« I won't forget this night or I take your heart. »
« Je ne sais quoi dire, je ne peux que l’entende gémir, se témoignage si divin sonnais encore et toujours comme une mélodie qui témoignais de ma victoire. Je le regardais, me redressant. Je lui souris d’une façon provocante qui cachait néanmoins quelque trace d’amour. Je ne voulais pas que cela prenne fin et pourtant. Je sentais qu’il n’en supporterait d’avantage, qu’il se retenait. Sourire aux lèvres, je viens me penché sur son torse embrassant celui-ci encore une fois, prenant le soin de faire entré en contact chaque parcelle de sa peau avec mes lèvres. Frissonnant au vent frais qui commençait à se lever mais aussi à ses mains qui continuer de glisser sur ma peau, je me mordis doucement les lèvres. Me redressant, accélérant une fois pour toute les mouvements irréguliers de mon bassin. Douceur ? Hm. Il n’y avait plus de place pour ce mot à l’instant présent. La passion s’exprimait de par des mouvements de bassins brutaux, des gémissements audibles, forts. Oui, il n’y avait plus de place à la douceur… Mes coups de bassins si brutaux exprimaient deux choses, la passion encore restante, c’est une évidence mais aussi un léger souffle d’amertume. Je ne pourrais pas supporter de le perdre je le crois. Je ne suis pas sentimentale, je n’en ai ni le caractère, ni les manières mais je ne supporterais pas de perdre une proie et je ne supporterais pas de perdre celle qui m’était le plus dévoué. Je ne le considérais pas comme un pion, loin de la mais je savais qu’il ne pouvait en aucun cas me faire du mal et ça, c’était plutôt un grand avantage.
•Continuant d’accéléré le mouvement, je fermai les yeux me plongeant dans mes souvenirs. Puis je repense à cette nuit ou cette fois-ci c’était moi la « dominée » mais c’était aussi la nuit ou … Puis vin ensuite une seconde question, quand aurais-je la force de le lui dire et de tout mettre au clair ? Certainement pas aujourd’hui je le craints mais … Quand ? La prochaine fois, si il y en a une ? Oui j’y vais déjà pensé mais est-ce que se serais le bon moment. Au pire, je m’en fouterais à cette instant et viderais tout mon sac, pour ne pas changer. Ouvrant doucement les yeux, je me replonge dans son regard après avoir secouée ma tête de droite à gauche. Bougeant mon bassin avec plus de vitesse sur le membre de Taito, je viens me mordre la lèvre inferieur, refermant les yeux. Je sentais de la cyprine couler le long de mes cuisses en grandes quantité, ce qui m’arrachait de petites rougeurs qui venaient parfaitement compléter mes petits gémissements, longs et faible. Me laissant bercer une nouvelle fois par les gémissements de Taito, je viens m’allongé encore une fois sur son torse sans pour autant désunir nos bassins qui allaient si bien ensemble.
« Laisse toi aller… N'hésite pas ... C'est si divin... »
•Souriant, je viens à accéléré encore mes mouvements de bassin, la quatrième vitesse étant largement entamé, je crois que l’on ne pouvait plus évaluée cette vitesse tellement elle était grande et pourtant si irrégulière. Soufflant sur le visage de Taito, je l’embrasse doucement avec simplicité puis j’ajoute à se baiser ma langue qui venais doucement titiller la sienne. L’embêtant, l’invitant à venir se joindre au « bal ». Levant la tête, me redressant une énième fois, regardant Taito, je souris, encore, puis lui caresse la joue. Les rougeurs apparentes sur mon visage se faisant de plus en plus visible au fur et à mesure que la cyprine continuant de couler sur mes cuisses et par la même occasion le long du membre de Taito, je viens lui dire d’une voix faible « Je… Hmpf… » Serrant mes poings sur le torse de Taito sans pour autant le griffer ou le pincer avec mes ongles manucurés je tentais de continuer ma phrase « J… n’… peux plus… » Dis-je en me mordillant la lèvre, sans pour autant arrêter ou ralentir les mouvements de mon bassin. Bha … Ils étaient si plaisants.
