Le passé marque chacune des personnes de ce monde un jour ou l'autre. Pour ma part, plusieurs choses m'ont marqué, mais le plus fantastique reste bien entendu la partie sentimentale de ma vie. Celle-ci se résumant en peu de chose. Puisque sentimentalement, je n'avais aimé dans ma vie qu'une personne ici. La demoiselle répondait à un seul nom, un nom qui reste dans ma mémoire, mais qui malgré tout aujourd'hui a un doute. Personnellement, depuis des actes de sa part, j'ai un doute que je n'avoue pas à la belle et intérieurement, je me sent mal. Mais je ne voulais pas l'inquiéter, étant trop fier pour ça. Puis d'un autre côté, je ne voulais pas la blesser, du moins, je ne voulais pas que quoi que ce soit nous arrive. Mais souvent, on ne choisis pas son destin. Pour ma part, je repense aussi bien au bon moment qu'à engendrer notre relations, mais aussi aux mauvais moments, notamment un qui m'a fait largement réfléchir. Sa trahison d'un soir... Alors que mon groupe allait jouer un tour aux personnes se trouvant à ce bal, j'avais voulu la protéger de ce coup, mais ce soir là, pour une raison que j'ignore, elle avait visiblement préféré prévenir son groupe tout entier, risquant de faire rater le plan. Bref... Depuis ce jour, je n'ai jamais cessé de me demander une chose : Pourquoi m'avoir trahis ce soir là. J'avais été comme effrité. Mon amour pour elle s'était craquelé, un doute énorme se créant en moi. Je savais qu'elle m'aimait, je le sentais, mais malgré tout, je doutais, son acte brisant en quasi totalité les sentiments que nous avions partagé. Était-ce une mascarade depuis le début ? Le chasseur avait-il au final été chassé ? Je me posais la question t au fond, je me sentais mal, mais voilà la question du jour : Dois-je continuer de l'aimer ? Devrions nous rompre ? La question trottait dans ma tête, mais la décision n'était pas prise, je refusais de faire ça pour le moment. Faire la croix sur un amour qui malgré tout est unique, c'est toujours un choix difficile et là, je me rend compte qu'au final je ne suis pas si méchant que je veux le faire croire. Taito le carreaux peux ressentir des battements dans son coeur et oui...

En ce soir, j'avais besoin de réflexion. Soupirant donc, je me dirigeais vers la forêt. Pour réfléchir, rien de mieux que cet endroit. Soupirant doucement donc, j'avançais habillé de ma chemise simple à moitié ouverte, puis mon jean et mes chaussures. Le froid mordant un peu ma peau, je m'en fichais étant dans mes chaleureuses pensées. Je ne savais pas quoi faire, parler de ça et prendre une décision m'était impossible. Sans rien dire, j'avançais pour alors arriver proche d'un endroit que j'aimais et là, ce fût la surprise totale. La demoiselle responsable de mes état d'âme était là. Assise contre un arbre, visiblement endormit. Je souriais pour alors m'approcher admirant sa chevelure verte flotter au gré du vent. L'air enfantin, je devenais le Taito doux que peu connaissent. Sans rien dire, je posais une main sur sa joue pour alors murmurer.

«  Hey princesse... C'est pas l'endroit idéal pour dormir... »

Ne sachant pas si elle dormait à point fermé ou non, je me mis à côté d'elle, puis la basculais doucement contre moi. Refermant mes bras sur son corps, j'étais silencieux et ne disais plus rien. La protégeant via ma présence et mon étreinte on aurait dit deux enfants qui s'aiment à leurs façon. Au fond.. Parler de ça n'était pas une bonne chose, si on doit parler d'un truc, ce sera d'un truc joyeux.. Pas de choses dramatiques...

La nuit est parfois le moment de rencontre spéciale. Pour ma part, je ne pensais pas tomber sur la demoiselle qui me tracassait un peu, mais bon, c'est ainsi. Sans rien dire donc je l'avais calé contre moi pour qu'elle puisse dormir en paix, mais je sentais que dans la position actuelle elle était plus éveillé qu'autre chose. Je la laissais donc se coller à moi au départ telle une enfant. Mais bien vite, elle se retira de là pour alors entourer mon dos de ses bras souriante. Sa question me fit sourire, je la laissais s'asseoir sur mes genoux pour alors passer ses mains sous mon haut. La chaleur se faisant sentir, je soupirais pour alors lui répondre doucement.

