce qu’il est. Et ça, c’est plutôt bon signe. Ça signifie qu’il n’est pas aussi bête qu’il tente de le faire penser. À moins qu’il ne le fasse même pas exprès ? Quoique, si c’est le cas, c’est tant pis pour lui. Je ne le plaindrai pas pour ça. Et le voilà qu’il s’en va au bout d’une branche un peu plus basse que la sienne et qu’il jette quelque chose que j’ai du mal à identifier sur une fille qui passe en-dessous de l’arbre. Et en plus, elle est plutôt bonne la demoiselle. Je m’approche également, discrètement, pour mieux la voir. Elle se gratte. Elle regarde autour d’elle. Elle enlève son pull. Elle relève son haut… Jolie poitrine. Mes yeux pétillent rien qu’à cette magnifique vue. Et le pire, c’est qu’elle ne se doute absolument de rien. N’est-ce-pas merveilleux de pouvoir mater tranquillement sans se faire voir, comme ça ? Ce mec a de bonnes idées. Je l’aime bien. Et ça m’en donne également.
Là-bas, une autre qui arrive, alors que la première s’en va. Celle qui vient est bien mieux d’ailleurs. J’attrape des munitions identiques que celles utilisées par mon interlocuteur sur la première demoiselle un peu plus tôt et, lorsqu’elle se situe en-dessous de l’arbre, j’en jette à mon tour. Pile dans le cou. J’suis juste trop fort et … Oh. Y en a une partie qui entre par son col au niveau de sa nuque. Ça, c’est bon. La miss s’arrête d’un seul coup. Elle commence à se gratter fortement le dos, allant jusqu’à enlever son haut sans même regarder autour d’elle si quelqu’un regarde. Et. Merde. What the ? Mais non. Mais non ! MAIS CE N’EST PAS POSSIBLE. Ce genre de choses n’arrive vraiment qu’à moi ! Cette fille. C’est. Un. Mec. Mais pourquoi il est habillé en fille ? Et pourquoi il a un soutif ? On voit même son string qui dépasse de sa mini-jupe… Aaaaaargh ! Je reste bloqué. Je m’effondre sur ma branche. Le jeune homme se débarrasse de ce qui le gène, remet son petit haut sexy et repart l’air de rien. Je suis complètement out. Je reviens sur ma branche en soupirant. Je secoue ma tête. Tant pis. Revenons au sujet principal. Parce que, oui, je n’ai pas oublié qu’il a encore esquivé ma question.
Il garde toujours le spliff pour lui. En fait, je m’en fous. Je suis dépité. « Sérieux. J’en étais limite sûr. Je suis juste… Je porte la poisse à mort. Mais pourquoi ça n’arrive qu’à moi ? Franchement… » Je soupire encore. Je me mets debout sur ma branche, puis descend de branche en branche, sautant en bas de l’arbre. Ça fait bizarre d’être debout après avoir été aussi longtemps assis dans ce résineux. Je m’étire longuement, faisant craquer toutes les articulations de mon corps par la même occasion. Je lève la tête vers ledit poisson Koï version humaine et lui offre un large sourire. « Merci pour ta démonstration de comment fait un réel con. On peut dire que tu t’y connais bien. Des années de pratique je suppose ? En tout cas, tu t’en sors parfaitement bien. Puis, avec cette fille, c’était… Hum. » Je me gratte la joue en détournant légèrement mon regard. Disons que ce qui se passa à ce moment-là m’avait quelque peu émoustillé. Mais passons. « On peut dire que je m’en suis également plutôt bien sorti, non ? Même si je ne suis pas aussi fort que toi. S’il n’y avait pas eu ce léger incident… Pas le bon sexe. C’est bien con, hein ? J’avoue que je suis assez dégoûté, pas toi ? » Je souris légèrement. Faut dire qu’il n’est pas très réactif. Même s’il a fumé, comme moi, qu’il soit aussi mou. C’est quand même impressionnant je trouve. Mais bon, chacun est comme il est.
Et donc finalement, je repose une nouvelle fois cette question. « Dans quel groupe es-tu ? » Je me recoiffe. Puis j’époussette mes vêtements. Faut dire, un arbre, ça salit assez quand même. « Quoique, la réelle question serait plutôt, vas-tu répondre ? » Je rigole légèrement. Je me laisse tomber sur le sol. Je fais le mort. J’ai la tête qui tourne. Oh gosh. J’en ai marre. Je tousse. Je me redresse. Je lève les bras au-dessus de ma tête. « Je connais une formule magique pour te faire descendre. » Je tape dans mes mains. « Héééé choliiiii éneeeeeer ! Héééé choliiiii éneeeeeer ! TAGADAAA TSOIN TSOIN ! TAGADAAAA TSOIIIN TSOIIIN ! ILOOO ! » Un bruit sourd. La branche casse. Koyama me tombe dessus. What the… Jor ? Je suis magicien ou quoi ? C’te coïncidence ! Je reste là, sans bouger, impressionné par ma propre compétence. Comment j’ai fait ça au juste ? J’ai même oublié à quel point ce que je fis fut d’un ridicule horrible. Mais bon, heureusement que le ridicule ne tue pas !