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Jeu 27 Déc - 0:35
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Jeu 27 Déc - 4:41
Come with me in ... ”
« This is ... The end? »
« Je me penche sur son torse, doucement. Ma frange se décollait de mon front pour se laisser bercer par la douce brise qui nous entourait. Mes cheveux, eux, tombe. S’arrêtant sur le torse de Taito, gigotant de gauche à droite. Eux aussi étaient bercés par cette brise fraiche qui s’invitait partout dans cette forêt. On pouvait apercevoir un sourire sur mon visage. J’étais … Joyeuse ? Contente ? Ravis ? Non. Se sourire exprimais une grande victoire. Une réussite. Mais cette image était vite fissurée et pour cause les rougeurs qui se faisaient de plus en plus visible sur mon visage me donnaient un air timide, un air fragile. J’ai la tête baissé, je n’ose pas le regarder. J’ai les yeux fermé, je n’ose et ne veux pas montré ma peine. Car oui, je le sentais. Aujourd’hui serait peut-être la dernière fois. La dernière fois que nos ébats respireront autant la passion, dernière fois que nos ébats transpireront autant l’Amour, oui celui avec un grand a dont tout le monde rêve. Car hélas, bien que notre amour fût semblable à un compte de fées, tout doit maintenant prendre fin, Taito. On se blesse, on souffre. Vivre ainsi ne fait que nous ronger de l’intérieur. Ca me fait mal. Je n’aime pas cela. Cette idée elle me fait mal. Mais je dois l’accepter, me résignée. Nous ne pourrons plus être ainsi, coller l’un contre l’autre. Je ne veux plus souffrir. Tes gémissements, ils me manqueront. Ta voix, douce, charmeuse, qui ne cesse de me dire que tu m’aime, elle me manquera. Mais nous devons tout arrêté. Deviendrons-nous ennemis Taito ? Et dans ce cas qui tirera le premier coup ? Oh oui, cette nuit, la dernière, je souhaiterais qu’elle ne se finisse jamais. Je veux rester dans tes bras, comme cela jusqu'à en mourir. Mais ne le suis-je pas déjà morte ? Morte rongé par les remords et par cette amour partagé qui finalement nous à détruits.
La fin est proche, je le sens. On ne tient plus le coup. Je fatigue, je transpire. Je me calme sur mes mouvements de bassins. Mais toi tu continue de gigoté, tu en veux plus. Tu prends la relève, entreprenant des coups de plus en plus ravageurs, tenant ma poitrine avec force. Tu cherche plus de plaisir ? Et moi je ne cesse de gémir. La lune nous regarde, silencieuse. Seul nos gémissement fissuraient quelques peux ce silence apaisant. Puis voila, ça arrive. Je sentais sa semence se reprendre dans mon être avec puissance, allons nous dire. Ha. Je sens sa jouissance mélangé à ma cyprine coulé le long de nos cuisses, je rougis encore plus. Il dut chercher mon regard pour le fixer et ensuite me prendre dans ses bras, une nouvelle fois. Toujours aussi rouge, je regarde le paysage puis sourit, j’étais heureuse. Je le sentais ralentir de plus en plus ses mouvements de bassins. Je fermais délicatement les yeux, peu à peu. J’avais mal, je n’en pouvais plus, mais je préférais ne rien dire, histoire que la fin soit parfaite. Les yeux fermé, je viens lentement entourer son dos avec mes bras, caressant doucement l’une de ses joues contre l’une des miennes. Je l’écoutais avec plaisir me chuchoter ses quelques mots que j’aimais entendre. Et je souris une nouvelles fois, soupirant, amusée. Je lève ma main droite passant celle-ci sur sa joue. Il m’aime, il ne cessait donc pas de le répété. Hm, oui je ne peux pas mentir, cela me remplissait de joie de l’entendre le répété sans arrêt. A chaque fois je me sentais de plus en plus importante à ses yeux, à chaque fois je devenais de plus en plus dépendante de lui, comme une drogue. Je ricane, décollant ma joue de la sienne, enlevant ma main contre sa joue. Je recule, le regardant dans les yeux, un doux sourire se lisant sur mon visage. Je me rapproche, lui embrassant le front, puis la joue et enfin je pose délicatement mes lèvres sur les siennes puis je lui mordille doucement l’oreille avant de venir lui chuchoter ses quelques mots.
« Il en va de même pour moi, Taito. »Dis-je avant de soupirer doucement, baissant de nouveau les yeux. Je baille. Je lève légèrement un bras, passant le revers de ma main le long de sa joue. Je viens poser mon front sur le sien le regardant dans les yeux. Je reprends la parole mais cette fois, dans ma voix on pouvait sentir de faibles tremblements ainsi que de l’inquiétude « Nhe … Taito … Est-ce qu’un jour… Nous deviendrons vraiment des ennemis l’un pour l’autre ? »
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Ven 11 Jan - 13:15
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Sam 12 Jan - 13:51
« Come with me in the forest. »
Une page centrale, miracle, lyrique. Tu as « sauvé » ma vie.