«  … La nuit est douce, la nuit sans lune un moment parfait pour s'isoler, réfléchir, méditer puis surtout être en toute intimité avec soit même. Bien qu'etre avec toi là, c'est tout aussi plaisant... »

Souriant, je posais mes mains sur les siennes, seul le tissu séparait nos mains. Ainsi, elle avait ses mains appuyées contre ma peau brûlante, tandis que mon regard ne la quittait pas. Ce regard que je chérissais tellement il y a quelque temps, mais qui depuis peu commence à s'estomper. Il n'a plus la même magie qu'avant, mais en possède encore en cet instant. Sans rien dire, j'ai honte de moi. Pourquoi penser à ne plus aimer ? Alors que je l'aime là ? Pourquoi cette guerre me force à penser à des choses pareils ? Au final... C'est pour nous protéger que je fait ça...
Secouant la tête, je pose ma tête contre son épaule la détournant légèrement pour pouvoir dévorer sa nuque patiemment. Lentement, ma bouche faisait un suçon à la belle. Peu sont les fois où j'ai fait ça, mais c'est si mignon. Sans rien dire, je finissais ce geste pour alors admirer la marque rouge sur son cou. Souriant donc, je repris la parole.

«  Cette soirée nous protège de quiconque... Laisse parler ton esprit, ce qui te vient à l'esprit ou alors autres... Racontes moi ta journée. Des soucis ? Comment ça se passe ces temps-ci ? Pas trop chargé ? »

Sincère, je l'étais, je m'inquiétais pour elle. Qu'elle aille bien était ma seule source de réconfort. Soupirant, je me collais à elle pour alors poser mon front contre le sien. La nuit nous donnait droit à des choses passionnantes, mais avant tout, nous devions discuter car bon, ça fait une bonne semaine qu'on c'est pas vu, alors avant tout .. Le langage verbale puis celui du corps, plus expressif.

Parler pour pas dire grand chose. Dans ce genre de situations, j'étais le roi pour blablater. En compagnie de ma douce, je parlais pour la distraire, lui faire plaisir, car malgré tout, je l'aime là, nos sentiments sont là, elle et moi... C'est une histoire complexe, un jeu qui tourne à la passion, un jeu qui est devenu réalité pour nous, un jeu qui ne l'est plus au final. Nous nous aimons, mais il y a un truc qui fait que. Enfin bref pour l'heure, je laissais ma passion s'exprimer à son égard. Caresses, touchers, léchages, tout y passait. Nous jouions de nos corps pour s'exprimer et ça, c'est magique sur le coup, mais jusqu'à quel point ? Sans rien dire, j'avais fait un suçon. Marque d'appartenance, bien que entre nous, ça n'étais pas vraiment ça. S'était plus une marque d'envie, une envie d'avoir l'autre. Pour ma part, je ne faisais pas attention au fait qu'elle fronce les sourcils, puis je vins à l'écouter attentivement.

Ainsi donc, elle était préoccupé ces temps-ci. Comme moi quoi. Nous nous regardions, pas besoin de tourner autour du pot. Chacun avait envie de parler de ça, nous le savions, ça se sentais. On se voyais de moins en moins, les rencontres étaient de plus en plus brève; bref... La magie entre nous commence à disparaître, il ne faut pas se voiler la face. Je la laissais me plaquer contre elle, puis respirais son odeur. Lâchant un bref couinement, je la laissais faire pour alors laisser mes doigts vagabonder sur sa peau recouverte de ce tissu. Je voulais au fond de moi qu'elle se sente bien. Alors doucement, je passais mes mains sous son haut pour alors caresser sa peau, lui offrant un doux massage du dos sans que je puisse être précis. Doucement, je lui murmurais.

«  Ce soir, je veux qu'on soit uniquement nous deux.... Nos corps... Nos esprits et rien d'autres... Oublions les tracas, cette guerre, ce soir il n'y a que nous d'accord ? »

Une sorte d'invitation à la débauche. Je me taisais, laissant mes mains défaire cette agraffe derrière elle, mais je ne tirais pas celui-ci vers le bas. Je le laissais ainsi. Quoi qu'il arrive, son haut reste là, donc même sans cela, elle aura de quoi cacher ses atouts. Sans rien dire, je reculais mon visage pour alors l'embrasser plus fougueusement que jamais. Je liais nos lèvres et simplement nos lèvres. Sans rien ajouter, je fermais les yeux. Ce moment dura un petit temps, mais le plaisir était si intense. Sourire aux lèvres, je la regardais dans les yeux posant ma main contre sa joue.
Regard intense, silence signifiant bien des choses, je me taisais sans avoir envie de parler. Je cherchais quoi dire alors bon.