Code by Anarchy
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Mar 11 Sep - 10:12
Alors que déjà je découvre que mon homme est un pervers. Bon d'accord, je ne le découvre pas vraiment, c'est juste que je ne pensais pas qu'il pouvait faire ce genre de truc volontairement ! Peut être que je suis trop pure et innocente, je sais pas trop, mais pour moi il ne faisait que profiter du paysage, rien de plus, il n'engendrait pas le paysage. Enfin, on découvre toujours une personne de plus en plus avec le temps, je peux rien y faire. Je lui foutrais peut être une baffe le jour où l'on se reverra. Elle devra comporter tellement de vengeance, je pourrais presque le plaindre. Presque j'ai bien dit. Toujours est-il que ce petit con ne fait plus rien. C'est au tour de l'autre spécimen dans l'arbre. Chacun leur tour ? Celui qui fait enlever le plus de vêtements gagnent ? C'est quoi encore ce jeu pourri ? Ou alors celui qui fais montrer la plus belle poitrine. Encore un jeu de mec, ils n'ont même pas besoin de se concerter pour se donner les règles on dirait qu'elles ont toujours été là. Sans plus de détail et de dialogue l'autre s'empara lui aussi de petites munitions et se pencha sur sa branche.
Une autre fille passe. Je la plains, réellement, je ne supporterais pas d'être à sa place. Alors qu'elle passe, le sieur jette ces choses ! Tout se passe bien. La miss commence à se gratter, elle se déshabillent euuuuh, il pardon ! QUOI ??? Merde un mec ! Même moi je me suis fais avoir ? Ou alors surtout ? Je n'ai jamais était très porté sur l'admiration des femmes. Peut être que je devrais m'y pencher d'ailleurs, elles ont l'air d'être bien plus sympathique que les hommes et le peu d'homme que tu peux confondre avec les femmes sont très mignons. Alors je peux dire que c'est que du bonheur ! En plus il a bon goût cette mignonne, mais je crois que vous allez être dégoutté si je continue. Pour votre bien mesdames et messieurs, j'arrête. Donc alors que la grand folle s'en reva, Koyama est mort de rire. Il n'essaye de ne pas éclater de rire, mais il se cache bien les lèvres derrière ses mains. Il n'ose même pas regarder le pauvre Garçon, enfin les. À peine il se retourne vers les cheveux verts qu'il pouffe encore plus. Et là il ne faisait que remonter sur sa branche. Je dois dire que lorsqu'il se remet à parler. Là c'est fini, il est mort de rire et éclate à pleine voix. Peu importe si quelqu'un l'entend. Bon en prime, il a pris des photos je crois. Le salop vous direz. Il sait se faire discret et surtout ne rien oublier d'humiliant pour les autres. Entre la tête de Flippy et le mec qui se déshabillait, il a tout. Peu à peu finalement le fan de Poussin redescend, là Koyama se calme.
Peu à peu, il devient de moins en moins réactif, épuisé par la crise de fou-rire et le joint je pense que ça ne fait pas que des bons mélanges. Bon d'accord ça ne doit pas être non plus très nocifs de rigoler, mais la fatigue vous savez … Durant la descente un long discours sur la malchance et tout le tralalala. Je me demande si c'est pas en partie ça qui a endormi mon petit homme. Une fois en bas, le sieur reprend ses attaques sur le groupe. A non, en fait il est pas totalement con ! Il se rend compte que mon ami ne va pas lui répondre s'il n'a pas envie, mais surtout qu'il ne peut pas l'avoir à l'usure. Il le menace de le faire descendre de l'arbre grâce à une formule de magie. Il s'y essaye et … A ba merde ça marche ! Je crois que même lui est choqué, il ne sait pas trop quoi faire, c'est assez ignoble je dois vous le dire. Mais bon, personnellement je m'y fais, les choses les plus étranges se passent ici. Comme le fait que Koyama est failli sortir avec une trèfle, qu'il ne s'enfuit même plus devant certaines des trèfles et qu'il se contente d'esquiver ce qu'il peut. Il y a aussi ce genre de personne, et des coïncidences de ce style. Parce que pour moi s'en est une. C'est alors que le petit homme se réveille, un peu brusquement de sa létargie.