Elle l'avait dit. Elle n'est pas une grande romantique. Elle ne peut pas s'empêcher de renouer avec ses démons lorsqu'il s'agit d'un sujet qui les attise tel une flamme est attisée par une brise. Elle te regarde et te sourit. Elle se penche sur ton visage et frôle de nouveau tes lèvres avec douceur et rapidité. Vous aviez passé une grande partie de la nuit tous les deux. Vous aviez passé une grande partie de la nuit à vous enlacer et à vous échanger ses doux mots d'amour qui ne cessait de remonter à la surface, sur le bout de vos langues. Ils ne pouvaient s'empêcher de sortir. Oui, il était impatient. Ses mots, ils voulaient sortir pour faire sentir à l'un comme à l'autre la grandeur de ce sentiment qui s'était construit, qui avait grandi, entre vous deux. Un sentiment qui ne vous était pas destinée, mais un sentiment qui avait bel et bien été partagé durant de longs mois. Vous ne pouvez pas vous empêcher de pratiquer la luxure à presque chacune de vos rencontres, cela se comprend. Votre passion est immense. Votre désir l'est tout autant. Et puis, elle. Elle n'a voulu que de toi durant plusieurs semaines. Tu la hantais. Dans ses rêves, dans son quotidien, dans son cœur. Ouaip, tu étais toujours là. Mais elle faisait l'insensible et ne te montrait sa fragilité uniquement lors de vos ébats. Son cœur la rend fragile, mais son cœur ne la perdra jamais, elle en fait le serment.
Elle à la tête vider de toutes pensées extérieurs à cette soirée. Elle se concentre sur l'harmonie de vos mouvements de bassins. Elle savoure chaque instant, se mordant incessamment la lèvre inférieure tout en se laissant guider par tes mouvements de bassins. Elle n'en pouvait plus. Enfin, elle n'avait plus de force physique, mais elle le pouvait toujours encore. Son corps tremblait de bonheur, mais il n'avait pas encore atteint le point de non retours. C'était une sorte de défis pour toi de la faire jouir en fin de compte, car c'est une tâche assez délicate. Cette nuit, elle sent que cela arrivera, tout comme cette autre nuit. Tu pourrais t'en venter, mais non ça serait assez bizarre, hein. Elle te regarde et sourit puis elle porte une oreille attentive à tes paroles. Tu lui répondais avec sincérités. Son regard remplit d'envie cachait de plus en plus de tristesse. Tes paroles ... Elle respiraient la séparation à six mille kilomètres. Elle ne voulait pas, non. Elle avait enfin trouvé son joyau, en quelque sorte. Cette personne qui lui avait enlevé de sa tête qu'elle n'était une poupée qui ne pouvait pas exprimer ses sentiments, car son cœur n'était là que pour battre inutilement, c'était toi. Alors, pourquoi ? Est-ce vraiment nécessaire, est-ce vraiment la fin ? Elle ne veut pas te perdre, mais elle ne le dira pas. Ses larmes n'arrivent pas encore à sortir en face de toi, elle n'arrive pas encore à t'exprimer ces moments de peines qu'elle a. Tu deviens pensif et prend une allure régulière ni trop lente, ni trop rapide. Tu semblais essoufflé, tout comme elle l'était elle aussi. Elle continue de t'écouter, passant sa main sur ta joue, elle sourit doucement. Ce sourire n'est pas habituel.