«  …  »

Je ne savais pas quoi dire. Si seulement... Je pouvais re écrire la destinée...

Je me taisais ne sachant que trop faire ou que dire. Après tout, la jeune femme savait bien mieux que moi comment faire pour me faire parler. La belle usait de ses mots ou de son corps qu'importe, elle y arrivait toujours. Comme si elle avait depuis toujours la serrure de mon coeur, comme si elle me connaissait par coeur, ce qui est un peu le cas mais bon. Sans rien dire donc, je jouais avec elle. Nous nous embrassions comme à notre habitude. À pleine bouche, nos coeurs parlant directement. Je ne pouvais pas le nier, mon coeur l'aime, ce n'est pas comme si je me tâtais à lui dire que je ne l'ai jamais aimé, c'est faux. Je l'aime aimé, je l'aime, mais là, je réfléchit à comment tourner les choses comme il faut. Cette guerre nous empêchant cela. Nous ne pouvions continuer ainsi, car demain, si notre amour n'est pas assez fort, alors on sera l'un contre l'autre et ça ne sera pas une bonne chose. Sans rien dire de plus, je jouais avec sa langue, ou plutôt, je laissais sa langue jouer avec la mienne.
Le baiser pris faim et sa réponse arriva. Bien entendu, elle n'avait pas tort, je n'arrivais pas à faire abstraction. Sans rien dire au départ, je la regardais puis je baissais les yeux. Je pris donc une grande respiration, me vidant l'esprit. Doucement, je lui souris semblant déjà plus à l'aise.

«  .. C'est jamais immédiat avec moi donc bon... »

Souriant, je vins à l'enlacer pour alors laisser mon souffle caresser son visage. Des idées me venaient à l'esprit, mais j'espérais que la demoiselle comprenne. Alors j'approchais, collant mon bassin au sien, comme pour qu'elle comprenne le message subliminal. Ce soir allait être notre soir. Je voulais qu'elle reste gravé à jamais en moi, que nos âmes soient fusionnées. Qu'importe la distance, jamais on n'oubliera ce soir. Bref... Je voulais le lui montrer physiquement que je l'aimais.

«  Addi... C'est toujours plaisant d'être avec toi..profitons de la solitude que la nature nous offre qu'en dis tu ? »

Alliant le geste à la parole, je posais mes mains sur son bas ventre, soulevant son haut pour alors aller chatouiller sa peau. Son ventre et plus haut, sans aller toucher la poitrine pour l'instant. J'aimais cette sensation alors bon. Frissonnant de plaisir, je reposais ma tête contre son épaule. Respirant son odeur, lui léchant la nuque, la lui mordillant, elle était un puit d'amour pour moi. Je voulais continuer, ne pas rompre, mais visiblement, il faudra faire cela... Mais avant, il faut qu'on se le dise au moins, à quel point on s'aime, alors l'expression est notre arme.

Sa peau couleur crème, son parfum me rappellant bien des moments aussi bien douloureux que joyeux, avec ou sans elle, tout en elle faisait que je l'aimais. Peut-être que nous nous éloignions certes, mais au fond, l'histoire ne peut pas être effacée ainsi. Dans nos coeur, quoi qu'il arrive, il y aura toujours souvenir de ces moments antérieurs où nous avons ris, où nous nous sommes tenus la main tel un couple qui vivra ensemble jusqu'à la mort. Oui, celui qui dit qu'il n'y avait rien entre nous, que tout était illusion, alors il mentait royalement.. Je soupirais d'aise laissant mon corps agir, traduire mes pensées, le lui dire que je l'aime, car oui, je l'aime voilà la pure vérité, mais pour nous protéger, il faudra tout stopper.. Au fond, ce n'est pas une bonne chose que s'aimer. Son absence a effrité mon amour certes, mais je ne lui en veux pas pour ça. C'est plus à cause du bal où je me suis sentis mal. Revenant à l'instant présent donc, je la regardais continuant mes gestes.
Ses mains vinrent retirer mon haut, ses paumes froides jouant avec ma peau, je frissonnais de plaisir. Sa réponse était évidente, du moins je le pensais. Souriant comme elle, je léchais avec amour cette nuque. Si j'étais un vampire, je l'aurais mordit à vif rien que pour elle. Elle me plaqua soudainement sourire aux lèvres. Je la laissais traiter avec soin mon ventre, décidément, ça me rappellais tant de souvenirs... La demoiselle qui me domine, l'inverse d'une fois où nous l'avions fait dans sa chambre. Susurrant son nom, je me taisais lors du baiser, jouant avec sa langue. Mes mains se posant sur son dos je lui dit.