- PUTAIN, MAIS TU ES TARÉ ! QUAND ON A DES POUVOIRS COMME TOI ON FAIT GAFFE ! DES GRANDS POUVOIRS IMPLIQUENT DE GRANDES RESPONSABILITÉS ! » Là je crois qu'il reprend un peu son souffle et se remet en état de paraître « La prochaine prévient dès le début que tu es vraiment ... » Il se retourne et voit l'état de la branche « A mais en fait, non j'devais juste être trop lourd et toi un vrai usurpateur ! Un Mystificateur ! Tu te fous de ma gueule quoi ! Et tes cheveux ils sont naturels aussi pendant que l'on y est ? C'est dû à tes origines démoniaco-chaotique ? PFFF spèce de con ! » Il respire encore un grand coup, se remet de ses états, retrouve le joint qu'il avait fait tombé dans la chut, en prend une bouffé, le rend à son proprio . « Et je remarque que tu fais des longs discours toi aussi ! À chaque on se plaint de ça avec moi, mais là je me sens moins seul, vraiment merci. Tu penses que tu peux me faire un discours sur la différence de force entre l'hippopotame et l'éléphant ? »
A oui je vous assure il a dit ça, je n'ai rien inventé chers amis ! Il est assez con pour pouvoir dire ça ! Bon en même temps vu qui il a en face, c'est pas trop le soucis je pense. Pendant ce temps, là, il retourne à l'ombre de l'arbre, dans l'herbe, pour s'allonger. Trop d'émotions pour lui, il en peut plus, il lui faut un domaine dans lequel il s'y connaît : ne rien foutre. Alors qu'il s'installe, il demande à son collègue s'il veut bien venir s'installer avec lui pour qu'il puisse bien l'entendre durant le discours. Il le regarde, regarde ses pieds, le reregarde, encore ses pieds. Ouais je sais pas ce qu'il a avec ses pieds mais il les aime bien.
- je te dis dans quel groupe je suis et tu me racontes tout ton histoire avec les piques, et pourquoi tu veux revenir dans mon groupe ? J'aime bien savoir ce genre de truc. On comprend bien mieux les gens comme ça, et on s'entend aussi bien mieux avec eux. En passant, je t'ai donné mon groupe, à toi ton histoire !
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Mar 11 Sep - 22:23
La folie est une douce mélodie ♪
Hungry.
Son fou rire m’avait légèrement usé les nerfs, mais je l’avais ignoré avec succès. Le garçon est lourd. Mais c’est sûrement dû à ma claire fatigue. Puis, faut dire que j’ai soif aussi. Tandis que le jeune homme s’excite complètement face à ma grande démonstration, je me redresse et fouille mes vêtements. Je n’ai aucune bouteille d’eau. Et merde. Je vais devoir crever de soif du coup. En tout cas, la branche sur laquelle était posé ce fichu poiscaille est particulièrement dans un sale état. On dirait qu’un mammouth s’y est essayé à être un opossum. Au moins, il avoue lui-même qu’il est lourd, c’est bien ! Par contre, moi, être un usurpateur, c’est totalement faux. J’ai su décelé à quel moment exact la branche se briserait. C’est un don ! C’est sûr ! Alors il est clair que je ne me fous pas de sa gueule. Enfin, presque. Et le voilà qu’il parle de mes cheveux. S’ils sont naturels ? Mais oui, tout à fait. C’est même dû à mes origines … Je crois qu’on vient de penser exactement à la même chose. Mais bon, si on regarde les références des deux autres empaffés, il est plutôt normal de trouver à peu près les mêmes choses dans nos récits… Et en plus, il me traite de con. Comme s’il venait juste de le découvrir, non mais ça se voit de suite que je suis con. Un peu comme lui quoi. Mais en moins pire je crois.