Un couteau sous la gorge ? Ha ha ... Il joue avec le feu avec ce genre de choses là, il lui donne envie. Il veut la faire renouer avec ses vieux démons, il les provoquent ? Il cherche à les attisés davantage ? Tu es fou Taito. Elle t'aime, mais ... Il y a tellement de choses qu'elle dépasse. Il y a tellement de choses qu'elle pourrait te faire même-ci ses sentiments seraient toujours et encore présents. Elle trouve que la conversation prend des tournures plus qu'intéressantes et te regarde. Elle gémit quelquefois. Gémissements dû à ses mouvements de bassins que vous n'aviez toujours pas stoppé, mais elle est plus que focaliser sur tes paroles durant l'instant présent. Elle à toujours les lèvres mordiller, de façon à pouvoir t'entendre de façon audible, de façon à savoir ce que tu dirais encore cette fois. Finalement son premier jugement il y a de cela presque un an était le bon. Tu es vraiment quelqu'un d'intéressent, Taito Natsume. Elle soupire lorsque tu lui attrape ses cuisses puis un autre sourire. Elle s'agrippe à tes épaules puis se laisse faire. La montée au septième ciel ? Le plaisir « ultime » ? Oh oui ... Elle crispe ses doigts lorsque tu accélères le mouvement et ferme les yeux. Ses lèvres sont toujours pincées, elle se penche en arrière. Elle sent ton corps trembler et elle sourit faiblement, sentant que son tour était bientôt proche. Elle sent ta jouissance couler le long de ses cuisses, elle te regarde, les joues rouges puis baisse les yeux, un peu gênée. Elle sentait le liquide ce déversé en elle. Elle rougissait de plus belle en repensant aux autres soirées qu'elle avait passées à tes coter autrefois. Elle se dit que celle-ci devait surement être la plus magique de ces soirées. Oui, la plus magique. L'objectif est atteint ... Vous savez pertinemment que ce sera surement la dernière où vous exprimerez ouvertement vos sentiments, ses paroles d'amour que l'on avait entendu retentir dans le silence de la forêt pendant toutes ses heures. Tu l'embrasses puis tu reprends la parole et elle t'écoute avec attention, bien que ...
Tu ne le savais pas encore. Elle ne t'avait jamais vraiment dit la raison de sa fuite. Ca n'avait vraiment rien à voir avec toi, du moins au début. Elle aurait pu rentrer plus tôt si le facteur ... Ce facteur n'était pas entré en compte ... Elle entend ton soupire, elle ferme les yeux. Elle se penche sur toi, te laissant lui lécher le cou. Elle frisonne, sa sensibilité à ce niveau ne semblait pas vouloir s'effacer. Tu reprends quelques coups de bassins, elle ressert son emprise sur tes épaules, elle crispe ses doigts, les plantants presque dans ta peau pâle. Elle te regarde et te sourit, ta dernière phrase lui avait fait plaisir, tout comme les autres. Ses discours, elle les aimait tant. Bien que le premier cachait une grande peine due à une séparation prochaine. Elle te regarde, elle sourit. Puis elle reprend des mouvements de bassins rapides, réguliers, brutaux. La jouissance, elle en avait marre de l'attendre et elle allait la provoquer. Elle augmente la vitesse de ses mouvements de bassins encore et encore. Elle se redresse légèrement, ses mains descendent sur ton dos, te griffant légèrement. Elle lâche un grand gémissement. Un gémissement que l'on pourrait qualifier de point final à cette union. Puis elle ouvre ses yeux doucement, elle te fixe, elle à les joues rouges. Elle sent sa jouissance se mélanger avec la tienne, tout cela est plus que gênant pour elle ... Elle penche son visage à droite. Ses cheveux suivent le mouvement. Elle se penche sur ton visage, te plaquant une nouvelle fois contre l'herbe. Elle te sourit et t'embrasse langoureusement. Elle te caresse la joue puis elle sourit une nouvelle fois. Elle décolle vos lèvres et s'exprime enfin.
« Je te jure de ne plus partir. De toute façon, je n’ai plus de raisons de le faire … »
Elle soupire puis rigole, caressant une nouvelle fois tes joues, t’embrassant le front. Puis elle se recule, plongeant son regard dans le tiens.
« Tu sais Taito. Si tu tiens tant à retrouver cette place de Roi … Le jour où je placerais un couteau sous ta gorge arrivera bientôt. Bien qu’il y ai eu des sentiments forts … Ainsi que certaines choses qui … Donnait en quelque sorte vie à cette passion. A un moment donné, on se retrouvera dans cette situation … »
Elle sourit à Taito. Elle l'embrasse de nouveau puis se lève, donnant dos à l'aristocrate ainsi qu'au lac. Elle soupire puis s'étire, baissant son visage, le tournant légèrement pour observer celui qui avait depuis longtemps été son bien aimé.
La séance est finie, vous pouvez regagner vos vies.