«  Je me le demande ce que j'attends... »

Sourire aux lèvres, je souriais pour alors masser ses épaules la laissant couché sur moi. Le plaisir montait simplement entre nous. Des ébats, des embrassades, des jeux, puis au final l'amour... Sans rien dire, je souriais massant ses épaules avec soin. Ô oui, je voulais que ce soir soit le notre. Pour se faire, je vins soulever son haut pour l'enlever aussi. Égalité ou presque, je la collais à moi, sentant un peu plus son coeur battre dans sa poitrine. Si seulement je pouvais dévorer son âme pour une soirée, la sentir avec moi à jamais. Je la serrais dans mes bras, laissant mes mains jouer avec son corps, parcourant son dos pour aller vers le bas. Si doux, je voulais la taquiner alors doucement, je passais mes mains sur ses cuisses, l'invitant de manière explicite à se découvrir, ou alors à jouer plus franchement. Je la fixais dans les yeux pour l'embrasser puis passer mes mains sur son corps, frôlant sa poitrine exprès pour attiser son envie.

«  … Tu sais quoi ? »

L'air joueur, je vins lui susurrer.

«  Ce soir c'est toi qui mène la danse... »

Tant de souvenirs refaisaient surface. Les souvenirs où nous étions ensemble, ces moments passés à pleurer ensemble, ces soirées ensemble... Tout ça est-il réellement finit ? Ou bien au fond, est-ce qu'il y aura toujours de ça entre nous ? La réponse est simple et difficile à la fois. Sans rien dire, je secouais la tête pour me retirer ces idées de la tête. Là, ce moment est notre et comme les autres fois, nous allons le faire... Ensemble. Sa peau brûlait la mienne dans un frisson des plus délicieux. J'aimais sentir sa peau contre la mienne, je voulais absolument rendre ce moment unique. Jamais on pourra dire qu'on a fait mieux, elle et moi. J'allais la combler comme personne ne l'a comblé et en échange, je serais le plus heureux des hommes même quand on pleurera car je me doute que ce jour là, nous souririons et passeront notre chemin, loin de là même... Je respirais lentement pour alors me laisser faire, la belle laissant son souffle déchirer, craqueler ma peau. Des frissons interminables décidément, elle me rendait dingue. Je la laissais même défaire ma ceinture puis défaire mon pantalon, mais elle, elle ne faisait rien. Souriant donc, je venais à doucement gémir.

«  A...Addi.... »

Soupirant d'aise, je fermais les yeux l'écoutant. Plus de magie si je ne le faisais pas par moi même ? Elle avait raison, je lui souris puis vins doucement passer ma main entre ses cuisses caressant le tissu épais qui recouvrait un tissu plus fin. Sourire aux lèvres, je revins l'embrasser avec passion nos langue jouant l'une avec l'autre. Nous ne savions pas quand, mais nous allions craquer c'est certain. Je sentais mon coeur palpiter. Était-ce l'idée que tout allait finir un jour ? Ou bien le moment présent ? Je ne savais pas mais bon... Sourire aux lèvres, je venais me retirer pour alors laisser nos langue pendouiller hors de nos bouches. Un filet de salive nous reliant un bref instant, nos bruits de respiration se faisant sentir, je souriais pour alors passer ma main sous son bas à elle et aller défaire celui-ci de l'intérieur.

Lentement, je jouais pour alors retirer son pantalon la laissant comme moi en sous vêtements. Je laissais ma respiration augmenter d'un cran pour alors désirer une chose. L'avoir pour moi tout seul. La regardant donc, je vins à caresser ses cuisses avec envie. Mes doigts prenaient soin de bien chatouiller chaque parcelles de peau: Désirant la rendre brûlante d'envie, je laissais mon bras soutenir son dos tout en la regardant de bas étant en dessous d'elle.

«  … J'ai tellement envie que toi et moi nous ne fassions qu'un... Que pour une fois de plus; nos corps se chauffent de manière telle que nous soyons les plus heureux du monde. Qu'une fois de plus, nous oublions cette guerre qui ne nous ménera qu'à la fin de tout ça... Je veux pouvoir encore e le dire et je vais le faire... Je t'aime. »

Suite à cette phrase, je venais à l'embrasser de manière sauvage et amusé. L'amour était encore un peu là et tant mieux. Au fond, ça ne disparaitra pas ainsi, voir jamais...