Long discours ? Mais je suis capable de parler de tout et n’importe quoi pendant des heures. Des discours sans queue ni tête, ça me connait. Mmh ? La différence de force entre l’hippopotame et l’éléphant ? Franchement, de mon avis, le plus fort entre l’hippopotame et l’éléphant, c’est quand même le rhinocéros ! Quoique. Un éléphant. C’est gros comment ? Mmh, je suppose qu’il peut y avoir plus gros, non ? Et un hippopotame, c’est pas dangereux. Ouais, je suis pour le rhinocéros moi. Durant ma longue réflexion, il s’est installé au pied de l’arbre. Je fais de même sous sa demande, quand bien même je l’aurai fait même s’il ne me l’avait pas quémandé. Et maintenant il… Qu’est-ce qu’il fout ? Il fait que me zieuter puis zieuter ses pieds. Il les aime ou quoi ? Ça fait un peu flipper non ? Oui, c’est bien moi qui dis ça. Et il se remet une nouvelle fois à parler. Il ne me laissera pas en placer une, c’est ça ? Je vais savoir son groupe. C’est bien, ça. Par contre, il veut savoir mon histoire avec les Piques. Ça, c’est tout sauf bien. Et puis. Ah ! Il se vend tout seul ce con. Revenir dans son groupe. Il est donc un Joker. Quelle merveilleuse coïncidence. En plus, un gamin avec qui je semble être sur la même longueur d’onde. Je tire sur le spliff qu’il m’a auparavant rendu et la termine carrément en fait parce que depuis le temps qu’on tire dessus je me demande comment ce joint a fait pour tenir autant. Je l’écrase contre l’arbre et fous le mégot dans une boite dans ma veste. Tout pour pas polluer. Je suis à fond dans mon délire.
Il attend sagement que je lui raconte toute mon histoire. Comme si j’allais le faire. Je ne suis pas du tout du genre à parler de ce qui m’arrive, loin de là même. Je lui tends un petit paquet de bonbons acidulés en soupirant. Il n’y a rien d’extraordinaire à savoir. Sauf le fait que jamais au grand jamais je ne retournerai parmi eux. Plutôt crever. Quelle heure est-il à présent ? Et quelle heure était-il quand nous nous sommes rencontrés ? Il était environ quatorze heures passé non ? Je sors mon portable. Ah ouais. Déjà une heure et demie de passé. Comme le temps file vite. Mon ventre gargouille. J’ai faim. Je me redresse et regarde le jeune homme complètement affalé sur le sol. « Ça te dirait d’aller en parler autour d’un verre plutôt ? » Je range mon téléphone, ignorant les quelques sms reçus. Je n’ai aucune envie d’être dérangé aujourd’hui. « Et aller manger un truc aussi d’abord. Parce que j’ai la dalle, un truc de malade. » Je m’étire. « Mais bon, j’ai presque toujours faim, donc… » Je range finalement le paquet que je lui avais tendu. C’est pas l’heure pour manger des bonbons. Surtout que je préfèrerai bouffer quelque chose de salé là. Je sors mon portefeuille et vérifie que j’ai bien de l’argent sur moi. Mmh, nulle crainte, je suis blindé. Mais je ne paierai pas pour lui. Faut pas rêver non plus.
Mes yeux brillants se reposent sur lui. « Je répondrai à tes questions à ce sujet si tu veux. Mais j’ai besoin de me remplir la panse en tout premier lieu. Puis, tu n’as pas faim toi ? Rester allongé ou assis, ça creuse je trouve. Surtout quand on ne fout absolument rien. » Puis, il va bientôt être seize heures. Donc il va falloir prendre une petite collation. Un petit quatre heures. Rien de mieux que de manger quelque chose à cette heure-ci. Je me lève et m’étire encore. J’ai les articulations qui craquent de partout. J’aime bien ce petit bruit. Beaucoup de gens ne supportent pas ce son. Ce fin craquement. C’est jouissif je trouve. Ça fait à peu près le même bruit qu’une articulation que l’on déboite, mais en atténué. Vous ne trouvez pas ? En tout cas, moi, j’adore. « Oh, par contre, tu connais un endroit où aller ? Parce que moi, je ne suis pas vraiment du genre à sortir souvent tu vois ? » Je l’aide à se relever, le forçant presque en fait, puis le fixe en silence.
Code by Anarchy
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Jeu 13 Sep - 11:05
Bon comme d'habitude, il faut toujours qu'il y est un con qui en a marre de ne rien foutre ! Comme d'habitude, ce n'est jamais Tetsuo. Comme d'habitude, ce con ne propose que des choses payantes. Ouais, on s'en fout de ce qu'il a fait ce con jusque là ! Il a finit le spliff et alors ? Ça fait quoi ? On en a rien à foutre non ? C'est pas vous que le fumiez non ? Alors me cassez pas les ovaires ! Qu'est ce que vous pensez ? Que l'on m'a brisé les ovaires ? Ba ouais un peu ! Il m'a énervé tout à l'heure, genre il léchouille mon Koyama ? Non mais je lui en foutrais des léchouilles moi ! Pis de toute manière c'pas ma faute ! On m'a mis une musique de merde dans la tête alors je suis encore plus énervée ! Du coup l'autre con se lève et propose d'aller boire un verre. Évidemment, un regarde dans e genre ''mais qu'est ce que tu dis toi ? '' suit. Ça me paraît logique ! Faut pas m'en vouloir. Le connaissant, il n'a pas le sous, enfin fais mine de ne pas avoir le sous depuis des lustres. On n'a jamais réellement su s'il avait des sous ou non. Mais je sais qu'il dépense pas mal dans tout ce qui est son et autre. Ce qui lui plaît quoi. Pas dans les verres stupides avec une personne inconnue.