Le bruit du lac arrive jusqu'à la hauteur de ses oreilles. Elle ne t'a pas regardé longtemps, mais assez suffisamment pour que tu comprennes le message. Son regard sombre était devenu à peu de choses près normal maintenant. Une nuit bien spécial venait de se terminer. Ha, tu aimes la mener dans le chemin de la débauche, c'est mal. Elle cherche ses sous-vêtements du regard et les enfiles aussitôt qu'elle les avait trouvé. Elle ne voulait pas rester un instant de plus dans cette atmosphère qui d'une seconde à l'autre était devenue lourde, très lourde. Elle rêvait de regagner son lit là, elle est fatiguée. Elle veut de la tranquillité, un peu de solitude ne fait pas de mal parfois tu sais. Surtout chez elle. Elle avait fait son choix depuis bien longtemps déjà. Et si elle devait s'opposer à toi dans certaines circonstances, elle le ferait. Elle n'en avait pas vraiment l'envie au début, mais une haine particulière s'impose et l'oblige à peu à peu nourrir cette envie de te marcher sur les pieds. Tu sais qu'elle n'est pas cruelle, mais tu sais qu'elle obtient toujours ce qu'elle veut. Tu sais qu'elle ne te veux aucun mal, mais tu sais aussi qu'elle ne recule devant rien. Tu sais qu'elle à un grand coeur, mais tu sais aussi que chez elle le cerveau l'emporte toujours sur les sentiments, hélas.
Elle se rhabille donc, lentement mais sûrement. Elle te donne le dos. Une fois ses sous-vêtements mis un long soupire se dégage de ses lèvres, elle se demande qu'est-ce qu'il y aura au programme à votre prochaine rencontre. Des révélations et une rupture, l'inverse, pire ? Cela la faisait rire la façon dont tu la troublais. Tu arrives à l'embrouiller, mais pas assez pour qu'elle tourne le dos à ses alliées. Les mermaids sont pour elle comme une deuxièmes familles, il lui est impossible de leur tourné le dos. Mais, elle ne dit pas qu'elle ne t'aime pas, au contraire. Mais la flamme qui au début brûlait toutes les personnes essayant de s'opposer à votre union ne tien plus qu'à une brindille. Tout s'effrite donc avec le temps... « Soit... S'il faut en arriver là, alors nous y arriveront et nous verrons le moment venu... Mais pour l'heure, je ne renoncerais à rien dans mes projets... Pas même si tu te dressais sur ma route... » Ok. Pour elle le décision avait déjà été prise, mais. Elle avait un peu de doute quand même sur la détermination de Taito. N'osera-t-il vraiment pas ce freiner s'il se retrouve face à elle pendant un moment crucial d'une des missions qu'il doit entreprendre ? Vu les évènements passer, il fallait comprendre qu'elle ait du mal à en être convaincu.
Maintenant elle cherche son jean, où est-ce qu'elle l'avait encore lancé ? Hm ... Elle le cherche avec ses yeux, bougeant légèrement, n'osant pas faire trop de gestes, de mouvements, elle avait littéralement été vidée de son énergie après l'acte. Elle regarde un peu partout, puis aperçoit son jean un peu plus loin, elle soupire. Elle allait mettre un pied devant l'autre afin de bouger quand elle te sent venir ce collé contre elle, jouant avec sa culotte et embrasser son cou. Elle soupire encore puis te repousse gentiment de façon à pouvoir rejoindre son cher petit jean adoré, c'était son préféré d'ailleurs. Elle en profite pour enfiler son haut par la suite puis regarde en ta direction. Tu te rhabille. Elle soupire discrètement cette fois, posant ses mains sur ses hanches ce demandant encore de quelle façons elle pourrait lui cacher sa grossesse et est-ce qu'elle continuerait encore longtemps de cette façon. Là, maintenant, elle aurait pu lui dire, mais elle a peur. Si ça s'trouve il à des complices cacher dans la forêt qui lui sauteront dessus ! Non ... Sinon ils l'auraient fait depuis longtemps. Elle soupire et entre ouvre ses lèvres, après avoir pris une grande inspiration. Mais elle fut coupée par l'Aristocrate. Il lui demandait s'ils rentraient, mais bien sûr qu'ils rentreraient.
« Ha ha. Tu m'ôtes les mots de la bouche, allons-y. »
Elle se retourne et pose sa main sur sa poitrine en soupirant, elle cherche sa veste. Elle s'avance puis, une fois sa veste en main, elle te fait signe de la suivre, sa veste poser sur son bras. Elle sourit, se retourne et marche vers les dortoirs où elle pourrait enfin avoir un autre rendez-vous avec son matelas adoré.