En fin de compte, je ne suis pas si méchant que ça. J'ai un coeur, une tête, deux bras, deux jambes, un corps... Bref, je suis humain. Je m'en rendais compte en sa présence, elle qui était la seule à me décrocher de mes rêveries, à réussir à me faire focaliser sur une seule pensée... Elle. Depuis que je la connaissais, je ne pensais plus qu'à elle. Directement ou indirectement d'ailleurs. Au fond, le vilain Taito n'est autre qu'une personne dure, mais qui ne pense qu'à protéger ce qu'il aime à s'en faire souffrir et là allait être notre soucis plus tard. Car si je décidais de l'abandonner, ce n'est pas pour me venger de SON acte à elle qui a été de partir sans me prévenir. Mais c'est justement pour la protéger, car de notre amour nait une flamme qui lentement.. nous brûle. La guerre faisant vasciller cette flamme sur nous même. Bref... Ce lien n'avait plus le droit d'exister, ça allait nous détruire et je ne voulais pas la blesser elle. Quoi qu'il en soit, pour l'heure, nous échangions des baisers plein de sentiments...
La belle vint à se redresser pour alors avouer à son tour... Son corps tourné, je l'écoutais elle qui avouait qu'elle ressentait la même chose que moi. L'amour était encore là nous en avions la confirmation. Je ne savais pas quoi dire sur le coup, mais j'étais heureux de savoir que au moins.. J'ai été aimé. Rougissant, je restais sans voix. Un doute se créait sur le doute même... Si elle m'aimait, aurais-je le courage de la laisser derrière moi ? Au fond, j'avais peur de ma propre décision.. Mon propre acte... N'est-ce pas idiot ?

C'est alors que la belle enleva la dernière chose qui lui restait. Sans se retourner, j'avais une magnifique vu de son fessier charnu. Mais bien vite, la vue de cette partie alléchante ajouté à celle de ses courbes vint à disparaitre ayant sauté dans l'eau. La voilà qui par la suite me regarde me faisant signe de venir... Faisait-elle exprès ? Après tout, s'il y a un bien un truc dont je raffole c'est le fait dans l'eau.. Voyez une sorte de fantasme si vous voulez, mais bon...
Rapidement donc, je vins à retirer mon bas puis plonger dans l'eau. Heureusement, malgré la fraicheur du soir, elle était à une température acceptable. Je vins à nager un peu pour alors me diriger principalement jusqu'à la belle en question. La nuit rendait la scène des plus touchantes. Nu, mais on ne voyais rien grace au miroir aquatique fait de l'eau additionné à la lumière de la lune. Rouge comme une tomate; ne faisant pas attention à sa question ou plutôt parole à haute voix, La vérité était que je fuyais sa question... Elle comme moi, nous le savions... Notre relation n'allait plus tenir. Mais ce qui restait mystérieux c'est pourquoi.
Arrivant proche d'elle, je vins à la prendre dans mes bras, redoublant mes battements de jambes afin de tenir tout les deux à la surface. Lentement, avec délicatesse, je vins à me retourner pour lui faire face puie je posa mon front contre le sien. Mes lèvres entre-ouvertes, je les bougeaient mais aucun mot ne sortait... Mais au fond, si le coeur comprenait, alors elle pourrait comprendre ceci.

* Je suis désolé... Mais tout ça... C'est pour nous protéger... *

Nos coeurs eux le savaient... Notre corps et esprit non, mais le coeur lui... Il sait parler avec l'autre. Elle et moi, ça n'allait pas tenir du moins en partie. Car a fond, si demain je la quitte, ce n'est pas de mon plein gré, mais plus par intérêt. Je caressais alors sa joue d'un revers de main puis je l'embrassa langoureusement tandis que ma main droit vint à parcourir son corps lentement avec attention. Mes doigts fins comparable à des aiguilles précises, vinrent à brûler sa peau lentement... Mon toucher étant fatal et le sien aussi, j'arrivais jusqu'à entre ses cuisses pour alors chatouiller sa croupe, histoire que cette fois, ce soit clair.... Ce soir... Je la voulais, comme bien des soirs. Comme la fois où on c'est sauté dessus dans la chambre, je voulais lui démontrer mes sentiments... Les lui faire comprendre. Souriant, je vins alors à lui susurrer.

" ... On y va ? "

Pour le grand saut... Le moment où les émotions fusionnent....