Et en plus le salop est assez sadique pour proposer des bonbons avant ! Genre ça fait un peu si tu en veux suis moi tel un petit chien ! C''EST PAS UN CHIEN MON KOY !!! J 'en peux plus de le voir se faire traîner comme ça souvent. Ils en font ce qu'ils veulent. Heureusement il a pas trop de soucis avec les carreaux et les piques ! Sinon il devrait être à peu près seul contre tous. Bon d'accord il peut avoir des emmerdes aussi avec les mecs, mais c'est juste parce que lui même leur à donné quelques petites gamines chiantes et autres. Il a le droit de s'amuser lui aussi non ? Enfin toujours est il que bien sûr qu'il connaît les bonnes adresses en ville, mais est ce qu'il a envie de les donner à ce petit con qui va le forcer pour y aller ? Ça c'est une autre question ! Je n'y répondrais pas à sa place, en ce moment il me fait tellement de truc louches que je ne préfère plus prévoir ! Réellement il est chiant ! Il change trop, je ne le devine plus tellement, j'ai peur qu'il change trop, de ne plus avoir aucune chance avec lui. Peu importe me diriez vous, tu ne fais que raconter ce qu'il fait alors on s'en fout de toi. Et ba pour la peine je ne raconte plus rien !
Ça va vous saviez très bien que je ne pourrais pas arrêter ! Certes vous avez du attendre deux heures de plus et alors ? Vous l'avez votre histoire non ? Donc, j'en était là où il devait se relever non ? Tant pis alors, on reprend à ce moment là ! Pas ma faute si vous suivez pas. Donc il se fait relever par l'autre louche et cherche dans ses poches. Pas même une pièce, que son portable, que de mes textos … Tout va presque bien alors !
- bouarf, je connais quelques adresses, mais j'ai pas le moindre sous sur moi. S'tu veux pas faire le détour on y va et en remontant je te rembourse ! » OH NON ! Il va demander un remboursement en nature, il a la tête d'un type qui fait ça ! Il va le demander, ça se voit ! Bon j'espère qu'il aura une bonne idée pour esquiver ça. « Vraiment j'suis désolé, j'me balade pas souvent avec de l'argent HA attend ! » Oui il fait toujours ses poches en parlant, je ne vois pas le soucis. Et je vous assure ça prend du temps, il en a pas mal de poches ce con ! Mais ça vous permet aussi de vous sortir de nombreuses merdes ! « Ha non c'est bon, j'ai des billets en fait ! J'adore ce pantalon, il a toujours tout ce que je veux ou que je sois ! Suffit de bien chercher » Il brandit fier comme un poux les billets dont il parle. Encore une fois sauver par le pantalon. « Bon aller, viens je te montre les vrais endroits à connaître pour boire pour pas cher ! »
Ha je me disais … il n'est pas fou, il garde ces sous pour des verres pas chers ! C'est bon je suis rassurée, plus rien à craindre. Il s'étire après avoir retrouvé tout les billets et avant de se mettre à marcher. On dirait vraiment un paresseux de temps en temps quand il marche, il faudrait juste plus de courbure dans le dos et un air encore plus las que ne peut le faire le genre humain. Il descend finalement en ville, on va dire qu'il a vu la belle ville avec son ancienne colocataire de chambre Aria … Elle sortait souvent, l'emmenait souvent aussi. Rien ne vaut l'expérience des sorties pour connaître les bon bars. Enfin arrivé dans le quartier où il y a tout il se retourne vers le cheveux verts.
- Bon, tu voudras quoi comme boisson ? On va dans un lieu différent selon ce que tu préfères. Ils les font plus ou moins bien! A, en passant, oublie pas que tu me dois ta petite histoire, surtout que je vais te montrer des bars qui ne sont pas toujours connus par le grand public. Ce sont des petites perles dans cet océan ! » Et ne fait pas trop gaffe à ses comparaisons aussi ! C'est fou comment il arrive à comparer à peu près n'importe quoi avec n'importe quel autre objet. Bon la réponse du petit cheveux verts on attend !
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Mar 24 Juil - 6:51