La nuit nous rendait mélancolique. Je voulais lui démontrer que je l'aime comme personne d'autre. Je voulais qu'elle comprenne que mon amour est sans pareil. Qu'elle comprenne qu'elle avait devant elle, le coeur mis à nu de ma personne et non un homme qui baissait les armes un instant. Au fond de moi, la peur est que demain nous soyons ennemis... Que cette guerre nous confronte. Comment pourrais-je frapper celle que je considère comme une soeur ? Non... Si demain elle me trahis, ce sera la seule personne capable de me faire un coup que je ne prévoirais pas. Ma faiblesse, mon talon d'achille... Si seulement elle savait à quel point elle est importante à mes yeux. Mon dieu, ça en ferait presque peur...
Collé contre elle, je battais des jambes allant titiller cet endroit où mille et un plaisir nous attendait. Sourire aux lèvres, je regardais ses yeux dorés qui m'envoûtent si facilement. Sourire aux lèvres, je me tais , me contentant de l'embrasser avec amour et passion. Nos langue dansaient dans une valse des plus magnifiques. Nos coeur s'exprimaient se lançant des mots facilement compréhensible.

* Je t'aime.. Ne m'oublie jamais... Fait moi l'amour... Je te veux... Je t'aime plus que tout au monde... *

Intérieurement, je le savais.. J'allais être triste. L'eau coulant sur mon visage cachait les quelques larmes que j'avais laissé fuir lors de mon plongeon. Je voulais pas que ça s'arrête, mais je devais le faire... Je le ferais une prochaine fois, que cette fois ici, soit la dernière danse que nous ayons à faire. Des souvenirs qui seront à garder à jamais. Non, ce soir ce ne sera pas un soir, mais LE soir. Après ça, si on doit se quitter, alors je m'en voudrais certes, mais au moins je me dirais que j'ai été heureux dans ma vie... Au fond, voilà les seules pensées qui me parcouraient l'esprit " Merci pour tout... Tu m'auras fait sentir humain...".
Revenant à moi même, je la regardais rompre ce baiser si délicieux. Sa salive formant un fin filet qu'elle rompis avec son index. Rougissant, je la laissais approcher pour se coller à moi délicieusement. Je la voulais et d'ailleurs, ce frôlement de bassin vint à me rendre dingue. J'allais le faire elle qui me disait n'attendre que ça.

" J'arrive..."

Plaçant mon gland contre ses lèvres intimes, je vins à appuyer pour qu'elles s'écartent suffisamment pour accepter mon âme. Mon membre entrait en elle lentement. Très lentement exprès pour qu'elle sente mon gland entrer puis mon membre de son long, coulisser doucement mais sûrement. Une fois ceci fait, nous étions unis comme personne. La belle sur moi, ma personne ne elle, je soufflais doucement pour trouver un rthme de respiration parfaite. La regardant par la suite dans les yeux, je vins à saisir sa poitrine pour alors sourire et lui avouer doucement.

" Addi... Merci..."

De m'aimer voyons. Posant mes mains sur son fessier, je commençais alors de doux vas et viens malaxant son fessier pour le masser comme il se doit, priant qu'elle aim eet qu'elle prenne les commandes comme elle sait le faire.

Addi... Voilà quelqu'un qui arrivait à me rendre spécial. Cette guerre, elle me détruit. Intérieurment, mentalement, physiquement, de partout. Sûrement me suis-je plongé dedans trop longtemps et de ce fait j'ai oublié qui je suis. Mais c'est ainsi, je ne peux pas faire machine arrière. Cependant, je peux retrouver temporairement ma vraie personnalité, celle qui n'est pas si cruelle. Je peux redevenir ce Taito que j'étais avant d'arriver ici et désirer vaincre et ce, peu importe les moyens. Addi est une personne qui y arrive facilement. Me faire montrer mon vrai visage de personne légèrement mystérieuse, mais surtout ayant un coeur gros comme le soleil. Addi avait eu la privilège de voir tout ça. Elle avait pu avoir la premièr fois, tout de moi... Mais ça, c'est un secret que je gardais au fond de moi, ne voulant guère gonfler sa fierté personelle aussi intime soit-elle à ce niveau là.

Le moment présent devenait unique puisqu'il fusionnait passion, amour, sexe et vérité. Cette fois pas de jeux de mains non... Juste la vérité et les sentiments mis à nus si l'on peut dire. La nuit et notamment les étoiles dans ce ciel noir possèdent sûrement des vertus adoussicante faisant que les gens sont plus... facile à parler. Allez savoir... Pour l'heure, nos corps étaient unis. Mon membre enfoncé en elle jusqu'à là base. Nous commencions à chauffer fortement, les corps n'ayant pas de temps de repos. Nous étions prêt pour le grand saut, bien que ce ne soit pas l'heure. Je voulais la combler une nuit de plus... Qu'elle sente cette chaleur émaner de moi, qu'elle puisse toucher mon âme comme personne d'autre n'y arrivera.

Lentement, elle vint à ajouter ses mouvements aux miens. Donnant naissance à une sentiment de légéreté. Un plaisir... LE plaisir. Celui de la chaire, le vrai, celui qu'on éprouve quand on fait ça, quand on s'aime. La belle gémissait d'ailleurs... Un faible gémissement, mais qui m'encourageait à bien faire. Souriant, je venais à la laisser faire, elle qui s'aggripait à moi si sauvagement. Je la laissais m'embrasser, acceptant de nouveau ce balet de langues. Celles-ci se touchant sans retenues. Nous n'étions plus que deux êtres animés par le plaisir et l'envie. Cete envie qui telle une flamme nous dévore de l'intérieur jusqu'à ce que le plaisir ultime vienne, celui de la jouissance. Sans rien dire, je donnais de plus puissants coups de bassins. N'en pouvant plus d'être en première, je passais la seconde histoire de voir sa réaction. Tandis que je faisais ça, sachant la belle bien accrocjée, je vins à saisir sa poitrine pour la masser avec tout le soin qu'elle méritait. Cete poitrine qui pouvait donner bien des idées à tout les coquins de cette planète. Poitrine qui ferait fantasmer plus d'un... Pour ma part, jamais je ne m'étais intéressé à ça, préférant me concentrer sur la demoiselle en elle-même. Addi était pour moi une source de bonheur, une source de joie. Au fond, elle est et restera à jamais mon premier et vrai amour. Celle que je regretterait à jamais si un jour on vient à se séparer...

" Moi aussi... J... Je t'aime comme un fou Addi... Au point d'en faire des overdoses... Tu es ma drogues, mon plaisir, ma joie... Mon émeraude..."

Passant ma langue sur son cou, je voulais tenter de la stimuler. Pour cela, je vins mincer ses tétons avec soin, car au fond, ce ne sont pas des boutons de flipper... Comment allait-elle réagir ?

Le bien, le mal, le bon, le mauvais... Tout ça n'avait plus d'importance pour nous. En ce soir, nous étions juste nous deux dans le lac en train de faire l'amour. Oui, l'acte charnel qui unis nos deux corps dans un moment unique. Pas seulement une baise comme certains peuvent le dire, mais un acte passionnel et amoureux. Les sentiments étaient là. La flamme brûlait fortement, mais au fond, cette brûlure intense accélérait la rapidité de la conbustion de la bougie que représentait notre amour. Sûr de moi, sûr d'elle, je savais que ce soit serait notre dernier. Du moins, dernier où nos sourires seront éternel. La prochaine fois, ce ne sera pas de la joie, mais des pleures. Au fond, fais-je une erreur ? Ou bien ? Je n'avais pas la tête à réfléchir à ça, alors je secouais la tête pour revenir à maintenant. Nos corps se sentaient si bien. Au final... Mon âme est torturée. J'ai cette crainte qui me hante, celle de devoir tout briser. Pour notre sécurité, devoir refuser ce sentiment, devoir le mettre de côté. Nous refuser ce genre de moment, se refuser nos sentiments. Bref... Je me devais de profiter, lui transmettre tout ce que je peux avant de ressentir la souffrance sans fin qu'est une séparation.
Je la laissais ainsi, contre moi, avec moi. Son corps tremblait de plaisir. Je sentais son corps caresser le mien, son odeur marquer ma peau, sa chaleur brûler mon corps. Tout ça n''est que le résultat de nos ébats torrides et tant mieux. Sourire aux lèvres, je prend une pause venant à nous attirer vers le rebord du lac. Ainsi, ayant de nouveau pied, nous pouvions y aller plus franchement. Je scrutais ses yeux, y lisant tout le bien être du monde. J'en fondais sur place. Addison... Pourquoi ne peux tu pa garder mon coeur à jamais alors que je le veux ? Pourquoi y a-t-il cette barrière qui ne se brisera que si la guerre est brisé ? Au fond, c'est injuste, mais la vie l'étant, ce n'est qu'une dure logique qu'il faut savoir encaisser.

" Putain oui.... AH... A...Addi..."

Aimant ce plaisir, je la pris bien contre moi, usant de force malgré le fait que je n'ai pas l'air des plus fort. C'est vrai, je suis nul à ce niveau là, mais ce soir, je me sent dôté d'une force herculéenne. Je la soulève pour alors nous sortir légèrement de l'eau. Souriant, je nous fait donc sortir de l'eau, laissant l'eau couler le long de nos corps. Nous rendant presque luisant à la lumière de la lune, je la calle contre le tronc d'un arbre le plus proche. La brise nous faisant frissonner, je pouvais dans la position actuelle la pénétrer profondément et puissamment. La troisième vitesse était largement entamé. Je susurrais son nom pour alors me retirer un bref instant voulant voir ce qu'elle est capable de faire. Tester sa perversité, lui laisser l'opportunité de pouvoir dominer, bref... Faire cela comme jamais. Je laissais mon membre humide proche du sien, plus précisément contre son pubis tandis que mes mains ne chômaient pas. Je malaxais ses seins, je les pétrissaient avec soin tandis que mon souffle s'écrasait sur sa nuque.

" Fait ce que tu veux de moi... Domine moi... léche moi... Ou alors fait moi lécher ta personne... Ce soir... Il n'y a pas de personne supérieur à l'autre... Comme il n'y en aura jamais... Addi..."

Il n'est pas bon malgré tout de laisser les parties refroidir. C'est donc avec plein de bonne intension que je vins continuer à masser la partie intime de la belle via deux doigts d'une main. De ce fait, elle n'allait pas perdre de chaleur ici et la prochaine pénétration n'en sera que plus belle. Mais pour l"'heure, j'attendais sa réaction voulant la voir unique. Une flamme dansante... Passion, sauvage, unique comme jamais.

L'art de poser des questions quand il le faut pas... Allez savoir pourquoi je lui ais demandé ça. En plus quand on fait l'amour... C'est comme aimer quelqu'un et penser à une autre personne en même temps, c'est peu flatteur. Mais heureusement, la belle ne le prenait pas ainsi, fort heureusement pour moi. Ca aurait été con qu'elle pique une crise alors qu'il n'y avait pas de quoi. Lilith... Une personne devenue ma cible, ma proie, celle que j'allais faire tomber en premier. Pourquoi donc ? Simplement parce que c'est ainsi et pas autrement. Elle devait payer pour ses pêchés et si les Amazons tombent, ce sera un début de victoire pour mon groupe. Faire tout tout seul, c'est chiant, mais c'est ainsi. S'il ne peut y avoir de roi officiel, alors je me comporterais comme tel pour mériter le titre nul ne pouvant me le voler. Pourquoi ? Personne n'est ausi vieux que moi ici, nul n'est aussi actif pour le groupe, alors qui pourrait être roi ? Un nouveau avec une gueule dite charismatique ? Personne ne le peux et je le montrerais à la terre entière. Mes actes démontreront que j'ai du sang de leader en moi. Qu'importe les guerres que je devrais faire. S'il faut étriper des "fréres", alors je le ferais pour montrer l'exemple. Car je ne reculerais devant rien pour montrer ma suprématie. RIEN...

Mais revenant à l'instant présent, je sentais la belle prendre en main mon membre tendu comme la justice. Droite, dure, chaude... Que demander de plus ? Ce moment était unique. Je rêvais sur place. Que ce soit fellations, pénétrations, ou des trucs plus osés sans aller dans le glauque, je rêvais qu'elle faisait tout ça en ma compagnie. Que l'on rompte ou pas, ça ne changera rien... Il y aura toujours une pensée pour elle. Sans rien ajouter à tout ça, j'écoutais sa réponse calme. Mais alors que j'allais répondre, je la laissa m'interdire de le faire. La laissant me branler, c'est si joliment, je fermais les yeux. Ma langue joignant la sienne, je soupirais d'aise aimant toute ces attentions. Frissonnant, je vins à aggriper sa poitrine avec envie, mes mains jouant avec.

" Hmmm... Hmmmm..."

Pas de quoi parler, nos salives s emélangeaient devenant le breuvage de la soirée, nos langue dansaient devenant l'activité du soir... Je rougissais pour alors lui dire à l'oreille rompant le baiser.

" ... Je voudrais que tu... Me fasses du bien avec tes atouts.... Flatte mes parties... s'il...te plait... Addi... Ou alors autrement.... Mais que ce soit original... AH..."

Ma personne qui gémit... Un fait rare, mais c'est ainsi. Je me lâchais pour elle...Mes mains malaxant sa poitrine, je voulais la faire flancher. Mais c'est plus dur qu'il n'y parait. Alors que moi, ce soir j'étais comme affaiblis devant elle. Elle m'avait manqué après tout..